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Courrier pas si anonyme 6

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Lue : 2085 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 20/12/2015

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Un jeudi, il me dit, on sort ce soir, comme les vacances de noël arrivaient, il partait passer le réveillon avec ses parents, nous, c'était avec nos enfants, mes vêtements étaient prêt, un tailleur, je lui dis, ce n'est pas une robe ce soir, il dit non, pour changer, un tailleur, avec un pull bien décolleté, comme je ne serais pas là jusqu'à la rentrée, je lui dis, tu restes chez toi tout le temps, il dit oui, ça tombe mal cette année, en milieu de semaine, je dis oui, mon mari faisait le pont avant noël, mais pas plus, j'avais pris en même temps, mais il travaillait celle du jour de l'an.

Je m'habille pendant qu'il a le dos tourné, il me défroisse sans vraiment abuser, mais moins hésitant qu'avant, mon message l'a enhardi, on va dans la voiture, il conduit et au restaurant pendant la conversation, il me dit, vous auriez voulu que je reste la semaine du jour de l'an, je lui dis, ce n'est pas grave, tu vas chez tes parents, c'est normal, il me demande ce que je fais, je dis que je reviens ici le dimanche soir après noël, que je repars le mercredi après midi et reviens le jeudi après midi.

Il réfléchit et dit, je peux revenir aussi, si vous me le demandez, je reste la semaine ici, je dis, tu fais comme tu as envie, il me dit, si vous me dites de rester, je reste, sinon tant pis, je change le sujet, à la fin du repas comme depuis quelque temps, il demande l'addition et paie avec sa carte, on rentre, il me demande de rester en tailleur, sans la veste qu'il me retire, il me fait savoir que le serveur matait mon décolleté quand il passait derrière moi, ça, je m'en doutais un peu, mais j'ai fait "tu crois", il dit, certain, et il avait raison, vous étiez belle à regarder.

La soirée passe, la masturbation aussi, de temps à autre, je regarde dans ma commode, contrairement à moi qui attend le dernier moment pour renouveler mes bas, lui, il fait de la réserve, mes bas DIM UP sont à la vue, mais ceux avec porte jarretelle sont dessous et sans les boites, il prévoit que si mon mari ouvre ce tiroir, qu'il ne voit que ce qu'il y avait toujours eu, j'ai des bas noirs en majorité et des couleurs chair, mes soutifs sages sont dessus et les autres dessous.

Celui qui laisse les seins visibles, qu'il ne m'a fait mettre qu'une fois, pareil pour ce qu'il m'a acheté, le déshabillé transparent, je suis étonnée qu'il n'ait rien acheté de plus osée, j'ai su qu'il attendait après les fêtes pour avoir des prix plus raisonnables, je lui avais dit, c'est bien, tu gères aussi économiquement, un soir, quand le moment masturbation arrive, je ne sais pas si c'est moi qui m'habitue ou quoi, mais j'ai l'impression, qu'il ne fait même plus un semblant de silence quand il arrive derrière la porte, il ne manque plus que les coups comme au théâtre.

Le lendemain soir arrive, il reste pour éviter le rush des départs, mon mari m'avait dit qu'il arriverait dans la nuit à cause de ça aussi, il téléphone à ses parents pour les prévenir, il profite que je sois à cote à préparer le repas, il me rappelle que si je veux qu'il reste, je dois lui demander, je lui redis qu'il fait comme il veut, il me dit, il faut me le demander, avant que je réponde, il a sa mère en ligne, et parlant suffisamment audible pour que j'entende, il lui dit, "je ne sais pas, je viens demain la première semaine, mais je ne sais pas encore pour l'autre, mais en principe, je n'ai pas eu de réponse, alors je viendrais surement.

Disant cela, il me regarde en voulant dire de lui demander, je faisais tout pour faire celle qui n'en a rien à faire, mais j'ai craqué, je fais signe, signifiant attend, il me dit en hochant la tête voulant dire, j'écoute, je chuchote, et il dit à sa mère, attend, je te rappelle, j'ai un double appel et peut être la réponse que j'attendais.

