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La boutique de vêtements

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Lue : 10481 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/10/2015

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Du temps où j'habitais paris, à la trentaine passée, je m'habillais beaucoup dans le centre. Certaines boutiques avaient des vêtements qu'on ne voit pas en grande surface, et le samedi, j'allais faire un tour par là, pour trouver la perle rare.


Je fréquentais les mêmes boutiques, mais il arrivait que dans certaines où je n'allais plus, après plusieurs mois, j'y retournais, car je n'avais rien trouvé qui me plaisait, bien souvent, je me disais, "quelle conne, pourquoi suis-je revenue ici", à cause soit de l'accueil, soit parce qu'on me sautait dessus,


Dans l'une d'elles, une boutique dont je ne venais plus depuis longtemps, le commerce avait changé de nom et de propriétaire, tenue par un homme aussi, la cinquantaine passée. Une boutique où j'étais déjà venue avec une copine et où le type de l'époque nous sautait dessus en nous demandant « puis-je vous aider mesdames ?, besoin d'un conseil ». J'aime bien être seule a regarder, et avoir quelqu'un sur le dos, ça m'énervait et je m'en allais.


Mais cette fois-ci, on pouvait rentrer dans ce magasin, ressortir cinq minutes après sans qu'on lui ait dit bonjour, le bonjour était juste s'il nous croisait dans un rayon en allant ranger ou autre. Il montrait qu'il était là, en cas de besoin de renseignements, mais jamais, il ne venait nous le demander. À la sortie, une vendeuse encaissait, ou des fois lui suivant le monde.


Comme je le disais, dans certaines boutiques, on est agressée, d'entrée, c’est : "est-ce que je peux vous renseigner, cherchez-vous quelque chose en particulier ?"


Chez lui, non, ce qui fait que je ne m'occupais pas si c'était un homme ou non. Car dès que je rentre dans une boutique où de suite, on m'interpelle, je repars aussitôt !


Un samedi, je flâne et entre dans quelques boutiques, dont la sienne, et je fouille. Je trouve un ensemble au prix abordable, du fait que la première fois où j'étais rentrée dans cette boutique, je n'avais rien acheté. Je vais le voir et lui demande comment on fait, si j'emmène et ramène ou si on peut essayer. Il m'indique la cabine au fond et m'y conduit, en me disant : « Voilà, c'est ici » et il repart.


Je rentre dans la cabine, j'essaie, ça me va et prend, je paie. Il me dit : « Voilà, vous avez ça en cadeau »

Ce sont des bas, ce n’est pas la marque que je mets habituellement, mais c'est un geste commercial, je le remercie et pars.


Un autre samedi, surement quinze jours après puisque c'était ma fréquence de shopping,
Je retourne faire ces boutiques et donc la sienne aussi. Je le croise, il me dit bonjour
Sans m'importuner. Je fouille et retrouve un ensemble que j'avais déjà vu la fois d'avant, mais comme l'autre me plaisait plus, je ne l'avais pas regardé plus que ça.


Connaissant la boutique, je me dirige droit vers la cabine. La boutique était en longueur, et au fond, il y avait une pièce avec deux portes. Celle de gauche où il y avait la cabine d'essayage, et celle de droite qui était un bureau, avec sur la porte marqué « privé » dessus. La cabine d’essayage derrière cette porte avec un rideau qu'on tire, et plus loin, caché par un rideau aussi, des cartons, ce qui devait servir de réserve.


Cette pièce qui était séparée avec comme un paravent, de 2 mètres de haut, laissait voir le bureau en entrant à droite à côté de la porte manquante, il y avait un miroir, pour se voir une fois changée.

J'ai dû rentrer 5 ou 6 fois dans cette boutique, n'achetant qu'une fois sur deux, avec des fois un cadeau, d'autres fois non.


