Pari perdu

Pari perdu.

Nous sommes le 4 Octobre 2015,
Après un séjour d'une semaine à l'hôpital.
Juste un gros malaise après un sur-menage accru.
Faut dire que je dors moins de 4h par jour depuis 3 mois.
Je vous reviens en pleine forme.
Je suis sortie hier,le 3, d'après le médecin tout va bien j'ai un corps en parfaite santé,et il m'a bien demandé de ne rien changer de mes habitudes de vie, je reprend ses mots.
" C'est très rare de voir quelqu'un avec un état de santé irréprochable"
Comme quoi le sexe est bon pour la santé.

Je suis rentrée chez moi en parfait état, et donc je ne compte pas arrêter de baiser.
Ce dimanche, après avoir reçu un mail, d'un fan.
" Bonjour, tu as écris environ trente histoires sur le site Histoire intime, et je voudrais te tester si tu le veux bien.
Voilà ce que je te propose.
Un défi et si tu n'y parviens pas tu auras un gage.
Voilà je te lance un défi.
- Prendre le tramway, de Tourcoing à Lille Flandres, toute nue, du premier arrêt au dernier.
Tu as juste droit à un imperméable, si tu fais quoique ce soit que tu te touches ou tu fais n'importe quoi en rapport avec le sexe.
Ce défi sera considéré comme perdu et donc tu auras un gage.




- LE TRAJET.




Dissimulée juste sous mon imperméable, je décide de prendre le tramway vers 12h.
Juste en talon, en imperméable, et avec mon sac à main, je monte dans le tramway et m'installe au fond du tram.
Mon imperméable est fermé, me savoir nue, en dessous m'excite au plus haut point, là devant tous ces gens.
Je suis tentée de m'exhibée, je me retiens, encore encore.
Ça me trotte dans la tête, j'en ai trop envie, je déboutonne trois boutons de mon imper, et laisse apparaître mes genoux et une bonne partie de mon corps, encore un bouton et je dévoilerai mon fruit défendu.
Je me contient et déboutonne maintenant deux boutons du haut,
L'imper est très décolleté et fendu vers le bas mais ne dévoile rien.
Je guette il ne me reste plus que 13 arrêts, je tiendrai.

A 12h20, arrivé à l'arrêt LEQUESNE , je matte le mec à quelques centimètres de moi depuis 5 minutes.
Faut dire que ce mec a de gros bras, de grands tatouages , une coiffure militaire, coupé très cour, je me noie dans ses yeux bleus, et son physique de beau gosse dans son Lévis et son t shirt serré qui mettent en valeur ses muscles et ses pectoraux.
- Bonjour, je m'appelle Julie et toi?
- Romain, tu as quel âge?
- 22ans et toi?
- 24 ans.
Mes yeux ne le quitte plus, tout en le regardant, je déboutonne un bouton, il n'en reste plus que 2 qui tiennent tout l'imperméable.
Cela dévoile, l'arrondi de mes seins, sans les mettre complètement à l'air.
Romain voit tout de suite mon manège.
- Tu viens sur mes genoux?
Je ne réponds pas, me lève et m'assied sur lui, le temps que je me lève et que je me place sur lui, il a ouvert sa fermeture éclair, et a sorti son sexe, je ne l'ai même pas vu faire.
Je prend place, son sexe encore tout flasque et sec me pénètre la chatte.
Surprise, je lâche un rire d'étonnement, j'ondule pour que sa bite grossisse en moi.
Des personnes viennent s'asseoir juste en face de nous.
Il m'entoure de ses bras pour faire croire aux gens qu'il s'agit juste d'un couple d'amoureux, alors que sa bite prend de la rigueur et grandit de plus en plus en moi.
Je cache mon corps sous l'imper, en mettant tout mon poids en arrière pour m'enfoncer le plus possible sur cette bite qui doit au moins mesuré 20 bons centimètres.
Arrivé à Clemenceau Hippodrome, les personnes autour de nous sortent, d'autres personnes un peu plus éloignées nous regardent mais ne se doute de rien.
Une secousse, je quitte sa bite, tombant en avant avec le coup de frein, il me redresse et sans rien me dire m'installe rapidement sur lui pour que personne ne comprenne, je le sens forcé,mais ne dis rien et laisse sa queue longue et dure se perdre dans une sodomie.
Il me plante son javelot, encore plus loin, je me soulève, et la positionne bien pour descendre encore plus loin sur cette bite étrangère.

