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Courrier pas si anonyme 8

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Lue : 1660 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/01/2016

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Je range tout et m'occupe du gâteau, je met au four quant il arrive, il m'effleure de plus en plus, il me tient les hanches furtivement en passant, il déboutonne mon chemisier en effleurant plus qu'il n'est utile, il remonte ma jupe en étant à genoux derrière, quand il fait cela, je ne bouge plus et laisse faire, dés qu'il a fini, je continu ma tache, on passe ensuite à table, on va à l'ordi ensuite et vers seize heures, il me dit d'aller me changer, en ne mettant que ce qu'il y a sur le lit, porte jarretelle et bas, jupe plissée, pull ample sans décolletée, pas de string ni soutif, on arrive au cinéma, il choisit un film à notre gout, on rentre dans la salle, mais déception, pas de voisin qui vienne durant tout le film.

Petit resto dit-il en sortant, je dis oui, on traine jusqu'à l'heure de dîner, il parle du film et dit qu'il aimerait bien en voir un autre, je lui dis oui, mais pareil, personne pour me tripoter, le film m'a plu, par contre, en rentant, on fait comme la veille, masturbation, string sur le lavabo, et nue avec lui au lit, on a parlé des films, dodo ensuite, le dimanche, réveil à la même heure, une nuisette sexy m'attendait, on ne sortait pas, on a regardé ensemble un catalogue de lingeries pour avoir nos avis, nos goûts.

Nos goûts pour la lingerie sont les mêmes, il commande ceux qu'on a choisis ensemble, quand je ne suis pas habillée, j'ai un jogging de prêt au cas où on sonnerait à la porte, je fais un peu de ménage vite fait, lave mes dessous et met une machine en route, il me dit, "resto a midi, à la douche" j'y vais pendant qu'il prépare mes vêtements, le même genre que la veille, jupe plissée et pull ample, je sais donc où on va cet après-midi après déjeuné.

Sans être voyante, ce que j'avais pensé se réalise, on mange et il me dit qu'il irait bien revoir un autre film, je dis si tu veux, on choisit un film, on attend la séance, il regarde autour si un type avait des vues sur moi, moi, je ne vois rien, si j'avais repéré quelqu'un, j'aurais un peu forcé le destin en lui souriant en douce, mais personne au profil, on rentre dans le ciné, on s'installe, mais rien ne se passe, le film ne m'a pas plu autant que le deuxième de la veille, mais mieux que le premier.

Je sens de la déception chez lui, tout ce qu'il a lu, tout ce qu'il a entendu sur la capitale se révèle mensonger, ce qu'il ne sait pas, c'est que Paris, ce n'est plus du tout Paris, la faune a changé et pas en bien, les mentalités aussi, on changé, de nos jours si on tousse trop fort et qu'on postillonne sur les chaussures d'un passant, celui-ci prend un avocat pour obtenir des dommages et intérêts, alors les types qui courageusement tripoteraient leur voisine dans un ciné, se font très rare, il risque presque la peine de mort.

On se promène, je pensais qu'il allait me dire qu'il irait bien en regarder un autre de film, mais non, il n'a pas osé ou pas voulu, on flâne, on se tient par le bras, en chaussure talon, la marche n'est pas reposante, je le lui dis, et on rentre, il m'autorise les chaussons avec une nuisette sexy, on va à l'ordi, chacun le sien, j'avais du travail à préparer pour lundi, je me suis avancé, je prépare le repas ensuite, la soirée se passe bien, on prend notre douche, quand je suis sur le canapé, il se met à genou devant moi et me regarde de prés, je m'offre à sa vue comme il veut, le téléphone sonne, je réponds, c'est mon mari qui me dit que demain, il termine le chantier, qu'il a pris sa semaine et qu'il risque de rentrer en fin de soirée.

Entendant cela, il n'ose pas me montrer sa déception, je lui dis, c'est une petite semaine, et puis on sortira un soir en lui disant qu'il n'aime pas le restaurant, je me blottis contre lui, on regarde le film, après, il me dit, comme hier, lecture et après votre livre, au lit et nue en arrivant, je rentre dans ma chambre, il va aux toilettes, quand il sort de la salle de bains, je me masturbe comme tous les soirs, après cela, mon string n'était pas sur le lavabo, il l'avait gardé du fait que la panière était vide, je le rejoins ensuite.

