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Courrier pas si anonyme 4

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Lue : 1929 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/11/2015

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Je lui dis, un resto te tente, il répond que c'est toujours moi qui paye, je dis, oui et alors, quand tu travailleras, c'est toi qui paieras, il répond ça, c'est sur, mais en attendant, c'est gênant, changeant de sujet, il demande si c'est moi qui l'emmène demain, je dis non, que c'est lui, on se chamaille en douceur pour que se soit l'autre qui conduise, et pour clore la discussion, je lui dis, si tu conduis, je te laisse choisir mes vêtements pour ce soir, il répond aussitôt ok, je vais à la douche, pendant ce temps et il me dit, tout comme ce matin, je dis non que vêtement, il dit, alors je ne fais que l'aller, je lui répond, "tu es terrible, tu exagère, bon va y, les sous-vêtements aussi".

Sortant de la douche, je vais dans ma chambre ou tout est comme le matin, préparé, la robe est du même genre que celle de la veille, mais fendue des 2 cotés, un peu moins haut, il a préparé un porte jarretelle avec les bas qui vont avec, il a également sorti un string et un soutif de même couleur que le porte jarretelle, rouge, il a vraiment du goût.

J'avais juste poussé la porte, mais je l'ai entendu aller à la douche aussi, il me rejoint au salon habillé et me dit que je suis super, j'entrouvre la fente de ma robe et dis, c'était obligé ça, en montrant le porte jarretelle, il ne se démonte pas et répond, si vous l'avez mis, c'est que vous avez trouvé que j'ai vu juste, je lui dis qu'il ne manque pas d'air, j'avais entendu parler d'un endroit ou des couples viennent, on ne disait pas encore couguar à l'époque, mais les "vieilles" venaient avec des jeunes, et innocemment, je lui laisse croire que je ne savais pas.

Pendant le repas, nous voyons les couples s'entrelacer les doigts, et il est vrai que par moment, on nous regarde, il me le fait remarquer, je dis, oui, c'est vrai, on ne fait pas couleur locale, c'est quoi couleur local, je dis, les femmes ici apparemment viennent avec leur petit copain, il dit, elles ont plutôt l'air d'être leur mère, je dis, oui comme nous, il répond que sa mère ne met pas des dessous aussi ....... beau que moi, il a eu un moment de réflexion, pour savoir quel mot remplacer celui qu'il voulait dire, du genre coquin, sexy, bandant ou autre qualificatif du même genre.

Voulant le taquiner, je lui dis, ha bon, tu les trouves beaux, il dit oui, le tissu est fin, soyeux, je lui demande, un dessous féminin ne t'inspire que ça, il dit non, mais bon, je dis, alors quoi, j'ai vu que je le mettais pal a l'aise et quand il a dit sexy, en rougissant, je n'ai pas insistée et lui ai demandé d'approcher sa main pour qu'on arrête de nous regarder, sauf si tu as honte bien sur, il a dit au contraire.

Nous nous sommes tenu les doigts pendant plus de 5 minutes où j'ai vu son trouble, espérant que le mien a pu être dissimulé par mes paroles, le contact nous plaisait à tous les deux, je lui dis qu'après, ils ne s'occuperont que de leur assiette, c'est moi qui ai cessé le contact, disant, voilà, ça devrait leur suffire, nous avons discuté ensuite, bien mangé et sommes repartit nous promener sur les quais sans passer sous les ponts urinoirs.

Nous nous sommes arrêtés à un café où on a pris une boisson chaude et avons fait demi-tour ensuite, sauf que sur le retour, je lui dis, aller, on se la joue façon amoureux, on fera local, je l'ai attrapé par la taille et lui mon épaule, je lui demande si ca ne le gêne pas et il répond, des soirées comme ça, c'est oui tout le temps, j'ai répondu, tu es gentil.

J'ai senti son contact sur mon épaule, il me serrait de façon à sentir ma chaleur, à la voiture, il m'a lâché au dernier moment, pendant le retour, il me dit que c'était une super la soirée, il me complimente sur tout, à la maison, je lui demande s'il veut aller se coucher, ou regarder un film enregistré, il choisit le film.

