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Courrier pas si anonyme 7

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Lue : 1866 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 02/01/2016

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Après cela, j'écoute les bruits de la maison, espérant l'entendre rejoindre sa chambre s'il était venu m'écouter, j'entends bien un léger bruit au bout d'un moment, mais ça ressemblait plus à une poutre qui se dilate qu'a un bruit provenant d'un déplacement, j'attend une vingtaine de minutes et je vais dans la salle de bains ou je laisse mes affaires, tout y est sauf le string qu'il avait gardé, demain matin, je verrais en reprenant celui-ci, s'il a éjaculé dedans.

Je dors très peu, la nuit me parait longue et j'appréhende le moment où on va se croiser, à tort, car rien ne se passe, il me dit bonjour comme tous les matins, j'ai l'impression que rien ne s'est passé, on discute d'autre chose comme du temps qu'il fait, me demande si noël s'est bien passé, j'en fais de même, il ne fait pas la tète, il a le sourire.

Je vais ensuite à la douche et en retournant dans ma chambre, je ne trouve rien sur le lit, je me dis qu'il n'est pas habitué à la maison, je m'habille comme j'avais prévue en sachant qu'il me remmenait, courte et sexy, il me regarde quand il me rejoint dans la salle, mais ne dit rien, il m'a maté, mais comme par réflexe comme avant nos jeux, dans la voiture, il mate pareillement, uniquement que quand je ne le regarde pas, ça n'empêche pas qu'on discute anodinement, je lui demande juste ou est mon string, il répond dans son sac, je n'ose aborder le sujet d'hier soir et lui non plus surement, afin de ne pas finir la route dans un silence pesant.

Je lui fais faire un petit détour pour manger dans un restaurant où je suis déjà venue, comme rien ne presse, je lui dis qu'en arrivant, je n'aurais pas de course ni de cuisine à faire, arrivé au resto, on est les premiers, il est à peine midi, on nous dit qu'on devra attendre un peu, je dis qu'on préfère attendre ici que dehors, on nous propose l'apéritif, je dis qu'on ne boit pas et qu'il conduit, il prend la commande, mon neveu prend pareil que moi, on mange tranquillement et discutons comme aux premiers jours qu'il est arrivé, nos conversations continuent pareillement quand on nous apporte les plats, je vais pour payer, mais il me dit, souvenez-vous, c'est moi qui ai l'argent, il règle la note et nous repartons.

Pas trop de bouchons sur les derniers 50 km, pas plus qu'un jour sans fête du moins, il est de bonne heure, on va tous les deux à l'ordi, j'attends qu'il me parle de la soirée, mais rien, il ne me demande rien, il est souriant, je penserais presque que j'ai rêvé tout ce qui s'est passé, la journée se passe, et je sens malgré tout un malaise entre nous, je me dis quelle conne j'ai été de ne pas faire ce qu'il voulait, après la douche, pas de tenue prête non plus

Je n'ose pas mettre celle qu'il m'a acheté de peur de paraitre ridicule, j'en met une assez sexy quand même qu'il regarde en douce, j'ai un string et un soutif, ma tenue sans être transparente partout, l'est sur certaines parties du corps, il mate mais pas comme ces derniers temps, je prépare le repas, on mange puis on s'installe sur le canapé.

On regarde le film en silence puis n'en pouvant plus, je lui demande, "on peut parler d'hier soir", lui "oui, je vous écoute", moi, "pourquoi es-tu parti", lui, "vous savez bien", moi, " tu pouvais rester", lui, "non, si je vous demande quelque chose que vous avez envie de faire et que vous n'obéissez pas, ça ne peut pas aller, votre plaisir, c'est quand vous m'obéissez à ce que je demande et le mien, c'est quand je vous ordonne et que vous obéissez, ne dites pas le contraire, rien que la tenue que vous avez mise indique que j'ai raison".

Attendant ma réponse à cela, il m'a bloquée, mise au pied du mur, aimée être reluquée ok, mais on n'a jamais abordé le sujet d'obéissance, d'ordonner, ni avec ses messages, il a entièrement raison dans ce qu'il dit, et il l'a bien compris, comme hier, ou il m'a dit d'aller le long du mur de la pièce, et de lui donner mon string.