Il raccroche, et me dit quoi, je dis, tu ne restes pas, il dit non, vous ne me l'avez pas demandé, je réponds si, mais il dit non, vous m'avez dit de faire comme je veux, moi, je préfère que vous me le demandiez, comme ça, je saurais que vous en avez envie, je lui dis, oui, mais tu es libre de rester, il me dit, si vous ne me le dites pas, je ne sais pas, tant pis, il rappelle ses parents et quand il a sa mère, je chuchote, il bouche le micro, il me dit quoi, et je lui dis, je veux que tu restes.

Là, il dit allô maman, bon ça y est, je travaille la semaine en question, donc je ne resterais pas, mais je te le redirais, il discute un peu disant que ça lui fera un peu d'argent de poche pour sortir, quand il raccroche, il me dit que ça lui a fait plaisir que je le lui demande, ça, je m'en doutais, je pense qu'il aurait par dépit, resté la semaine chez eux, si je n'avais pas dit de rester et perso, je n'avais pas envie de rester seule et surtout sans lui.

Il me demande à quelle heure mon mari rentre exactement, je lui dis, pas avant deux ou trois heures du matin, on parle, en mettant au point nos trajets respectifs, le dimanche après midi, il me prendra à la maison en province, comme ça, je prendrais le train pour partir et il me ramènera le dimanche puis pour le jour de l'an où il me déposera le mercredi et me ramènera le jeudi, je lui demande comment il va justifier qu'il travaille, il répond qu'ils ne le verront pas, il me demande si je ne pouvais pas prendre une journée, je lui dis, une entière non, mais je peux n'y aller qu'une demi-journée chaque jour, il est content de savoir cela et me demande si je suis contente qu'il reste.

Je dis bien sur, il dit, alors à la douche, en sortant tout est prêt, j'ai une jupe très courte et serrée, DIM UP, chemisier échancré, soutif, mais pas de string, il me chausse en m'attrapant le mollet, chose qu'il a gagné en terrain au fil des jours, on passe à table, ensuite, on va à la télé, je m'installe sur le canapé, lui s'assoie au sol devant moi, il joue avec un feutre trouvé dans la boite sur la table basse, il me parle et d'un coup, me dit attrapez en me lançant le feutre sur les cuisses, bien sûr par réflexe, j'écarte les cuisses, c'est ce qu'il voulait, je les referme aussitôt le feutre récupéré.

Pour justifier son geste et aussi répondre à mon air étonné, il me dit, je vous explique après, prenez ma place, on échange, il est sur le canapé, en pantalon, il me demande de faire la même chose, sans me prévenir du moment, de lui lancer le feutre, ses genoux ne se touchent pas, il les a même écartés normalement, je profite du moment et lui lance, il attrape le feutre en serrant celui-ci entre ses cuisses, il me dit, vous avez vu la différence entre nous, pour attraper, vous écartez les jambes et nous, on les serre, je dis en effet, il me dit, "nous comme nous sommes en pantalon, on serre pour ne pas que ça passe entre nos jambes, vous les femmes, vous écartez, car vous augmentez ainsi la surface de réception de ce que vous devez attraper du fait que vous êtes en jupe ou robe.

J'ai moi-même répété l'expérience au boulot et avec mes enfants et amis, et il est exact à plus de 80 % que si tous les hommes serrent, les femmes pour la plupart écartent les cuisses pour attraper, dans le cas présent, je sais que pour lui, le but de cette expérience était autre, un suintement se fait sentir en moi et je me mets à espérer qu'il ait eu ce qu'il voulait, j'espérais qu'il me demande de me refaire le coup, mais non.

Il vient s'asseoir, mais à cote de moi, si dans les premiers temps, une personne pouvait s'asseoir entre nous deux, petit à petit, il s'est approché, je dois dire que moi-même, j'ai fait quelques centimètres vers lui, nous ne nous touchons pas complètement, mais à chaque mouvement de l'un ou de l'autre, nous nous effleurons, quand c'est moi, je ne fais rien pour me pousser et quand c'est lui, c'est pareil.

Ça fait déjà pas mal de temps que le film télé est une excuse pour ne pas aller se coucher et être ensemble, il est malin, au lieu de risquer un refus ou une colère de ma part, quand il a besoin d'information, il passe par le correspondant, au début du film, c'était un frôlement d'une seconde espacé de dix et petit à petit, moins d'espacement, à la fin du film, on était collés, sans non plus être serrés, disons qu'il y avait contact, c'est tout, j'étais toute excitée et je pense que lui également, on est reste comme ça encore un moment pour discuter.