Nue avec lui, il m'a dit que j'allais lui manquer, je lui dis qu'on aura des moments à nous et que dés que je pourrais, je l'allumerais, on a dormi sagement, en contact par moment, main dans la main pour s'endormir, je crois qu'a un moment donné, nous étions amoureux l'un de l'autre en plus de nos jeux, le matin, mes affaires étaient prêtes, pas de message, le soir à la télé, à 20 heures, j'ai appelé mon mari en lui demandant s'il était proche, il dit, plus de 3 heures, j'ai dit, bon, on ne t'attend pas alors, à tout à l'heure, mon mari savait que le but était de savoir jusqu'à quand nous étions tranquilles.

Nous avons mangé puis après la douche, direction le lit en nuisette sans passer à la télé où on s'enlaçait les mains, nous n'avons pas vu le temps passé en discutant, mon mari est arrivé un quart d'heure après que j'ai regagné la chambre, il a été à la douche et aussitôt m'a rejoint au lit ou sans plus attendre, il s'est occupé de moi, je n'ai pas entendu mon neveu arriver, mais je l'ai entendu repartir, j'ai joui comme s'il était là.

La semaine se passe normalement, même si des fois, quand cela est possible, j'écarte les cuisses quand je suis sur le canapé, et lui sur le fauteuil quand mon mari est aux toilettes, ou à la douche, le jeudi, je demande a mon mari et devant lui, s'il veut venir au resto puis un ciné ensuite, bien sûr mon mari que j'avais prévenu et qui de toute façon ne serait pas venu, me dit non, j'insiste et en redisant non, il demande au neveu s'il ne veut pas m' accompagner plutôt, le neveu n'a même pas le temps de répondre qu'il lui dit sur le ton de l'humour, tient oui, allez-y tous les deux, tu passera pour une couguar avec un petit jeune.


On va à la douche chacun son tour, mon mari étant affalé sur le canapé, je dis à mon neveu d'aller me choisir une tenue, il ne viendra pas et ne la verra pas non plus, car je mets un manteau par-dessus, avec craintes, il me choisit mes vêtements, robe longue fendue noire, raisonnablement décolleté, porte jarretelle, bas chair, tout est prés quand je reviens, je m'habille et on s'apprête à partir, mon mari va à son portefeuille et lui donne 200 euros pour dit-il, qu'il ne m'emmène pas au mac do, le neveu refuse, mais j'interviens pour qu'il accepte en disant, garde, c'est pour me sortir, chaque peine mérite salaire, il n'a pas répondu sauf au parking où il dit, si peiner, c'est ça, je veux bien peiner souvent.

J'ai choisis le restau pour couguar, sauf que cette fois, c'était en amoureux, on se tenait la main et nos jambes se touchaient tout le repas, malgré l'incongru du contexte, nous avons moins été épiés que la première fois, il a demandé l'addition et a voulu payer en espèce, j'ai dit non, tu paies avec le compte et les 200, c'est pour toi seul, il a voulu discuter, mais je lui ai dis, tu paies le ciné par contre, rajoutant que s'il veut aller autre part, c'est comme il préfère. Il me demande ce que je préfère, je lui dis, n'importe où, ou je suis avec toi, on se tenait par le bras, je lui dis que s'il a honte, qu'il me le dise, je ne me vexerais pas et comprendrais, il a répondu "honte, honte de faire des envieux plutôt, et eux, il ne voit que la partie visible de l'iceberg".

On trouve un film qui nous plaît, on rentre dans la salle, on se met au fond à droite, comme a chaque fois, déjà pour sortir les premiers, l'idée des trois premiers films étaient oubliés, je retire mon manteau que je pose sur le siège d'à côté, mon neveu est à ma gauche, j'essais de faire tenir le pan de ma robe sur mon genou, un type a ma droite, 4 ou 5 sièges plus loin l'a remarqué, la 50 aine, je souris machinalement, je lâche mon pan de robe, la salle se remplit, le film commence, des retardataires continuent d'arriver, le type à ma droite sous prétexte que des gens arrivaient, s'excuse et me fait comprendre de retirer mon manteau du siège pour qu'il s'installe.

Ma main gauche est dans la main droite du neveu, le type n'attend pas cinq minutes qu'il a déjà sa jambe contre la mienne, je me dis pas de chance, il a cherché cela et rien n'a eu lieu et là, on tombe direct dessus, il s'est aperçu de ce qui se passe, je lui donne deux serrages de la main, il me fait signe de laisser faire, je fais ok avec les yeux.