Ne sachant quoi répondre, il me dit, vous voyez, vous ne savez pas quoi répondre, il se lève en disant, voilà vous savez tout, vous avez vu, je ne suis pas emmerdant, vous ne voulez plus, je vous parle comme avant qu'on ait eu notre petite complicité, je vous apprécie toujours autant et ne vous en veux pas, si vous voulez qu'on continue, revenez me voir en me disant que vous êtes prête à m'obéir et n'ayez crainte, je ne vous aurais pas violée ni demander ce que vous ne voudriez pas, il part et je lui dis aller reste, mais il s'en va en disant bonsoir, je devine de la grande déception dans sa voix.

J'éteins la télé qui me saoule et bouquine sur le canapé, je m'allonge même les jambes tournées vers le couloir, espérant son retour, je lis un moment, je rallume la télé en sourdine, jetant un coup d'œil sur le couloir, l'espérant, mais rien, un documentaire sur les animaux me captive, mais quand il finit, j'éteins le poste et vais me coucher, je laisse aussi la porte entrebâillée, je me masturbe, mais ne crie pas autant que quand on était complice, je ne l'entends pas venir, ça me coupe mon envie, je me sens ridicule, le matin, je n'ai pas d'affaires de prête.

Une idée me vient, je prends un tailleur pantalon et je mets une jupe dans un sac, je lui dis à ce soir et pars au boulot ou là-bas, je mets la jupe, je ne suis jamais en pantalon, on m'aurait remarquée, l'après-midi, je vais au coiffeur et le soir, je fais quelques courses, au parking de l'immeuble, je remets le pantalon et rentre à la maison, je reste en pantalon, je mets un pyjama pour la télé, je garde mon string avec moi, le mardi, je refais pareil, le mercredi, je remets un pantalon encore, je rentre le midi pour manger et ensuite, on part faire le réveillon, on discute comme on faisait toujours, il ne fait pas la tête, moi non plus, arrivez sur place, la voisine à déjà pas mal avancer le travail, elle reste encore une heure pour finir, je la paie et elle rentre pour s'occuper de son réveillon, moi, j'avais mis un jeans pour cuisiner.

Une fois parti, il me dit, vous savez même en pantalon, vous êtes sexy, alors ça ne sert a rien de vouloir vous punir, je lui dis que c'est pour ne pas me tacher, il dit, oui bien sûr, les autres jours aussi, je ne réponds pas, il me demande si je veux un coup de main, je dis non merci, tu es gentil, au moment où il allait partir, je dis, ha si, mais je ne sais pas si je peux te le demander, quoi dit-il, je réponds "me préparer des affaires pour ce soir, la robe, j'ai, mais les dessous, je ne sais pas quoi prendre", il dit d'accord, avant que ses parents arrivent, je me douche et vais dans la chambre m'habiller, mes dessous était prêt.

Les parents arrivent, sa mère me complimente, son père lui, ne dit rien, le neveu va se promener dans la propriété, dans le sous-bois, elle demande si elle peut m'aider, je dis que tout est fini puis elle dit aller aux toilettes, son mari m'attrape fermement les hanches en chuchotant, "hum hum", je me régale déjà, je fais a voix basse "arrête", il me lâche qu'en appuyant ses mains vers le bas, me tripotant les fesses au passage, quand mon mari arrive, l'apéro est prés, il va prendre sa douche et s'habiller, le neveu ne fait pas du tout attention à moi, ne me regarde pas, ça m'ennuie, mais je sais qu'il le fait exprès pour ne pas donner le doute, laisser croire qu'il ne me voit que comme sa mère.

On avait des amis qui sans être seuls, étaient comme nous en petit comité et à qui j'ai proposé de venir pour le dessert du fait qu'ils étaient à coté, après le dessert, on a dansés et quand je me suis retrouvé avec le neveu, quand nos mains se sont jointes, on s'est regardé une seconde, cela a suffi pour comprendre que nous étions des imbéciles.