12h40 quasiment arrivé, il commence à gémir tout doucement à l'arrêt Botanique, pendant les deux derniers arrêts, il donne de grands coups de reins et alterne, il visite mon vagin,mon anus et réitère cela jusqu'à Lille Flandres.
Arrivé à Lille Flandres, les gens commencent à comprendre ce qu'ils se passent sous leur yeux.
Il fait les premiers soubresauts, annonçant l'éjaculation imminente.
Le Tram est à l'arrêt, tout le monde descend.
Je reste sur lui sans bouger, les gens partent nous sommes seuls dans le Tram, il lâche ses premières giclées de foutre au fond de mon cul, il jouit pas mal de jets, à chaque giclée il essaie de s'enfoncer un peu plus loin en moi
Juste avant que le conducteur ne change de côté, pour reprendre le Tram dans l'autre sens, je me lève le quitte, et main dans la main on quitte le Tram sous les yeux du conducteur qui a du remarqué que du sperme s'écoulait d'entre mes jambes.



- LE GAGE.

- Tu sais quoi?
- Dis moi, je m'appelle Romain et c'est moi qui t'ai envoyé le mail.
- Ah, merde donc tu sais que j'ai fais un écart?
- Bah oui donc, je vais t'emmener faire le gage prévu.
- Ok je te suis.
- Tu sais je suis fan de toi, depuis ta première histoire, j'ai jamais laissé aucun commentaire, je me disais que c'était bidon, que tu devais être un mec mais je vois que je me suis trompé, je te demande pardon.
- T'inquiète j'ai l'habitude que l'on doute de moi.
- Tu me montres?
A peine sorti du Tram, à Lille Flandres, j'ouvre totalement mon imperméable, et le laisse l'écarter, et se rincer l'oeil en public.
Il n'est plus avec moi, pendant le temps qu'il admire ma nudité, en ce dimanche midi, vers 12h50, en pleine station de Tram, il a l'air d'être éteint et ne répond plus, il se contente juste de me pincer légèrement les tétons.
Alors qu'une ado, passe devant nous, je referme mon imperméable, sans remettre les boutons.
Il revient à lui et me dit.
- Si tu es aussi salope que dans toutes histoires prouve le?
- Que veux tu?
- En plus tu te vantes que tout est réel, vécu, et que tu ne mets jamais de capote
- Dis moi, tu as mis une capote pour me prendre dans le Tram?
- Oui tu as raison.
- Mais si tu veux je peux te sucer.
- Ok,
Et il reste là sans bouger je prends les devants.
- Alors tu réagis?
- Quoi?Ici? On vient de sortir du Tram, je viens de te jouir dans le cul, et tu veux me sucer.
- Je te force pas, on va faire mon gage?
- Tu veux me sucer ici, la maintenant?T vraiment une salope?
- Décides-toi tu sors ta bite ou je te suce pas.
- Bah ça me gêne pas que tu me suces mais pas là en plein milieu.
- Bon aller laisse tomber, on y va?