En m'installant, je dis que ma robe n'est pas pratique, la coupe est bien, mais elle n'est pas confortable pour une position assise dans un canapé, après quelques mouvements, il me dit que je devrais me mettre à l'aise, je dis, oui, tu as raison, je vais aller la retirer, il me dit retirer la ici, restez juste avec vos dessous.

Je le regarde quelques secondes, les sourcils froncés et lui dis, quoi que, tu as raison, on est entre nous, tu m'as déjà vu à la plage, mais tu ne dis rien à tes parents, car ce n'est pas très normal non plus et ils sont un peu…. prude, il répond qu'il ne dira jamais rien, en retirant ma robe, j'eus l'idée d'emmêler mes cheveux dans les boutons, il me demande ce qui se passe, je lui dis de venir me décoincer les cheveux.

Il a pu mater à loisir, même me frôler un peu la poitrine de façon voulue pour passer sa main dessous, le contact m'a fait frissonner, pour camoufler cela, je me plains que ca me tire les cheveux, comme ses mains arrivant là où je suis censé être prisonnière, je dis, ça y est, c'est décoincée, ouf, je pose ma robe sur un fauteuil et m'assoie.

Comme mes bas ne sont pas filés, je les retire ainsi que le porte jarretelle, je suis donc sur le canapé a coté de lui en soutif et string, s'il avait quinze ou vingt ans de plus, je lui aurais fait comprendre que j'étais à point, mais là, ça pourrait être mon fils, alors joué, lui faire plaisir, me faire plaisir, ok, mais pas plus, quand il est sur le canapé, il a toujours une position qui m'empêche de bien me rendre compte s'il bande, en moi-même, je m'en doute, mais je ne le vois pas, le film commence, et je lui dis, au fait, je peux te demander quelque chose, bien sûr dit-il, je lui indique que pour tout le monde, à la télé, le soir, je suis en pyjama, même pour tes copains.

Il me dit, "je ne le voyais pas autrement, quant aux copains, je ne leur raconte rien de ce qui se passe en dehors de l'école, et cela, encore moins", je lui dis, "tu es gentil", il me demande si demain, il pourra choisir ma tenue, je lui dis oui, mais sache qu'on va chez toi, il répond, zut, j'avais oublié, je lui dis bêtement," ne t'inquiète pas, on aura d'autre occasion", après le film, je file à la douche juste me rincer, je mets mes sous-vêtements dans la panière, je vais dans ma chambre, après sa douche, il y va aussi.

Il vient derrière ma porte, en faisant suffisamment de bruit pour que je l'entende et que je commence quand il arrive, mais pas trop de bruit pour que ça passe pour du "fait en douce", a ce moment là, je prend mon gode dans le tiroir, comme celui-ci roule, il fait un peu de bruit, puis je commence ma masturbation, mon excitation est décuplée par sa présence, à un moment, il a tapé légèrement involontairement son bras sur la porte, j'ai fait comme si je n'avais rien entendu et ai continué sans retenue jusqu'à l'orgasme en criant légèrement des "je jouis", des ", c'est bon", des "haaa".

Le lendemain matin, nous déjeunons de bonne heure et nous partons, il a été très sage le WE, il m'a moins maté que les autres fois, il était plus chez ses copains, son père par contre, lui, n'a pas arrêté de le faire, en plus, comme a chaque fois, à plusieurs reprises, il est passé derrière moi en me disant pardon, mais me tenant les hanches de façon plus appuyées qu'il ne faut, je ne savais pas si je devais dire quelque chose ou pas, mais le peu qu'on les voit, je n'ai pas voulu gâcher le séjour pour si peu.