À certains moments, son père profitant de ne pas être visible m'a carrément tripoté en faisant celui qui a un peu chaud, j'ai fait comme si rien n'avait eu lieu, les copains étaient plus discrets et sous couvert du pas fait exprès, leurs femmes présentent ne sont pas jalouses, elles ne savent pas qu'ils m'effleurent légèrement également en dansant, mais s'en doute, mon mari leur fait pareil, il me le dit, de toute façon, trouver un homme qui n'a pas les mains baladeuses, ça relève du prodige, sauf s'il est gay, le jour où j'en trouverais un qui ne pelote pas, je me poserais des questions ou alors je n'aurais pas vu défiler les années, par contre le neveu, lui reste distant, si mon mari était jaloux, il n'aurait rien trouvé à redire de lui.

Le jour de l'an se passe très bien, vers deux heures, chacun rentre chez lui, c'est le neveu qui les ramène, car il est le seul qui n'a rien bu du tout, contrairement aux hommes, et même aux femmes, personne n'est bourrés, mais pour le ballon, c'est suffisant, sa mère veut débarrasser, mais je lui dis que demain la femme a tout faire viendra toute à l'heures pour ça, quand on s'est levé, le lave-vaisselle tournait et la table était débarrassée, elle prépare pour le repas du midi, pendant qu'on va faire une petite promenade dans les bois, jusqu'à onze heures

La femme à tout faire m'a bien avancée, je n'ai plus qu'à cuire, le midi pas d'apéro, on mange et c'est le départ pour nos amis, son père en souriant me remercie pour le réveillon en m'attrapant presque le sein, je le regarde d'un air voulant dire, "hé, ne te gêne pas" le geste n'était pas visible des autres, je n'ai rien dit, ne voulant pas gâcher le séjour, ensuite nous sommes partis, mon mari ferme les volets et part derrière nous.

J'ai remis mon tailleur pantalon, il me dit que je suis plus élégante quand c'est lui qui me choisit mes affaires, je lui réponds que je n'ai aucun doute là-dessus, quand on arrive à la maison, je lui demande ce qu'il veut manger, car moi, je n'ai pas faim, nous n'avons pratiquement pas parlé sur le sujet qui nous mine, je mets ça sur le compte de la fatigue des fêtes et de s'être couché tard, je suis resté en pantalon pour la télé, quand on s'est installé sur le canapé, j'étais toujours habillée, je m'assois à trente centimètres de lui, pas trop loin et pas trop prés non plus, il fait celui qui n'y prête pas attention, mais je sais qu'il s'en rend compte.

Voilà une demi-heure qu'on regarder le film sans le voir, je repense à tous les moments super que j'ai eus avec lui et je regarde où on en est maintenant, je me dis que nous sommes aussi bêtes l'un que l'autre, moi d'avoir dit non pour une chose aussi bénigne que j'aurai appréciée et lui d'en être frustré, je me tourne vers lui et dit, "tu apprécies la situation" il dit, pas du tout, je préférais avant, je dis moi aussi, alors pourquoi ne pas continuer comme nous étions avant.

Il dit oui, vous mettez vos affaires et moi, je regarde en faisant celui qui regarde ailleurs, je lui précise, que je parle d'avant la dispute, il dit, avant je regardais en douce puis après je regardais en vous dirigeant, ce n'est pas pareil, soit je suis voyeur passif, soit je suis voyeur actif qui vous guide, mais si je suis sans autorité, ce n'est ni intéressant, ni excitant, ni pour moi ni pour vous.

Je lui dis, bon si ce soir, on reprend là ou on a arrêté ça te va, il me dit oui, mais comment être sûr que demain ou après, si je demande une chose identique qui ne sera pas porno bien sur, rien de sexuel entre nous, ça, je l'ai compris, comment être sûr que ça ne recommencera pas, je dis, je te le promets, il dit d'accord, mais je vous mets à l'épreuve, je lui dis d'accord, tout ce que tu veux, si ce n'est pas un rapport sexuel, je t'obéirai, il me dit, attention, je peux être vicieux, souriant, je dis, j'espère bien, mon string était déjà tout humide à l'idée de reprendre nos habitudes.