Puis il a bien fallut que je me lève, en m'appuyant un peu sur lui, je reste un peu devant lui, il me dit, vous allez vous couchez, je dis oui, tu n'a pas sommeil, il dit demain c'est samedi, je lui dis, oui c'est vrai, tu veux faire quoi, il me dit, on peu faire comme l'autre jour à l'hôtel, discuter dans le noir et allongés, je dis, oui au moins on sera allongés car j'ai mal aux jambes, il téléphone à ses parent pour dire qu'il ne partira que demain à cause des bouchons, il passe devant, car j'éteins les lumières et la télé, je le vois qu'il va dans ma chambre, je lui dis non, j'ai pas envie que mon mari se dise que la place et chaude, ni qu'il te voit dans le lit, ni même de sortir de ma chambre.

En effet dit-il, je lui dis va dans la tienne, je mets une culotte, un teeshirt et le rejoins, je suis toute excitée à cette idée, en fait, je vais pour quitter ma chambre puis une idée m'arrive, je me met les boules, on sera dans le noir, il ne verra pas la tête que je fais, comme je suis toute mouillée, ça rentre sans problème, je le rejoins sous les draps, nos genoux se touchent comme la fois à l'hôtel, je lui dis, va-y, je t'écoute, ça me repose de ne rien dire, juste d'écouter, raconte-moi comment ça se passe à l'école, combien d'année d'études dois-tu faire.

Il me raconte quelques anecdotes, je fais des oui, ou des mots d'étonnements, le contact de nos genoux m'excite, je pense qu'il est en caleçon, sinon il dort nu, les boules me font effet, je peine à ne pas bouger, fatalement au bout d'un moment, je jouis, ma respiration a dû changer, car il me dit "ça va", me reprenant, je dis, j'ai dû m'assoupir un peu, mais va y continu, il poursuit et je l'écoute d'une oreille plus attentive, je réponds de façon plus précise à ses questions.

Je lui dis, il ne faut surtout pas que je m'endorme, ni toi non plus, on serait en mauvaise posture, il dit ho oui, je lui dis, veinard, tu es en vacances la semaine prochaine, il répond d'un oui de complaisance, je dis, tu ne préfères pas l'école quand même, il me dit, ce n'est pas l'école, mais le soir, je ne vous préparerais pas vos vêtements et surtout ceux du soir, je dis et moi alors, je devrais me les choisir, me les préparer et aller travailler et le soir, je me retrouverais seule, alors que toi, tu seras avec des copains la journée et en famille le soir, ou l'inverse.

Il me dit, vous savez les copains, la famille, ça ne vaut pas ce que j'ai ici, je lui dis qu'il est vraiment gentil, mais qu'une semaine, ça passera vite, on discute comme ça jusqu'au moment où on entend une voiture dans la rue, je me lève pour aller voir et en effet, c'est mon mari qui rentrait, je lui dis, voilà, c'est lui, à demain et je file dans ma chambre, pour défaire les boules, quand il rentre, il prend sa douche et me rejoint, avec mon mari, on a pris l'habitude d'écouter les bruits de la maison, et comme on le pensait et l'espérait aussi, il est venu nous écouter.

Comme je sais d'après ses lectures qu'il aime le bdsm, mon mari ne se gène pas pour me traiter pendant le sexe, d'habitude, on fait cela dans le lit, mais là mon mari a envie qu'il m'entende, non pas qu'il soit exhibitionniste, mais pour le fait qu'il sait que ça m'excite, je lui avait fait signe qu'il était derrière la porte, il me dit de façon audible pour lui aussi, j'ai vu qu'il n'est pas parti, je dis non, il part demain, il me dit, il dort, je dis oui à cette heure, il est dans son sommeil profond, il ne m'entend jamais me lever aux toilettes la nuit.

Mon mari me dit tant mieux, on va pouvoir faire des cochonneries, il me dit, tient ce soir, je vais te prendre par terre comme une salope, je dis hummm et m'allonge à terre, on se trouve entre le lit et la porte, à un ou deux mètres de celle-ci, savoir que derrière, il écoute tout, je me laisse complètement aller, et je commente ce que mon mari me fait du genre "oui oui ta langue, là le oui, oui, le clito oui comme ça, haha, ho ton doigt, non, non, pas l'anus, ho oui continu" après mon mari me dit à genoux, je te prend en levrette, il me baise et après me sodomise, je dis, oui va y a fond, encule-moi oui, j'aime ça, mon mari n'ayant pas eu de femmes sous la main, en abstinence, il n'a pas tenue longtemps, surtout avec un auditeur pas loin, moi non plus d'ailleurs, les boules m'avaient juste soulagées, j'ai joui pendant qu'il lâchait tout.