Le type avait reculé un peu en me voyant chuchoter avec mon neveu, mais comme rien ne se passe, il revient en douceur, mon neveu et moi, on est adossés dans notre fauteuil, regardant le film, droit devant nous, sa jambe n'étant pas reculée, il met sa main, sur ma cuisse, il passe sa main entre les cuisses qui sont serrées, il ne remonte plus et caresse, je serre la main à mon neveu qui me répond pareillement, puis petit à petit, je desserre les genoux, devinant qu'il a accès, sans se presser, il remonte sa main en me caressant les cuisses, s'attardant sur mon string, il me frotte le sexe puis passe sur le côté du tissu, il me pince le clito, joue avec et me pénètre avec 2 doigts, inutile de lui dire l'effet que ça me fait, je jouis rapidement.

Avec ma main, je pousse la sienne sur mon sexe pour mieux la sentir, il me l'attrape avec son autre main et me la guide vers son manteau sur ses genoux, je sens son sexe dans son pantalon que je déboutonne avec son aide, il n'a ni caleçon, ni slip, je lui décalotte complètement et commence à le masturber lentement, moi le plaisir remonte, mon neveu le sent, il me serre la main de ses deux mains pour ressentir avec moi, cela m'excite encore plus et l'orgasme arrive à nouveau, en me mordant les lèvres, je jouis sur les doigts du type et serre la main violemment la main de mon neveu qui ressent également le moment de mon orgasme.

Après avoir joui et repris mon souffle, je continue de le masturber, reconnaissante de ce qu'il m'a donné, il continue à caresser mes cuisses, quand il jouit à son tour, il avait prévu le coup, il a un très grand mouchoir et il fait dedans, il a passé tout le film sa main sur mes cuisses, le film fini, on est sortie, nous remerciant en souriant, on est ensuite rentré à la maison sans parler de ce qui s'est passé.

Avant qu'il ne rejoigne sa chambre, je retire mon string et lui dis, tient, souvenir, mon mari m'attendait, mon neveu est venu écouter, je lui en ai donné pour sa soirée, le lendemain matin, boulot, rien de particulier, avant midi, je reçois un appel de sa mère, comme je ne suis dispos, je lui demande si je peux la rappeler, elle dit oui, je rentre manger le midi avec mon mari, je dis, avant de passer a table que la mère du neveu a appelé et que je dois la rappeler.

Quand je l'ai au téléphone, elle me dit que son mari est au chômage technique et sans savoir s'y prendre, elle me demande timidement si je peux les héberger, ils voudraient venir voir leur fils, comment il est installé, son école, etc., je répond qu'il n'y a aucun soucis, après palabre ou pour faire celle qui demande une compensation, je lui dis qu'elle aura le repas du midi a préparer car je n'aurais pas le temps, la chose est entendu et ils disent arriver samedi soir pour diner.

Le soir, j'annonce cela à mon neveu, on se regarde furtivement, le soir, je fais les courses avec lui, mon mari n'aime pas ça et il sait que ça me laisse l'occasion d'être avec lui, on va au supermarché et il me dit, pas de chance, il est content qu'ils viennent voir ou il vit, mais pour le reste, non, je dis, une semaine ça va vite passer et on fera comme avec mon mari, on aura des occasions.

Le samedi soir, ils arrivent, nous passons la soirée ensemble, mon neveu toujours sérieux, le dimanche aussi, on les emmène au restau en les menaçant presque, gêné de ne pas pouvoir rendre la pareille, mon mari prompt à réagir, a demandé une carte sans les prix, j'avais mis une robe raisonnable avec décolleté pareil, comme je suis loin d'abuser au boulot, j'ai fait une carte société pour payer avec juste 5 repas d'inscrit sur la fiche, on leur montre certains quartier de paris.

Le soir, comme il est tard, mon mari dit, qu'on va remanger au resto, car le temps d'arriver et de faire le repas, il dit au copain, au moins au resto, on peut profiter des femmes, sinon elles sont aux fourneaux, ils rouspètent en disant que la prochaine fois, ils n'oseront pas demander, mon mari qui a du répondant, dit, c'est pour ça qu'on vous emmène au resto, pour ne plus que vous reveniez, le copain, dit et bien si c'est comme ça, on viendra tous les mois.

Me prenant à part, ma copine me dit "qu'on pourra jamais vous rendre la pareille", j'ai répondu que c'était déjà fait, quand ils ont les premiers acceptés notre fille, on a passé deux ans à dormir sans s'inquiéter, et cela n'a pas de prix, le neveu est fier de nous trimbaler dans ma voiture, mon mari étant souvent sur la route, ça le repose, il lui indique les rues à prendre.

Le copain n'est pas un poivrot, alors le peu qu'il boit ,le rend de suite plus téméraire et chaud, dans la voiture, je suis au milieu à l'arrière, je commente les endroits, l'après-midi, il me semblait que j'avais souvent des effleurements, cela étant très léger, je ne lui disais rien, afin de ne pas mettre sa femme mal à l'aise, ni son fils, il effleurait, mais ça n'allait pas plus loin.