Il me dit, bien, on reprend, mais avant, vous méritez une punition, je réponds, que je l'ai eu depuis dimanche, il rajoute punition corporel, je demande, c'est a dire et il répond une fessée, je dis, en me tapant la fesse, voilà, un pan pan cucul, il dit non, une fessée qui punit vraiment et rosira vos fesses, je dis non, en faisant la moue et disant, tu ne veux pas que je me change, il se lève et dit, vous voyez, je commande sans commander, il continue en disant, je vais à l'ordi, non pas pour ce qu'on vient de parler, mais le film est tellement débile que je préfère travailler, prévenez-moi si vous changez d'avis, je l'entends aller à la douche et ensuite aller au bureau.

Je reste seule devant la télé et le film est vraiment débile, j'éteins et prends un livre, mais je n'arrive pas à lire, à la ligne suivante, je ne me souviens plus de la précédente, j'essaie de me remettre en mémoire les messages donnés sous le paillasson, jamais je n'ai avoué aimer la fessée, il est vrai que j'aime avoir les fesses claquées, j'aime qu'on m'oblige, qu'on me mette dans une situation humiliante en privé, j'aime obéir, j'aime être matée intimement, il est vrai aussi que peut être, à la tournure des événements et aussi le fait que je suis demandeuse, que c'est moi qui revient à chaque fois, il a deviné que je suis comme cela, je reconnais aussi que de lui être totalement soumise m'excite au plus haut point, sa proposition m'intéressait, mais j'ai eu peur de dire oui.

Je vais à l'ordi aussi, et je regarde en accélérer le film neveu/tante, que j'avais vu que partiellement, et en effet, elle n'a pas de fessée, mais des coups de trique pour ne pas avoir fait ce qu'il avait demandé, je pense, j'essaie de me souvenir, je remémore les moments passés, il est difficile de chercher à se justifier de choses qu'on sait être fausse, la vérité est que j'ai envie de faire tous ses caprices sexuels, d'être sa chose, de lui obéir, de lui appartenir, je l'imagine en train de me fesser, et de suite, je suis toute mouillée, seule ma retenue, celle de l'amie de ses parents me bloque, je pèse le pour, l'envie que j'ai et je pèse le contre, c'est a dire, si cela s'apprenait, il est sérieux et honnête, cela joue en sa faveur, il ne dira rien et si c'est fini, on restera ami.

Je lui dis que je vais me coucher, il répond gentiment bonne nuit, je vais à la douche puis au lit en laissant la porte entrebâillée, je suis en nuisette sexy, je l'avais mise en espérant qu'on se croise dans le couloir, je guette en silence le moment où il va sortir du bureau, ce qui ne tarde pas, mais il va direct dans sa chambre, sans passer par la salle de bains, j'attends, mais rien n'arrive.

Mon côté professionnel prend le dessus et je me dis, si j'étais à sa place, comment me comporterais-je, quelle serait ma réaction, quelle serait la façon que je devrais adopter, si je suis à sa place et que je fais cela, comment je réagirais, et en fin de compte, sachant que celle qu'il veut dominer adore cela, s'il ne la domine pas à un moment ou un autre, elle se lassera.

La dessus, c'est hélas, ce qui se passera, quand je me masturbais le soir, je n'avais qu'une envie, c'est qu'il rentre et me surprenne, je lui refuse ce qu'en fait, j'attends de lui, ou plutôt ce que j'aimerais, je repense au chemin parcouru avec lui, le courrier, le voyeurisme discret, le voyeurisme flagrant, la soumission soft, la complicité, j'ai un coup de cafard et de colère, je me lève, et frappe à sa porte.

J'entre à sa demande, je m'assois au pied du lit et dis, tu comprends que je suis attristée de ce qui se passe, alors j'ai réfléchie, je connais un hôtel prés du boulot, à mi-chemin d'ici, je vais y prendre une chambre, et je reviendrais le WE quand mon mari sera là, comme ça, on ne se fera plus la tête et je penserais à autre chose, il dit vous n'allez pas faire cela, je dis, je ne vois pas d'autres solutions pour que ca reste discret vis a vis de tous.

Il me dit, vous ne voulez plus de ce qu'on a fait, je réponds, c'est toi qui ne veux plus, il dit si, moi, je fais ce que vous aimez, mais c'est vous qui ne voulez pas, regardez-moi et répondez franchement, dites-moi que vous n'avez pas aimé quand je vous ai demandé de vous mettre nue dans le lit, ne sachant quoi répondre il dit, vous voyez, vous ne répondez pas, j'ai raison, vous ne voulez même pas être honnête dans vos réponses.