Quelques secondes après, j'entends qu'il retourne dans sa chambre, en ouvrant sa porte, le lendemain, le neveu s'en va, on se regarde sans parler en voulant se dire, " à dans 8 jours", je raconte à mon mari plus en détail ce qui se passe avec lui, il me dit que ça va mal finir, dans le bon sens du terme, je dis non, je contrôle, il répond, oui comme un bateau ivre barré par un aveugle, je lui dis que dimanche prochain, je reviens avec lui, qu'il reste la semaine du jour de l'an, mon mari me dit pourquoi ne pas inviter ses parents au jour de l'an.

Il sera sur place comme ça, " l'idée n'est pas mauvaise ", je dis à mon mari que son père a les mains baladeuses, il me répond, "raison de plus", avec lui, je ne suis pas prête de devenir une sainte, j'attends l'heure raisonnable et les appelle en leur demandant ce qu'il fond, rien de prévue disent ils, alors je leur propose en appuyant le fait que leur fiston sera là et qu'on fera la route ensemble, ils arriveront pour vingt heures et mon mari à peine plus tard, moi, je prendrais mon après-midi, et leur fils quittera plus tôt (son faux travail).

Même si notre maison en province n'a pas tous les meubles, il reste suffisamment de chambres opérationnelles disponibles, la cuisine est complète et la vaisselle aussi, rien ne manquera, là-bas sur place, j'ai une voisine qui me fait le ménage, et que je prends quand j'ai beaucoup de monde, je la paie à un tarif très supérieur aux autres, elle me donne donc priorité même quand je préviens à la dernière minute, elle connaît comment j'aime que les choses soit faites, en travaillant la journée, je n'aurais plus qu'à finir ce qui restera à faire, je réfléchis au repas et je commanderais lundi aux commerçants qui me connaissent, ils mettront sur mon compte.

A part une sortie restau le samedi soir, nous ne sommes pas sortis le weekend, mon mari étant toujours en déplacement, il savoure de rester à la maison, me demandant de me mettre avec la tenue acheté par le neveu, ce qui fait qu'on n'a pas attendu d'être au lit, pour qu'il s'occupe de moi, le lundi matin de bonne heure, il s'en va et je me retrouve seule pour la première fois, je me sors mes vêtements, je me rappelle le temps où j'étais devant l'armoire à ne pas savoir laquelle mettre, sortir un tailleur, aller prendre une douche et en sortant, mettre un autre tailleur.

Le soir en rentrant, la maison me semble triste, je me douche en arrivant et traine en peignoir, je mange une pomme avec un yaourt sans faim, je me met devant la télé ou à cette heure, il y a des trucs débiles, je vais a l'ordi surfé, mais sans plaisir vraiment, puis je me dis, je vais lire, en prenant un bouquin, je me dis, est-ce que ses revues sont là, je vais voir et coup de chance, elles sont cachées mais il ne les a pas prise, je les feuillette et a chaque photo ou texte, je m'imagine qu'il me fait subir la même chose, son lit n'est pas fait, car comme il s'en allait, je lui ai dit de le laisser comme ça puisque j'allais le démonter.

J'ai été dans la panière voir si je trouvais un string souillé, mais j'avais tout lavé la veille, j'ai pris le gode qu'il m'avait offert par correspondant interposé et je me suis masturbée en étant dans son lit où j'ai dormi ces trois jours, comme je ne lave jamais les draps moi-même, j'ai tout portée au pressing le mercredi et suis parti en train le midi, j'avais prévenu que je ne serais pas là le vendredi.

On a passé noël avec les enfants, mais mon mari n'a pas pu rester le vendredi, il travaillait aussi le samedi et surement le dimanche, car il était question de pénalités de retard, le vendredi, je m'occupe de ma maison et prépare pour le réveillon du jour de l'an, je fais les lits et regarde que tout soit prêt pour recevoir.