De plus, il profitait que personne ne puisse voir à ces moments-là, j'ai trainé en jeans tout le temps, à un moment, j'avais un plateau à la main, car j'aidais ma copine, il m'a poussé aux fesses, ou sans dire un mot, j'ai grimacé en souriant qu'il arrête, mon mari, m'a sollicitée le samedi en début d'après-midi, le samedi soir et le dimanche après midi, avant qu'on parte, j'étais crevée en voiture, heureusement que ce n'est pas moi qui conduisait, on s'est entrepris pour le plein de sa voiture, mais je lui ai dit que si je ne payais pas, je mettais une burka à la télé, il a capitulé.

On s'est restaurés vite fait le soir, car le midi, on a mangé plus qu'il ne faut chez ses parents, puis devant la télé, j'ai remis une nuisette, masturbation dés le coucher et une fois fini, je n'ai pas dormi de suite, j'ai eu une envie de pipi et dans la salle de bains, avant de me laver les mains, j'ai voulu voir mon string taché et je me suis aperçu qu'il y avait en plus de mon string du jour, celui de la veille.

Ils n'étaient pas ensemble quand je les ai mis au sale, j'ai posé la question à mon mari le WE suivant et il m'a répondu qu'il en prenait un pour sentir et l'autre pour se masturber avec, mon mari m'appelle au boulot presque tous les jours, mais on ne discute que de choses anodines.

Ma lettre était prête pour le matin, plus qu'à l'imprimer, je ne la lui cache pas, je n'ai pas envie qu'il oublie de la prendre, le soir, je prends le courrier et il y a déjà son message qui me dit d'accord pour qu'il choisisse mes vêtements à sa place, il m'indique, arrangez-vous pour qu'il choisisse aussi vos dessous, si jusqu'à là, j'avais des doutes sur le fait qu'il est mon correspondant, avec ce qu'il demande, ça ne fait plus aucun doute.

Un midi à la maison, je mange justes une salade et une pomme, en débarrassant et mettant les déchets dans la poubelle sous l'évier, je fais tomber le couteau qui était dans l'assiette, je mets mes gants à vaisselle et tente de le récupérer, je ne le trouve pas et agacée, je la vide sur le plan de travail, et je vois ma lettre de ce matin en petit morceau, je me dis qu'il fait tout avant de partir a l'école, il a de la chance que je suis complice, sinon, j'aurais eu vite fait de le démasquer à un moment donné.

J'ai été allumer son ordi, mais je n'ai pas pu trouver le mot de passe, je suis donc retourné travailler, j'ai remis le courrier dans la boite à lettres, comme bien souvent, il rentre avant, la sienne étant dessous du fait que le facteur passe avant midi, il ne verra pas qu'elle ne s'y trouve pas, l'après-midi passe et le soir en rentrant, il est là avant moi, on discute un peu.

Je passe à la douche, à table, je suis en nuisette avec le Plug, sans trop en jouer non plus, j'amplifie la gène que donne le Plug, afin qu'il se doute que je lui aie obéi, en mangeant, on discute et je sens bien qu'il veut que je lui dise quelque chose, il n'ose pas le demander de peur de se dévoiler, moi, je m'amuse, je le fais mijoter, le repas fini, il révise un peu et au film, il vient sur le canapé, je le rejoins toujours en amplifiant les effets du Plug, il me demande ce que j'ai et je lui dis que c'est encore une sciatique, en fait, je me suis habituée au Plug, je pourrais agir comme si de rien n'était.

Il me mate discrètement, mais moins discrètement que dans les débuts, par moment, en bougeant, je mime la gène du Plug en faisant celle qui veut que ça passe inaperçu, j'aimerais qu'il voie que je l'ai, mais ce n'est pas vraiment possible en restant discrète, la soirée se passe et à la fin du film, avant de rentrer dans nos chambres, je lui dis, tient au fait, je t'ai trouvé du boulot le matin si tu es toujours d'accord, il dit quoi, je réponds, choisir ma tenue pour sortir et comme tu as été sage et surtout discret chez tes parents, c'est avec lingerie comprise, sauf quand mon mari sera là, il fait, " ooooouais".

