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Crescendo

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/05/2024

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Préambule : les changements de temps (passé/présent) sont voulus. Il ne s'agit pas d'une maladresse mais d'un moyen de créer des chocs temporels, des sortes de flash-back où l'esprit se perd.

J'ai fait sa connaissance alors que j'avais 25 ans. Je suis une petite brune méditerranéenne, et sans fausse modestie, j'ai beaucoup de succès auprès des hommes. C'est même agaçant.

Alors que j'étais assise à la terrasse d'un café, un vieux monsieur et moi avons échangé quelques banalités. J'ai appris qu'il avait 79 ans, juge honoraire.
Il m'a appris qu'il était photographe, et m'a proposé d'être modèle pour une séance. L'idée m'a plu. Alors on a pris rendez-vous pour qu'il me montre ses books.

Chez lui, il m'a proposé trois albums avec des photos. Le premier, très esthétiques, avec des belles femmes, en extérieur ou en studio. Le deuxième, du nu artistique. Toutes ces photos avaient été prises chez un de ses amis, dont la maison dégageait une sensualité particulière. Ma décision était prise : j'allais faire ce genre de photos pour lui. Il m'a freinée. Il ne me considérait pas prête pour du nu érotique, un pas à la fois.

La séance a lieu en extérieur. Quelques portraits, et je me prends au jeu. Mes attitudes lui plaisent, mes poses aussi, je m'amuse. Quand j'ai vu les photos, j'ai réalisé ma sensualité qui émanait, surtout de mon regard. Il est content, pour une première, c'était prometteur. On va se revoir, et dans la fameuse maison !

Chaque pièce avait sa propre ambiance, et les armoires cachaient toutes sortes d'accessoires : des sous-vêtements, des bijoux, des chaussures... Commençons !

Tous ces objets m'ont inspirée, et la séance s'est déroulée si vite. Bon sang ! Quand j'ai vu les photos... Elles sont magnifiques, mais ce que je dégage est si troublant.

J'ai oublié l'appareil et aussi ma pudeur. Je suis un peu mal à l'aise, pas lui.

Je découvre l'ambivalence, un mélange de fierté et de honte. De regret et d'envie d'aller plus avant sur ce parcours.

Je m'isole vais dans la petite pièce qui me sert de loge. j'y ai emporté un manteau de fourrure, et l'image d'Epinal me vient à l'esprit. Je le rejoins avec le manteau, nue sous le manteau pour être plus précise.

On ne se dit pas un mot, je commence à poser.

Progressivement, les pans du manteau s'écartent Le vieux ne dit rien mais il prend des photos, beaucoup de photos. Je lui dévoile mon jeune corps, mes seins d'abord, puis mon petit cul. Le vieux me mitraille. Le manteau glisse à mes pieds, je suis livrée à son objectif, totalement nue devant le vieux, mes attitudes sont de plus en plus lascives.

Je m'allonge sur un divan. Il s'approche et prend, si je puis dire, mes yeux, ma bouche, mon ventre. J'écarte irrésistiblement les cuisses. Il ne va pourtant pas prendre ma chatte.

Brutalement, il cesse la séance.



Une semaine plus tard, il m'a invitée chez lui et c'est sur l'écran de sa télévision qu'il a projeté nos photos. Le résultat esthétique m'impressionne tandis que lui est juste satisfait. Son attitude presque nonchalante me contrarie un peu.

Je suis rassurée qu'il n'ait pas pris de photos indécentes. C'est particulier de me voir aussi aguicheuse sur son écran, et d'être à côté de ce vieil homme. Heureusement, un vieux, c'est inoffensif, il pourrait être le grand-père.

Comme si c'était convenu, il fixe la prochaine rencontre, et mécaniquement, j'accepte.


Dans la maison de son ami, on prend un verre de vin, puis je me rends dans ma petite loge pour me parer. Je le rejoins et il me sert un deuxième verre. Avant de commencer les photos, nous discutons. C'est bizarre d'être ainsi, assise près de lui, presque nue, et même pire, en sous-vêtements suggestifs, et de discuter.

Puis il coupe net et prend son appareil. Pour les premières photos, le verre de vin devient un accessoire posé à mes lèvres. Le niveau du premier album, du nu artistique, est vite débordé, et le nu devient érotique. Puis il s'arrête.

