Cours de Fitness

J'ai 38 ans, grande et jolie blonde aux formes généreuses, je suis marié depuis 10 ans avec un homme que j'aime et avec qui j'ai eu 3 enfants. Ma vie me convient parfaitement et pourtant, il y a quelques temps, j'ai ressenti le besoin de séduire. Non pas que mon mari ne s'occupe pas bien de moi ou qu'il ne me désire pas, bien au contraire. Tout à commencé lorsque je me suis inscrit à des cours de fitness. J'ai intégré un groupe uniquement composé de femmes mais il y avait également des activités mixtes dans la salle.

Dès le premier soir, j'ai croisé à plusieurs reprises le regard d'un homme qui m'observait pendant ses exercices. Il participait à un cours de cross-fit et me tapa dans l'oeil avec ses muscles saillants et son sourire ravageur.
Ce n'était pas forcément mon type d'homme mais je lui trouvais beaucoup de charme et j'avoue que j'ai "joué" avec lui pendant deux ou trois séances, lui rendant ses sourires, me moquant parfois gentiment des efforts qu'il faisait. Bref, une sorte de complicité s'installa entre nous, sans que nous ayons échangé un seul mot. Mon cours s'arrêtait 30 minutes avant le sien et je restais souvent quelques minutes pour les observer. Un soir où je n'étais pas pressée de rentrer, mon mari étant en voyage d'affaires et les enfants chez leurs grands parents, je restais à discuter avec ma prof tout en continuant de regarder le groupe qui s'entraînait et surtout en m'attardant sur le bel athlète. Je croisais une nouvelle fois plusieurs fois son regard.
Le cours s'arrêta enfin et le groupe s'éparpilla. Je vis l'homme s'avancer vers moi et demander une bouteille d'eau au comptoir de la petite buvette. Il me sourit et me salua.
La discussion démarra rapidement entre nous sur la pluie et le beau temps. Je pouvais voir que de près il était aussi mignon que de loin et j'étais un peu intimidée par ses yeux bleus qui semblaient me déshabiller à chaque regard.

Je me sentais bien à ses côtés et oubliais presque mon mari et mes enfants le temps d'un instant. Il ramassa ses affaires et on continua de discuter en sortant de la salle, mis dehors par ma prof qui devait fermer. Le parking était quasiment vide et il m'accompagna naturellement jusqu'à ma voiture. Au moment d'ouvrir la portière, je lui tendis la main pour le saluer. Il la prit et un frisson me parcourut. On resta un instant un peu bêtes, main dans la main. C'est finalement lui qui prit les devants. Il s'avança vers moi. Je reculais légèrement, rapidement bloquée par ma voiture. Il se colla à moi, plongea son regard dans le mien. Sa bouche entra alors en contact avec la mienne. Je l'ouvris tout naturellement et laissais sa langue s'enrouler autour de la mienne.
Il embrassait bien. Ses mains avaient glissé sur mes hanches. Je me sentais toute chose contre lui mais repris tout de même mes esprits.
- Pas ici!! lui dis je dans un moment de lucidité
- Viens... il me prit par la main et m'emmena jusqu'à sa voiture. Je m'y installais, tremblante à l'idée de ce que je faisais.
Il démarra et après quelques minutes, il s'arrêta devant un petit pavillon. Je le suivis et sitôt entrés dans la maison, il m'enlaça de ses bras musclés. Sa bouche se souda de nouveau à la mienne. Il me plaqua contre le mur de l'entrée et fit glisser ses mains sous mon tee shirt, me le retirant rapidement. Ma brassière ne resta pas longtemps sur moi et il découvrit mes seins dont il embrassa les aréoles. Il me les malaxa, les pressa, les faisant durcir.
Je ne bougeais pas, je le sentis m'embrasser les seins, le ventre et descendre encore... ses mains firent glisser mon pantalon et ma culotte en même temps. Je sentais son souffle chaud sur mon entrejambe. Il y déposa un baiser puis glissa un doigt sur mes petites lèvres, comme pour vérifier mon excitation.
J'étais nue devant lui. Il se redressa et à mon tour, je dénouais le cordon de son short. Je découvris une bosse prometteuse qui déformait son boxer. Je posais ma main frissonnante d'envie.
Il m'aida et baissa d'une traite son sous-vêtement. Je fus surprise de la taille imposante de son sexe. Je le pris en main. Il était gros et dur et cela me rendit folle. Je me mis à genoux devant lui et le mis immédiatement dans ma bouche. Je m'appliquais sur ce morceau de choix, suçant le gland, tournant ma langue autour.
Je compris d'après ses murmures qu'il appréciait.
Après quelques minutes, il m'aida à me relever et m'entraîna vers le salon. Il s'assit sur le canapé et m'attira à lui. Je l'enjambais, me positionnant à cheval sur lui. Il m'embrassa les seins. Je sentais son sexe contre mes fesses. Je me redressais un peu et le guidait entre mes jambes. Sa pénétration fut lente mais intense. Je le sentais qui m'écartait progressivement, il me remplissait bien, mieux que je ne l'avais jamais été.
J'imprimais mon rythme, sentant ses mains sur mes hanches, sur mes seins ou mes fesses.
Il se révéla être un très bon amant et d'une résistance incroyable. J'eus un orgasme incroyable et m'écroulais dans ses bras. Il enroula ses bras autour de moi et me fit glisser sur le côté, je me retrouvais alors sous lui. Il commença de lents et profonds vas et viens, relevant mes jambes. Je glissais mes mains sur ses abdominaux, ses pectoraux. Je frissonnais au contact de sa peau.