Le vendredi soir, j'avais envie d'appeler le neveu, mais je me suis retenue, ne voulant pas montrer que je le cherche, mais le samedi avant midi, j'ai craqué, j'ai sa mère au bout du fil, on discute et sous prétexte de lui demander l'heure a laquelle il arriverait le dimanche, elle me le passe, je tourne autour du pot et j'ai glissé dans nos conversations anodines, que mon mari n'était pas là, mais au boulot et que…… (signifiant que j'étais seule).

Sa mère surement sortie un instant, il me dit, dite moi que vous voulez que je vienne, vite dites le moi, sinon je ne viens que demain, il me le redemande en disant vite, car il ne pourra plus parler, je lui dis, oui, je veux que tu vienne, dites aussi que c'est moi qui vous choisirais vos dessous, vite, elle arrive, je ne dis rien, puis il me dit, je n'ai pas entendu, ça a grésillé, je dis, que moi ça va, mais il me redemande, je comprend ce qu'il attend, et je lui dis, oui, tu choisiras.

Je l'entends dire ensuite, "justement, je voulais vous appeler parce que j'ai emprunté un livre à un copain de classe et j'ai oublié de lui rendre, il en a besoin avant de partir au sport d'hiver ", tels deux gosses, nous devons nous justifier de nos décisions à notre entourage comme des amants.

Je lui dis, si tu veux, on peut partir aujourd'hui, on aura moins de bouchons, il répond, "si ça ne vous dérange pas, moi ça m'arrange", je dis, c'est comme tu veux, de toute façon, je t'attends puisque je suis venue en train, il me dit qu'il part après manger, ses parents, sa mère surement ressorti à ce moment-là, il me dit, tout les dessous, redites le, oui, tous les dessous, mais vient, je vous manque dit-il, dites le, je dis, oui, tu me manque, sachant à l'heure qu'il devrait arriver, je m'habille sexy comme il aime, jupe et porte jarretelle, chemisier à boutons.

Je suis toute excitée à l'idée qu'il va me choisir mes dessous à nouveau, me mater à nouveau, je place la télé d'une façon par rapport au canapé, après cette discussion téléphonique, il devine qu'il a un pouvoir sur moi, ce qui est loin de me déplaire, à seize heures passé, il est à la maison, tout sourire, tout content, moi, j'essaie de garder mon émotion, je lui demande s'il n'est pas fatigué de la route, et que c'est dommage qu'il doive rendre son livre là.

Il me dit, quel livre, il avait inventé ce livre pour justifier de partir un jour avant, je lui dis que c'est un malin en lui ébouriffant les cheveux, il me répond " pas plus que de téléphoner pour me demander l'heure pour demain et de vous être habillée de cette façon en étant toute seule, vous êtes très sexy".

Je souris, disant qu'on peut passer la nuit ici, pour partir demain matin, je l'emmène à sa chambre, qu'il occupera au réveillon, il pose son sac et me dit, je suis heureux d'être là, je propose un café ou une boisson, il dit oui et on va sur le vieux canapé, ce n'est pas le neuf que l'on a déménagé, mais on l'a mis là en attendant pour quand on revient, j'avais allumé la cheminée, je remets donc du bois, car ma tenue n'est pas très chaude, je vais chercher le café et thé, il s'assoit, je me penche pour servir et il me dit, ne bougez plus, je pose la cafetière.

Il me met la main sur le sein, je lui mets une gifle par réflexe, en fait, il voulait attraper un bouton et comme j'ai bougé, il m'a touché le sein, il est surpris par ma gifle, je mets ma main sur ma bouche en signe que je regrette, il se sent très mal, vexé, il se lève, va chercher ses affaires, et va pour partir en me disant, je reviens vous chercher demain comme c'était prévu.

Quelle conne me dis-je, je m'excuse, lui dit que c'est par réflexe et non ce que je voulais, que j'ai été surprise, mais que ce n'était pas ce que je voulais faire, je lui demande pardon à nouveau, j'essaie de le convaincre jusqu'au pas-de-porte, puis il me dit, je reste, mais je fais ce que je veux, vous faites ce que je demande, je dis oui, je ne veux pas qu'on se fâche bêtement pour une maladresse de ma part, bon, j'oublie la claque, on reprend ou on en était la seconde d'avant, je remets les tasses au micro onde et on se remet à la même place.