Mais le soir après mangé, il n'y a plus aucun doute, ses effleurements sont devenues plus poussées, j'ai une main sur ma cuisse en même temps qu'il me demande ce qu'est tel monument ou immeuble ancien, j'ai vécue à Paris mais je ne connais pas aussi bien que mon mari, je repousse sa main, la fois d'après, il me frôle la pointe de mon sein, je repousse aussi sans rien dire, il a compris que je ne veux pas faire d'esclandre.

On ne rentre pas trop tard, car école pour leur fils, arrivé à la maison, comme il laisse croire a ses parents, qu'il va au lit de bonne heure, nous, on continu à discuter, je sers le café et thé, la soirée passe comme ca, puis on va se coucher, bien sur, le sexe avec mon mari se fait en sourdine.

Le matin, je me lève suite à du petit bruit dans la maison, la copine avait prépare le petit-déjeuner à mon mari, son fils lui avait dit les horaires de la maison, elle a fait celui de son fils, le mien ensuite, son mari était encore couché, quand le neveu et moi partions travailler et à l'école.

Le midi, je rentre manger avec eux, tout est prêt, je m'installe sans rien faire, comme mon mari et son fils ne sont pas là, elle me demande à partager la nourriture, je réponds qu'on partage aussi les frais de personnel, après le repas, je m'aperçois qu'elle a fait le ménage, le linge a tourné en machine, je lui dis qu'elle n'a pas à faire cela, mais elle rétorque qu'elle ne va pas se laisser vivre a ne rien faire alors que je travaille et paie tout, en regardant son mari, je pense à son fils qui matait pareillement, sauf qu'il est moins discret, je fais celle qui ne remarque rien et petit à petit, je fais attention à mes positions, en partant au boulot, il me dit tout bas "détend toi", je le regarde sans vraiment comprendre puis je sors.

Le soir, le fils est déjà là et reste avec eux le temps que j'arrive, il va à l'ordi et à ses cours, je vois que le repas est prêt à être mis au four, le linge est repassé, j'avais eu peur, mais mes strings sont restés dans la panière, elle n'a lavé à la main que mes bas et soutifs, disant que les culottes, c'est personnel, je rejoins leur fils à l'ordi, je leur demande de m'excuser, justifiant du travail, en fait, j'ai été me montrer à lui, il me dit que je lui manque, je répond moi aussi, mais ce soir, je vais venir dans sa chambre, je ne reste pas longtemps par correction et rejoins ses parents.

On papote, sa mère avant le repas va le voir à l'ordi, le père reste avec moi, celui-ci a du mal à rester discret, ça m'amuse et n'est pas déplaisant, je ne fais rien de plus, seulement, sa mère qui revient, a vu ce qu'il faisait, j'ai fait celle qui se cachait, elle dit, tu as vu ton gars, il est bien là, il a tout ce qu'il faut, il va le retrouver, comme je me doute qu'elle a vu son mari me mater, je prend les devants en disant.

"Je profite qu'on est toutes les deux, il me semble que ton mari me mate en douce", elle dit, "je sais, c'est pas d'aujourd'hui, tu n'as jamais remarqué", je répond " je n'ai jamais fait attention, maintenant je vais me méfier et peut être lui tirer les oreilles", elle dit, "non, laisse", elle regarde s'il n'arrive pas et me demande une excuse pour qu'on aille marcher toutes les deux seules, je vais dans la salle de bain, je prend un tube de pommade intime, un sac dans un tiroir et dit aux hommes que nous allons à la pharmacie, ça nous promènera.

Une fois dehors, je lui dis que je suis gênée vis a vis d'elle, que je ne voudrais pas qu'il y ait de malentendu, elle m'arrête et me dit, "écoute, je ne suis pas jalouse, il ne peut que rêver, lui avec toi, même en rêve, il n'y croirait pas, et puis je ....." Elle s'arrête et ne sachant comment me le dire, elle me demande si elle peut être franche, je réponds bien sur, continuant, elle répond, "entre femmes, je peux te dire que tu me rends service", comment ça dis-je, elle explique "j'ai remarqué que quand vous êtes à la maison ou nous chez vous, j'ai beaucoup plus d'avantages, et plus souvent, si tu vois ce que je veux dire.