"Vas-y, montres-moi ton corps, libère toi de toute contrainte."

J'ai obéi. Spontanément, je me suis mise à quatre pates, de profil, cambrée, puis j'ai enfoui mon visage dans un coussin. J'ignore totalement comment il cadre ses photos, je m'abandonne.

Après un temps que je ne peux pas estimer, on a fait une pause. Il m'a apporté ses trois livrets. Car je l'avais presque oublié, il y a un troisième livret et je ne l'avais jamais regardé.

L'érotisme y est différent. Les femmes sont attachées, parfois dans des poses indécentes. J'ai vu, il se lève, on reprend.

On ne s'est pas parlé du troisième livret, mais il place un bandeau sur mes yeux, il lie mes mains derrière mon dos, il m'agenouille, et recommence à photographier. Je l'entends passer devant moi, tourner, prendre l'image de chaque surface de ma peau. Pour la première fois, je le sens ému.

Il pose alors sa main sur mon épaule et presse légèrement mon buste vers l'avant. Je suis offerte, il photographie mon jeune cul. Insensiblement, je me cambre et il voit forcément ma chatte. Mes lèvres gonflent, je mouille, ça m'excite. Je suis honteuse, et ça m'excite encore plus.

Il me relève, me guide dans une chambre et m'installe sur le lit. Il relève mes cuisses et attache mes chevilles à mon poignets. Je suis écartée, la chatte offerte, exhibée, et impuissante. Je mouille comme une dingue.

Il retire le bandeau, me regarde fixement dans les yeux, puis il photographie mon visage. Ensuite, il regarde fixement ma chatte, s'approche, très près, respire mon parfum. Pus il reprend des images de moi, indécentes, humiliantes. Je n'en peux plus, je suis chaude comme jamais.

Je ne m'y attendais pas : il a rangé son appareil, m'a libérée, et la séance a été stoppée net.



Peu de temps après cette séance photo, j'ai reçu un appel du propriétaire de la maison. Il faisait à l'occasion de la photo amateur, il aurait aimé qu'on fasse du portrait. C'est un homme d'un peu moins de septante ans, un avocat. Etant donné ce que j'ai pu constater dans sa maison, il a une personnalité particulière et sans doute une sexualité bizarre, mais il demandait seulement du portrait. J'ai accepté.

Quand j'ai sonné à la lourde porte, il a été long à m'ouvrir. C'est précisément au moment où je prenais mon téléphone pour l'appeler qu'il a ouvert. Il avait ce visage sympathique des vieux bourgeois bons-vivants, je me suis immédiatement sentie à l'aise. Il était prévenant, me débarrassant de mon manteau, me proposant un café ou bien un verre de vin, presque empoté à vouloir démontrer son accueil chaleureux. On s'est donc installés à ma table de la cuisine, ce qui a donné un caractère détendu à notre conversation.

On a parlé technique, il était un novice, son matériel rudimentaire se limitait à un appareil numérique assez banal. Je n'attendais rien de cette séance, j'étais plutôt là pour rendre service à mon hôte jusque là inconnu, donc sa médiocrité photographique me laissait indifférente.

On a parlé de sa maison. Une vieille demeure familiale qu'il utilisait rarement, préférant son studio design en ville. Il y avait laissé libre cours à son imaginaire fantasmé, et avait créé pour chaque pièce une ambiance originale. Les accessoires que j'ai utilisés venaient généralement de brocantes.

On a parlé photo. Il aimait le style de photos du vieux, nettement supérieur techniquement. Il connaissait les trois albums. Il aurait tellement voulu avoir l'occasion de faire de genre de séance. Et puis ces femmes, tellement séduisantes, que le vieux avait prises, en photo s'entend !

Je commençais à réaliser qu'il connaissait les photos du vieux. Un sentiment mitigé de fierté et d'angoisse; avait-il pu voir mes photos ? Et dans cette éventualité, lesquelles ?

Il ne cessait de tourner autour de ce pot, exprimant de toutes les façons possibles son admiration pour le talent du vieux, son attirance pour les modèles des différents albums, son rêve de pouvoir pratiquer ainsi, surtout le troisième album. J'ai immédiatement coupé son enthousiasme : "Et si nous revenions à ce projet de portraits ?"

