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Tifaine: Premiers rapprochements

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/04/2024

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TIFAINE: PREMIERS RAPPROCHEMENTS

J'étais sorti à l'extérieur, je fumais une cigarette, quand je l'ai aperçue de dos. Elle s'éloignait vers les arrêts de bus. Oui, c'était bien elle, et pourtant il n'était que 10 heures 45. Les jambes gainées de nylon qui les magnifiait, comme très souvent, une robe courte, des escarpins avec des talons assez hauts qui la cambraient et la grandissaient encore, elle devait dépasser le mètre quatre-vingt-dix avec ses chaussures. Une silhouette sans pareil en ces lieux. Une longue crinière de cheveux blonds qui descendaient très bas...Je l'aurais reconnue entre mille, et pas seulement parce que je connaissais sa silhouette par cœur, et parce qu'elle me plaisait.
J'ai couru après elle.
— Tu t'en vas, déjà?
Elle et moi on avait un statut identique, et particulier, dans cette immense cité aux services labyrinthiques. On était tous les deux stagiaires sur le pôle administratif. Ici, c'était un centre de formation qui préparait à des métiers très divers.
On venait l'un comme l'autre de formations privées on avait à l'esprit elle comme moi d'être définitivement recrutés à l'issue de nos stages, comme c'était souvent le cas.
Elle s'est retournée. Elle avait un visage impeccablement dessiné, d'une grande beauté, dont émergeaient deux yeux bleus magnifiques.
Au-delà, elle avait quelque chose de vraiment très rare à mes yeux, une sensualité que je n'avais jamais remarquée à un tel degré chez une fille. Il y avait ce corps, bien sûr, désirable, mais, au-delà, dans ses postures, dans sa manière de bouger, quelque chose de puissant, qui suscitait, je pouvais le constater depuis que je la connaissais, le désir chez tous ceux qui la croisaient et la regardaient, et pas que des filles. Il y avait des filles aussi belles qu'elle...Mais aucune, non vraiment aucune, n'avait cette puissance érotique...
— Je vais prendre le 11 heures 08...Je ne travaille pas cet après-midi. Et j'ai de toute façon fini mon travail.
Elle et moi, bien que dispatchés sur deux blocs différents, on s'était rapprochés, pour plusieurs raisons évidentes: on avait quasiment le même âge, le même sort, stagiaires, avec pas mal d'incertitudes sur notre Destin, d'angoisses, de doutes, ce qui était propre aux jeunes de notre âge. On s'était connus parce qu'on sortait fumer quand on avait droit à une pause, sur le vaste espace vert le long des bâtiments.
— Je t'accompagne, moi aussi j'ai fini pour ce matin, même si je reste pour la matinée.
On est arrivés sur le vaste no man's land dont l'élément dominant, outre les ordures jetées un peu partout étaient les arrêts de bus répartis à une distance raisonnable l'un de l'autre, et permettant de desservir trois destinations différentes, centre ville, extérieur nord et extérieur sud.
Une partie parking, des zones vertes, un peu partout des gens qui partaient, arrivaient, à pied, en voiture, qui discutaient entre eux...La vie de tous les jours...
Elle s'est posée sur un gros bloc de ciment. Ils étaient trois ou quatre alignés sur le côté, sans qu'on sache bien pourquoi ils étaient là et surtout qui les avait mis là. Il y avait à peu près une trentaine de mètres entre l'arrêt auquel elle allait se rendre et les blocs. Je l'avais déjà vue partir et je savais qu'elle habitait dans le Sud. Elle aurait largement le temps, quand le bus arrivait, de se lever et de s'y rendre parce que les bus arrivaient toujours en faisant un grand arc-de-cercle, ce no man's land étant circulaire.
— Tu fais quoi cet après-midi, je lui ai demandé, en même temps que mon regard glissait sur ses jambes dévoilées. De manière inévitable, quand elle s'était assise, la robe s'était relevée, déjà à la base, elle n'était pas très longue, et donc les trois-quarts d'un chef d'oeuvre parfaitement dessiné s'offraient à mon regard. Ca faisait des semaines que je l'observais sous toutes ses coutures, elle avait vraiment un physique sans défaut, ou alors ses défauts étaient bien cachés. Elle m'avait avoué faire énormément de sport, ceci expliquait sans doute cela.