L'année ou nous nous sommes connus, j'ai mis ça sur le compte des vacances, mais l'année d'après, ça ne s'est pas répété, par contre, quand vous veniez nous voir, le soir, monsieur avait la libido débordante, alors comme je sais que ce n'est pas toi qui vas me le prendre, je ne risque rien, si tu changeais d'homme, tu en aurais des beaucoup plus beaux à tes pieds, avec sa paie, il ne pourrait même pas t'habiller, et ses coups d'œil qu'il te donne, le soir, c'est moi qui en profite, elle me dit, j'y ai eu droit samedi soir, dimanche soir et ce soir, je suis certaine d'y avoir droit encore, alors ne t'inquiète pas, de mari, il est passé à amant et c'est à toi que je le dois.

Je lui dis en faisant l'étonnée et rigolant, hé bien, je ne m'imaginais pas rendre ce genre de service, je lui fais la bise et lui dis que je préfère cela, elle répond sur la plaisanterie en rigolant aussi, tu coûtes moins cher que les nouvelles pilules, et si je n'avais pas peur de te froisser, je te demanderais bien d'être même plus décontractée ma chérie, enfin, fait comme tu veux, mais sache que je ne suis pas fâchée, d'ailleurs, je le comprends, moi à sa place, je ferais pareil, je toucherais même.

Je réponds que justement, il m'a semblé qu'au jour de l'an et en voiture dimanche il…., m'interrompant, elle me dit "quand il danse avec une femme, je m'en rend compte, mais ca ne me gêne pas, au contraire, ce que je regrette, c'est que les autres ne m'en fasse pas autant avec moi", je répond, "quand je pense que j'ai fait la leçon à mon mari de ne surtout pas jouer à ça avec toi, elle dit en fronçant les sourcils, "fallait pas, déjà que ca ne se bouscule pas", je lui dirais que ton mari ne se gène pas, et qu'il peut faire pareil, s'il veut la prochaine fois, elle dit, le pauvre.

e réponds, allons, tu n'es pas laide non plus, tu sais, les hommes, voient la femme des autres, mais ne regardent pas la leur, c'est" hommain", je lui demande si c'est vrai qu'il s'occupe mieux d'elle, elle répond, "10 ans de moins, t'imagine", je lui dis que je suis habituée à être matée, ce n'est pas déplaisant, ça m'amuse même, mais quand cela met mal à l'aise sa femme, je ne me sens pas fière, mais si tu le demande, et que cela t'arrange, ça ne me gênera pas, mais ça reste entre nous surtout, et si tu es d'accord, sans la présence de ton fils bien sûr et en douce de toi, enfin, c'est ce qu'il croira, je vais te le chauffer à blanc ton bonhomme, bien sûr en restant discrète", on se met a rire comme des folles et je lui dis en reprenant un air sérieux.

Oui, mais imagine qu'il me tripote plus, croyant que je l'encourage, elle dit, moi ça ne me dérange pas, et toi, dit-elle, moi, c'est vis a vis de toi, elle répond "écoute, on a des copains, ils s'habillent a carrefour et colle un crocodile sur leur pull, vous, ça serait le contraire, si vous achetez du Lacoste, vous camouflez le croco, j'ai plus confiance en toi qu'en une jeunette qui l'embobinera pour me quitter et lui bouffer ses quatre sous qu'il n'a pas, alors ma chérie, si cela te plaît, pour moi ça sera tout bénef, tu as ma bénédiction.

J'aimerais bien moi que ceux qui dansent avec moi me tripotent, le peu que ça m'est arrivée, j'ai pris du plaisir, je suis une femme, je sais ce que ça fait les mains d'un autre sur soi", je dis, d'accord, il mate, il tripote un peu, mais s'il me viole, je lui en mets une, elle répond en se frottant les poings "ouiii, mes nuits vont être chaude".

Cela réglé, elle m'entreprend avec son fils, j'ai la trouille qu'elle ait découverte quelque chose, mais elle me rassure, en me demandant si je ne pense pas que son fils soit homo, là, c'est moi qui la rassure en inventant une histoire disant que par hasard en passant avec un client vers son école, je l'avais vu avec une fille, et qu'il n'avait pas l'air indifférent, je lui dis, je ne t'en dis rien de plus, ça me gêne de l'avoir surpris déjà, elle me dit, je ne veux pas en savoir plus, je suis rassurée, ça me suffit, je ne pouvais pas lui dire que c'est avec moi qu'il joue, après cela nous rentrons en mettant visible le petit sac de la pharmacie justifiant notre sortie.