Je n'ai pas le temps de dire quoi que se soit, il me dit, tenez, on va jouer au jeu de la vérité, vous voulez, je dis comment ça, il me demande d'éteindre la lumière, et de venir dans le lit avec lui en disant habillée bien sur, je fais ce qu'il demande, il me dit, dans le noir on à moins honte de répondre honnêtement, la dessus, il n'a pas tort, il dit, on pose une question et l'autre répond franchement, on se tient la main, chacun sur le dos, je dis, qu'il y a des questions intimes que je n'ai pas envie de dire, il dit non, ça ne concerne que nous, ce qu'on a vécu, je dis ok, si ce n'est pas d'ordre intime.

Je dis, commence, il dit, aimez-vous quand je vous regarde, je réponds bien sur, et toi, que ressens-tu, il dit, 2 choses, le plaisir des yeux et ensuite un effet qu'ont les hommes, il dit, aimez-vous quand je vous guide, quand je vous demande de faire quelque chose, je mets un temps d'arrêt, et je dis, oui en grimaçant de mon audace, être dans l'obscurité ça aide et je me sens bien, sa présence m'excite, je demande à mon tour, est-ce que tu me prenais des culottes dans la panière, il dit oui sans hésiter, jusqu'à là, on a les questions ou l'on savait déjà les réponses.

Il dit, je sais que vous avez aimé, alors je vous demande, quand je vous ai demandé de vous mettre nue au lit, ça vous a excitée comment, un peu, beaucoup, je dis, c'est sexuel là, il dit, bon d'accord, dites juste si vous auriez aimé le faire ou pas, je réponds oui, je dis, que faisais-tu de mes strings, là, il répond, vous le savez très bien, et puis là aussi, c'est sexuel, ma main se resserre sur la sienne par réflexe, il dit au début, vous les cachiez dessous, mais après, ils étaient dessus volontairement pour moi.

Ayant peur d'autres questions, je lui dis, bon assez, je capitule, tu as gagné, si tu veux, je me mets nue dans le lit, il répond, oui, je le veux, mais il y a aussi la punition, vous ne m'obéirez plus pareillement si vous n'êtes pas punie, je dois prendre le contrôle et nom prendre ce que vous acceptez de donner, la fessée, c'est symbolique et physique, ce n'est pas un pan pan cucul, (là encore, je retrouve cela sur le film, quand la tante a fini par prendre plaisir à la perversion du neveu).

Je lui dis, et si j'accepte, on continue comme avant, il dit oui, mais attention, c'est une vraie fessée punitive, ma main se resserre malgré moi, et il dit, en me serrant par deux à-coups, les mains, vous en avez super envie en plus, je réponds, pas toi, il dit "ho que si", je lui dis, c'est d'accord, j'accepte, il dit, on reprendra samedi soir, la fessée ça sera quand je déciderais.

Maintenant, mettez-vous nue dans le lit, et on continuera de discuter, je vais pour me déshabiller en restant assise, mais il me dit, "non, allez vous déshabiller là-bas prés de la fenêtre, en fait, les volets n'étant pas fermés coté jardin, la lumière extérieure éclaire un peu la chambre.

Ayant réussi à se réconcilier, pas question de reposer un problème en refusant pour une chose dont j'ai envie aussi, je me lève et vais à la fenêtre, je retire ma nuisette, une fois fait, je vais pour revenir, mais il me dit, non restez un peu là-bas, il me fait mettre de profil, dos droit, de dos, de face, jambes écartées, il me dit bien, vous avez compris qui commande, venez dans le lit, je vais dicter les règles, je retourne à côté de lui, et face à face.

Nous sommes main dans la main, et il me dit, à la cuisine, au ménage, à votre ordi, si vous avez besoin que j'aille chercher quelque chose au pressing ou magasin c'est vous qui décidez, mais ici dans la maison, quand nous sommes seuls, c'est moi qui commande, je décide de vos vêtements et sous vêtements du jour comme du soir comme ceux pour sortir, je décide de ceux que vous achetez et j'accepte vos conseils, je vous laisse décider de vos tenues de sortie professionnelle, je conseille seulement, mais pas vos dessous.