— Oh, repos...Je vais me balader dans la ville...Possible que j'aille faire une manucure...J'ai pas les ongles en bon état.
Je ne sais pas comment on a basculé.
Ce n'était en tout cas pas la première fois.
Ces derniers temps, plusieurs moments, aussi troubles que marquants, m'avaient laissé penser que notre relation évoluait.
Le marqueur le plus fort, ça avait sans doute été la semaine précédente quand on fumait près du lac, isolés par des buissons, installés sur un banc, seuls, enfin c'est ce qu'on pensait, et elle m'avait demandé:
— Tu me trouves jolie?
Je crois que c'était vraiment venu du cœur quand je lui avais répondu:
— Plus jolie que toi, y a pas.
Jolie, c'était banal, neutre, ça voulait dire tout et rien, et c'était une manière de ne pas s'engager et de ne rien dire de compromettant. D'autres termes auraient mieux convenu, mais ils étaient sans doute trop précis...Et beaucoup plus compromettants. Je pensais à...sensuelle...attirante...troublante...
Je venais juste de répondre quand elle a rajouté:
— Tu veux regarder mon corps et me dire ce que tu en penses?
Et hop, elle s'était dressée, campée devant moi, et elle avait une de ces robes qu'elle portait souvent, elle en avait une sacrée collection, unies, souples, mais près du corps, qui dessinaient bien les contours de celui-ci. Et là elle me dévoilait ses charmes, dont j'avais déjà profité partiellement...Ou pas du tout...
Elle a bien remonté la robe jusqu'à ses épaules, pour que je puisse profiter de ses charmes dans leur intégralité. Elle tenait le tissu et elle a tourné sur elle-même pour que je ne profite pas que de la partie face. Il y avait quelque chose dans son regard qui me disait qu'elle n'était pas uniquement motivée par une angoisse concernant son anatomie, mais qu'elle voulait surtout me faire profiter de ses charmes. Une manière de s'exhiber avec un prétexte. Grande et fine, longiligne, avec cependant des formes bien marquées, mieux que je n'aurais pu le penser, même, elle avait un ensemble slip et soutien-gorge rouge cerise, et, à ma grande surprise, ses jambes n'étaient pas gainées par le nylon d'un collant, mais celui de bas stay-up, dont la partie élastiquée, qui permettait au bas de tenir, était marquée d'une jolie dentelle.
On a eu un moment particulier. Je me suis repu des lignes de son corps, et elle en était bien consciente car ce moment d'examen pour vérifier si son corps était désirable, ou pas, durait, durait...
J'aurais aimé aller l'explorer des doigts, de la bouche...En prenant mon temps, tout comme je prenait mon temps pour la regarder, en revenant sur les détails de son corps, jusqu'à le connaître par cœur...
Elle a laissé retomber la robe.
— Tu crois que je suis bien, alors?
— Mais non, t'es moche!
— Ah, j'aimerais bien que t'arrêtes le second degré.
— Je crois qu'il faut qu'on y aille...La pause est finie.
J'avais pris ce moment comme un début, avec une ouverture possible vers d'autres exhibitions, auxquelles je m'attendais.
Et voilà que je me retrouvais face à elle, chacun assis sur un bloc de béton.
— Tu crois qu'on va arriver à avoir un boulot?
— On finit nos formations dans six mois. On verra bien. Il faut rester optimiste.
— L'avenir m'angoisse.
Elle a eu un geste qui m'a troublé. Elle a tiré sur le nylon qui gainait ses jambes juste au dessus de son genou. Je n'avais pas remarqué que le nylon était lâche dans cette zone. Mais elle devait le sentir.
Elle a souri.
— Ces blocs, ils ont toute une histoire.
Je l'ai regardée, surprise.
— Laquelle ?