Quelque mois après, un samedi, dans cette même boutique, je fouille, trouve, et vais essayer. Et je me suis aperçue en me regardant dans le miroir, sous un certain angle, que je voyais le bureau. Intriguée, je retourne dans la cabine me changer et en faisant attention à ce que je ne montre pas que j'ai des doutes, je le vois par le renvoi de la glace, il me mate !


Je me dis que les autres fois ça devait être pareil. Étant exhibe, cela ne me dérange pas du tout. En sortant de cette pièce, je le vois affairé dans un rayon, l'air de rien, il se promenait toujours avec un téléphone à la main. Je reprends un autre ensemble, que je n'achèterais pas, mais juste pour confirmer ce que j'ai découvert.


Je retourne dans la cabine, je tends l’oreille et effectivement, j'entends la porte à côté qui s'ouvre. Je ne vois pas la porte, mais j'entends le clic de la clenche. Je rentre dans la cabine, et comme n'étant pas maniaque à tirer le rideau de façon que personne ne voit,


Je laisse cette fois-ci le rideau plus ouvert que d'habitude. Sans me faire voir, je surveille ce qu'il fait, et plus aucun doute possible, il me matait. Bien sûr, ce manège devait durer et comme jamais il ne m'a ennuyée, je revenais comme si de rien n'était.


Petit à petit, j'en étais arrivée à ce que "j'oublie" presque de tirer le rideau ou si peu. Je restais comme ça devant le miroir celui dans la cabine, mais qui ne valait pas celui de la pièce qui permettait d'avoir plus de recul et mieux se rendre compte.


A force, quand j'achetais, j'avais ma remise de cliente fidèle, 10 à 15 % suivant le cas. Ce n'était pas plus cher qu'ailleurs et c'était de la qualité/prix, je n'achetais que quand ça m'intéressait

J'avais des cadeaux, geste commercial, sûrement du déstockage que bien souvent, je donnais à d'autres, mais il arrivait aussi, que ce soit de beaux articles.


Quand je rentrais dans la boutique, il attendait que je prenne quelque chose à essayer, soit il était à son poste avant moi. Soit il attendait que j'y aille la première, allant ensuite à son bureau sans faire de bruit.


Je faisais attention de ne pas regarder dans sa direction, afin de ne pas le surprendre. Cela faisait plusieurs mois que ce petit jeu durait, jusqu'au jour ou.


Un samedi, en essayant une robe, plusieurs petits cartons qui étaient en équilibre, au-dessus de la cabine, me tombent dessus quand je sors. Je fais « oups » en me demandant ce qui se passe et de suite, il est venu voir si je n’avais rien, me demandant si ça va.


Je dis : « Oui, les cartons n'étaient pas lourds », par contre, dans le miroir, je me rends compte que j'avais filé un bas. Le voyant aussi, il va dans la boutique m'en chercher une paire, me demandant quelle marque je mets, pour me les fournir à ma prochaine visite.


Je m'étais assise sur la chaise qui est à côté de la cabine et j’avais retiré mes bas, pour mettre les deux pareils afin que cela ne se voie pas.

Il revient et voyant que je suis assise avec les jambes croisées pour les retirer, il me dit : « Ho pardon, excusez-moi ». Je dis : « Ce n’est rien, donnez » il s'apprête à repartir, et je lui dis : « Vous ne ramassez pas les cartons ? »


Il répond : « Si, mais je vous laisse tranquille » ce à quoi je réponds : « Non faites, je ne suis pas pressée et je préfère que ça ne m'arrive plus ».

Il dit : « Oui, je vais les mettre derrière, et non plus au-dessus, excusez-moi encore » Je dis : « Ce n’est rien, je ne suis pas morte »


En repartant avec la robe, à la caisse, je dis : « Voilà, il y a aussi des bas », la caissière s'apprête à taper, mais ayant fini de ranger, il intervient en disant à la caissière, :« Non, les bas, tu ne les comptes pas et tu fais une remise de 50 % sur la robe ! » , en expliquant l'incident et s'excusant a nouveau.


