Course d'orientation

Nous avons tous connu quand nous étions au lycée, en cours d’éducation physique, ces foutues courses d’orientation.

Personnellement j’adore le sport mais ça ! Pfff ! Les seules périodes que j’appréciais c’est quand nous faisions du hand ou du baseball. Enfin bref. Me voici donc avec ma classe et une autre à la lisière d’une forêt.

Le prof nous distribue la carte, la boussole, et les cartons à poinçonner avec les balises que nous devons trouver puis il fait lui-même les groupes d’élèves. Evidemment il sépare les amis. Je me retrouve donc avec un mec de l’autre classe. Je suis presque rassuré, il a l’air sportif. Il ne trainera pas derrière moi à se plaindre.

Le départ est donné, nous avons 4 heures pour trouver les 15 balises pointées sur la carte et revenir au point de départ. Mathieu (c’est comme ça qu’il s’appelle) regarde la carte et nous partons en courant dans la direction donné. Le prof a été intelligent, il a fait une dizaine de groupe et a posé autant de balises différentes. Du coup pas moyens de tricher et de suivre d’autres élèves.

En 1 heure, Mathieu et moi avons bien sympathisé. Tout en courant d’un pas tranquille et régulier nous discutons. Nous avons déjà trouvé 6 balises.
-Ça te dit de faire une petite pose ? On a un peu d’avance je pense.

J’acquise et nous nous posons assis au pied d’un arbre. Je sors une cigarette, et lui en propose une qu’il prend. Après avoir fumé, nous repartons.

La forêt se fait un peu plus dense et les balises moins faciles a trouvé, elles ne sont plus sur les bords des sentiers, nous devons entrer dans les bois pour les trouver. Pendant que Mathieu entre dans la forêt pour poinçonner, je l’attends sur le sentier et repaire le prochain itinéraire.

J’entends un bruit de chute puis un juron.
-Euh Natacha ? Tu pourrais venir ? Je crois que je me suis tordu la cheville.
-Putain ! M’écriais-je

J’entre dans le bois et repaire vite Mathieu, assis par terre entrain de retirer sa chaussure.
-Laisse ça ! Sinon ton pied va gonfler ! Lui dis-je

Je mets la main dans la poche de mon jogging pour en sortir mon portable, le prof nous avais laissé son numéro sur la carte au cas où il arriverait quelques chose.
-Attend avant d’appeler, me dit-il, aide-moi à me lever qu’on retourne sur le chemin.

Je lui tends le bras pour l’aider mais au lieu de s’appuyer dessus pour se relever, il me tire vers lui et je tombe entre ses jambes écartées.
-Mais à quoi tu joues ? Criais-je
Il pose son index sur ma bouche
-Chuuuuut !

Il retire son doigt et approche son visage du mien. Je le pousse en arrière en criant :
-Mais ça ne va pas chez toi ! Qu’est ce qui te prend !
-Allez viens ! Regarde dans quel état tu me mets ! Me dit-il en me montrant son entre jambe, on peut s’amuser un peu non ? Personne n’en s’aura rien !

Evidement je ne suis pas peu fière de voir qu’il me supplie presque mais le moment était mal choisi ! Quoique très excitant !
-Tu peux te lever ? Lui demandais-je
-Bien sûr c’était une ruse pour te faire entrer dans le sous-bois, me dit-il en se levant et en me faisant un clin d’œil

Je vois parfaitement bien à présent la bosse que sa queue forme sur son jogging. Des picotements me traversent le bas ventre. Un éclair de lucidité me parcours le cerveau, et si on nous surprenait ?
-Bon très bien on peut continuer alors ? lui dis-je, on verra ça plus tard.

Je fais demi-tour et l’attends sur le chemin de terre. Il fait la moue mais je ne ferais rien avec lui !
Il est presque midi quand nous arrivons au point de rendez-vous. Nous sommes les deuxièmes à arriver. S’il ne m’avait pas fait son speech nous serions arrivés avant les autres !

Je récupère mon sac dans la voiture du prof, sors une bouteille d’eau. Mathieu se dirige vers moi.
-On aurait pu passer un super moment !
-Qui t’a dit que je ne voulais pas ? Attend ici et quand tout le monde sera parti on ira faire une ballade, lui dis-je en lui tendant la bouteille d’eau.

Par chance, je n’ai pas cours de l’après-midi. Une fois les profs et les élèves partis, nous rentrons dans la forêt en nous enfonçant le plus loin possible, histoire d’être sûr que personne ne nous voit. Mathieu est à nouveau excité comme pas deux ! Avant même que je décide que l’endroit me convienne, il se tourne vers moi, attrape ma tête entre ses mains et m’embrasse. Mes jambes manquent de se dérober sous moi. Je passe mes mains dans son dos et le tire fort contre mon ventre. Je sens bien sa queue dure sur ma cuisse.

J’ouvre la tirette de ma veste de jogging et la retire, j’enlève mon t-shirt et m’affaire sur celui de Mathieu. Il me pousse contre un arbre, se met à genou m’enlève mes chaussures, mon pantalon et ma culotte. Il m’embrasse les cuisses, les genoux, m’écarte les jambes et commence à me lécher la chatte. Le plaisir est immédiat. Je manque plus d’une fois de tomber à cause des spasmes qui me parcours.

Je sens l’orgasme arriver comme une énorme vague et me laisse aller aux caresses de cette langue chaude, humide et douce. Je lui agrippe les cheveux et tire son visage plus fort sur mon sexe. Il comprend le message et me lèche plus avidement encore. Je me mets à hurler de plaisir sans me soucier que l’on puisse m’entendre.

Mathieu se relève évidemment très fier de lui et pendant que je reprends mon souffle il retire son pantalon et son boxer. Sa bite se dresse sur son ventre, arrogante. Je ne suis pas sûr de pouvoir lui procurer autant de plaisir qu’il ne m’en a donné mais je m’agenouille et fourre son mat dans ma bouche. Mathieu renverse sa tête en arrière et gémis. Il pose sa main sur ma tête et guide mes vas et viens. D’une main, je lui malaxe les couilles. Je sors sa queue de ma bouche et la lèche de bas en haut, en alternant avec ses testicules que je suce. Avant que je puisse reprendre sa queue en bouche, il me fait mettre à quatre pattes et viens se placer à genoux derrière moi. Il présente son gland à mon vagin et entre doucement en me prenant les épaules. Une fois le chemin tracé, il se met à faire des vas et viens en me claquant de temps en temps la fesse droite.

Je sens sa queue se tendre de plus en plus, il va jouir ! Il commence à émettre des sons tels des râles d’animaux sauvage. Je me laisse aller avec lui et gémis plus fort. Ses vas et viens se font plus rapides. Nos peaux claquent l’une contre l’autre. Prise d’un orgasme je me mets à crier, lui déloge son sexe de mon vagin et éjacule sur mes fesses.