Silence. Ce n'est pas de la déception que je lis sur son visage, pas même de la frustration. C'est de la détermination et une forme d'agressivité.

"Je t'avoue que j'ai bien envie que nous fassions une séance plus audacieuse. Le vieux m'a vanté ton talent pour poser et il n'était pas nécessaire qu'il me disent combien tu es belle."

- "Nous avions prévu du portrait."

- "Et si tu te déshabillais ? Je pourrais te proposer différents accessoires, tu pourrais reprendre ton rôle, ton personnage."

- "Bon, je vais m'en aller", ai-je dit.

- "Je ne crois pas. Regarde ceci."

Sur la table, une enveloppe. Dans l'enveloppe, des photos. Sur les photos, moi. Sur toutes les photos de l'enveloppe. Je les parcoure rapidement, reconnaissant un ordre chronologique. Vite, voir jusqu'où il sait, jusqu'à quel point il sait, ce qu'il sait. Les dernières photos sont sans appel : j'y suis attachée, les cuisses ouvertes. Ma chatte et mon visage sur la même image n'augurent rien de rassurant.

Il n'a jamais fait de chantage, mais j'ai senti une forme de pression implicite. J'ai également perçu sa jalousie envers le vieux, et une tension sexuelle. Il m'a appris qu'il prête sa maison au vieux en échange de photos. Soit... Puis mine de rien, il a lâché : "Va dans le salon, des sous-vêtement t'y attendent, je te rejoins quand tu es prête." Et moi, mine de rien, j'y suis allée.

Je suis seule dans le salon. J'ai du temps pour réfléchir. Au lieu de réfléchir, je me déshabille. Il a préparé un ensemble de sous-vêtements rouges. Enfin, disons plutôt un soutien qui laisse l'essentiel de mes seins visible, et un porte-jarretelles rouges; ainsi que des bas noirs. Un petit mot me suggère de me maquiller outrageusement, avec des tons très foncés. Je m'apprête, je m'apprête en pute à vrai dire.

Je l'informe que je suis prête. Il entre et la séance commence. J'ai appris à jouer du regard, à placer mon corps, et il semble satisfait. Contrairement au vieux, qui est toujours resté apparemment impossible, le propriétaire émet quelques sons qui traduisent son émotion, et d'ailleurs, je peux voir qu'il bande. Il n'a pas l'air gêné.

On change de pièce, et de décor. Au total, il n'a pris qu'une dizaine d'images. Il décide de m'emmener dans la cave, qui elle aussi possède sa propre ambiance. De vieilles pierres, des chandeliers, et des accessoires relativement sophistiqués. Il me place à genoux sur une matelas. Au-dessus de moi pendent des lanières en boucle. Il me dit d'y faire passer mes mains. Je ne m'inquiète pas, rien ne les serre. Erreur. C'est surprenant ce mode d'attaches. Tant qu'on s'enfonce, la lanière reste souple; pareil quand on retire la main. Mais au moment de sortir la main, on réalise qu'elle est prisonnière. Il faudrait l'autre main pour, d'un simple geste, se libérer. Mais les deux mains sont prises au piège.

Il prend quelques photos de face, mes seins sont tendus par mes bras écartés. Ma toison sans culotte cache à peine ma vulve, car je suis à genoux. Il passe derrière moi, et s'exclame "quel cul !". Encore deux ou trois photos, puis je réalise qu'il s'assied.

"Cambre-toi !".
Je m'exécute. Il est à moins d'un mètre de moi, plus bas que moi. En me cambrant ainsi, je sais qu'il voit mes lèvres, et même mon petit trou.
"Cambre à fond petite salope. Je veux voir ton cul bien offert !"
J'obéis. Mais je ne parviens pas à rester ainsi longtemps, c'est épuisant. Alors je me relâche. Et clac ! Il me fesse ce porc.

Je me cambre donc, et à peine suis-je ainsi offerte qu'il passe ses doigts entre mes cuisses, entre mes lèvres pour être exacte.
"Tu es trempée petite garce !"
Il caresse mes lèvres et mon clitoris, je gémis, mon dieu, j'ai gémi, quelle horreur ! Je me relâche, clac. Ses doigts ont quitté ma vulve pour me fesser de nouveau. Désormais, je me cambre tout autant pour éviter la fessée que pour recevoir ses doigts.