Quand nous sortons ensemble, je décide de tout, c'est à dire du nombre de boutons à défaire, de votre chemisier, je promets juste de ne pas exagérer, je décide aussi jusqu'ou votre jupe doit être remontée en voiture, j'avais remarqué que vous aimez que les chauffeurs vous regardent de leur camion, ensuite, je décide aussi où vous dormez le soir quand bien sûr, votre mari est absent.

À mesure qu'il parlait, l'excitation montait, il me dit, on est d'accord, je dis oui, il rajoute, ça vous plaît comme programme, je dis oui, vous obéirez sans discuter, je dis oui, je vous corrigerais si besoin, à ces mots, ma main se crispe inconsciemment pendant une seconde, mais trop tard, il l'a senti, car il dit, ça vous plaît de savoir que vous le serez, répondez sans mentir, je dis oui, il continue en disant, mais ne vous inquiétez pas, cela ne se fera pas du jour au lendemain, je ferais ce que vous réclamerez inconsciemment, je serais même en retard sur vos désirs, bon, vous travaillez demain, je vous laisse aller dans votre chambre dormir comme d'habitude, il est tard, il m'embrasse la main.

Je retourne dans ma chambre, une fois dans le lit, je l'entends qui arrive et comprend le comme d'habitude, je prends le gode en le faisant rouler dans le tiroir, bruit qui s'entend comme quoi je le prends, et je me masturbe jusqu'à jouir sans retenue en me disant que bientôt, il me demandera de faire cela pour lui, je voulais jouir en criant son prénom, mais je n'ai pas osé, je l'ai entendu repartir, je me suis endormie contente.

Le matin, nos visages étaient souriants à tous les 2, nous déjeunons sans revenir sur les derniers jours ni sur hier soir, après la douche, mes affaires sont prêtes, je m'habille, je passe à la salle de bains me maquiller et coiffer, en sortant, il me dit, attendez, il me prend la main, me retourne et dit parfait, vos collègues ont vraiment de la chance, (s'il savait que mes collègues pensent de moi, que je suis une bourge BCBG, sexy, très belle, mais coincée du cul, très strict, rigide à l'excès, très exigeante et pas du tout commode, qu'au boulot, les ordres, c'est moi qui les donne).

Il me complimente et je pars souriante, je lui avais dit de me rejoindre le midi, qu'on mange ensemble et que je ne travaille pas l'après-midi, à midi, il m'attend, son comportement en public est exemplaire, ni geste, ni regards déplacés, comme un fils avec sa mère plus qu'un neveu avec sa tante, c'est ce que j'ai dit à tous pour justifier que je ne restais pas ou ne sortais pas, à table, nous discutons de tout et de rien, sur nos occupations extérieures principalement, après le repas, il me demande si je connais un endroit de verdure pour se promener, je dis oui, je prends un manteau à la maison et je mets des bottillons, je l'emmène au lac Daumesnil à Vincennes.

On fait le tour de ce lac, on s'assoit et au bout d'un moment, il me dit, on va voir si vous tenez parole, sans vous retourner de suite, vous regarderez le type avec la veste cuir marron, il nous suit, en parlant et changeant de place, je vois effectivement le type décrit, il me dit, mettez-vous droite sur le banc, jambes croisées, et regardez vers moi, je fais cela et quelques minutes après, le même type est assis sur un banc en face, un bouquin genre mots croisés et un stylo à la main, il fait celui qui remplie les grilles.

Il me redit, on va voir si vous tenez votre promesse, changez de jambes, nous nous regardons, le type regarde mes jambes, puis il me dit de mettre mes jambes droites et petit à petit de les écarter, on se regarde dans les yeux et j'obéis, la situation est excitante, être matée l'est, mais le faire sur un ordre l'est encore plus, il me demande ensuite de remonter ma jupe, le type a comprit qu'on l'avait remarqué, il ne fait plus semblant de lire, il fait signe s'il peut venir plus prés, il lui dit oui en hochant la tète.

