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Courrier pas si anonyme 11

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Lue : 1379 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 07/02/2016

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Elle me parle aussi de la responsable à son mari, qui est secrétaire et faisant office de chef, embauchée comme emballeuse au magasin, et devenue ce qu'elle est en tortillant son cul, elle me dit, "aussi bien foutue que toi, mais avec une sale tête de pub ripolin qui doit cacher la misère, elle promène toujours un classeur en passant dans l'atelier en balançant son cul, avec en plus du parfum qu'elle ne doit pas payer, mais bon, sinon, c'est vrai que les hommes doivent baver quand elle passe, je l'ai aperçu de près plusieurs fois et je comprends qu'elle plaît, bien roulée, sexy, aussi belle que conne, madame ne dit bonjour qu'aux directeurs ou chefs, les ouvriers, c'est de la merde".

Elle continue à me raconter, "et lui, tu le connais, à toujours l'ouvrir, elle l'a pris dans l'pif et chaque fois qu'elle peut, elle ne le loupe pas, lui comme d'autres, elle leur demande de la suivre, elle monte l'escalier devant eux, les fait asseoir et les engueule après avoir indiqué leur grief, ne travaille pas assez vite, pause trop longue, travail de mauvaise qualité, tout y passe, alors le soir, il rentre en disant des ha la salope, un jour, je vais me la faire cette morue".


Je dis, je vois le genre, j'imagine qu'il doit la maudire, oui dit-elle, surtout que si ce qu'elle dit est vrai, mais c'est la faute de la boite, les cadences ont augmentées, l'outillage a été remplacés par du bas de gamme, et la fourniture également, alors dans ces conditions, elle rajoute, "mais bon, quand il est en colère comme ça, c'est moi qu'il baise plus vigoureusement, comme quand t'es là.


Après cela, elle prépare le repas en m'interdisant la cuisine, son mari fini par rentrer, et comme je suis sur le canapé, il a entrepris de me tripoter en douce, bien sûr, je me laisse faire, je vois même qu'il bande et ça me rassure pour leur soirée, quand le fiston arrive, il se met sur le fauteuil, moi, je serre mes jambes, il va à l'ordi, je dis à son père par signe, que j'y vais aussi pour justifier que je fais comme d'habitude, puis je le dis tout haut aussi.

Le neveu, voyant que je suis seule, m'enlace dans ses bras et me tripote, entre le père et lui, je suis gâtée, mais cela n'est pas pour me déplaire, comme on craint qu'un parent ne vienne, on arrête et on se met à notre place, ensuite elle nous appelle pour passer a table, après dîner, le fils va à la douche, moi ensuite puis je les rejoint devant la télé, il me tripote un peu en douce.

Pendant le film, mon mari arrive, nous discutons tous une demi-heure, il passe à la douche et nous allons au lit, je raconte à mon mari pendant qu'il s'occupe de moi, il me dit, je m'en aperçois, en fait, entre le fils la semaine et le père ce matin, je n'étais pas en manque comme avant, ça ne m'empêche pas de jouir encore.

Le lendemain, la copine me dit que son mari à été top, que je l'avais mis en bonne condition, le fiston en a marre de sortir, mais il le fait pour montrer qu'il est peu présent, plus avec ses copains ou copines plutôt qu'avec moi, on se promène sur un marché en banlieue, j'avais mis un tailleur jupe qui m'arrivait, aux genoux, le fiston mangeant au mac do, nous ne sommes pas rentrés et avons mangé dans un petit restau correct.

On s'est promené dans les bois après avoir passe par la tour Eiffel, le soir à table, on dine chez nous, mon mari échafaude un plan, et moi j'entrevois aussi quelque chose, je dis au neveu, qu'on va au ciné, et qu'il dise ne pas vouloir venir, je le dis en parti à la copine et lui dis de vouloir aller ciné voir tel film et qu'elle préfère allez voir un western, du fait que mon mari aime aussi, moi je dis vouloir voir un policier sachant que son mari préfère.