Nous entrons dans un cycle, fessées-caresses, au rythme de mes déhanchements. Puis je m'entends hurler. Je jouis intensément pendant que ses doigts massent mon clitoris avec une douceur qui contrastent par rapport à la violence de ses fessées.

Je suis suspendue à mes bras, mon corps entier assoupli par la volupté. Ce vieux cochon m'a fait jouir. Il profite de ce moment relâché pour peloter mes fesses. Ainsi, il peut profiter de ma pulpe qui était durcie par mes muscles quand je me cambrais. Il pèse mes fesses, il les malaxe, il profite ce porc. Moi je suis dans un état second, je préfère...

Il commence à faire rebondir mes fesses avec sa main, puis progressivement, son geste devient une fessée légère, puis plus rude. Mon cul claque sous ses doigts, et je me cambre à nouveau. Il place sa paume vers le haut, de sorte que son majeur glisse dans ma chatte, où il se lubrifie, puis sur mon clitoris; et son pouce frotte mon petit trou. Son pouce frotte puis sa première phalange s'enfonce, juste à l'entrée de mon cul.

Il me branle le clito et le cul en même temps. Finalement, sa main demeure immobile, et c'est moi qui me branle le cul et le clito par les mouvements de mon bassin sur ses doigts. C'est bon, je n'en peux plus. Il colle son torse contre mon dos et touche mes seins avec son autre main. Il masse mes tétons sans abandonner mon clito et mon cul. Ainsi caressée de toutes parts, j'ai un orgasme exceptionnel !

"Oui, encore, c'est bon, mon cul, encore !"
Il quitte mon clitoris, tend son pouce et m'encule, son doigt va et vient dans mon petit trou et je recommence à jouir.

Je suis épuisée, je peux à peine tenir sur mes genoux. J'entends qu'il sort sa queue. J'entends le bruit de sa main qui s'agite. Il se masturbe en regardant mon cul. Dans un dernier sursaut d'énergie, je tends mes fesses pour qu'il puisse bien voir ma chatte et mon cul, ma chatte encore trempée, mon cul encore ouvert, je lui offre la vue de mon intimité, à ce vieil homme qui m'a fait jouir.

Il éjacule sur mes fesses, je sens son sperme couler dans ma raie.

Il prend un essui, me nettoie, nettoie même ma chatte. Il me détache, je me couche. Il quitte la cave, revient avec mes vêtements.
"Prends ton temps, quand tu seras prête, remonte. Je t'attends dans la cuisine."

Dans la cuisine, il y a toujours les photos de la séance précédente. Une séance largement désuète désormais. On ne se parle pas. Je quitte sa maison et rentre chez moi.

A peine arrivée, je ressens une honte immense. Et donc je me masturbe, car je le sais à présent : l'humiliation est le plus puissant moteur de ma sexualité.



C'est devenu comme une drogue.

Régulièrement, je suis retournée chez le propriétaire de la maison. Chaque fois, c'était exactement le même rituel : dans la cave, il m'installait, les mains attachées ; puis il se plaçait derrière moi, et regardait mon cul ; je devais bien me cambrer pour qu'il me caresse ; dès que je relâchais, il me fessait. Chaque fois, il me faisait décoller jusqu'à l'épuisement, avec ses doigts sur mes points sensibles et avec ses mains qui claquaient mes fesses, mais aussi avec ses yeux qui traversaient mon impudeur. Chaque fois, il m'achevait en éjaculant sur mon petit cul.

Cette routine me procurait toujours autant de plaisir. D'orgasme en jouissance, je ne me lassais pas, et ce n'est qu'une fois rassasiée que je cessais d'en redemander. Ses doigts épais, doux aux caresses et durs à la fessée avaient pris possession de mon esprit.

Un jour, alors qu'on discutait avant de commencer, il a ressorti ses photos de moi, celles qui avaient été prises par le vieux. Plus particulièrement, il a mis sur la table une photo où j'avais cette pose tellement impudique, les poignets attachés aux chevilles, la chatte bien écartées et offerte, les yeux bandés. Malgré la fréquence de nos rencontres, j'étais mal à l'aise.