Je réponds, « Non, il n’y a pas de raison » il dit : « Si, quand même, ça m’apprendra à ne pas assommer les clientes ! »


« Hé bien merci, la prochaine fois, je les ferais tomber exprès sur moi, ces cartons », il répond qu'il n'en mettra plus à cet endroit-là.


Je reviens, quinze jours après, la vendeuse me salue en souriant, le patron me voit, il vient vers moi et me dit : « Vous passerez me voir avant de repartir ». Et il retourne à ses occupations.


Je ne mets presque jamais de jeans, mais cela arrive, et je ne trouve plus ceux à ma taille que j'avais vu la fois d'avant, je ne les trouve plus dans le bac, et comme il n'est pas loin, je lui fais signe. Il revient, je lui demande s'il à des jeans a ma taille, il jette un œil pour voir et dit, "non, mais il y en a en réserve, suivez-moi ", je le suis à la cabine, il va derrière le rideau en me disant de rester où je suis, car comme c’est très sec, c’est très poussiéreux, il revient avec plusieurs tailles approximatives.


Je les essaye pendant qu'il sort de la pièce et attend, je mets de coté celui qui me va. Je sors et il me dit : " Mme si je puis me permettre, comme j'ai vu vos goûts, permettez-moi de vous présenter quelques jupes que je viens de recevoir et qui ne sont pas encore déballées.

Elles devraient peut-être vous plaire, si vous voulez voir, ça ne vous engage en rien". Je dis, « oui, pourquoi pas ». Je le suis, il me les sort des cartons qui sont dans son bureau.


J’en choisis plusieurs, je vais dans la pièce à côté, dans la cabine, je les essaie, je le vois bien lui qui est à son bureau, sachant ce qu'il fait.


La première, ça va, mais la 2e, j'arrive à moins de 5 cm d'avoir remonté la fermeture qui se trouve sur le côté, que celle-ci se coince. J'avais bien vu que cette jupe très courte me serrait, mais pour essayer, cela n'était pas très important.


Après plusieurs tentatives, je ne peux, ni descendre, ni monter la fermeture. N'osant pas tirer fort afin de ne pas la déchirer, je dois me résoudre à l'appeler "Mr svp, j'ai un souci", il arrive, me demande s'il peut entrer.


Je dis oui et lui montre la fermeture, du bout des doigts, il essaie aussi, mais rien n'y fait, je lui dis de tirer plus fort s'il peut, très gêné, il s'excuse disant : « Je dois tenir le haut de la jupe », j'ai dit : « faites ce qu'il faut », il dit : « Attendez, je dois me mettre en face ».


Il se met à genou et dans la glace, je vois bien son regard qui s'égare de près sur mes cuisses.


La jupe est très courte déjà, mi-cuisse et celle-ci après vérification est de taille inférieure à celle qu'il me faut. Rien n'y fait, j'ai dû coincer des fils en voulant remonter cette fermeture, il répond que cela se peut bien.

Il dit : « Attendez, je reviens ». Il revient avec une pince, attrape la tirette, tire, mais la casse, « zut » dit-il.

On entend des gens qui arrivent prés de la cabine, peut être pour venir essayer des tenues, je dis : « C’est gênant comme situation, relevez-vous ». Il en convient, je lui demande s'il n'y a pas un endroit plus tranquille, il dit : « Retournons dans mon bureau, venez ».


En fait, la situation m'amusait et n'était pas pour me déplaire, mon commerçant voyeur qui véritablement gêné de la situation, en profitait également, je ne saurais dire si ses effleurements nécessaires étaient volontaires ou non, mais j'en profitais en n'y étant pas insensible.