La copine sachant que je veux profiter de son mari avant qu'ils partent, accepte et on fait ceux qui décident d'aller chacun de son coté, elle avec mon mari pour un western et moi avec le sien, avant de partir, dans mon sac je mets un porte jarretelle et des bas, il prend sa voiture et mon mari la mienne, une fois séparé par l'attente d'un feu rouge.

Au loin, on les voit prendre a droite, je lui dis, nous c'est tout droit, après avoir fois dépassé la rue qu'ils ont prise, il me met sa main sur ma cuisse en disant, j'aurais bien une autre idée, je souris, il me tripote et je lui dis de tourne plus loin, on roule 5 mn et je le fais garé dans un sous sol et l'emmène a ma boite à mon bureau, je neutralise l'alarme et remet juste celle d'effraction, puis nous allons vers mon bureau ou je le fais attendre dans le couloir prétextant les alarmes à neutraliser.

Au boulot, j'ai toujours 3 tenues, une robe de soirée, un tailleur jupe courte et un tailleur jupe au genoux, la tenue de soirée, c'est pour un repas imprévue le soir, c'est déjà arrivé, le tailleur jupe courte c'est au cas ou je me salirais et celui arrivant au genoux c'est pour si je reçois quelqu'un qui trouverait déplacé la tenue courte, j'ai aussi les chaussures allant avec ainsi que deux chemisiers, avec et sans décolleté

Je me change et mets mon tailleur jupe courte, le porte jarretelle emmené, les bas, et le chemisier décolleté, je baisse les volets roulants je n'allume que les lumières de bureau, le mien et celui de mon pseudo secrétaire, pour parler de celui-ci, je dirais que les deux premiers mois, nous étions en froid, pensait il que j'allais lui faire de l'ombre et rester au de là des deux ans, n'aimant pas avoir la tête en n'ayant rien a me reprocher, il m'arrivait de le secouer un peu, mais le troisième mois, ça allait déjà mieux et le suivant, nous déjeunions ensemble le midi.

Maintenant, ça va, il sait qu'en fin de mission, je retourne vraiment chez moi, et que je suis là, non pas pour lui prendre la place qu'il convoite, mais le former lui et son équipe sur un boulot ou j'ai presque 10 ans d'expérience, du temps ou on était en froid, ça ne l'empêchait pas de me mater, surtout sous le bureau, j'en avais parlé a mon mari qui me dit, "allume le, ça va le raffermir d'un coté et le radoucir de l'autre.

Qui mieux qu'un homme, peut savoir comment fonctionne un autre homme, ce qui fait qu'au lieu de l'emmerder en venant en tenu non-sexy, j'ai fait le contraire, je venais avec des jupes courtes et un décolleté, ce qui fait que ça, plus nos discussions le confortant, que je n'ai pas l'intention de rester sur Paris, nous étions devenus bon collègues, s'autorisant à me mater moins discrètement, mais restant quand même discret.

Mon manque sexuel dû à l'absence de mon mari et l'excitation que j'avais avec mon neveu, il arrivait que dans les débuts, ce secrétaire, après que je lui ai fait une remarque, se lève et me dise qu'il en a marre et me prenne sur le bureau, je pense qu'il y a bien une dizaine de fois, au mois d'octobre surtout, ou assise a ma place, mes jambes s'écartaient plus qu'habituellement, heureusement, j'ai pu résister et heureusement, il n'a rien tenté.

Revenons avec le mari de ma copine qui attend dans le couloir, je me dis, je vais réaliser mon fantasme, et lui le sien, je l'appelle sans me montrer, et je dis, "ha, vous êtes là Mr ….. Entrez, je vais vous dire ma façon de penser", il rentre, me mate, je poursuis en disant, déjà quand on rentre, on dit bonjour Mme Dupont, mais je vois qu'en plus d'être un bon à rien, vous n'avez aucune correction, ha, vous êtes bien un sale ouvrier.