Après être rentré dans nos chambres, même rituel que les autres soirs, est ce une accoutumance, mais il me semble qu'entre le moment où il quitte sa chambre pour aller derrière ma porte, il fait cela de façon naturelle, sans l'appréhension de se faire surprendre, quelque part, il sait que je sais, il sait donc que je ne ferais rien pour le surprendre, moi-même, je ne prends plus autant de précautions, je parle en me donnant le plaisir, j'indique ce que je fais exactement.

Je me masturbe comme si cela était normal de le faire pour quelqu'un, je me posais la question, me masturberais-je, s'il n'était pas là, je n'en suis pas certaine de le faire aussi régulièrement, quoi qu'il en soit, je lui en donnais pour son attente, je détaillais verbalement chaque instant de ma masturbation, autant, je prenais plaisir, autant, j'avais honte une fois l'orgasme assouvi.

Le matin, il se lève dés qu'il m'entend, il se douche et vient déjeuner avec moi, quand j'y vais à mon tour, il profite de ce moment pour aller, après s'être assuré que j'étais toujours ok pour qu'il choisisse mes affaires, en sortant, mes vêtements m'attendent sur le lit, lui aussi m'attend, en rentrant, il dit ok et va pour sortir, je lui dis, tu peux rester si tu te tourne pendant que je met mes sous-vêtements, il dit ok, je dis tournes toi, je te dirais quand tu pourra te retourner.

Il se retourne, je retire mon peignoir, met mont string et soutif qu'il a choisi et lui dit voilà, maintenant, tu peux te retourner, je continue à m'habiller, j'enfile mes DIM up, ma robe, mon chemisier sous ses yeux, une fois terminé, je me regarde dans la glace et lui demande si ça va, il dit parfait.

Je dis, tu as bon goût, de ce fait, si tu veux, je te nomme grand chambellan, bien sûr, tu n'auras charge que de ma garde-robe, je quitte la chambre et pendant qu'il s'habille, j'écris mon message qui dit que ça y est, il choisit mes affaires, que je le laisse même me regarder un peu, sauf bien sûr mon string et soutif, hier soir, j'ai fait ce que vous vouliez.

Je pars au boulot et le soir, le courrier m'indique ma tenue pour la soirée, ainsi que son accord pour que mon neveu me choisisse mes affaires à mettre, je suis sûr que vous aimez cela écrit-il, de vous-même, vous lui avez demandé de rester, vous regardez vous vêtir, alors que je ne vous l'avais pas demandé, quoi que je l'aurais fait plus tard, répondez-moi, cela vous fait quoi qu'il choisisse pour vous vos vêtements et dessous et que vous le laissiez regarder, décrivez-moi comment cela se passe et ce que vous ressentez.

À la télé, des fois, j'ai juste un tee short large, qui laisse voir mes seins lorsque je me penche, j'ai le Plug également, je peine à cacher ce que je peux afin de donner le change, la séance masturbation est la même, le matin, mes affaires m'attendent, il se retourne pour les sous-vêtements, je lui indique quand il peut se retourner, je ne le surveille même pas, je lui demande si cela lui plaît, il dit oui, vous êtes très élégante.

Je vais à l'ordi et j'écris comment se passe la séance habillage, indiquant que j'adore cela, avoir mes vêtements choisis par lui, de me mettre nue et m'habiller intimement avec lui dans la même pièce me fait frissonner.

Un soir, il me demande de mettre les boules avec un string, et de jouir en douce à cote de lui, sans qu'il s'en doute, en même temps, il me dit à lundi, j'ai des projets pour vous, le soir à la télé, je mets mes boules, et même si je sens, qu'il ressent que le canapé bouge un peu, il ne me regarde pas directement, il me laisse faire, faisant celui qui ne ressent rien, il me faut bouger pour lui faire savoir que j'ai les boules, et de bouger avec les boules, ça émoustille, donnant envie de bouger encore un peu plus, mais pas trop pour rester discrète.