Il me pilonna littéralement dans cette position. Je sentais son sexe épais coulisser en moi et j'eus un nouvel orgasme aussi violent que le premier. Je sentais qu'il était sur le point d'exploser et il se retira. Je voyais sa queue gonflée. Je la saisie et commençais à le branler énergiquement. Son orgasme ne fut pas long à venir et il se répandit en longs jets sur mon ventre et mes seins.
Je me pâmais de plaisir, son sexe à la main.

Il s'écroulé à mes côtés et me remercia pour ce plaisir, me complimentant sur mon corps et mes formes.

Après quelques minutes où nous réprimes nos esprits, il me proposa quelque chose à boire, ce que j'acceptais volontiers!

La scène était cocasse, nus comme des vers, nous trinquions au milieu de son salon.

Mes yeux ne purent s'empêcher de regarder son sexe qui avait dégonflé mais qui était encore d'une belle taille...
Je posais mon verre et vint me positionner entre ses cuisses. Je flattais un instant la bête puis le prix en bouche. Il fallut peu de temps pour qu'il retrouve toute sa vigueur. Je me mis à quatre pattes sur le tapis du salon et il vint me prendre en levrette. Je me sentais désirée et très sexuelle entre ses mains. Il osa faire pénètrer un doigt dans mon petit trou en même temps que je recevais ses coups de reins.
Cette caresse nouvelle m'excita encore davantage et l' encouragea du coup à poursuivre. Ce fut alors deux doigts qui s'enfoncèrent et enfin je sentis son gland exercer une forte pression sur ma rosette.
Son sexe força mais s'insinua lentement en moi.
Je me sentais écartelée, mes fesses me faisaient mal mais je serrais les dents, me concentrant sur l'image que je devais renvoyer, à quatre pattes entrain de me faire sodomiser!!! Je plongeais ma tête dans mes bras croisés. et subissais désormais les coups de reins de mon amant. Il me tenait par la taille, une jambe de part et d'autre de mes hanches. Maintenant son sexe coulissait en moi sans difficultés. Une chaleur intense avait remplacé la douleur. Je glissais une main entre mes cuisses et titillais mon clitoris. J'étais dans un état second. Je jouis rapidement sous mes caresses ce qui déclencha sa jouissance peu de temps après. Je sentis son liquide chaud couler dans mes fesses, sensation étrange et agréable.

Il se retira enfin, je sentis mon petit trou se refermer doucement. Il me tapota les fesses, comme pour féliciter sa monture.

Je me sentais honteuse de m'être faite baiser ainsi par un inconnu, je ramassais mes affaires et me rhabillais rapidement avant de rentrer chez moi.

La semaine suivante, je me portais pâle et n'allais pas à la salle. Le jour de mon retour, je croisais son regard à mon arrivée et vis tout de suite son copain à côté de lui me donner un coup de coude en me regardant. Je me suis dit immédiatement qu'il avait dû se vanter auprès de ses potes et cela me perturba durant tous le cours. Quelle folle j'avais été, et si mon mari l'apprenait, ça risquait de foutre en l'air notre couple et de faire voler en éclat notre famille.