— Il y a des jeunes couples qui viennent baiser dessus. Ils sont un peu à part, et on peut voir, mais on n'est pas forcément vu. Parfois quand je fais la pause, je vais au bout du bâtiment, et je mate par la fenêtre. La semaine dernière, il y avait une fille qui faisait une fellation à son copain...Il avait une queue...Elle l'a fini en le masturbant...Il lui a arrosé le visage de sperme...Si tu savais comme ça m'a excitée...Mais mon meilleur souvenir, c'est il y a deux mois. Il y avait une fille installée sur un gars, eux, je crois qu'ils sont allés loin...Elle avait une robe, qu'elle avait roulé à sa taille, son slip à une cheville, et elle se faisait bouger sur lui. Le plaisir qu'elle avait...Ce sont les deux images que je garde, cette queue qui allait et venait dans son sexe, entre ses lèvres, et l'expression de plaisir de la fille. Généralement les couples se dissimulent, ils font ça en se tournant, en se masquant...Eux non, c'était vraiment de l'exhib pure et dure...Elle a sorti la queue du gars, arraché la capote, et elle l'a branlé sur son ventre et sur sa chatte...Il n'en finissait pas d'éjaculer. C'était hyper-troublant.
Elle a rougi, se rendant compte qu'elle me confiait son voyeurisme, le plaisir qu'elle avait à voir des couples faire l'amour. Elle a baissé la tête, pour la relever quelques secondes plus tard, avec une lueur nouvelle dans le regard.
— Tu sais que je n'ai pas mis de collant?
Je l'ai regardée sans répondre. Ca n'était pas vraiment une question que je m'étais posée. Elle avait souvent les jambes gainées de nylon, et je ne me demandais pas si c'était un collant, des bas...J'avais par contre bien remarqué qu'elle avait des bas stay-up quand elle m'avait demandé de juger de ses charmes...Mais j'avais aperçu, deux jours plus tôt, elle était pliée en deux sur son bureau, à la recherche de documents, sa robe s'était relevée, ultra-courte, un collant blanc avec un slip noir dessous.
— J'ai des bas stay-up. Comme l'autre jour. Tu sais qu'il y a trois semaines, je savais même pas que ça existait. Et puis l'autre jour, je vais m'acheter des collants, et j'en vois sur le présentoir. J'en ai pris une paire. Je trouve que ça me va super bien. C'est vraiment sexy. J'en ai acheté plusieurs paires, du coup. C'est glamour.
C'est parti du cœur, mais sans doute aussi du ventre, quand je lui ai dit:
— Tu as des jambes magnifiques, alors collants ou bas, ça ne change pas grand chose. Ca magnifie toujours tes jambes.
— Mais tu vas en profiter...
Et elle a commencé à remonter sa jupe.
Il peut y avoir du suspense partout, y compris dans une remontée de jupe le long de jambes faites au moule.
Elle y a été très lentement. Nos regards se sont rencontrés. J'ai bien compris qu'elle avait envie de me troubler,
Elle arrivait à l'élastique qui permettait aux bas de tenir, là aussi une jolie couronne de dentelle.
Je me suis souvenu d'un moment en septembre, quand on était arrivés. Il faisait encore chaud, et on était tous peu vêtus. J'étais déjà à mon poste, mais je buvais un café avant de démarrer. C'était tôt le matin, j'aimais arriver bien en avance, j'avais le temps de me poser et de me caler...
Et je l'avais vue arriver. Sa mère vivait avec un homme qui lui prêtait quand elle ne s'en servait pas, une énorme bagnole pour venir travailler, une 8008 rouge sang, et je trouvais assez extraordinaire de la voir arriver dans une voiture aussi rutilante...Ca faisait fille friquée, alors que non, elle était d'un milieu très modeste, sa mère était coiffeuse, et les hommes se succédaient à la maison, sans rester. D'ailleurs la 8008 avait disparu depuis, et elle prenait le bus. Mais à l'époque, elle l'avait encore, et pour quelques mois. Et donc, ce matin-là, elle était descendue...Elle était rarement de mauvaise humeur...Elle chantonnait, elle esquissait des pas de danse. Il y avait quelque chose de très enfantin en elle. Et ce jour-là, elle avait une robe rouge, simple, qui lui arrivait aux genoux. Et hop, elle avait esquissé un mouvement de danse, après avoir fermé sa portière, tournant sur elle-même.
Elle n'avait pas de slip en dessous, et, dans un temps très bref, j'avais pu voir une croupe charnue, ainsi qu'une toison blonde...Pas de détails en plus, mais c'était déjà beaucoup.
Image qui m'avait hanté longtemps, et dans laquelle, je me demandais la part de réalité, d'hallucination, dans un jour qui se levait.