Pour imager, je suis dans la même configuration qu'un voyeur qui serait dans un placard en train de mater discrètement un couple qui baise et qui aurait à son poignet une clochette, ce qu'il voit l'excite et il voudrait se branler, mais il ne peut pas parce que la clochette le ferait se découvrir.

Pendant que je me retiens au plaisir, j'essaie quand même d'avoir un petit orgasme discret, car à force, ça me titille à l'intérieur, en plus, qu'est-ce que c'est excitant de se faire cela avec quelqu'un à côté, je suis tiraillée entre le fait de ne pas vouloir et l'envie, tout me passe par la tête, mes culottes qu'il sniffe et éjacule dedans, mon orgasme le soir, mes vêtements qu'il choisit, pendant que lentement, le plaisir monte, je m'imagine que d'un coup, il me saute dessus attrapant la ficelle des boules en tirant dessus et me les sortant.

A force, l'orgasme retenu arrive et c'est à ce moment surement exprès, ou il me demande si ça va, comme je regardais à ma droite, de la main, je fais chut et une fois le plaisir retombé, je lui demande s'il a entendu, j'ai feins avoir entendu du bruit dehors, il dit non, je n'ai rien entendu, il me redemande si ça va parce que j'ai l'air d'être en sueur, d'avoir chaud, je répond que oui, j'ai chaud, mais le bruit m'a un peu fait sursauter, il prend plaisir à me mettre en défaut.

Nous regardons le film puis nous allons nous coucher, je ne sais pas s'il l'a dit de façon intéressée, mais il me demande, ce soir, vous allez vous endormir tout de suite, vous paraissez fatiguée, après trois secondes d'hésitation, je dis, non, c'est comme d'habitude, je ne vais rien changer, je vais lire un peu, il ne dit rien, mais son air en dit long.

En somme, il m'a demandé si ce soir, je me masturbe quand même, et je lui ai indiqué que oui, mes orgasmes de masturbation sont violents grâce a lui, c'est bien plus que ce que je me fais toute seule sans personne, et chacun de son côté de la porte, se masturber sans retenu, sauf lui qui se retient de ne pas faire trop de bruit, mais sans la peur que je le découvre.

La situation me convient parfaitement, j'ai de la compagnie à la maison et pour sortir, j'ai un voyeur fidèle qui m'aide pour choisir mes vêtements, cela parait rien, mais c'est un vrai casse-tête, ensuite, on se donne du plaisir mutuellement en sauvant hypocritement les apparences.

Que pense t-il de la situation, se dit il que je ne veux pas subir son regard vu notre connaissance par parent interposé, a t'il peur de ne pas être à la hauteur, craint il que s'il me brusque, que j'arrête tout, pensant que je veuille bien certaines pratiques mais pas plus, il ne peut craindre que je le dise à ses parents puisque s'il racontait tout, je serais la plus mal jugée, il est vrai aussi que dans mes réponses, je fais comprendre que je ne pourrais pas faire plus avec lui.

Le WE, il reste à la maison, je le soupçonne le soir de nous écouter avec mon mari, je cris moins fort, il me met sa main sur la bouche, si je commence à crier trop fort, cela doit passer comme si mon mari ne savait rien.

Le lundi, il me prépare mes affaires sans que je le lui demande, comme il a l'habitude, il marie bien les couleurs, j'écris mon message, décrivant ce qui c'est passé avec lui, l'orgasme devant la télé avec les boules, le lundi soir, j'ai un paquet avec le mot, dedans, un tee short et un soutif qui ne prend que le dessous des seins, contournant les tetons, le tee short est assez serré, il est pour la télé, un peu plus court encore que ceux amples que je mets habituellement.

Le soutif lui, est à mettre le soir ou je retournerais au resto avec lui, je dois à ce moment là, le mettre au dessus des autres pour qu'il le choisisse, ce n'est pas du linge de qualité mais ses moyens sont limités, il a du acheter ça dans un sexe shop avec ses revues.