Après un moment de stupeur où il se demandait ce qui se passait, il réalise où je veux en venir, en écoutant des détails, dont il se doute que sa femme m'a informé, il comprend et réagit en disant, "mais comment elle me parle la salope-là", moi, je joue la bourge en disant, "mais, mais, Mr, vous, vous êtes fou", lui, il répond, "comment je suis fou, elle m'insulte la morue-là, je m'en vais lui apprendre la politesse à cette pute", comme j'étais assise sur mon fauteuil, il me roule en arrière, me lève du fauteuil, s'assoie à ma place et m'allonge sur ses genoux

Je ne me débats que mollement, je suis en position fessée, sa main s'abat, il rentre vraiment dans le personnage et me fesse de la même façon que si j'étais sa Dupond, je continue de faire la bourge avec des, "mais Mr, reprenez-vous, mon dieu, mais Mr, vous êtes fou, je vais le dire à Mr le directeur", il réplique, "je suis fou, ouais salope, ce sont les putes de ton genre qui me rendent fou, tient prend ça morue, et ton directeur, il va devoir trouver une autre salope".

Il est vraiment dans son rôle, les coups ne sont pas du cinéma, la jupe atténue, je lui dis, "pitié Mr, arrêter pitié, je ne le referais plus, mais arrêtez", il cesse et dit, vous ne ferez plus quoi, m'emmerder ou faire la salope, je réponds, ce que vous voulez, mais arrêtez, ce que je veux dit, il en relevant ma jupe pour dégager mes fesses, je dis, mais vous êtes fou, qu'est-ce que vous faites, arrêtez.

Il continue de la relever et me fesse encore sur la peau nue, je dis non, non, arrêtez, il arrête et dit bien, alors je continue en baissant le string cette fois, je dis ha non pas ça et il me met encore deux claques sur les fesses, je dis non, non, arrêtez, il dit, j'arrête, mais si tu me redis non, je frappe encore, donc je vais te dessaper, te tripoter, t'enculer, je réplique, ha non ça jamais, vous êtes fou, je prend 5 tapes cette fois-ci, je dis non, arrêtez, il me dit, alors tu fera tout ce que je te dirais, il redonne un coup et je dis oui.

Il continue en disant, tu me feras tout ce que je te demande, tu seras ma salope, je te préviens pouffiasse, à chaque "non", ça sera une série de cinq, je dis oui et je prends une claque, il dit, "oui qui", oui Mr, il répond, "oui Mr l'ouvrier, répète", je dis "oui Mr l'ouvrier.

Il me dit de me relever, et de me pencher sur le bureau, en appuis sur les bras, jambes écartées et en arrières, j'ai le string à mi-cuisses, il passe sa main entre mes cuisses et me dit, mais c'est inondé ici, en même temps, je gémis, nous sommes maintenant chacun dans notre monde avec les secrétaires respectifs, je suis toute trempée en effet, ce qui se passe actuellement aurait eu lieu si mon secrétaire avait été plus virulent.

Quand il me touche, pour lui, il touche la Dupond, et moi, j'imagine que c'est mon secrétaire, j'avance mes fesses vers sa main, il me dit, attend, je vais y donner du goût, il me baise en disant, ça rentre comme dans du beurre fondu, après avoir limé un peu, il arrête et me demande de le sucer, mais assis sur le fauteuil, et moi sous la table, bien sûr même en baissant le fauteuil, en touchant avec la tête le bureau, j'ai son sexe au niveau des yeux, il recule donc le fauteuil et je le suce, il dit, voilà, ça c'est la vie, j'aurais dû être directeur.

Il me fait arrêter vite fait en disant qu'on a le temps, il me déshabille en me laissant avec soutif et bas, me fait allonger sur la table et me suce en me donnant un orgasme, sans être aussi bien capitonné que celui que j'ai aujourd'hui, il est quand même bien isolé phonétiquement, il n'y a personne dans le bâtiment, et je suis dans un bureau capitonné, je peux hurler, crier à ma guise.

Je suis à fond dans mon fantasme, chaque geste qu'il fait, je vois la tête de mon secrétaire, peut être en est-il de même pour lui, il me traite comme la pire des salope, des traînées, il me malmène avec force, je n'ai même pas eu le temps de jouir a fond, qu'il remet penchée sur le bureau et me sodomise, il me suce l'anus ensuite en me demandant d'écarter mes fesses, je suis au paradis, il est exactement ce que j'aime, je retrouve les sensations que j'ai eu avec un autre copain s'appelant "l'effleureur", (voir histoire vengeance heureuse d'un cocu).