La seule chose dont j'étais sûr, c'était de ne pas m'être trompé, car, à peine arrivé, après un bonjour chaleureux, elle avait bu une tasse de café avec moi, on avait parlé de nos plannings respectifs, pour se caler sur ce qu'on devait faire, on s'épaulait pour réussir notre stage. Après, elle avait plongé sa main dans son sac, et j'avais vu qu'elle avait, dans sa main, une boule d'étoffe rouge elle aussi. Elle était partie aux toilettes. Elle avait du partir très vite, et penser mettre son slip sur son lieu de travail. Ca m'avait troublé, ce détail intime. Je l'avais oublié, et puis il me revenait. Ce moment m'avait tellement remué que je m'étais branlé cent fois en y repensant...
Et, enfoui dans ma mémoire, il remontait à ce moment présent.
Elle prenait vraiment son temps. Elle m'a dévoilé la partie élastiquée, plutôt large, puis la chair. Je ne voyais pas encore son pubis, et je me demandais ce que j'allais voir. J'avais bien compris en tout cas qu'elle n'avait pas l'intention de s'arrêter là et qu'elle allait me donner à voir les parties les plus intimes et les plus personnelles de son corps.
Avant de voir, j'ai entendu:
— Tu sais que j'ai pas mis de slip ce matin...Toutes mes culottes étaient entrain de sécher. Ma mère ne fait pas la lessive assez souvent, et il y en avait plein en attente...Plus un slip de propre. Tant pis. Je suis cul nu. Il faudra que j'en achète des neuves.
Et elle a continué de remonter le tissu.
— Mais je trouve que c'est bien comme ça. Les bas et pas de slip. Ca me procure une sensation excitante. Je me dis que je peux troubler un mec, n'importe lequel, si je relève ma robe, si je la remonte...Dans le bus par exemple.
— Ou moi.
— Oui toi.
— Tu as envie de me troubler ?
--Depuis un bon moment je crois. Mais je crois aussi que tu l'es déjà un peu.
Elle a fait une manœuvre qui m'a bien plu. Elle a remonté le tissu encore plus haut, puis elle a tout ramené entre ses cuisses. Je me suis dit que je ne verrais jamais sa chatte autrement que de loin, mais elle a fait un 'tada !' et enfin, hop, dans une envolée de tissu, elle a exhibé son minou.
Des sexes féminins, j'en avais déjà vu pas mal. Je n'ai jamais été spécialement un coureurs de jupons, mais j'avais déjà eu pas mal de petites copines. On trouve toujours des personnes avec qui s'entendre, et pousser plus loin, dans des rapports amoureux. Même si ça ne dure pas. Je savais que chaque fille avait un sexe unique, il n'y en avait pas deux de pareils.
Celui de Tifaine était beau. Et dans un état qui disait une excitation que je pensais seulement être mienne, moi dont la queue était raide de désir, à en être douloureuse, dans mon pantalon.
Nous les hommes on est fascinés par les sexes des filles. Elles en sont parfaitement conscientes d'ailleurs. J'aurais été incapable de regarder ailleurs. Je voulais pouvoir regarder, longtemps, son sexe, pour en fixer le moindre détail dans ma mémoire. J'ai embrassé tous les détails, à commencer par cette magnifique toison blonde, qui ressemblait, de près, à celle que j'avais vue de loin, il y avait quelques mois de cela. J'aimais, contrairement à ceux de ma génération, les filles qui conservaient des poils, sans excès. Une toison bien taillée, ça me convenait, pour pouvoir y balader mes doigts, la langue, mon gland...Et puis les poils blonds, c'était séduisant. Elle avait un triangle parfaitement dessiné, coupé court, les aines dégagées. En dessous, il y avait son sexe. Ce n'était pas une fente close, dont rien ne dépassait, mais au contraire, un sexe qui était ouvert, et qui s'ouvrait...D'excitation...Ses lèvres étaient sorties d'elle, dessin inégal de l'une à l'autre, et elles s'étalaient, charnues, longues, mais aussi se dilatant sous mes yeux, devenant plus longues et plus épaisses...Entre elles, on voyait son intérieur, légèrement visible, mais qui l'a été encore plus au fil des minutes, tout rose. Et puis il y avait tout en haut de ses lèvres son gland clitoridien qui s'est décalotté, plop, au moment où je le regardais, et ce gland clitoridien, il s'est mis à bander sous mes yeux, à gonfler et s'allonger comme une petite bite. Décidément, Tifaine n'était pas comme les autres filles...Ca m'a mis dans tous mes états de le voir ainsi prendre des proportions inusitées.