Pour la sortie, il me conseille le mardi soir disant qu'il me verra de loin, c'est plutôt que le mercredi, il commence plus tard, ensuite il me dit (ça commence), pendant que vous vous masturbez le soir, prenez des pinces à linge et mettez les sur vos tétons, et racontez moi ça demain matin, sa réaction à lui et aussi la votre, le soir après la douche, je sors avec le tee short qui dessine mes courbes et est à ras de la moule comme on dit.

Il n'arrête pas de mater mes fesses à la télé ainsi que mes seins qui déforme le tee short, il me dit, j'aime bien votre tee short, je souris et dit merci, mes tétons se mettent à durcir, il ne peut que s'en rendre compte, mais cela ne me gène plus comme dans les débuts.

Au coucher, dés qu'il est derrière la porte, je fais tomber une pince sur la commode sans me les mettre, je les fais claquer comme par maladresse, afin de lui faire savoir que je les mets, (je ne me les met pas, se les mettre soit même n'est pas excitant), je gémis pendant quelques secondes avant de mettre le gode en route et partir pour un orgasme, comme j'indique chaque étapes de ma masturbation, il se règle dessus pour jouir en même temps que moi.

le matin, avant de quitter ma chambre, je laissais le tiroir à gode, pas fermé entièrement, ca ne se voyait pas mais on sentait que le tiroir dépassait de la façade, quand je revenais et après qu'il m'ait vu habillée, je voyait que ce tiroir était poussé à fond, j'avais mis les pinces avec le gode et il les avait vu, cette idée m'excitait au plus haut point, d'ailleurs, je n'avais plus aucun secret sexuel pour lui et cela m'excitait encore plus, j'avais là le complice rêvé, un complice qui n'arrivait pas avec son sexe à la main pour me sauter comme avec une pute, je suis très joueuse et apparemment, il l'était aussi.

Je raconte dans mon message, qu'il m'a maté en tee short qui me moulait et que j'avais mise les pinces le soir, que je sortais avec lui ce soir, le soir après le boulot en arrivant à la maison, son mot dit pensez à mettre votre soutif en évidence en espérant qu'il le choisisse, ensuite, il fait celui qui ne sait pas comment est la maison, il me demande s'il peut me voir par le trou de la serrure, auquel cas, de retirer la clef, j'indique au neveu qu'on sort ce soir, il est a l'ordi, je n'ai pas besoin de lui demander son accord de la même manière qu'il sait qu'il doit choisir ma tenue, je m'installe à l'ordi pour quelques courriers, en attendant le dernier moment.

Il me parle par moment en me demandant l'endroit ou on va, je lui dis que je ne sais pas encore, que ca sera la surprise, peu avant dix neuf heures, je lui dis que je vais à la douche, je passe d'abord à ma chambre pour mettre le soutif non pas au dessus des autres, mais en dessous de celui de dessus, pendant la douche, il frappe à la porte, je demande ce qu'il y a, il me demande si tout ce qui est dans la commode fait partie de ce qu'il peut choisir, je lui dis bien sur.

Après la douche, sans surprise, le soutif en question est sur le lit, je fais mon dieu, je me rappelais plus de celui là, non, je ne peux pas mettre ça, il dit, "si, pourquoi, vous l'avez bien acheté", je dis oui mais ……, aller, mettez le puisque vous l'avez, je lui dis, bon, d'accord mais surtout, tu n'en parle à personne, bien sur que non dit il.

je m'habille, mais je le feinte, je met mon string, mon soutif et la robe dans la foulée, un peu déçu, je mets mes bas ensuite devant lui, si avant il matait en douce, c'est devenu maintenant un spectacle, il me regarde de plus en plus ouvertement, il n'attend plus que je lui dise de se retourner, il me laisse juste quelques secondes, je lui dis ce soir la, "hé, tu n'a pas l'air de t'ennuyer", sans se retourner pour autant, il répond non, et comme je ne l'empêche pas non plus, il aurait tord de se gêner.

comme mes chaussures sont derrière lui, je lui demande qu' il me les attrape, mais au lieu de les poser à mes pieds, il en pose une à terre et garde l'autre pour me la mettre, sans me fixer, il m'attrape le pied, je frémis mais je laisse faire, sans geste déplacé, il me met également l'autre, il est très doux, j'ai beaucoup aimé, demain, je lui demanderais pareil me dis-je, la robe fendue à dégagé ma cuisse mais masquée mon entrecuisse.