Assis sur mon fauteuil, il me demande de le sucer encore, avant de jouir, il me fait mettre debout a coté et me doigte en me demandant de jouir sur ses doigts en remuant ma chatte dessus, je suis tellement excitée que je ne peine pas à venir en lui tenant les épaules, il me fait poser dans des positions très humiliantes qui me redonnent encore une excitation quand j'ai les yeux tournés vers le bureau du secrétaire, je le regarde dans ses yeux comme s'il était présent.

Il me fait mettre à genoux sur le bureau, me tripote les seins, me fourre ses doigts partout, mon bureau est vide, j'avais tout retiré dessus en prévision, je suis sur le dos, je le suce avec la tête en arrière, il me tripote les seins et le sexe, il alterne plusieurs fois, en essayant tout, puis sachant le temps d'un film, après avoir regardé la pendule dans la pièce, il me baise un peu, me sodomise ensuite, il m'attrape les seins, puis disant qu'il va jouir, et qu'il faut que je me règle à lui, je m'exécute en lui disant mes moments et celui où je vais exploser, quand cela arrive, je l'informe a nouveau et il jouit en même temps.

Après avoir hurlé notre jouissance, il me remet sur le bureau et m'embrasse partout, je souffle un peu, lui aussi sur le fauteuil, il me dit que c'est le meilleur film qu'il a vu, après avoir récupéré, je vais au lavabo, après le couloir, je me rince et reviens pour nettoyer le bureau, il s'est installé à la place de mon secrétaire, il me demande de m'asseoir à ma place et dit, il doit se régaler ton collègue, je réponds, peut être, mais il ne m'intéresse pas.

Après m'être rhabillée, je lui montre mon environnement juste comme ça, vite fait, en disant, "si je t'en montre de trop, un jour en discutant, tu risques de dire une chose qu'il ne faudra pas et que tu ne pourras pas expliquer comment tu la sait", gentil, il me dit, "tu penses à tout, c'est pour ça que tu as cette place, mais l'autre, elle est conne comme une brèle, une BCSG, beau cul sale gueule, c'était pour l'ambiance tout à l'heure dit, il en m'embrassant sur la joue et me pelotant les seins.

Après cela nous repartons, je remets les alarmes en espérant qu'il n'y a pas d'incident dans le mois, qui fasse que les cameras et l'historique des alarmes ne soit pas contrôler, même si j'ai autorisation de venir à n'importe quelle heure, je prétexterais un dossier à contrôler, tout le monde sait que je travaille encore a la maison des fois.

Pendant ce temps, une fois que mon mari avait tourné le coin de la rue, il se dirige chez un copain (l'effleureur), dont il sait qu'il est parti chez les parents à sa femme, (mon mari m'a raconté ce qui suit), il lui dit, zut, je devais faire un truc, je fais un petit détour, c'est juste à coté, il lui demande de venir pour visiter la salle de billard, à savoir que l'effleureur (le copain), ne pratique plus le SM, mais il a encore gardé le matériel sous couvert de salle d'un vrai billard.

Sans sortir le matériel, il propose de jouer un peu à la copine et de lui apprendre après un coup malheureux, mon mari ne joue jamais au billard, juste quelques parties comme ça pour faire plaisir, il se frotte et à chaque fois davantage ou elle lui dit d'arrêter, mais sans se pousser plus, jusqu'au moment où il la sent prête, il lui dit de se pencher plus, il la guide en étant derrière elle.

Sans qu'elle s'en aperçoive, il sort son sexe, et d'un seul coup, dés qu'elle tire, il lui lève la jupe et lui met son sexe entre les cuisses en la maintenant en déséquilibre, elle a juste fait 4 fois "non", avant de se frotter d'elle-même, mon mari me disait qu'elle avait l'air d'être délaissée depuis quinze jours, et pourtant, ce n'était pas le cas, c'était la première fois depuis vingt ans qu'un autre homme ne l'avait pas baisée, (ce qu'elle lui à dit ensuite et elle n'a pas habitude de mentir).