"Il a bien profité le vieux, en regardant ta chatte. Tu aurais aimé qu'il te touche ?"

- "Non !"

- 'Pourtant, ta chatte était toute gonflée, on voit que tu étais excitée comme une jeune chienne. Regarde comme tu étais trempée."

- "Ça ne veut rien dire !".

- "Depuis qu'il sait à quel point tu es une petite pute, il regrette d'être resté sage. Je lui ai dit qu'il aurait mieux fait de se lâcher."

- "Depuis que quoi ? Vous lui avez raconté ?"

- "Evidemment... Ça ne l'a pas vraiment surpris. Vu la rapidité avec laquelle il a pu te photographier à poil, il avait compris ton potentiel. Il a envie de te revoir. Ça te plairait ?"

- "Je sais pas."

- "Dans le cas contraire, tu aurais dit non... Viens, on va commencer. Aujourd'hui, je vais t'installer de la même manière que sur cette photo, et bien exhiber ta chatte."

Après m'avoir attachée et bandé les yeux, il s'est assis face à moi.

"Tu sens mon regard ? Mon regard sur ta chatte. Tu sens mes yeux ? Oui, bien entendu que tu les sens, il suffit de voir comme tu mouilles. Tu es tellement excitée que le parfum de ta chatte envahit la pièce. Petite salope. Dire que le vieux n'a pas osé de toucher."

En disant ça, il s'est approché et a écarté mes lèvres.

"Tu es chaude, petite salope. Alors, tu aurais aimé que le vieux ose ?"

- "Je sais pas. Peut-être. Je crois."

- "Tu crois quoi ?"

- "Je crois que j'aurais pu aimer. Enfin je sais pas."

- "Que tu aurais aimé quoi ?"

- "Que le vieux ose."

- "Tu attends que je dise les choses à ta place ? Dis-le maintenant !"

Pendant tout ce temps, il me massait le clitoris, et mes dernières inhibitions s'évanouissaient au fur et à mesure que mon excitation montait.

"Dis-le ! Une phrase complète."

- "J'avais envie, j'aurais aimé. J'aurais voulu que le vieux touche ma chatte. Qu'il me branle. Oh oui, j'en crevais d'envie !".

A cet instant, j'ai entendu s'ouvrir une porte. J'ai reconnu la voix du vieux photographe, qui se félicitait d'avoir entendu la petite salope avouer ces choses. J'étais figée, mais je dois bien avouer que ma chatte dégoulinait de plus en plus, alors que le propriétaire avait cessé de me caresser.


Le propriétaire est passé derrière moi et m'a retiré le bandeau. A peine les yeux libres, j'ai vu le vieux face à moi. Il n'avait plus son air nonchalant, au contraire. Je pouvais lire toute la tension sexuelle que mon jeune corps provoquait en lui. D'ailleurs, il avait déjà la main occupée sur sa nouille. Une petite nouille molle, qu'il serrait entre deux vieux doigts. Il était impuissant visiblement, et j'ai compris que ça le rendrait d'autant plus sévère.

Le propriétaire s'est approché par ma gauche, il était debout et moi toujours attachée, presque assise. Sa main a appuyé sur mon menton pour faire pivoter ma tête, et sa queue s'est présentée naturellement devant ma bouche. Jusqu'alors, je ne l'avais jamais touchée, pas même vue d'ailleurs. J'ai lâché prise, je me suis laissée glisser vers mes fantasmes, car je le reconnais, j'avais déjà imaginé qu'on en arrive là, et j'ai ouvert ma bouche puis sucé sa bite.

Pas très longue, mais épaisse. Je l'ai bien aspirée, léchée, je sais que les hommes adorent mes pipes. Sa main était délicatement posée sur ma tête pour m'aider à gober son gland.

J'avais presque oublié la présence du vieux, qui s'est enfin autorisé à doigter ma chatte. Et il savait y faire ! J'ai joui si fort que j'ai lâché le gland pour gémir longuement. Mais ils n'ont pas cessé. Le propriétaire a de nouveau poussé sa queue dans ma bouche et le vieux s'est mis à me lécher la prune. Et j'ai joui à nouveau, en un instant.