J'offre un petit apéritif, pour lui surtout, et elle lui dit d'aller se mettre sur le fauteuil pour rester a cote de moi, le fauteuil qu'elle lui propose, c'est celui de l'autre cote de la table basse, dans l'axe de mes jambes, toutes les deux, nous nous faisons presque face, sauf que nos jambes ne sont que tournées, nous discutons de chiffon, de vacances, lui, il ne nous interrompt pas, il lorgne en douce, se faisant oublier, le jeu dure un quart d'heure, car j'entends la porte du bureau, alors je me lève et vais pour servir afin que leur fils ne voie pas le manège.

Nous mangeons, le neveu va à la douche et ensuite se coucher, comme je le disais à ses parents au téléphone, disant aussi que le vendredi et samedi, là, il sortait et se couchait plus tard, le père dit, là, c'est normal, il peut se reposer le lendemain, sa mère me remercie encore pour l'hébergement et la règle de la maison, (si elle savait), quand il s'en va, je dis qu'il dort quand je vais me coucher et que moi, je dors aussitôt, que je ne dors bien que dans mon premier sommeil, après, c'est foutu, justifiant qu'ils ne me dérange pas après que je me sois couchée, j'ai d'autres projets.

Je passe à la douche et je vais le voir en robe de chambre pour montrer que je me mets en mémère pour ses parents, disant que j'ai dit qu'il faisait sa nuit directe, comme ça, je le rejoindrais, le couloir desservant les chambres est ainsi, en pénétrant dans ce couloir, à gauche ma chambre, à droite en face, celle qu'occupe ses parents, ensuite à gauche le bureau et à droite en face, la salle de bains, les WC et une buanderie, on continue et à gauche, la chambre où il y a mes habits qui ne peuvent aller dans mon armoire, et à droite en face, sa chambre, au bout, c'est le placard à fouillis, balai, aspiro, etc. etc., donc c'est moi qui irait dans sa chambre, plus éloignée de celle qu'occupe ses parents.

La robe de chambre fait mémère quand on la ferme bien, mais si on la laisse s'ouvrir un peu, on peut apercevoir un sein ou alors s'il s'ouvre en bas, les jambes d'abord puis les cuisses, pour donner le change, à la pub, je me remet correctement, il fait celui qui ne regardait pas, moi, je fais celle qui ne montrait rien, puis après la pub, lentement la robe de chambre s'entrouvre à nouveau, sans bien sûr que cela paraisse voulue, après les films, elle demande a son mari d'aller à la douche et qu'elle ira ensuite.

On a discuté de ce qui vient de se passer, j'avais peu de crainte, car elle n'a rien dit pendant et là, elle me rassure en disant parfait, je vais morfler, elle me dit "ho pardon, je ne voulais pas", rapport a que moi, je suis seule, je l'ai rassuré en disant que le WE, il m'en met pour la semaine, là dessus, il quitte la salle de bains et elle prend la place, il vient me dire bonne nuit, en me frôlant de son dessus de main, le sein, en chuchotant, je dis, hééé, souriant, il va se coucher, quand elle sort, je baille en disant, ça y est, ne comptez plus sur moi, et tout bas, je dis chut pour ce qui va se passer, qu'ils ne le réveille pas, et moi non plus, car après ma nuit est foutue, elle rentre dans la chambre et moi dans la mienne, j'insère mes boules et j'écoute à la porte, j'entend très étouffé des bruits de copulation, je me dis qu'ils sont occupés, je sors de ma chambre, pied nue et rejoins mon neveu, je me dévête et rentre dans le lit où il m'attendait, je lui dis en chuchotant, tu vois, qu'ils soient la, n'empêche rien, il me dit chut, je dis ne t'inquiète pas, il y a la buanderie et la salle de bain entre nous, le couloir est long, on s'est mis complètement sous les draps pour chuchoter, on aime être ensemble et se toucher les mains, les genoux, être en contact.

Il m'a demandé si j'avais aimé le coup du ciné, j'ai répondu, et toi, il m'a dit oui, alors si tu as aimé, j'ai aimé aussi, il me demande si on recommencera et je réponds que je ferais tout ce qu'il décidera, comme je suis excitée par les boules qui commencent à faire effet, je lui demande de me dire ce qu'il a vu ou senti, à côté de moi, sans rentrer dans les détails, il a tout ressenti en décrivant le moment où il a posée sa main et ou il m'a touché le clito (sans le nommer bien sûr) et ensuite doigté, sauf qu'il a dit que je bougeais sur le fauteuil et qu'après je bougeais plus vite, les boules plus le récit venant de lui sur ce qu'il a deviné, j'ai joui en poussant un petit gémissement, il me dit, vous y repensez encore, je dis, non, j'ai un peu honte, après une bonne heure, je rejoins ma chambre.