Il commence à me défaire un bouton de mon chemisier, je dis non, pas maintenant, il arrête et demande pourquoi, je dis, les volets ne sont pas encore fermés, quelqu'un pourrait venir sans qu'on l'entende, et si on fermait maintenant, ça paraîtrait louche.

Sa main est toujours sur mon bouton de chemiser, et il me dit, alors on reprendra ça plus tard, là, vous allez vous mettre dans l'angle là-bas (endroit ou si quelqu'un que l'on n'entendrait pas arriver, ne pourrait me voir en regardant par la fenêtre) et me faire voir votre string, étonné de son audace, je dis, hé dit donc, et puis quoi encore, il répond, allez, vous en mourrez d'envie autant que moi, et je le mérite (en se tenant la joue), tenant toujours mon bouton, il me dit, dites le que vous avez envie de me le montrer, allez dites le répète t'il en secouant mon chemisier et me regardant dans les yeux.

Il poursuit en disant, vous adorez cela que je vous regarde, vous m'avez demandé de rester la semaine et aujourd'hui, vous n'avez pas pu tenir une journée de plus, allez dite le ou je vous arrache votre beau chemisier, si vous n'aviez pas envie, vous vous débâteriez plus que cela, joignant le geste a la parole, il m'attrape le chemisier par l'intérieur, il était entièrement dans le vrai, j'avais envie qu'il le fasse, mais pas de suite, alors je lui dis, oui, j'ai envie, il dit pourquoi, vous en avez envie, je dis parce que j'aime ça, il me lâche et me dit, allez vous faire plaisir alors.

Je vais vers le mur sur le côté de la fenêtre, je m'apprête à la remonter, mais il me dit, non, c'est moi qui indique comment, il me fait montrer une jambe, de coter, de face, de derrière, (je me rappelle ces scènes du film porno), ensuite les deux puis toute la jupe remontée, de face et de dos, il me dit, ça vous plaît, dites le, oui dis-je, demandez-moi de continuer, je dis oui continuez, si je continue, vous ferez ce que je dirais, je dis oui, sa façon brusque ainsi que son audace m'excite, il est complètement le neveu du film.

Il me dit d'écarter les jambes au maximum, de face d'abord, puis me dit de me remettre droite, de m'éloigner un peu du mur et me redemande d'écarter les jambes encore, mais moins écartées, je suis toute mouillée, de face, j'essayais de garder un visage normal, mais lui tournant le dos, je souffle et je ferme les yeux, il me laisse comme ça une bonne minute, tout en me parlant, disant que ça me plaît qu'il me voit comme cela, il a entièrement raison, sauf qu'il ne sait pas que je fantasme sur le fait que j'ai envie qu'il arrive par-derrière et me mette la main au sexe.

Puis il me dit, les mains sur le mur et penchez-vous, je voulais dire non, pas ça, mais il a précédé ma réponse en disant, "aller, vous avez promis", de plus j'en avais plus qu'envie, je l'ai fait et j'en étais toute excitée, il me dit, bien, voilà comment je vous aime et voilà ce que vous aussi, vous aimez, n'est-ce pas dit-il, je répond oui, il me dit, je suis sûr que votre string est trempé, je ne répond pas, mais il me dit, mettez-vous droite et retirez le, comme je ne fais rien, il dit, allez vite, sinon, c'est moi qui vais venir le défaire, j'obéit en le retirant, jupe baissée et disant, c'est bien pour m'excuser de la gifle, apportez-moi-le dit-il, je le lui remet, il le porte à son nez, et le manipule de ses doigts en me regardant, quelle honte, mais aussi qu'elle délice, buvez votre thé dit-il, pendant qu'il boit son café, il me dit, on continuera quand vous jugerez le moment favorable pour fermer les volets.

Il me dit, ça va, vous avez aimé, je n'ai pas été trop dur, sinon, vous me le dites et je respecte, je dis non, ça va, il dit ça va comment, vous avez aimé où je n'ai pas été trop dur, je dis les deux, la nuit est presque tombé et je lui dis qu' on va pouvoir les fermer après avoir fini notre boisson chaude, je ferme le cote sud et il ferme le côté nord, une fois que c'est fini, les lumières de la maison ne sont plus visibles de dehors et on ne voit pas à l'intérieur, on se rassoient cote à cote, on parle du voisinage en général jusqu'au moment où il se lève et passe derrière le canapé, je le suis des yeux sauf quand il se trouve derrière où je regarde devant.