Après s'être dandinée sur le sexe de mon mari, il a été cherché dans un placard, une espèce de couette servant justement à protéger le billard d'éventuelle fuite, elle reprend son souffle et dit, mais tu avais tout prévu, il ne répond pas, la lève et la pose, la déshabille, elle ne voulait pas, disant qu'il va être déçu, mon mari montrant son sexe lui dit, toi, tu ne va pas y être.

Ne l'écoutant pas, il la met à poil, et lui fait un cunni ou elle part dans un laps de temps assez court, il la baise ensuite en la traitant de salope de façon naturelle pour lui, il se reprend en disant pardon, excitée, elle lui dit, non, continue, j'aime ça, il la pilonne, elle jouit à nouveau, il la retourne et la prend en levrette, par moment, elle se mord la main pour pas crier, mais il lui dit, ici, personne n'entendra, on est comme dans une cave, pour lui montrer, il hurle.

Rassurée, elle ne se retient plus, elle crie son plaisir avec des encore pendant qu'il la traite, elle jouit encore une troisième fois, dans la même position, il approche de sa rondelle, puis en lui frottant avec son sexe, il se positionne à l'entrée, elle dit ho non pas par là, en restant en place, elle n'a pas le temps de redire pareille qu'il rentre comme chez lui, il commence ses va-et-vient lentement et elle lui dit, oui va y, c'est bon, continu, plus vite.

Il s'active, et quand il la sent prête à repartir, mon mari, au bout du chemin, il lui met tout dans les fesses, elle dit non pas dedans, en commençant à se relever, et il répond, j'ai passé un test, alors va y vide tout dedans alors, continu, après avoir bien tout donné, ils s'affalent sur la couette, discute cinq minutes, puis il l'emmène à la douche, elle dit, mais qu'est-ce qu'ils vont dire les copains, ils vont voir les serviettes utilisées, mon mari répond, rien.

Ils sont ensuite arrivés avant nous là où s'étais donnés rendez-vous à un bistrot, à dix minutes près, on a tous dit que le film ça allait, mais personne n'en a dit ou demandé plus, nous sommes rentrés ensuite et avons dormit tous les quatre sans faire de sexe, le dimanche matin, c'est elle qui le réveille.

Pour aller aux croissants pendant qu'elle fait et nous apporte le petit-déjeuner au lit, comme il est venu aussi dans notre chambre, elle nous a juste fait un sourire quand il était dans son dos, moi et mon mari, on sait tout, elle, elle sait que son mari m'a baisé, mais c'est tout, et lui, il ne sait rien.

Après cela, comme on mange au restaurant, vers 10h30, après que tous soit prêt et que le fiston est parti rejoindre à nouveau des copains, mon mari dit, si on faisait un petit billard pour attendre midi, lui, il dit pourquoi pas, elle, elle frisonne, surprise, moi, je dis, ho oui, et nous y allons, arrivé sur place mon mari fait la visite, puis on explique que c'est un bon copain.

Nous descendons, il sort les boules et queues, puis nous jouons une petite heure, elle et moi, nous ne sommes pas à la hauteur, mon mari, toujours dans la finesse et l'élégance répond, "ça, c'est vrai, les femmes, ce n'est pas avec ce genre de queue et de boules qu'elles sont les meilleures".

Nous repartons pour aller au restaurant manger léger, l'heure de se quitter arrive, après les remerciements d'usages, ils repartent chez eux, leur fils était revenu à la maison après son mac do, il passe le dimanche après midi au bureau, nous nous reposons devant la télé ou nous nous racontons nos moments chauds, tout en nous caressant.

Et bien sûr, à force, nous finissons dans notre chambre sans s'occuper de lui, ne sachant pas s'il venait écouter, nous ne faisons pas comme d'habitude, à raconter nos moments coquins, car là, il s'agissait de ses parents, après le repas, mon mari repart en train couchette et avec le neveu, nous allons nous coucher pour qu'il me fasse l'amour, car maintenant, nous ne baisons plus, nous faisons l'amour.