— Je te plais?
— Tu m'as toujours plu.
— Je parle de ma chatte.
— Elle est magnifique.
— Tu veux que je me caresse devant toi?
Je ne m'attendais pas à cette proposition.
— Tu n'es pas obligée.
— Non, mais j'ai envie.
J'avais rarement été aussi troublé par une femme. Elle avait les mots, les gestes, ce qu'il fallait pour mettre un homme dans tous ses états, et ce que des filles plus belles n'avaient pas forcément. Mais elle était très belle...
Et elle s'est engagée, devant moi, dans l'acte le plus intime qui soit, celui auquel on s'adonne dans la solitude. Elle ne connaissait pas, j'en avais la confirmation, le sens du mot pudeur. Mais je n'allais pas me plaindre. C'était certainement la première fois de mon existence, et ce serait sans doute la dernière que je serais en contact avec une fille aussi exhib...
Mais, alors même qu'on était à l'extérieur, personne ne nous voyait. Elle était de dos par rapport à la place, et de profil ou de trois-quarts par rapport aux bâtiments. De plus, elle avait posé sa besace en cuir sur sa partie droite, de la sorte, personne ne risquait de voir ce qu'elle faisait. Et du côté gauche, il n'y avait que de la végétation.
J'avais déjà vu des filles se masturber dans des pornos, mais c'était la première fois qu'une créature féminine se tripotait devant moi. Et pourtant j'en avais déjà fait et vu pas mal avec mes petites copines...
Elle a sans doute fait ce que moi j'aurais fait si j'avais eu ma main sur elle. Elle a commencé par sa toison. C'était vrai qu'elle me fascinait, et c'était elle que j'aurais commencé à toucher. Elle a pris le temps, alors qu'il ne nous en restait pas tellement, mais il semblait s'être dilaté, de parcourir les poils dans différents sens, mettant ainsi en relief la souplesse et la qualité de soie de sa toison. Puis sa main a glissé plus bas, elle est venue au contact de ses lèvres, et elle a tourné dessus...Quelques secondes après le premier contact, il y a eu un jaillissement de liquide, qui est venu éclater en partie sur sa main, qui est sorti pour le reste, et ça amorcé des éclaboussures de cyprine régulières, couplées à un jaillissement constant de sécrétions intimes. Elle a adopté un mouvement régulier.
— Si je continue comme ça, je crois que je vais jouir.
J'étais troublé, autant qu'un homme peut être troublé. Troublé aussi par son impudeur, même si on s'était plus ou moins calés et arrangés de manière à ne pas être vus. Je savais par expérience qu'il y avait toujours un regard qui capturait quelque chose. Comme le matin où elle avait tourné sur elle-même sans slip dessous. Dans ce moment, elle avait le plaisir de s'exhiber pour moi, mais aussi pour tous ceux qui pouvaient la voir. C'était une fiction dans sa tête qu'on soit isolés.
Elle a lâché ses lèvres, le sexe bien plus ouvert que quand elle avait commencé à se caresser, pour quelque chose que je n'avais jamais vu une fille faire avant. Et pour cause.
— Tu te caresses bien, je lui ai dit.
— C'est compulsif chez moi. Depuis le jour où je me suis branlée pour la première fois...C'est venu tout seul, l'instinct...Ca a été tellement bon. Et encore plus les fois suivantes, j'ai compris que les gestes, le plaisir, l'orgasme étaient à chaque fois différents, et j'y ai recours très souvent. Même quand je suis avec un mec...Si je renonçais à ça, je me priverais de quelque chose de tellement fort...Et d'irremplaçable...
Son gland clitoridien était bien érigé. Long et épais. Plus long et plus épais certainement que certains micro-pénis. Elle s'est mise à le masturber comme elle aurait masturbé une petite queue...
J'étais fiévreux, tendu, la queue figée dans une érection douloureuse.
VERSION 1
Sur son sac, il y avait un gilet posé, assorti à sa robe. Elle l'a attrapé de sa main libre, elle me l'a balancé, et elle m'a dit:
— Je veux que tu te caches avec, mais que toi aussi tu te branles...Devant moi. Je te fais un cadeau en te laissant me regarder dans un acte intime, tu m'en fais un aussi.