Je le suis une fois que les clientes sont affairées à ce qu'elles regardent, on rentre dans son bureau, et de là, je vois qu'en effet, on voit la cabine d'essayage, il s’agenouille, essaye avec la pince, mais le morceau lui échappe, je lui dis que je vais être obligée de partir avec, il me dit," ça ne me dérangerait pas, mais vous aurez le souci ce soir en voulant l'enlever et dans cette tenue dans la rue, on va vous remarquez.


Il me dit, "ce qu’il faudrait, c'est la passer par-dessus, afin de voir derrière ce qui se passe, si on ne peut pas faire, on pourrait découdre la fermeture". Je réponds : « La remonter sur moi ! Vous êtes un malin, malin et coquin, si ça se trouve, vous avez fait exprès de me la faire essayer ! ».


Il s'en défend de façon gênante, vexé de ce qui arrive, je le charrie un peu, il répond « ho non Mme, je vous assure, d'ailleurs, je vais appeler la caissière pour qu'elle vous fasse cela.


Je lui dis, « Non, je plaisantais, ce genre de chose aussi m'arrive des fois, mais je suis à la maison, et mes jupes sont à ma taille », il dit, « oui celle-ci est très serrée, pourtant, je suis bien dans le bon carton »


Je lui dis, « Bon allez, il faut faire ce qu'il faut, et je vous laisse faire, comme ça, si ça craque, ça sera de votre faute ! » , « Cela n'est pas grave » dit-il. Je dis, « attendez, la situation est burlesque, alors un peu plus, ça ne changera rien », et je monte sur la chaise pour qu’il ait la bonne lumière des lampes de son bureau et qu'il ne soit pas à genoux.


Sur le côté, il remonte fébrilement la jupe, moi, je tire pour remonter le devant et tant bien que mal, il a le derrière de la fermeture éclair. Il a en même temps le mien à sa hauteur, la situation qui n'est pas pour me déplaire, commence à m'exciter.


Il a toute la longueur de ma jambe et cuisse à sa vue ainsi que mon string, je regarde à l'opposé d’où il est.


Lui est en stand-by, et me mate, car je ne l’entends plus et ses mains restent immobiles. Moi, je m’attends à un moment ou un autre à ce qu'il me caresse, mais rien. Après ce moment immobile, où ni lui, ni moi ne bougeons, il se reprend et dit : « Il n’y a plus qu'à découdre la fermeture ».


Il prend ses ciseaux dans son pot à crayons et découd, quand le dernier fil tombe, la jupe tombe lorsque je la lâche croyant qu'il la tenait, je me retourne, et je me retrouve en string devant lui, sur la chaise, il me le regarde.


Comme je ne dis rien, il me regarde dans les yeux deux secondes et retourne voir mon string. Il me regarde encore dans les yeux et comme je ne dis toujours rien, il regarde encore quelques secondes et se reprenant, dit : « Voilà, c'est fait ».


Je descends de la chaise en me tenant sur son épaule, il me mate encore, une fois descendue, je lui demande : « Vous avez ma taille sinon ? » Il va dans le carton et s'aperçoit que c'est lui qui s’est trompé, il en ramène une autre.

Je l'essaye, elle me va bien, je dis que je la prends, j'essaie les autres, en principe, j'aurais dû aller dans la cabine, mais je reste et me change dans son bureau, lui, il ne dit rien non plus, à un moment, on entend du bruit côté cabine. Je ne fais plus de bruit, lui non plus et je regarde sans qu'il me voie faire, dans le miroir à travers l'espace entre le mur et la cloison, lui, il s’occupe à autre chose.


On ne parle pas ni l'un, ni l'autre et une fois la cliente partie, je lui dis : « Dommage qu'elle ait tiré le rideau » il fait celui qui ne sait pas, je lui dis : « De votre bureau, on distingue très bien la cabine ». Le pauvre ne savait pas où se mettre, après avoir essayé de se défendre et après lui avoir fait admettre qu’il devait me mater, il me sort un : "désolée, Mme ça ne se reproduira plus, et je vous donne ces deux jupes"


Je lui dis : « Pourquoi désoler, vous n’avez pas aimé ? » Il dit : « Si, mais… Je… » Je lui sors, « donc tout va bien !». Ne sachant plus quoi dire, il est pendu à mes lèvres pour savoir ce qu'il doit faire, ou plutôt ce que je compte faire.