Il me demande de me remettre bien, des promeneurs allaient passer devant nous, peu nombreux certes, je me remets bien, le type a aussi comprit pourquoi, il demande si on vient souvent, quand les promeneurs passent, ils n'entendent que de la discussion basic, une fois passée, il dit au type de reculer de 2 mètres et me demande de me montrer, je lève ma jupe en soulevant une fesse puis l'autre et la remonte, le type plaisante en disant qu'il fait très chaud pour la saison, il complimente mon neveu, moi, je ne suis qu'un objet, il ne me parle pas, il lui dit " votre dame est très jolie et obéissante".


Le type n'est pas un pervers en imperméable qui ne sait que baver à la moindre paire de cuisses, il dit, que quand il nous a croisés, il a vu mes jambes et qu'elles lui ont beaucoup plus, alors sans réfléchir, il nous a suivis, d'autre gens arrivent, je me remets bien sage, une fois passés, je remontre mes cuisses à la demande de mon neveu, le type dit, vous devez vous enivrer entre des cuisses pareil, l'excitation du début cesse et il me voit avec la chair de poule

Il dit, il est l'heure de rentrer, on se lève, je laisse retomber ma jupe et on dit au revoir au type, il me prend par le bras, je laisse faire et le tiens aussi, un peu plus loin, quand on est seuls, il me dit, je suis très fier de vous en m'embrassant la main, je le remercie d'un sourire.

On est rentré, car la fraîcheur tombait, je reste habillée, car maintenant, c'est lui qui décide, sauf si un vêtement ou chaussures me blessaient et là, je lui signale, je vais sur l'ordi, je sais que quand il ne dit rien, j'ai quartier libre, chacun est à son occupation jusqu'au moment où je prépare le repas, ceci fait, je l'appelle pour passer à table, on mange en discutant de ce qui s'est passé aujourd'hui au bois, on se dit qu'on a été bête de se fâcher, que je suis moins bête que lui d'avoir fait le premier pas, que je lui ai fait honneur au bois, que je suis de parole et qu'on va bien s'amuser, en me donnant des exemples comme le type au bois, il me parle aussi du métro et surtout de cinéma, ha le cinéma, fantasme de tous les hommes, aussi bien pour le mari que l'inconnu.

L'association de ces trois choses me rappelle une lecture, ou il y avait un soit disant maître expérimenté qui donnait des conseils, malgré un écrit présomptueux, tout n'était pas faux, ce qui s'est passé au bois est-ce que disait le livre, le titre de l'article dont je ne me souviens plus, aurait pu être, débuter dans la soumission avec une novice, choisir mes vêtements, fouiller dans mon tiroir, choisir mes sous-vêtements, m'en imposer, me punir et m'offrir à la vue à d'autres, la suite c'est me faire tripoter par d'autres, tout ça est le chemin à parcourir, je ne dis pas qu'il suit à la lettre ce texte, mais s'en inspire beaucoup, en moi-même je me dis que lundi, quand il sera à l'école, j'irais voir ses revues

Après manger, la douche, un déshabillée sexy m'attend dans la chambre avec string, porte jarretelle et bas, mais sans soutif, je les mets et vais à la télé, lui, il était sous la douche et il arrive, il me contemple, se met en face de moi au sol, et me dit, écartez les cuisses, j'écarte, plus dit-il, je le fais, il dit que le type a dû se régaler, il regarde un certain temps, cela m'excite, ensuite, il s'assoit juste à cote de moi, on fait contact, le film fini, il me dit, debout, c'est l'heure de la fessée, celle promise.

Je me suis mise debout, depuis qu'on est rentré du bois, j'attendais impatiemment et appréhendais ce moment, il me dit, allongez-vous sur moi, je m'allonge, il remonte le peu de voiles de ma tenue, j'ai les bras en avant, mes fesses sont devant ses yeux, il commente ce qu'il va me faire, du genre, "je remonte votre jupette, je tapote vos rondeurs pour les préparer au doux supplice, au contact de sa main, s'il pouvait lire mes pensées, il lirait, "vas-y, je t'appartiens, fais-moi tout ce que tu veux".

Il me tripote les fesses plus qu'il ne les tapote, vu qu'il me prévenait et que je ne disais pas non, soudain sa main me claque, ça fouette le sang, mais l'excitation que j'avais est plus forte, cette claque m'excite aussi, moi la femme de la quarantaine, sous la coupe d'un gamin d'à peine la moitié de mon âge et punis par lui de façon humiliante, il masse encore mes fesses et frappes à nouveau, entre chaque claque, il attend ma réaction, il masse un peu et frappe, après le cinquième coup, il ne me les masse plus, il pose juste sa main et claque ma fesse, il frappe au hasard, il peut poser sa main sur une fesse et la frapper ou frapper l'autre.