Il ne me fessait plus que très rarement, je crois que nous étions amoureux l'un de l'autre, je craignais cela, mais mon mari m'a dit, qu'en un an et demi, ça s'atténuera en consommant, pendant ces mois qui restaient, nous avons été amants, je n'ai plus jamais dormi seule et j'étais complètement à sa merci, obéissant à ses moindres désir vicieux, de temps à autre, il m'offrait à d'autre.

Il y a eu la fois ou il a loué un véhicule six places, vitre teintée a l'arrière, je devais mettre une tenue très sexy, presque pute et monter derrière et mettre un petit masque sur le visage, il a roulé puis deux jeunes de son âge sont montés de chaque côté, ils m'ont regardé et ont dit ok, en lui donnant une enveloppe chacun, je me suis dit, il fait le mac.

En fait, il leur avait raconté que j'étais une bourge qui a perdu au jeu avec lui, et que je rembourse de cette façon, l'argent pris servait à la location du véhicule et les frais de lingerie bas de gamme, il y a eu cinq scénarios de ce genre, c'était des connaissances d'école, ou rencontré dans une bibliothèque, à force de parler, il a cerné ceux pouvant être intéressés, cela se passait de la même façon, sauf pour ceux de sa classe ou là, il me prenait et raccompagnait loin de la maison, avant de ramener ses copains, pour les autres, j'étais déjà dans la voiture.

La première fois donc, après les ponts de mai, j'étais fâchée intérieurement, mais en même temps très excitée de faire la pute pour ces jeunots, après qu'ils aient payé, ils m'ont remonté la jupe, défait le chemisier, le soutif ensuite, puis la jupe, je me suis retrouvé nue avec juste les bas, leurs mains ont été partout, j'étais tripotée, fouillée par quatre mains avide, maladroitement au départ, mais dés qu'ils touchaient là où je ressentais du plaisir, ils s'y tenaient.

En même temps qu'ils tripotaient, branlaient, ils disaient, regarde là cette salope, elle mouille, on lui fait du bien, les petits salauds avaient raison, dés le départ, j'étais excitée de faire la pute, et d'être traitée comme telle aussi, le neveu avait trouvé un endroit calme pour s'arrêter, sans passage, il me regardait, moi aussi, mes yeux le remerciaient et les siens me disaient de me laisser aller, comme ils n'étaient pas expérimentés, je les encourageais en les guidants et me comportant comme une salope, "oui, vas-y avec ton doigt, continu, toi aussi derrière bouge le plus fort ".

Lui, il dit, "elle aime ça mon doigt dans son cul", ils me tripotent les seins en même temps, celui qui s'occupe de mon clito, il s'active et je commence à jouir, je lui dis, " encore, encore, haaaaaaa, je jouis, je jouis", en regardant mon neveu content du plaisir que je ressens, après cela, il me tripote toujours et je les guide dans ce qu'il doivent me faire, l'un enfile une capote et je m'empale dessus, peu pratique avec le toit du véhicule.

J'ai le visage vers le neveu, l'autre me tripote les seins, celui qui me baise me tient les hanches et me lime, on se regarde dans les yeux avec le neveu, je sens ce celui qui lime va venir, et comme je suis prête aussi, je le lui fais savoir, je fais savoir aussi à celui qui me tripote les seins, que je ne suis pas en sucre, il les tripote plus fermement et me pince les tétons, cela m'excite encore plus et je jouis à nouveau en le faisant savoir, celui qui lime vient dans les secondes qui suivent.

Je vais pour satisfaire l'autre, mais je devine qu'il est mal à l'aise devant les autres, quand je m'approche de lui, il dit ne pas avoir pris de capote, je lui mets sa tête sur mes seins, je lui sors le sexe et le branle, un beau sexe de bonne taille, et bien dur, je ne suis pas sûr d'avoir fait dix va-et-vient, qu'il éjacule déjà, ne voulant pas le vexer devant les autres, je continue à le branler une fois qu'il a tout donné, l'autre, lui me fouillait la chatte et l'anus.