Ayant apprécié le fait qu'il n'a pas profité de la situation, qu'il est resté à sa place de voyeur ; je lui demande s'il a des robes aussi, il dit oui, je dis : « Montrez-moi, je vous laisse choisir ».


Il revient avec plusieurs robes et devant lui, je retire la jupe que j'essayais, je retire mon chemisier pour enfiler la robe, et je lui dis, « vous voyez mieux d'ici quand même ».


Je lui dis : « Reconnaissez-le et je viendrais faire mes essais ici, sinon j'irais à la cabine et fermerais le rideau ».


Comprenant que je savais et laissais faire depuis presque le début, il se dit que me prendre pour une imbécile le desservira.


Il me demande : « Mais ça ne vous gêne pas d’essayer devant moi ? » Je dis : « Pas du tout, au contraire ! En plus, contrairement à d'autres qui en aurait abusé, vous savez rester à votre place ».


Il dit oui, avec un drôle d'air, mais je n'y prêtais pas attention, une des robes essayées m’a plu, j'ai pris mes achats avec une jupe gratuite.


La semaine qui suit, je repense à cela, j'en suis toute excitée, je me dis que le type a l'air sérieux, qu'il ne saute pas sur tout ce qui bouge, je décide donc de m'amuser avec lui.


Un autre samedi, j'ai été exprès à cette boutique, j'en avais envie. Je prends une jupe, je lui fais signe et vais direct dans son bureau qu'il m'ouvre, à l'intérieur, il me dit "vous m'avez permis de regarder", je dis oui, c’est pour ça que je viens dans votre bureau, vous allez m’aider.


Je défais ma jupe et enfile l'autre. Je lui dis, « remontez la fermeture » il s'exécute, une fois sur moi, je demande si elle ne me serre pas trop.


Au début, il me frôle avec des pincettes et voyant que je ne suis pas farouche, il frôle plus franchement, me mettant même ses mains sur les hanches en disant que ma silhouette ressort bien, je lui dis que je la trouve longue, et qu'il la raccourcisse avec des épingles pour me rendre compte.


Il passe derrière moi et fait les ourlets en me frôlant un peu les jambes, les genoux, un peu plus et pour les cuisses, comprenant que je laissais faire volontairement, il rentre dans le jeu et remonte un peu la jupe, je dis, « oui comme ça, c’est mieux, ça reste correct », « oui » dit-il


Je dis, « raccourcissez encore pour voir comment que c'est incorrect ». En touchant, il remonte a ce qu'on appelle "raz de la moule", je dis, « c’est bien, mais indécent », il dit « effectivement, mais très jolie aussi », il mate, il frôle sans équivoque, mais sans plus.


Si je ne l'avais pas vu me mater à plusieurs reprises, j'aurais pensé à un eunuque, un homo, ou un homme que sa femme use au lit jusqu'à ce qu'il soit vidé. En tout cas, il reste très correct, à part de légers attouchements qui m'émoustilles un peu, il reste à sa place.


Je reviens quinze jours après, et je recommence, je lui demande de raccourcir, voulant profiter de cette chance d'avoir quelqu'un appréciant sans se jeter sur moi, je lui demande, « là, c’est bien, remontez encore", il remonte sans appréhension, je dis, là, c'est indécent. Il fait signe que oui.