Mes fesses commencent à me cuire, mais ça m'excite aussi, il me demande si je pense avoir été assez punie, je réponds que lui seul peut être juge, il m'en met cinq autres, mais sur les deux fesses, plus rapides et un peu plus forte, dans la position que je suis, avec les coups, je me cambrai un peu et j'ai senti qu'il bandait, il a dû sentir aussi le contact, car il s'est penché un peu pour tenter d'atténuer le ressenti, il m'a massé longuement, j'attendais d'autre coups, mais non, c'était fini, il me dit, voilà, c'est fini, debout et retirez votre string, en le retirant, je savais qu'il était trempé, je l'ai constaté et quand je lui ai donné, il me l'a fait savoir en le touchant à l'endroit mouillé, il me regarde en me disant, vous avez compris la leçon maintenant, vous ferez comme je vous demande, je fais oui de la tête en souriant.

On a commence à regarder le film qui était commencé, mais au bout d'une demi-heure, il dit, bon au lit, je vous laisse bouquiner dans votre lit, et une fois fini, vous me rejoignez nue, cela voulait tout dire, séance masturbation pour nous deux, j'ai dû fermer la porte pour ne pas précipiter les choses, il avait mon string déjà, une fois nos orgasmes finis, je l'entend refermer la porte de la salle de bains, j'y vais à mon tour et découvre mon string plein de sperme, mais pas dans la panière, sur le lavabo.

Je le mets dans la panière, il verra que je l'ai vu, ensuite, je le rejoins juste avec une chemise de nuit, mais sous le bras, au cas où je devrais me lever en vitesse, mon mari n'a pas vraiment d'heure, il peut dire qu'il ne rentre pas et venir quand même, je ne le dis pas au neveu, ça risquerait de lui faire peur, je rentre dans la chambre et dans le lit où il me reparle de ce qu'on vient de faire.

Après avoir discuté encore, on finit par dormir main dans la main, je me réveille dans la nuit, il dort, on ne se touche plus, je me rendors et au matin, on se réveille presque ensemble, le bonjour bien dormi habituel, on rediscute sur ce qui se passe entre nous, à neuf heures, on se lève, moi la première, il voit mon dos nu et le haut de mes fesses, il me dit qu'il irait bien au ciné comme on est seuls.

Je dis, si tu veux, cela me rappelle ce que je pensais la veille, une idée me vient, je lui dis que je lui fais un gâteau qu'il aime et que j'aimerais qu'il me fasse quelque course, il dit oui, je vais à la douche pendant qu'il me prépare mes affaires, il y va ensuite et je prépare sa pâtisserie.

Dans la rue, je le vois disparaitre au croisement, je vais dans sa chambre voir les revues qu'il a, elles ne sont même plus aussi bien caché qu'au début, je feuillette, mais je ne retrouve pas le sujet que j'avais parcouru, par contre, je tombe sur une petite histoire se passant au cinéma ou la femme se fait tripoter par son voisin avec son mari à coté, je ne remarque rien d'autre, à part des femmes tenues en laisse, ou fessées, fouettées, attachées, godées, enfin la panoplie BDSM, mais rien en rapport avec ce que je sais, sauf le cinéma.
A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 7

Le 03/01/2016 - 09:39 par annizette
je profite pour répondre, je viens d'envoyer le 8, après j'enverrais le 9 que je vais essayer de compléter car il manque 2 ou 3 pages et toutes les suivantes. afin que personne ne puisse tombé sur mes textes, je met plein de protection, en faisant le ménage d'ancienne sauvegarde, j'ai hélas effacée la suite que je dois re écrire en faisant appel à mes souvenirs pour l'ordre dus déroulements, le 10 et les suivantes risquent d'être long venir, je m'en excuse d'avance auprès des lecteurs.
Le 03/01/2016 - 08:01 par Candauliste
Que va-t-il se passer au cinéma ? J'ai hâte de le découvrir. Bises à vous Annizette.

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