Ils ont alors échangé leurs places. La vieille nouille gluante s'est frottée sur mon visage, sur ma bouche, et j'ai pu saisir son petit gland mou pour le mettre à l'abri sur ma langue. Le propriétaire dégustait ma cyprine, prenant soin de récupérer la coulée entre mes fesses.

Ils m'ont ensuite détachée pour que je me mette en levrette, pour bien voir mon cul. Chacun son tour est venu enfoncer sa langue dans mon petit trou, et moi je me branlais. Comme à son habitude, le propriétaire à éjaculé sur mes fesses, et le vieux a photographié mon cul souillé. Puis il est venu se masturber face à moi, entre deux mouvements de main, il passait son gland sur ma joue, et quelques gouttes de sperme se sont répandues, qu'il a étalées avec son gland pour pinceau. Puis a photographié mon visage souillé. J'ai eu un puissant orgasme.

Ils ont quitté la pièce. Dès que j'ai remis mes vêtements, je suis partie sans même les saluer.

J'avais franchi une étape supplémentaire dans ma dérive vers la dépravation. Je savais déjà qu'une fois chez moi j'allais me masturber. Je savais déjà que je retournerais dans cette maison.



C'est la seule fois que le vieux est venu. Mais je suis encore allée tant et plus dans la villa du vice, où le propriétaire me donnait un plaisir fou. Depuis la dernière fois, notre rituel avait changé, de sorte que chaque fois, il m'attachait les chevilles aux poignets, la chatte bien offerte et les yeux bandés. Parfois, il restait longtemps en silence face à moi, sans me toucher, scrutant ma cyprine qui s'écoulait entre mes fesses. Parfois, il me masturbait ou me léchait directement. Parfois, il enfonçait sa queue dans ma bouche. Je ne savais pas la tournure que prendrait la séance, mais j'étais systématiquement attachée de la même façon.

Il m'a fait découvrir le plaisir de la badine. J'adore. Aussi bien sur mes seins ou mes fesses que sur mon clitoris, et même mon petit trou. La cire chaude également, et toutes sortes de façons de me caresser. Généralement, il éjaculait en fin de séance, avec une préférence pour mon visage. Je suis devenue accro aux plaisirs que me donnait cet homme âgé aux perversions si riches. Au point que j'avais du mal à jouir normalement, dans une relation sexuelle banale.

Un jour, quand je suis arrivée, j'ai croisé trois hommes quittant la maison. Le propriétaire m'a accueillie dans le salon, où nous avons pris un verre. Sur la table, une multitude de photos de moi. Attachée, le cul en l'air, la chatte ouverte, du sperme sur le visage... Et des verres vides. Inutile de questionner : les hommes avaient regardé ces photos. On a sonné à la porte : un des hommes avait oublié son téléphone. Il était posé sur la table également. En le reprenant, l'homme m'a fixée dans les yeux, puis il a pris une des photos, ostensiblement, et m'a regardée de nouveau, peut-être pour dissiper un dernier doute quant au fait qu'il s'agissait bien de moi. Sur la photo, on me voyait attachée dans la pose que vous savez, avec du sperme sur le visage et mon regard perdu au milieu d'une coulée de maquillage noir. Il est reparti. Avec la photo.

Le propriétaire revenu, il n'a pas évoqué la situation. Moi non plus. Il s'est juste approché, puis il a écarté mes cuisses avec son genou, puis il a mis ses doigts sous ma jupe, il a écarté mon string, et m'a regardé l'air de dire "je savais que tu serais plus trempée que jamais". Il a voulu se redresser et retirer ses doigts, je l'ai retenu. Il m'a masturbée et j'ai joui en quelques secondes.

Ce jour-là, ce fut très différent. Il ne m'a pas attachée, mais j'ai posé pour des photos, assez peu esthétiques malgré ma beauté. Des photos pornos. Nous savions tous les deux à qui étaient destinées ces photos. J'ai appris plus tard que ces hommes sont des notables, avocats je pense, et qu'une bonne douzaine ont acheté mes photos. Car ils les ont payées. Et ce n'est pas tout. Il existe des films de nos séances. L'image de ma dépravation est détenue par ces hommes âgés. Et ça m'excite à un point...

"Ton jeune corps les rend fous, ton cul surtout. Et la façon dont tu me l'offres. Ils n'en reviennent pas. Certains d'entre eux sont un peu coincés, mais ce sont ceux-là qui achètent le plus volontiers tes photos".