Après la sortie ou rien ne se passe de spécial, la robe cachait mes seins, notre secret ne transpire pas à l'extérieur, au retour, restant habillée, on se remet devant la télé plus par habitude, c'était presque la fin du film, je me suis déshabillée et rincée dans la salle de bain, séance masturbation ensuite.

Le matin, je fais le mot à mon correspondant, j'indique ce que j'ai fais, qu'il me met mes chaussures et que ca me plait, qu'il n'y a hélas pas de trou de serrure à ma porte de chambre, mes affaires sont prêtes, il assiste à mon habillage après s'être retourné un peu et me met sans que je lui demande mes chaussures, avec des petits coups d'œil entre mes cuisses que je ne referme pas ni n'ouvre plus, il regarde sans le cacher plus que ca, une chose devenue naturelle.


Le soir, il m'écrit, demandez-lui d'aller, vous achetez des bas, et dite lui que pour la peine, qu'il a droit d'en prendre une paire de son choix et qui sait, il aura peut-être envie de vous les mettre, qu'en dites vous, allez faites vous plaisir, je suis sûr que vous en avez envie.

Le coquin, je vois où il veut en venir, je n'ai pas l'intention qu'il me les mette, mais je suis curieuse de savoir ce qu'il va choisir comme bas, en rentrant, je fais celle qui est fatiguée et a mal aux jambes, je vais dans ma chambre et je regarde dans ma commode, en effet, il n'y a plus qu'une boite neuve, je le rejoins au bureau où il travaille et lui demande s'il en a encore pour longtemps.

Il dit non, je révise, pourrais-tu me rendre un grand service dis-je, aller au magasin me chercher dix boites de bas, il ne m'en reste qu'une, il me dit en faisant la moue, ho faut que je ressorte, ça ne peut pas attendre demain, je dis non, si je les file, je vais être embêtée, aller, tu es jeune, tient, si tu y vas, je te donne plus et tu me prends une paire à ton goût, tu choisis pour moi, ça te va, il répond, alors là d'accord (le faux-cul), je lui donne l'argent.

Il revient plus d'une demi-heure après, me donne les boites, mais pas ce qu'il a choisi, il me rend la monnaie que je mets dans un pot pour le pain, je ne lui demande pas ce qu'il m'a pris, espérant qu'il me le dise, mais il doit surement lui aussi attendre que ça soit moi qui lui demande, je relis mon message et je vois qu'il a oublié de me dire ce qu'il faut que je mette, perturbé par son idée des bas.

Après le dîner, je vais à la douche, il me dit, je peux choisir la tenue de soirée télé, juste ce soir au moins dit il, il insiste en disant, aller, au moins ce soir, je comprend mieux pourquoi le mot n'a pas dit ce que je devais mettre, je lui dis, toi alors, on te donne la main et tu prend le bras, allé redit-il, je dis, bon d'accord, mais juste ce soir, je vais à la douche et il me dit, vous mettrez que ce que je prépare sur le lit d'accord, je dis oui promis, vous donnez votre parole, je dis, j'ai des dessous au moins, il dit, ça va de soit.

Quand je sors en peignoir, il rentre aussitôt derrière moi, il sortait de ma chambre, en rentrant, sur le lit, il y a en effet string, soutif, porte jarretelle avec les bas acheté, couleur chair, rien d'exceptionnel, mais en m'approchant, je m'aperçois que ce n'est pas mes affaires, le porte jarretelle est le mien, mais pas le string, ni soutif, ils sont de la qualité que je porte, mais plus transparent, on voit le bout de mes seins et mon sexe aussi à travers le voile à cet endroit, connaissant son argent de poche, je me demande comment il a pu acheter cela, ce n'est pas le restant pour les bas, surtout qu'il m'a rendu la monnaie, sur le lit, il n'y a aucun autre vêtement, pas de nuisette ni de tee short.