Je continue de parler des anecdotes des alentours, quand sa main se met autour de mon cou et commence à attraper le premier bouton de mon chemisier, j'arrête de parler, deux secondes de silence et il me dit, "à part moi, personne ne peut vous voir là", je dis, non, puis il défait le premier bouton, il me frôle avec ses bras et poignets, mais pas avec ses mains, une fois le premier défait, il met un petit temps d'arrêt avant de défaire le deuxième, afin de me laisser deviner ce qu'il veut faire, et que je puisse lui dire non gentiment au cas où.

Aucun de nous ne parle, on entend que le bois crépité dans la cheminée, il défait pareillement le troisième, je suis adossée au canapé, profitant de l'effet ressenti, à chaque bouton, il doit se baisser un peu plus et se rapprocher de moi, quand il défait le quatrième, il me dit tout bas a l'oreille, "je sais que ça vous fait de l'effet, c'est pour ça que je vais les défaire lentement, du premier au dernier", là, il me prévient à l'avance, et comme je ne dis rien, c'est comme si je lui disais oui va-y.

Il les défait tous, écoutant ma respiration que je retiens le plus que je peux, mais même doucement, il m'entend et me fait savoir que j'apprécie, "ça vous plaît que je vous déboutonne, après j'enlèverais votre chemisier moi-même, vous en avez envie et c'est pour ça que vous m'avez dit de venir, je ne dis rien, mais il rajoute, " votre silence veut dire oui".

Le dernier bouton défait, il tire sur le chemisier pour le décoincer de ma jupe, me le passe par-dessus les épaules, je me retrouve les bras en arrières, restez comme ça dit-il, il revient devant et me fixe en disant, cela m'a manqué cette semaine, il me mate et regarde aussi mon émoi, il dit, "vous aimer qu'on vous regarde", me fixant dans les yeux et plus prêt, il repose la question et je réponds oui.

En train, je n'avais pas emmené beaucoup de lingerie, le soutif que j'ai n'est pas aussi fin que ceux que j'ai d'habitude, comme je ne pensais pas qu'il serait là, il mate en me disant que c'est moi qui lui demande. J'étais tellement excitée que j'espérais intérieurement qu'il allait me défaire le soutif et me tripoter, voir, même mettre sa main entre mes cuisses, cette pensée me mettait dans tous mes états.

Mais le message où j'avais répondu à ce sujet était encore dans son esprit, il se disait qu'il arriverait surement à m'avoir entièrement, mais qu'une fois consommé, je me ravive et arrête tout avec lui, qu'après coup, je lui dise que c'est mal, qu'il ne faut pas, on a dérapé mais maintenant, on va reprendre une relation normale, etc. etc.

Après m'avoir regardé pendant plusieurs minutes, mon visage et ma poitrine, il me dit levez-vous, en me remettant mon chemisier sur les épaules et reboutonnant quelques boutons, la cheminée chauffait, il était en âge, et j'avais chaud aussi, la combinaison du feu et de l'excitation nous étouffait, il dit, ça chauffe dur, j'allais machinalement fermer un bouton, mais il me dit, non, je préfère comme ça, il me dit, vous me faites visiter, il était déjà venu, mais les enfants ne visitent pas.

En fait, il voulait voir ma chambre, mais elle était presque vide, on l'avait mise à Paris, on avait juste mis un lit et une armoire, il l'ouvre et me demande ou son mes affaires, je l'emmène dans une autre pièce qui se trouve à l'étage où j'ai laissé ce que je ne mettais plus, je n'avais pas de lingerie, il fouilla dedans et sort une jupette que je mettais quand je faisais du tennis, il me dit, mettez là, mais avant retirez les bas, je les enlève ainsi que le porte-jarretelle, il me regarde faire.

On retourne au salon, ou il dit " le chemisier ne va pas avec, retirez le", je le défais, il me fait asseoir sur le canapé, et se met face à moi à genoux, il regarde entre mes cuisses, mais je ne sais pas s'il peut voir, si c'est le cas, c'est tant mieux, j'ai une envie folle d'écarter les jambes, d'ailleurs, s'il me le demandait, je le ferais aussitôt, depuis ce jour, j'étais complètement en son pouvoir, je ne lui aurais rien refusé, je savais qu'a un moment ou un autre, je succomberais, mais je me disais que peut être, ça ne se fera pas, je ne voulais pas faire, ce dont je crevais d'envie.