A la fin du cours, je quittais rapidement les lieux. J'allais entrer dans ma voiture lorsqu'une voix m'appela. Je me retournais et vis les deux hommes derrière moi. Mon amant d'un soir me fit signe de l'attendre.
- attends moi, te sauves pas!!
- non je dois y aller...
- non attends, j'ai promis de te présenter à mon pote!!
- ça va pas, tu me prends pour qui !!??
- attends je te dis, à priori il te connait déjà mais tu n'as pas du le reconnaitre!!
- hein... quoi ? comment ça??!!
- oui d'après ce qu'il m'a dit, il bosse dans la même boîte que ton mari... il t'a croisé à une soirée entreprise...
Cela me revint d'un coup. Il s'agissait de Jérôme, un jeune ambitieux qui bosse effectivement avec mon mari. Je sais qu'il ne s'apprécie pas du tout et que ce Jérôme aimerait bien piquer la place de mon mari. Dans quelle situation je m'étais embraquée...??!!

Les deux hommes se retrouvèrent à côté de ma voiture.
- Jérôme aimerait bien prendre qu'on aille prendre un verre tous les trois...
- non désolé pas ce soir, mon mari m'attend à la maison...
Le fameux Jérôme intervint.
- Passes lui un coup de fil, dis lui que le cours dure plus longtemps ce soir... Juste un petit...coup...
Il avait dit cela avec plein de sous-entendus.
- non... désolé j'y vais lui répondis je sèchement
Je m'apprêtais à redémarrer lorsque qu'il ajouta :
- ton mari doit être content que tu ailles te dépenser comme ça...
Son ton avait été plein d'allusions. Je m'énervais. Furieuse après lui.
- calmes toi... ça peut rester notre secret... mais ça ne dépend que de toi!

J'étais piégée, comme avais je pu être aussi sotte! L'autre ne disait rien et s'était un peu effacé devant l'aplomb de son copain.
- Bon alors tu viens le boire ce verre?
- t'es vraiment un salaud! tu veux me faire chanter en fait?
- pas du tout... que vas tu chercher là... je ne suis pas un briseur de ménage... mais d'après ce que m'a dit Marco, t'es plutôt une chaudasse et ça c'est mon truc!!!

Je n'en revenais pas, son pote lui avait raconté toute notre soirée et Jérôme voulait profiter de la situation pour me sauter. J'étais coincée.
Il fit le tour de la voiture et monta à côté de moi. Je le fusillais du regard alors qu'il arborait un large sourire.
- allez, on va aller chez Marco... je crois que tu connais le chemin...
Je démarrais la voiture, des larmes remplissaient mes yeux et inlassablement je me répétais dans ma tête que je n'étais qu'une conne.
Après quelques minutes, la voiture de Marco s'arrêta et je me garais derrière lui. Je pris le temps de téléphoner à mon mari pour lui dire que j'aurais une petite heure de retard, ce qui ne le dérangea pas puisqu'il pensait que le cours se terminait bien plus tard!!

Je suivis les deux hommes dans l'appartement de Marco.
- je te sers un verre me demanda-t-il mais devant mon regard noir, il baissa la tête et s'éclipsa rapidement. Jérôme, lui, s'installa au fond du canapé et demanda un whisky puis tapota sur la place à côté de lui pour m'inviter à m'asseoir.
Je restais debout, figée.
- viens là... je vais pas te manger... plus tu es compréhensive et plus vite tu iras retrouver ton bon petit mari...
Je secouais la tête, quel connard ce type, je n'en revenais pas de son culot.
- c'est toi qui voit... moi j'ai toute la nuit devant moi...
J'avançais contrainte et forcée et m'assis à côté de lui.
- te voilà plus raisonnable... tu sais je veux juste qu'on passe un bon moment...
Sur ce il se saisit de mon poignet et posa ma main sur son entrejambe. Je sentis une bosse très volumineuse. Je ne bougeais pas mais malgré tout je sentais son sexe qui grossissait sous le tissu de son pantalon.
- Alors, voyons voir ce que tu caches sous tes vêtements... Marco m'a dit que tu étais sacrément bien foutue.
Il fit alors glisser la fermeture éclair de ma veste de jogging, dévoilant ma brassière de sport. Il dénuda mes épaules et ma veste glissa le long de mes bras.
- mmmmh, effectivement, c'est le souvenir que j'en avais... belle poitrine...