Étonnée autant qu'excitée d'être aussi peu couverte pour le rejoindre, j'enfile ce qu'il m'a préparé et je mets quand même une nuisette, quand il arrive, je suis encore debout et il me dit les yeux grand ouvert, MA GNI FIQUE, en matant de haut en bas, regrettant surement ma nuisette de mise, ça te la coupe dis-je, je rajoute la chique pour ne pas dévier sur autre chose, il ne répond pas, il regarde, je lui dis, tu vois quand je promets, je tiens parole, il me dit qu'il me remercie, je répond que c'est parce qu'il a eu un comportement exemplaire chez ses parents (j'ai certes appréciée, mais là c'est une excuse).

Je reconnais aussi qu'a plusieurs moments et depuis quelques semaines, je souhaitais qu'il me fasse un peu de chantage, qu'il me dise par exemple, je ne dirais rien, mais laissez moi mettre vos bas, ou que je le laisse juste toucher mes jambes ou alors tout autre chose d'assez soft pour un chantage "léger", j'aurais fait celle qui accepte, mais forcée.

On s'installe sur le canapé, lui me dévore le soutif à travers ma nuisette, devant la télé, je lui demande ce qu'il veut regarder et je rajoute, à part ce que tu regardes en ce moment, je fais des jeux de jambes, il me demande si ca me plaît, je répond oui, mais tu n'aurais pas dû dépenser ton argent, si je te propose de te rembourser, tu dis quoi, il dit non ça me fait plaisir et en plus, j'en profite plus que je ne croyais.

Je lui dis que c'est un coquin, et que je suis très sensible à son cadeau, que ca me fait plaisir, et que si je le rembourse, ça n'enlèvera rien a cela, je lui rappelle aussi que cela doit rester entre nous, que personne ne doit savoir, je lui tends un peu la perche pour un chantage, mais ce n'est pas son genre.

Il me dit, jamais je ne dirais cela à qui que se soit, ça jamais, je me dégoûterais si je faisais une chose pareille, nous regardons le film, rediffusion de navet, on discute en même temps, à un moment donné, je vois qu'il n'a plus sa robe de chambre en plis sur son sexe, et comme il ne fait pas attention, je vois qu'il bande, c'est la première fois que je le vois, même si je le devinais avant.

En discutant, on arrive à un moment où je lui dis que je le remercie de pouvoir évoluer dans ma maison sans avoir à mettre des manteaux ou autres vêtements de camouflage, il répond que c'est lui qui me remercie, la soirée se passe comme ça, les yeux sur moi, puis arrive le moment où on va se coucher, avant de me lever, je retire les bas, disant, tu préfères cette couleur, il dit non, c'était pour changer, mais j'aime aussi, ensuite nous sommes allés nous coucher, la masturbation habituelle, un rituel très apprécié.

Le lendemain, il prépare mes affaires et à part les dessous, je m'habille devant lui, quand je pars, avant lui, il était déjà sorti pour me mettre son message pour me demander comment j'ai trouvé ma soirée, surtout savoir ce que j'en pensais, comme il sait à l'heure que je pars, et que ses heures de cours commencent plus tard des fois, il doit attendre quelque part et revenir.

J'étais remontée pour ajouter qu'il m'avait payé des bas couleur chair, pour porte jarretelle, et avait aussi acheté soutif et string presque transparent, que j'ai porté devant lui à la télé et que j'ai adoré, comme vous ne m'avez pas indiqué ma tenue, c'est lui qui l'a fait.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 4

Le 28/11/2015 - 07:59 par Candauliste
Vraiment torride cette saga érotique, l'histoire est bien amenée, et le déroulement stimule l'imagination. Lui permettra-t-elle de la toucher un peu de temps en temps ? Et elle-même, aura-t-elle envie d'avancer un peu plus loin dans leur relation ?

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