Je n'avais aucune raison de refuser même si je n'étais pas aussi exhib qu'elle. Ca me plaisait ce nouveau schéma, dans le prolongement du précédent, où chacun se donnait du plaisir en s'offrant à l'autre.
— Tu mets le pull pour te masquer, mais tu me montres bien ta queue.
Je sortais de mes schémas habituels, elle m’entraînait vers quelque chose d'autre.
Ce qui m'a plu, ça a été le renversement de situation. Elle est devenue elle aussi une voyeuse, alors même qu'elle continuait de frotter son gland clitoridien.
— Je ne pensais pas que tu avais une aussi belle queue, elle m'a dit. Elle est énorme, longue et bien charnue...Et ton gland, il est beau.
— Le tien aussi.
Et c'était vrai que j'avais rarement été aussi gros. Grâce à elle. Parce qu'elle me troublait, déjà au quotidien, et encore plus dans ce moment où elle m'offrait son anatomie la plus intime, avec des gestes qui ne l'étaient pas moins. J'ai plus ou moins masqué ma queue avec le gilet et j'ai commencé à me branler. Je devais me maîtriser pour ne pas jouir sur le champ, tellement elle m'excitait.
On était dans quelque chose de totalement hypnotique, et c'est à ce moment-là qu'on est véritablement sortis de ce qui nous entourait, fascinés uniquement par l'autre et son jeu sur son sexe...Elle était visiblement au bord de l'orgasme, à force de se frotter le gland clitoridien, qui avait encore épaissi...Et moi je ne valais pas mieux. Avec quelque chose qui traînait dans ma tête, et qui me faisait penser que jamais je n'aurais imaginé qu'on en arriverait là. Bien sûr elle me plaisait, bien sûr elle était attirante, incroyablement attirante, mais je n'avais pas pensé qu'on basculerait sur quelque chose de sexuel, et d'aussi intime sans quelques étapes avant.
On avait la même démarche, elle comme moi, celle de retenir notre jouissance, dans un moment où le plaisir est intense, sur le fil du rasoir.
Elle m'a jeté:
— Je veux qu'on se finisse en se caressant mutuellement. Ma main sur ton sexe, et la tienne sur moi.
On se donnait sans doute autant à voir que ce fameux couple qu'elle avait évoqué et qui l'avait tant troublée.
Deux mains ont changé de place. La sienne est arrivée la première sur moi. Sa main qui m'a entouré, chaude, douce, même si elle n'arrivait pas à totalement la refermer autour de ma queue tellement j'étais énorme, excité par elle. Le contact m'a tellement remué que j'ai lâché un jet de sperme qui a atterri sur sa cuisse. Elle est venue le récupérer sur le nylon de son autre main, et elle l'a lapé.
— J'aime le goût du sperme.
Moi, je ne me sentais pas de lui prodiguer la même caresse qu'elle s'était auto-prodiguée. Même si son gland clitoridien dardait, provocant, obscène. J'ai glissé deux doigts dans son sexe béant. Elle a fermé les yeux, a poussé un petit gémissement. Je suis rentré tout doucement en elle, pour ne pas lui faire mal. Elle a pris mes doigts comme elle aurait pris ma queue, m'entourant de la suavité de son sexe, de sa chaleur, ruisselant autour de moi. Une fois qu'on a été calés, on a caressé l'autre, elle en allant et venant sur moi, descendant aussi sur mes couilles, alors que moi je bougeais dans la gaine de son vagin, la caressant en même temps que je prenais les mesures de son sexe, de ses parois, de ses plis et replis internes...Elle se retenait pour ne pas gémir, pour ne pas crier, mais je n'étais pas mieux.
Tifaine adorait avoir des ongles longs, soigneusement manucurés, qu'elle peignait elle-même ou faisait peindre. Elle est venue frotter mon gland avec l'un d'entre eux...Caresse inédite qui m'a fait exploser...Je me suis retenu de ne pas crier, tellement mon plaisir a été fort. Mon sperme a jailli en jets copieux qui l'ont maculée, sur ses bas, sa robe, son visage, ses cheveux, mais ça semblait la ravir.