e matin, petit déjeuner préparé par sa mère et tenue prête par le fils, on part ensemble, le midi, il voulait aller le voir à l'école, je leur ai dit, vous ne préférez pas demain, le mercredi, j'avais un déjeuner avec des clients, autant que ça arrange tout le monde, le midi, je reviens déjeuner avec eux, je discute d'un plan avec ma copine, je lui explique, elle dit ok, après manger, un quart d'heure avant de partir, elle dit a son mari, devant moi, tient, va descendre les poubelles, je lui explique où cela se trouve et retourne dans ma chambre, entre-temps, elle lui dit, et puis non, laisse, j'y vais, je vais marcher un peu, elle sort, lui est retourné sur le canapé, j'arrive sans ma jupe, justifiant une couture et parlant en faisant croire que je croyais sa femme à la cuisine.

Je lui tourne le dos en string, porte jarretelle et bas, comme pas de réponse, j'appelle sa femme et en m'avançant, je ne la vois pas dans la cuisine, je la rappelle, j'attend un peu et me tourne, je le découvre lui en train de se rincer l'œil, je pousse un cri en me cachant tant bien que mal, il dit avec un large sourire qu'elle est descendu, on entend l'ascenseur, je lui dis, tu n'a rien vu, dans le sens de ne rien dire et je retourne dans ma chambre.

Je reviens quand elle est là et je pars au boulot, le soir, elle me dit que quand je suis partie, elle est passée à la casserole, la soirée se passe pareillement, mon neveu part comme la veille, douche et dodo, ensuite, c'est à moi, la douche et la même robe de chambre, je vais sur le canapé, lui, il va a la douche aussi avant le film, ensuite, c'est à elle, il est en pyjama, il dit, ha tiens, j'ai oublié de dire ce qui est arrivé à midi, je lui dis, surtout pas, ça pourrait la gêner, et je n'ai pas envie qu'on soit fâchées, alors surtout motus, comme je me doutais, il dit, mais non, je dis non, je ne préfère pas, en plus ça peut arriver aux oreilles de mon mari, alors là, c'est la fin, il dit, ha ok, bien, je ne dirais rien, mais j'aimerais bien revoir.

Je souris en ayant l'air de prendre ça pour une plaisanterie, mais il approche sa main en souriant et disant qu'il faut peut-être mieux lui dire que tu es venue me voir presque à poil pendant qu'elle était partie, zut me dis-je, c'est lui qui m'excite maintenant, j'aime qu'on me fasse du petit chantage, je fais celle apeurée, disant non, surtout pas, je lui fais croire que j'ai peur qu'elle l'apprenne et le dise, il ignore que je ne risque rien puisqu'elle le sait, il dit alors montre moi en ouvrant ma robe de chambre aux jambes, je le laisse faire un peu en le regardant, puis je lui dis en me recouvrant "hé, ça ne va pas", il dit qu'en vacance, il en voyait autant, je réplique que ce n'est pas une raison, allé dit-il, en écartant ma robe de chambre, je l'arrête et re cache mes jambes.

Sa femme arrive, nous parle et va dans la cuisine prendre un verre d'eau avec un médicament, il recommence à entrouvrir ma robe de chambre, je l'arrête, et il lui dit, "tient au fait, je ne t'ai pas dit ce que j'ai vu a midi", je fais non avec les yeux en le regardant et je laisse sa main continuer à écarter le tissu puis l'arrête, à voix basse, je dis, bon ça suffit, il n'écoute pas et continu de raconter, il écarte à nouveau, je le laisse faire, quand elle nous rejoint, je me remets bien, elle dit, en s'adressant à lui, tu voulais me dire quoi, il répond en me touchant la fesse, je laisse faire, il continue en disant, "oui a midi, dans la rue, il y a un type qui s'est étalé par terre, c'était le voisin du dessus, tu aurais vu le vol plané, moi, je répond en effet, j'aurai voulu voir ça.

Me faire tripoter un peu ne me déplaît pas, de plus elle le sait, j'ai son accord, le film passe, avec sa main sur ma fesse à travers le tissu, je le repousse par moment, mais il revient toujours à la charge, j'ai les jambes à l'air de son côté, je me remets à la pub, puis il recommence pareil au deuxième film, ensuite, on se lève, il pensait que sa femme allait partir un peu, mais elle l'attend (ouf), ils vont se coucher, et le reste de la nuit se passe comme la veille, dans la chambre du neveu.