- "Vous auriez pu me demander."

- "Je pense au contraire que tu as adoré le découvrir de la sorte. Et puis ne t'inquiète pas, c'est mon cercle de confiance, ils ne vont jamais montrer leurs trophées."

En réponse, je me suis tournée et j'ai écarté les fesses; lui a photographié. J'ai mis un doigts dans mon petit trou, je savais que les notables adoreraient. Je me suis tournée pour qu'on puisse voir mon visage en même temps que mes fesses écartées. J'ai fait la chienne autant que possible en pensant à ces hommes qui achèteraient les photos. Le propriétaire m'a passé un gode, et je me suis branlée à mort. Après quelques photos, je me suis installée dans le canapé. Il m'a léchée, j'ai joui. Je suis partie.

Chez moi, j'ai recommencé à me masturber. J'ai allumé mon ordinateur et j'ai regardé des vidéos. J'en cherchais où des jeunes femmes étaient attachées par des vieux, brutalisées, fouettées. Et d'autres où des vieilles bites molles se glissaient dans leurs bouches. Qu'est-ce qui me prend ? Je ne peux plus jouir sans stimuler mon cerveau avec ce genre de choses.

Le lendemain, le propriétaire m'a appelé. Il m'a expliqué que les photos étaient déjà vendues. C'est ainsi que j'ai appris qu'une seule image était imprimée pour chaque photo, et que les notables faisaient des enchères. Mon cul écarté avec mon visage visible était partie pour deux cent euros. juste pour une photo !

Les notables ont passé une commande. Ils voulaient me voir habillée en ballerine. Je n'avais pas de costume de ce genre. Eux, si.

J'ai donc fait une séance, avec un costume noir, tout en dentelles. Mes seins roses étaient visibles en transparence, de même que ma toison foncée. J'ai fait pas mal de danse, donc je sais comment me positionner. L'idée de faire ces photos pour eux, sous leur commande, ça m'excitait. Quand j'ai montré mon cul écarté, j'ai bien pris soin de regarder l'appareil avec un air défiant. J'ai demandé au propriétaire de me fouetter pendant que je me caressais. Les marques de la badine ont beaucoup plu. C'est la photo où la marque avait rougi mon petit trou qui s'est le mieux vendue.

A la fin de la séance, le propriétaire m'a soignée avec une pommade. Bien entendu, ses doigts ont glissé dans mon cul. J'ai joui. Lui aussi.



Désormais, entre le propriétaire et moi, il n'y a plus de faux-semblants. Je vais chez lui pour qu'il me fasse jouir, avec ses manières perverse ; nous savons tous les deux qu'il a pris possession de mon corps et que j'ai besoin des choses qu'il me fait. Il sait que rien ne m'excite davantage que l'humiliation, et il ne se prive pas de me donner ce plaisir.

Quand je suis arrivée, il était encore moins loquace que d'habitude. D'habitude... Oui, c'est vrai, je suis habituée à y aller. Il m'a fait entrer dans le salon et m'a invitée à me déshabiller, puis il m'a installée, comme chaque fois. Il m'a d'abord bandé les yeux, puis il m'a assise sur le fauteuil bas. Délicatement, il a relevé ma cheville gauche pour la lier à mon avant-bras. La droite ensuite, et me voici à sa merci, attachée, yeux bandés et chatte offerte. Il reste face à moi, sans dire un mot, je sens son regard qui caresse ma vulve. Puis il quitte la pièce. Cette solitude inattendue me trouble. Je commence à mouiller.

Il revient. Mais ? J'entends trop de pas pour lui seul ! Je saurai plus tard qu'ils sont quatre. A vrai dire, je savais intuitivement que ça arriverait, que les notables qui achetaient mes photos finiraient par assister à ma dépravation. Ils sont assis face à moi, près de moi, ils me regardent, longtemps. C'est épouvantablement excitant. Pas un seul mot, une tensions extrême, et mes odeurs de femelle qui dévorent la pièce.