Il est 13h, je le suis.
On prend la rue Faidherbe, puis on longe jusqu'à Rihour.
Là, il attrape mon bras et me dit.
- On est arrivé déshabille-toi.
Je ne répond pas, ouvre mon imperméable, le laisse tomber à terre, et le suis entièrement nue dans Lille juste en talon et avec mon sac à main, on longe la chicorée, et entre dans un petit logement.
Je passe nue, devant tous les clients de la Chicorée en train de déjeuner, il est 13h08, quand je rentre dans un petit sas.
- Vas-y.
- Quoi vas-y?
- Suce-moi.
Je me met à genou devant lui dans cette cage d'escalier et commence à sucer son phallus qui retrouve rapidement toute sa rigueur.
- Attends, juste comme ça, elle mesure combien?
- 23, mais on s'en fout suce.
Il me l'enfonce, et s'offre plusieurs gorge profondes.
Je le laisse faire, il me pince le nez et m'enfonce ses 23cm de sexe jusqu'au plus profond de ma bouche, il relâche la prise j'erecte plusieurs fois avant de la reprendre, il recommence.
Je vomis légèrement sur sa queue, maintient le vomi avec ma main,que j'étale le long de sa bite, que je ne le quitte pas et bouffe sa bite en ravalant ma bile et ma gerbe, il lâche mon nez et me maintenant fortement avec ses mains sur le visage me baise la bouche à une vitesse folle.
Une personne âgée, descend, nous voit dans la cage d'escalier.
Nue devant elle je ne tente pas de me cachée.
Elle descend et ne dit rien.
Romain lui dit.
- Bonjour Madame, vous voulez partager avec ma copine?
En me bifflant, plusieurs fois devant elle.
La personne ne répond pas et sors dehors.
Il me pousse jusqu'à l'ascenseur, j'ai toujours sa bite en bouche.
Je le suce, en le masturbant avec une main.
L'ascenseur arrive, il me pousse dedans, et n'appuie sur aucun bouton.
- On monte pas?
- Tais-toi et tourne-toi.
Dos à lui je ne vois pas ce qu'il fait, je m'appuie sur l'ascenseur et sens qu'il me pénètre sauvagement dans un grand coups de reins, puis un autre, et ainsi de suite.
Je lèche l'ascenseur, et lui me pénètre la chatte, son sexe trempée de ma bave disparaît en moi, il enfonce bientôt trois de ces doigts dans le cul, il tourne assez vite, en continuant à me pillonner la chatte.
L'ascenseur se met à monter.
- Arrête on va être surpris.
- On est arrivé, le gage va commencer.
- Ah c'était pas l'ascenseur?
- Non, L'ascenseur, c'est juste un fantasme
L'ascenseur s'ouvre, un mec fait demi tour quand il nous voit baiser de la sorte.
Le mec attendait devant la porte, L'ascenseur s'est ouvert j'avais son sexe qui me bourrinait le vagin et lui me fistai l'anus, je l'avais jusqu'au poignet.
Le mec avec son chien est rentré chez lui.
La cabine se referme, il me quitte de toute part, et rapidement me met à genou devant lui.
- Ouvre la bouche, m'ordonne-t-il.
Il enfonce son sexe et se vide sur ma langue en lâchant de puissants jets de sperme.
Je referme ma bouche sur cette bite en train de jouir, je serre bien et le laisse m'envoyer sa dizaine de jets de foutre sur la langue.
Il se retire, je tire la langue pour qu'il voit son sperme, je me gargarise avec et avale, je le resuce trois fois pour bien le nettoyer.


Après cela, il sort une clef, ouvre un appartement.
On entre.
- Met toi à l'aise, ton gage va arrivé.
- Mon gage va arrivé, excuse moi je ne comprends pas.
A ce moment là, une trentaine de mecs entre dans l'appartement et s'aligne tous sur les murs.
- Voilà, ton gage est un bukkake, éclate toi.
- Cool, merci beaucoup.
Et je masse le premier sexe à travers le pantalon, je m'accroupie et commence à sucer cette bite noire.
Il jouit vite, je vais vers le deuxième et continue à sucer toutes ses bites, l'une après l'autre.
J'entends plusieurs commentaires.
- Elle suce bien ta chienne, Romain.
- Va y régale toi ma chère.
- T'aimes ça, salope.
- Ho putain, mec elle est bonne ta copine.
- Quelle salope, j'ai envie de la prendre.
NON INTERVIENT ROMAIN, C'EST JUSTE DES PIPES ON A DIT.
- T'aimes ma queue?Grosse pute.
Je ne relève rien et passe au suivant.
- Va-y bouffe-moi la queue.
- Pompe bien, tu auras une récompense après.
- Suce mes bourses connasse.
Je ne réponds à rien et les suce tous pendant un bon moment, je dirai bien 45 minutes voire une heure.
J'ai du faire, cinq fois le tour de toute ces bites, je poursuis et petit à petit tous m'éjacule soit, sur la langue, sur le visage, ou directement dans ma bouche.
Je les laisse faire, et me racle régulièrement pour n'en perdre aucune goutte, je suce mes doigts couvert de sperme, me lèche les seins, et les laisse me prendre en photo.

Vers 16h, je suis sur le point de partir.
- Que fais-tu?
- Quoi, j'ai fais ton gage je rentre chez moi?
- Et tu comptes partir à poil?
- J'ai pas trop le choix mon imperméable est restai à Rihour.
- Tu es sérieuse là, tu rentrerais chez toi nue?
- J'ai pas le choix j'ai pas de vêtement.
- Tiens, il me rend une robe noire assez courte.
Elle me va pas mal.


Je suis de retour chez moi, il est 17h30, j'ai gardé la robe et pris une bonne douche, et me connecte sur Skype vu que j'avais prévue une cam hot avec une amie.