Après cela, en jupette avec chaussure à petit talon aiguille et soutif, je prépare le repas, des restes du réveillon, il me dit avant que je ne m'assoie, d'aller derrière lui et de me donner mon soutif, qu'il ne tournera pas la tête, je le fais sans rechigner, je lui donne et il détend les bretelles et tend l'attache dans le dos, il me dit de lui tourner le dos et de le remettre, lui me l'attachera derrière, j'obéis, les bretelles ne tiennent pas et tombe, il dit, ne les remontez pas, mes seins sont serrés, je sers la table.

Je dois le servir à chaque plat, il fait le maitre et j'aime ça, à chaque fois, je lui dis, c'est bien pour me faire pardonner la gifle, mais oui dit-il, il m'a fait me changer pour que ce que je porte, ça soit lui qui l'ai décidé, après le repas, on regarde un film, que mon mari avait en cassette, on a encore le lecteur enregistreur qui fonctionne toujours, il dit, tient, je ne le connais pas, c'est un film érotique, malicia, il la surement vu, l'histoire est celle d'une bonne qui cherche à se marier avec le maître de maison et que le fiston oblige à faire ce qu'il a envie sinon il empêche le mariage.

D'habitude, pendant un film, il me mate, mais ne commente jamais le film, là, il me questionne, comme avant de partir la semaine d'avant, il s'est assis à côté de moi et on est en contact, à un moment donné, le fiston oblige malicia à se laisser retirer la culotte à table, il dit, pourquoi elle ne se lève pas et s'éloigne, je répond que c'est parce qu'il est en train de dire aux autres qu'il ne voit pas d'inconvénient que son père refasse sa vie et comme il va dans son sens, elle fait ce qu'il demande, il l'avait bien compris, mais voulait que je le dise.

Pareil pour d'autres scènes, après ce film, on va à la douche, il demande à passer le premier, je passe à mon tour et en sortant, il m'attendait, disant, on discute un peu, je dis oui, je mets un tee short, je me couche dans ma chambre, il vient aussi, en pyjama, j'éteins et il me dit, on se met nue, je dis quoi, et il dit, c'est le noir absolu, on ne se verra pas, allez retirez tout, sinon je vais dans ma chambre, je dis, si tu veux, croyant à ce qu'il me dise qu'il plaisante, il insiste plusieurs fois et je lui réponds pareillement, au bout d'un moment, il s'en va vraiment dans sa chambre.

J'attends un peu, me disant que dans 2 minutes, il reviendra, mais cinq puis dix puis quinze minutes passent, je me dis, tant pis, l'heure passe et je me dis qu'il est vexé, je vais à la porte de sa chambre, je vais pour frapper, mais je n'ose pas et j'ai peur, je retourne dans ma chambre ou je laisse la porte entrebâillée, je me mets nue dans le lit comme toujours et espère malgré tout qu'il arrive, cette pensée m'excite et je commence à me masturber en imaginant qu'il va venir me surprendre, je me mets au-dessus des draps en imaginant qu'il est derrière la porte, qu'il va allumer la lumière et me surprendre, cela accélère mon excitation et je finis par jouir.

A suivre
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 6

Le 22/12/2015 - 18:57 par annizette
oui candauliste, j'en avais déjà eu des aventures avec des jeunes, celle ci est la plus incroyable quand on connait sa timidité, les autres, c'est moi qui les ai eu, j'ai tout fait pour, mais lui, je dirais presque qu'il m'a envouté, ces deux années là, avec le recul, je me dis que j'étais folle, irréfléchie, euphorique, mon mari me disait aussi que c'était le manque sexuel. lui il était content, du moment que je restais à la maison, il avait peur que je sorte, et que je me laisse entrainer par un détraqué, ça à failli m'arriver deux fois dans les débuts. et ces deux années la, je me suis super bien amusé sexuellement, vous le découvrirez à mesure des récits, la seule ombre, mon mari me manquait.
Le 22/12/2015 - 07:16 par Candauliste
Décidément, cette relation est de plus en chaude Annizette.J'attends le suite avec impatience. Bises à vous et bon Noël.

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