J'imagine leur propre choc : quand ils sont entrés, ils ont directement été confrontés à ma position indécente, pas d'apéritif. La brutalité de mon offrande, les plus sensibles ont certainement été déstabilisés. Mais là, ils reprennent leurs esprits, ils se taisent, ils me regardent, rien d'autre. Je mouille si fort que ça coule, ma respiration devient plus ample, et je commence même à entendre un râle sortir de ma gorge. Je n'avais jamais rien vécu d'aussi excitant.

Le propriétaire s'approche et me retire le bandeau des yeux. Je découvre ces hommes qui me fixent. La soixantaine, très élégants, niveau socio-culturel élevé, ça transpire la vivacité d'esprit et les moyens financiers. Je n'en reconnais qu'un parmi les trois invités, celui qui avait oublié son téléphone. Il a le regard vicieux, limite agressif, c'est un mâle alpha parmi les mâles alpha. Les voir me secoue un peu, je réalise que le bandeau était confortable, car ils me regardent dans les yeux, enfin ils le font parfois. Mais très vite, c'est le dominant qui retient mon attention, ce sont ses yeux que je fixe, les autres ne sont plus vraiment présents dans mon esprit.

Le propriétaire me détache. Puis il m'ordonne de me retourner pour montrer mon cul. "Tends bien ta croupe, qu'on puisse tout voir. Ils veulent que tes fesses soient bien écartées." Je m'exécute, et sans l'avoir réellement décidé, je me masturbe. Le mâle alpha s'approche, une badine en main, et il me caresse le cul par petits coups secs précis. Trois coups à peine et je jouis en criant. Il continue, plus fort, et le propriétaire écarte bien mes fesses pour que ses coups de badine touchent bien ton cul. J'adore. Les deux autres s'approchent pour mieux me voir, ils sont tous les quatre autour de moi, la badine tombe au sol, est-ce un signal ? Toutes les mains plongent sur mon corps. Le mâle alpha me doigte la chatte et le cul, les deux autres malaxent mes nichons, et le propriétaire s'installe dans ma bouche en tenant fermement ma tête. Je sens une coulée tiède sur mon dos, un homme a éjaculé, le propriétaire se soulage à son tour, sur mon visage, suivi par un des deux autres. Le mâle alpha ne jouira pas. Il se contente de me lécher le trou en me masturbant, j'ai du sperme de vieux qui dégouline sous mon menton, et je jouis une fois encore.

Les trois invités sont accompagnés vers la sortie. Le propriétaire revient, je suis couchée au sol. Il m'essuie délicatement le visage, me conduit à la salle de bain, où il a déposé mes vêtements, puis me laisse enfin seule. Je prends une douche chaude, longue, j'utilise les huiles, les savons, je me nettoie, j'en ai besoin. Sèche, je me parfume, puis je remets mes vêtements banals, ceux de tous les jours, j'en ai besoin. Je reste encore un peu seule à regarder par la fenêtre, puis je le rejoins dans la cuisine. Il me propose un verre de vin, je demande une vodka, une ou deux... Il me comprend, il a saisi que je suis choquée, que je pense être allée trop loin. Il n'en parle pas, il me parle de sa maison, du jardin, il me raconte l'histoire du village, et mon stress s'éteint.

"Ils sont ravis. Ils adoraient tes photos, mais là, ils sont carrément impressionnés. Comment vas-tu ?"

- "Je ne m'y attendais pas."

- "Dis ! Tu savais très bien que ça arriverait !".

- "Je l'avais supposé sans y croire. L'idée m'excitait, mais je ne pensais pas le vivre."

- "Tu aurais pu tout stopper, un seul mot de toi et je les faisais partir."

-"Je sais. Enfin, oui, je vous crois."

- "Mais ?"

- "J'étais dans le truc, j'étais ailleurs."

- "Tu as aimé ?"

- "Oui."

- "Je ne te forcerai jamais. Mais je sais que tu as besoin de dépasser tes limites."

- "Je me sens sale."

- "Mais non. Tu es divine. N'y pense plus."

- "J'ai du mal à ne pas y penser."

- "Et ça te fait mouiller n'est-ce pas..."

- "Oui."

Il m'a allongée, il a relevé ma jupe, écarté mon string, et m'a léchée doucement, longuement. J'ai joui en silence, d'une intensité calme.

"Il faut que je parte."

- "Vas-y. A bientôt..."



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Histoire de Dr Louis

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