Celui qui m'a baisé était beaucoup moins timide, il avait un an de plus que mon neveu et l'autre un an de moins donc 19 et 21 ans, celui de 21 ans était la classe au-dessus, l'autre était dans la même que mon neveu, après cela, il les a remmenés où ils ont été pris et nous sommes rentrés ou nous avons fait l'amour,

Ce petit jeune timide m'avait ému, la somme payée n'était pas chère, ça payait juste la location de la voiture avec le prix d'une paire de bas, cela divisé par deux, un midi, je vais voir mon neveu à son école, en restant de loin, et je vois en premier ce jeune sortir avec le reste de sa classe, mon neveu était parmi les autres, je suis étonnée qu'il ne soit pas tous les trois ensembles ni même que tous les deux puisqu'ils sont dans la même classe.

Je le découvre aussitôt, les autres le bousculent en lui prenant son sac, en le décoiffant, en lui mettant même une petite tape derrière la tête et en se moquant, c'est mon neveu qui sans intervenir physiquement, leur dit de le laisser, et de venir pour déjeuner, les autres le suivent et le jeune continu son chemin, je le suis sans savoir pourquoi.

En fait, ce jeune, c'est celui que mon neveu va voir le WE pour réviser, toujours dispos, car pas de vrai copain, c'est le premier de la classe qui a un an d'avance, au bout 1/4 d'heure de marche, il rentre dans un immeuble que je suppose à raison d'être son domicile, du coup, je ne déjeune pas et retourne travailler, le soir, en faisant l'amour avec mon neveu, je fantasme sur ce jeune copain.

Inutile de me demander pourquoi, car je n'en sais rien moi-même, mon mari m'a dit, ne cherche pas, des fois, c'est comme ça sans raison, me rappelant que lui une fois, il a fantasmé sur une femme 1.65 et 75 kg, alors qu'il préfère avec 10 kg de moins.

Deux semaines après avoir suivi ce jeune homme, un jeudi à midi, avec un manteau, un foulard et des lunettes de soleil, j'attends à l'école, quand il sort, je le précède, pour voir s'il rentre bien chez lui, j'ai le cœur battant, comme il vient bien de mon côté, les autres vont comme d'habitude, une fois qu'il est seul, je lui dis.

Excusez-moi, il me regarde étonné, je continue en disant, nous nous connaissons, il dit, ben, "jeeee", je dis, un soir en voiture, avec deux autres, il rougit, je lui dis, ne vous inquiété pas, je ne suis pas là pour vous ennuyer, et je ne dirais à personne votre petite prestation mignonne, il refait honteusement, " jeeee", je l'interrompt en disant, j'ai été très touché, ça signifie que je vous excitais, c'est comme un compliment.

Je continue de lui dire, voilà, je vous demande de ne rien dire de notre conversation, tout comme moi, je n'ai rien dit à personne non plus, et si vous le souhaitez, vendredi soir, nous pouvons nous revoir, voilà, je vous laisse réfléchir, je vais marcher jusqu' à la boutique qui se trouve à 100 mètres, puis revenir par ici, si vous rentrez chez vous, ça voudra dire que c'est non et je ne vous en voudrais pas, si c'est oui, vous m'attendez ou me rattraper.

À mi-chemin, du fait que j'allais aussi dans sa direction, il me suivait aussi lentement que je marchais, je n'étais pas vexée, qu'il ne me dise pas oui de suite, je comprenais son étonnement, avant que j'atteigne la boutique, j'entends Mme, Mme, je reviens vers lui et il me dit, oui, je voudrais bien, mais je n'ai pas assez, mes parents paient le studio et me donnent juste de quoi manger, ils sont radins en argent de poche, c'est pour ça que je rentre chez moi le midi, j'économise l'argent des repas.

Je lui dis, ha non, je ne suis pas venu pour réclamer de l'argent, l'autre fois, c'était pour la location de la voiture, mais là c'est gratuit, et c'est moi qui t'invite a dîner, ha d'accord dit il, puis il me dit, oui, mais vous avez vu que niveau expérience, je ne suis pas…., je lui dis, et bien écoute, tu me donne ton inexpérience, et je te fais profiter de mon expérience, il dit, oui mais c'est un marché de dupe, je dis pas du tout, j'aurais pu proposer à l'autre, mais si je le fais à toi, c'est que c'est toi que je veux en connaissance de cause.