Le matin, son mari est levé aussi, mais comme son fils est là, il ne tente rien, nous partons tous en même temps, car ils vont à son "bahut" avec lui et ils mangeront ensemble le midi, moi, j'avais un déjeuner d'affaires jusqu'à seize heures, je ne rentre pas au bureau, mais à la maison, ils sont rentrés tous les deux, on discutent et quand il va aux toilettes, je raconte à voix basse ce qu'il s'est passé hier soir, son simili chantage à tout lui dire, disant que j'ai peiné à repousser ses mains.

Elle répond, "il ne fallait pas", je dis oui, mais quand même vis-à-vis de toi, elle dit, "moi, je suis celle qui y gagne, en trois jours, j'ai plus d'un mois d'avance (de sexe), alors si tu as des scrupules pour moi, je te remercie et te rassure, ne te gêne surtout pas, on continue de discuter d'autre chose, car il revient, il s'installe sur le fauteuil en face et elle me dit de façon complice qu'elle va préparer le repas, je vais pour la suivre, mais elle dit, non, repose-toi, je ne suis pas fatiguée, je n'ai rien fait de la journée (clin d'œil).

Une fois à la cuisine, il va pour se lever et je dis non avec les lèvres, montre moi tes cuisses alors, dit-il très bas, je dis non, mais il fait celui qui va tout raconter, je lui dis ok, mais à condition qu'il reste à sa place, il fait oui en s'enfonçant dans le fauteuil, j'écarte les cuisses, il me demande de relever un peu, je dis non pour la forme, mais il fait celui qui va tout dire, alors j'obtempère, je suis sauvée par le fils qui arrive.

Il parle un peu avec nous puis il retourne dans le bureau, je vais voir la copine qui cuisine, elle me dit, non, je ne veux pas de toi dans ma cuisine, va te reposer, lui, il est dans la salle, caché d'elle par le mur et il me fait signe de venir, je reste à ma place, l'ignorant, on continue de papoter pendant vingt bonnes minutes, lui, il attend toujours que j'arrive, manque de chance, elle va aux toilettes, il se lève et me rejoint pour me tripoter.

Je me débats sans faire de bruit quand il passe sa main sous ma jupe, ne me laissant pas faire, il dit, bon, il vaut mieux que je lui raconte tout, je dis non, s'il te plaît, alors tu te laisses faire, je dis non, je ne la ferais pas cocu, je préfère lui dire, il dit "non, pas la cocufier, ce n'est pas possible, juste toucher un peu et me rincer l'œil", je hoche la tête de droite à gauche en faisant celle qui va se résigner si cela s'arrête là, mais c'est tout, dis-je, juré dit-il, en s'éloignant parce qu'elle sortait des WC.

Quand je discute avec elle qui est dans la cuisine, je suis dans son dos, lui, il me fait signe de remonter ma jupe et je la remonte à l'arrière, quelques minutes après, il vient dans la cuisine demandant ou est-ce qu'elle s'allume la télé, je lui dis comment, mais il dit qu'il n'y arrive pas, je vais donc l'allumer et dés que nous sommes hors de vue, il passe sa main en dessous, soumise à ce qu'il croit son chantage, je profite de ses bienfaits, en ne me débattant que peu, en dandinant du fessier pour faire celle qui se pousse, il me chuchote, bien, je ne lui dirais rien, le salopard sent bien que je suis réceptive à ses caresses, car il me dit que j'aime ça, bien sûr que ce n 'est pas déplaisant, il a sa main entre mes cuisses, je lui tiens l'épaule en disant non, mais sans m'en aller non plus.

Le fils arrive pour passer a table, nous discutons, le père n'essaie rien, il reste à sa place comme si rien ne se passait, après cela le rituel de la douche pour leur fils, pour moi ensuite et je reviens quand tout est débarrassé avec un passage dans la chambre du neveu, je lui ouvre ma robe de chambre, je suis en soutif et culotte, au film, il ne peut pas faire grand chose, mater mes jambes et poser sa main sur une fesse, sa femme qui est à coté, fait tout pour ne pas regarder de notre côté mais la proximité le bloque, il ne sait pas qu'elle m'a donné son accord, avant le deuxième film, elle dit, "je vais à la douche maintenant, comme je me lave les cheveux".

Je me dis, la coquine, elle va me laisser un bon quart d'heure avec son vicelard, à peine, on entend dans la cuisine, le bruit de l'eau qui coule dans les tuyaux, qu'il découvre complètement mes jambes que j'avais couverte lorsqu'elle s'est levé, il chuchote et regarde aussi dans le début du couloir que rien ne se passe, quand on ouvre la salle de bains, ça donne une petite clarté dans ce couloir.
A suivre.
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Histoire de annizette

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