Et puis elle m'a rejoint dans la jouissance. Mes doigts, une fois ultime au fond d'elle, au contact de son utérus...Elle a ouvert la bouche pour un cri silencieux, et il y a eu un formidable jaillissement de liquide intime, une éjaculation qui est arrivée jusqu'à moi.

VERSION 2
— Tu as remarqué...Ici, c'est un endroit magique...Tu es là, mais personne ne te regarde...En fait, c'est partout pareil. Tout le monde est plongé dans ses pensées, des discussions...C'est fou. Mais on va en profiter.
Elle a plongé la main dans son sac, et elle en a ressorti un carré d'aluminium. J'ai tout de suite compris ce dont il s'agissait, un préservatif. Elle a fendu l'aluminium, et sorti la rondelle de plastique toute grasse.
— Tu vas voir, ça va bien se passer. Nous aussi on va avoir notre plaisir.
J'ai bien compris qu'elle faisait référence aux couples qu'elle avait pu apercevoir sur les mêmes blocs de béton, et dont elle était sans vraiment le reconnaître, jalouse.
Elle s'est légèrement redressée, a calé le préservatif entre ses doigts, et elle l'a posé sur mon gland, avant de le faire descendre le long de ma queue, jusqu'à arriver à la racine de celle-ci.
— Une chatte, une queue, c'est toujours une équation gagnante.
Elle est venue au dessus de moi. Je me suis dit qu'on était fous d'aller aussi loin...Mais j'avais trop envie pour la repousser. Elle a attrapé ma queue, et s'est laissée descendre sur moi, cette fois totalement. Malgré le latex, j'ai senti, contre mon gland, le dessin de ses lèvres, et son humidité. Elle a réorienté ma queue de quelques millimètres, et elle m'a fait rentrer en elle. J'ai senti que je glissais contre les parois de son sexe, jusqu'à ce que mon gland vienne buter contre son utérus.
Totalement avalé par elle, bien calé dans sa chatte. Même dans mes rêveries les plus intimes, je n'avais jamais rêvé que ce soit possible. Enveloppé par la gaine de son sexe, entre chaleur et humidité.
Elle avait une expression extatique, comme si ça avait été un nirvana absolu que d'avoir un sexe d'homme dans le ventre. Elle s'est faite monter et descendre sur moi, me caressant de sa chatte en même temps qu'elle se caressait de ma queue. Je suis venu poser mes mains sur ses fesses, pleines et charnues. Elle s'est mise à jouir très vite, se tendant et poussant un gémissement, puis agitée de soubresauts. Elle a éjaculé, ses liquides intimes sortant autour de ma queue et nous arrosant en crachements qui nous ont bien mouillés. Je me trouvais dans un entre-deux, fasciné de la voir ainsi jouir, mais sentant aussi, parce que son sexe se crispait et se décrispait autour de moi, que sa jouissance allait précipiter la mienne. C'est bien ce qui s'est passé, je suis arrivé à un point de rupture, et j'ai été traversé par un orgasme puissant, dont la manifestation la plus concrète a été le jaillissement d'un sperme aussi copieux que ses éjaculations à elle, qui est venu taper contre les parois internes de son vagin, et l'a faite jouir encore.

CONCLUSION

Il y a eu un retour au calme. On a épongé les liquides qu'on pouvait éponger. On était tâchés, mais je crois qu'on s'en foutait bien. Elle souriait, heureuse de ce qui s'était passé entre nous. Moi j'étais heureux, mais aussi sous le coup de la surprise. J'avais du mal à croire qu'on ait pu avoir un moment aussi fort.
Le bus venait d'arriver au début de la boucle. Elle s'est retourné, m'a dit:
— Bon, il est temps que je parte. On se retrouve demain au boulot. Samedi soir, il y a du théâtre dans ma ville. C'est pour une œuvre de charité. Ca te dit de venir assister à la pièce avec moi? Si c'est oui, je prends une deuxième place.
— Je serai là.
Je l'ai regardée s'éloigner, ses hanches et ses fesses dansant jusqu'à ce qu'elle soit à l'arrêt du bus. Il est arrivé à sa hauteur quelques secondes plus tard. Elle a grimpé à l'intérieur. La dernière image que j'ai eu d'elle, ça a été cette chevelure blonde, longue et soyeuse contre la vitre.

A SUIVRE
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