Sa timidité et manque de confiance en soi m'excitait, il finit par accepter, je lui redis que je lui fais confiance et qu'il ne parle de cela à personne, même pas avec un copain, je lui donne l'adresse ou je suis venu avec mon neveu ou les femmes mures viennent avec des jeunes, le vendredi soir, il est là à l'heure dite, il m'attendait, il m'avoue aussi avoir cru un moment à une blague, mais comme dans la voiture, j'étais réel, il est venu.

J'avais justifié un repas d'affaires à mon neveu qui risquait de s'éterniser, et que je devais prendre ma voiture pour ne pas être tributaire pour qu'on me raccompagne, comme je n'étais pas là le vendredi soir, et que mon mari arrivait tard dans la nuit, il en a profité pour aller chez ses parents.

Nous prenons une table, cette fois-là, je n'avais pas de foulard, mais juste les lunettes, il essaie d'être distant vu notre âge, mais je lui fais remarquer qu'ici, nous sommes dans l'ambiance, je lui prends la main, il se laisse faire et nous discutons, je lui demande si je lui plais, s'il aimerait qu'on passe la nuit ensemble, il pose des questions de novice, ou je lui dis que je me donne entièrement à lui, sauf à s'embrasser sur la bouche, quand je lui demande s'il veut qu'on aille chez lui ou à l'hôtel, il dit que chez lui, c'est………. Je suis seul et…..., je comprends que niveau rangement, ça ne doit pas être top et en plus comme c'est petit.

C'est donc à l'hôtel que nous irons, il me parle de lui, que les autres le chahutent, que les filles, ce n'est pas ce qui lui fait perdre le plus de temps, je l'ai fait parler, mis en confiance, combien de fois qu'il se masturbe, il finis par me dire entre 1 et 2 fois par jour, des fois plus, si quelque chose l'a excité, il n'est plus puceau, une prostituée s'est occupée de lui à ses 18 ans, il dit cela en regardant son assiette, je suis celle qui sait ce qu'il a vu, il ne peut pas me mentir, je lui attrape la main, il me dit que je dois me foutre de lui, je lui répond, pour me moquer, il faudrait que tu me dises le contraire.

A suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Courrier pas si anonyme 11

Le 14/02/2016 - 07:22 par Candauliste
Bonjour Annizette, ce n'était ps une critique, mais simplement une constatation, car il est vrai qu'une histoire sur plus de 10 épisodes est quand même très long. Pour ma part, je trouve simplement que les épisodes s'enchainent et se ressemblent, c'était juste un point de vue. Bien Cordialement. Bernard
Le 08/02/2016 - 09:06 par annizette
soyez indulgent candauliste, cela se passait en 2000 sur deux ans, il me faut résumer en étant précise ainsi que passer quelques événements sans trop d'intérêt, à savoir aussi que ce "neveu" n'avait aucune expérience, ce qui était excitant cérébralement et frustrant physiquement, il tâtonnait, peut être Est-ce pour cela qu'à ces moments là, j'avais jeunes et vieux pour jouer. l'histoire est bientôt fini, il reste un rebondissement sur deux ou trois récits. il faut savoir que les histoires qu'on invente, on peut les piloter pour intéresser le lecteur, mais ce qu'on a vécu comporte le bon et le moins bon, c'était pour moi, une période particulière, sur ces 2 ans, j'ai eu 18 "élèves" masculin de 25 à 30 ans, qui ont essayés de me draguer, et je n'ai jamais cédé malgré que certains et plus particulièrement l'un d'eux, m'attirait physiquement, je me décris comme salope dans mes récits, mais en faisant le pourcentage des propositions qu'on m'a faite par rapport a celles ou j'ai eu, je suis presque une nonne, (je plaisante, le mot nonne est un peu trop fort)
Le 08/02/2016 - 04:51 par Candauliste
Il est temps de finir cette histoire, car tout se mélange, difficile de suivre le fil des évènements depuis l'épisode 9.

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