Maintenant remontez jusqu'à très indécent, ne pouvant plus faire d'ourlets ». Il relève toute la jupe au-dessus de la ceinture et dit : « Là, comme ça, avec le tissu de la même jupe, je peux en faire une dizaine de très indécentes ! »


Il a une main sur la jupe qu'il retient et l'autre sur un coté, je dis, « oui, c'était mieux la première fois, remettez-là comme ça »


Il descend en laissant glisser ses mains sur mes bas et arrive à la bonne taille, il laisse ses mains sur mes cuisses, comprenant que c’était mon attente. Comme je ne dis rien, il descend ses mains plus bas et les remonte, je continue à ne rien dire.


Il fait cela 3 ou 4 fois, je me dis que ça y est, je vais succomber, mais il plie le tissu et pique l'ourlet, me disant « voilà, si vous revenez samedi, ça sera fait ». Vexée au début, mais voyant son air triste, je lui dis, « j'ai dit ou fais quelque chose qu’il ne fallait pas ou alors vous avez de gros ennuis ? »


Il me dit que je n'y suis pour rien, bien au contraire, s'il m'avait connue, il y a cinq ans, ça aurait été différent, mais je préfère ne pas en parler dit il, mais vous n’y êtes pour rien. Intriguée, mais ne voulant pas non plus m'immiscer dans la vie des gens, je vais pour payer et il me dit : « Non, vous paierez quand vous la prendrez, la couture est gratuite, c'est moi qui la fais »


Je ne reviens que quinze jours après, m’y étant préparée, en arrivant, j'ai un sourire de sa part, il me précède en me disant, qu’elle était prête le lundi déjà. Même essayage que les autres fois, dans son bureau, je me déshabille tout naturellement et tombe ma jupe.


Je regarde l'ourlet, très bien surfilé et j’enfile la jupe, lui en me la présentant, frôle et touche, je laisse faire. Il s'agenouille derrière moi et en parlant, me caresse les cuisses sous couvert de défroisser.


Je me laisse faire me disant, ça y est, mais il se relève l'air triste, je lui demande :« C’est moi qui vous rends triste ? » Il dit « presque, mais que j'y suis pour rien », je lui dis que je respecte sa vie privée, mais que je ne comprends rien du tout.


Après quelques pirouettes pour éviter le sujet, il me révèle qu'il a un problème de prostate et que pour lui, il est toujours six heures à sa pendule. N’étant pas très informée sur le sujet, je lui dis alors que je ne comprends pas pourquoi il mate dans la cabine.


Il répond, "ce n'est pas parce qu'on ne peut plus qu’on n’apprécie pas", je dis : « Et alors pourquoi vous ne profitez pas ? ».

Il me dit : « vous auriez aimé vous, que je vous caresse et qu'ensuite, je m'en tienne qu'a ça ? »

Je réponds qu’effectivement, je me poserais des questions, mais maintenant, le sachant, je sais à quoi m'attendre.

« Mais cela n'est pas gênant en soit, sauf pour vous bien sûr », il répond : « Ha bon, vous allez continuez à venir dans mon bureau ? »

Je dis : « Pourquoi ne viendrais-je plus, vous allez me l'interdire ? », Il dit : « Non, mais je ne pourrais pas vous... »

Je réponds :« Vous savez, si je ne tirais pas le rideau, c’est que j'appréciais votre regard, cela est déjà bien »

Il me répond, en se mettant sur les genoux, « alors je pourrais quand même vous caresser ? » et il le fait.

Il me caresse les jambes, les cuisses, l'entre cuisses, je me laisse faire, ce qui l’enhardit. Il me dit que je suis formidable, d'autres auraient rigolés et ne seraient pas restées.

Voyant que ses caresses commencent à me faire de l’effet, m'arrachant des gémissements, il prend de l’assurance. Il me dirige vers l’arrière de la pièce qui servait également de réserve, il installe un lit de fortune avec des draps invendus.