Je sentais sous ma main son sexe prêt à crever son pantalon.
- retires ta veste et montres moi tout cela.
Son ton était autoritaire mais posé. Je m'exécutais, décidée à me débarrasser rapidement de tout cela.
Je me retrouvais en soutien-gorge devant lui. Ce dernier écrasait ma poitrine et Jérôme laissa échapper un sifflement d'admiration lorsque je le quittais, libérant mes seins lourds. Il en soupesa un et agaça le téton avec un doigt. Je ne pus empêcher qu'il durcisse, ce qui l'excita un peu plus. C'est cette scène que découvrit Marco en entrant dans la pièce, verre à la main.
- t'avais raison Marco, elle a des seins magnifiques... continues, fous toi à poil, je sens que tu vas me plaire... ajouta-t-il en me regardant.
Je me relevais et fis descendre pantalon et culotte en même temps. Je me retrouvais en soquette devant les deux hommes.
Jérôme dégrafa son pantalon et extrait avec difficulté un membre énorme. Je n'en revenais pas de la taille de son engin et il ria en voyant mes yeux surpris.
- il est pas monté comme ça ton mari!!! allez viens là ma belle, tu vas commencer par me sucer et Marco va s'occuper de tes fesses. C'est mieux qu'il passe avant moi...

Je frissonnais à l'écoute de ses paroles. Malgré que ce type me débecte, j'étais excitée d'être à sa merci. Je me mis à genoux devant lui. Il avait fait glisser son pantalon jusqu'à ses chevilles et écartait largement les jambes. Son sexe était dressé face à moi. Je voyais cette colonne de chaire et me demandait comment j'allais pouvoir le prendre dans ma bouche. Il sourit en me regardant m'approcher.
- allez te fais pas prier, je vois dans tes yeux que t'en crèves d'envie!!
Il n'avait pas tort le bougre et j'étais honteuse d'être aussi excitée à la vue de son mandrin. Je posais ma main autour. Je sentais le membre dur entre mes doigts. Je me penchais dessus et le fis glisser entre mes lèvres.
- mmmmmh j'adore... tu as la bouche chaude... pompes moi... je sens que je vais prendre mon pied avec toi...

Je sentis alors les mains de Marco se poser sur mes hanches. Son sexe trouva rapidement le chemin du mien. Il me pénétra sans ménagement, s'agitant en moi. Je m'appliquais à sucer le sexe de Jérôme qui m'encourageait d'une voix douce, me traitant de salope, chienne, pute et autres noms salaces. Ma langue tournoyait autour du gland volumineux pour son plus grand plaisir.
J'étais trempée et je jouis sous les coups de reins de son ami qui ne tarda pas à se répandre en moi.
- Déjà lui lança ironiquement son compère... t'aurais pu faire durer un peu plus que je profite encore de sa bouche... allez c'est pas grave... viens ma belle... maintenant que Marco à lubrifier ta petite chatte, je vais pouvoir rentrer sans peine. Il m'aida à me redresser et m'attira vers lui. Je l'enfourchais et vins m'asseoir sur lui. Son sexe s'insinua entre mes jambes et me pénétra. Je me sentis remplie comme jamais je ne l'avais été. Son membre tapa rapidement au fond de mon vagin. Il plongea sa tête sur mes seins et me les embrassa avec passion.
J'étais surexcitée d'être le jouet sexuel de cet homme autant que lui l'était de posséder la femme de son plus grand rival.
Il me baisa pendant de longues minutes. Je contrôlais mes vas-et-viens sur sa queue et sentis un orgasme violent me submerger. Je criais de plaisir sous les contractions de mon vagin. Mon corps tout entier ne m'appartenait plus. Je jouis pendant de longues secondes peut être plus. Je m'écroulais enfin sur lui. Il en profita pour me saisir le visage et m'embrasser avec fougue, tout en donnant de puissants coups de reins jusqu'à son explosion. Je sentis son sperme m'inonder littéralement puis couler le long de son sexe.
Je n'en revenais pas d'avoir prix autant de plaisir.
Je me relevais honteuse. J'attrapais mes affaires et me réfugiais dans la salle de bain. J'essuyais le trop plein de foutre qui coulait de mon sexe dont les lèvres étaient toujours gonflées de plaisir. Je me rhabillais et quittais rapidement les lieux.
- t'as été génial... à très vite ma belle... on se revoit quand tu veux!!! et promis je n'en parle pas à ton mari!!
Je claquais la porte derrière moi et rentrais rapidement chez moi.
Mon mari s'était endormi devant la télé... je le réveillais et il me regarda surpris.

- et bien ma chérie, ça devait être bien cette séance? tu es rouge écarlate !!!

J'ai arrêté le sport ce soir là à la salle... mais j'ai remplacé les séances de fitness par des séances de baise avec Jérôme...