Je lui dis : « Le problème c’est que moi je ne suis pas insensible », passant derrière moi, m'attrapant les seins a pleine mains, il répond, « tant mieux, laissez vous allez, j'ai des restes de pratique » Il m'a longuement caressée, il m'a sucée, fait jouir avec ses doigts, disant que même de me faire jouir, c'était déjà un plaisir.

Ensuite, j’allais régulièrement dans cette boutique, tous les quinze jours comme avant. J'étais reçue pareillement, j'achetais quand ça me plaisait, j'avais mes remises et du plaisir. Il avait investi dans des jouets qu'il me faisait tester.

Dans la boutique, il était le commerçant prévenant, dans le bureau, je devenais sa chose qui ne lui refusait rien, (sauf mes lèvres), timidement, il me demandait de me mettre dans certaines positions, il me regardait dans les moindres recoins, si au début de notre relation, il me ménageait un peu, ne sachant pas jusqu'ou il pouvait aller, ce qu'il pouvait se permettre.

Au bout de la troisième semaine, il avait compris que je me donnais complètement, il ne demandait plus, il se servait, il menait la danse, il avait acheté un gode ceinture et me baisait avec
La quatrième, il avait complètement pris le pouvoir, il me tutoyait, il me faisait sucer le gode ceinture avant de me pénétrer avec, il me prenait en appuis sur son bureau, ou alors je m'empalais sur lui qui était assis sur sa chaise, ou aussi bien en levrette qu'en missionnaire sur un matelas qu'il avait installé pour l'occasion.

Et c'est encore la fois suivante, ou après m'avoir baisée en appuis sur son bureau, que sans rien dire, il présente le gode sur mon anus, je dis, "ho non, pas par là", mais si dit-il, je redis "non" plusieurs fois mais en gardant la même position il dit, "mais si, tu ne demande que ça", il pousse un peu et comme ça rentre tout seul, il me dit, "y'a eu du passage déjà, hein",

À cela, il commence des va et vient de plus en plus rapide, afin de ne pas faire de bruit, il avait plein de mouchoir propre qu'il me donnait pour me mettre dans la bouche, il était assez sportif, comme il n'avait aucun plaisir perso, il ne s'arrêtait que quand j'avais jouis, cela ne valait certes pas un sexe d'homme, mais il compensait par l'endurance et des préliminaires qui me mettaient dans un état déjà bien avancé.

On ne se disait jamais au revoir dans le bureau, c'était toujours dans la boutique, ou il était redevenu le commerçant, ne me demandant jamais quant est ce que je revenais, et la fois d'après, une fois dans le bureau, c'était, "haha, on est venue faire la petite pute, tient, enfile moi ça", il sortait un déshabillée pour me voir avec, ou alors il disait, "aller, à poil, complètement", ou encore, "reste comme t'es". C'était toujours lui qui décidait, j'ai toujours eu beaucoup de plaisir

Cela avait duré à peu prés deux ans, je n'allais plus, ou très rarement dans d'autres boutiques, puis, il a vendu, car il est tombé plus gravement malade, par pudeur, je n'ai plus eu de nouvelle ensuite. Le nouveau propriétaire n'à pas gardé la vendeuse et la boutique n'est plus disposée pareil.

Je n'ai jamais su, si la vendeuse était au courant, elle n'avait pas de sourire moqueur, elle ne venait jamais le déranger quand nous étions dans le bureau, il me faisait mettre nue parfois, d'autre, je restais habillée ou alors il me faisait mettre un déshabillé transparent.

Je ne payais plus mes jupes, robes, string, soutif ou alors une fois sur trois, mon budget vêtement avait été divisé par deux et leurs nombres doublés, il connaissait mon style et prenait en conséquence.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : La boutique de vêtements

Le 07/11/2022 - 21:51 par Trial
J'aime bien votre histoire car elle est plausible. En tant que masseur je me suis aperçu que les femmes étaient aussi demandeuses, il n'y a pas que les hommes qui dragues mais chez elle c'est plus subtil, il faut y être plus attentif...

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