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Cruelle désillusion

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Lue : 3458 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 31/08/2013

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Voir si vous ne les avez pas lus «Une salope en stage avec son amant» du 21/10/2012 et «La stagiaire salope trompe son amant» du 5/11/2012. Taper sur mon pseudo Veilleur pour trouver la liste de ses récits…

Résumé : René, mari de Julie, père du bébé Margaux, voisin et collègue de travail de Sabine l'épouse de Louis, a été surprise en plein rapport sexuel avec Sabine par Louis, le mari. Pour prix de son silence le cocu impose à René d'accompagner Sabine à un stage prévu par la direction de leur entreprise. René suivra « si Sabine s'engage par écrit » à lui réserver ses faveurs durant le stage. Louis apprend par ailleurs de Judith l'épouse du DRH, que Sabine a pratiqué la promotion canapé. Judith a obtenu l'envoi en stage de l'intrigante. Louis réunit les informations nécessaires au gain d'un divorce auquel il se résout après avoir constaté que même en stage Sabine est infidèle; elle trompe son amant comme son mari

Suite :

René vient de me révéler qu'il a retrouvé Sabine enfermée dans leur appartement de stagiaires en compagnie du directeur de stage en petite tenue, privé de ses vêtements , de ses papiers et de ses clés.. Je termine mes consignes au téléphone.
- Continue, ta mission arrive à son terme. Il te reste deux nuits pour t'amuser avec ma femme. Profite au maximum de ces derniers instants, après cette relation devra cesser. Gâte la, ainsi elle te regrettera plus fort lorsque tu seras fidèle à Julie.

Le weekend les ramène à la maison. Sous prétexte de montrer à René nos derniers modèles de voitures, je le conduis à mon bureau. Je modifie radicalement les consignes :
-C'est fini, je t’interdis de toucher à ma femme au cours de la prochaine semaine. Sinon je fournis à ta femme certaines explications sur ta fatigue lors des retours et quelques photos...

En réalité je vais au devant de ses attentes.
-Tant mieux. Sabine me suce la moelle. Et sa façon de se livrer à Albert m'a dégoûté. Je la croyais amoureuse de moi. En réalité je suis son jouet, mais elle se donne à qui peut lui donner de l'avancement. Franchement, si tu avais vu la bedaine d'Albert, tu n'aurais pas cru possible une liaison entre elle et ce gros porc. A contre-coeur je lui ai fait l'amour ces deux nuits, je me suis forcé. Quelle déception.
- Si je m'en remets à ces photos la séance avec le responsable a demandé du courage à Sabine.

Je lui ouvre un album de photos pour lui rappeler le chemin parcouru depuis le début. Albert y figure en bonne place en dernière page.
- Comment c'est toi qui as photographié Albert ? Tu es venu à Strasbourg ?
- Non, j'ai engagé un détective privé chargé de récolter le maximum d'informations sur ma femme et sur toi.
-C'est donc lui qui a dépouillé Albert et qui les a enfermés. Ouah ! Que vas-tu faire ?
- J'ai l'intention de divorcer et je monte mon dossier : ma femme n'est fidèle ni à toi ni à moi. Tu restes en stage mais cette fois tu refuses les contacts physiques. Le motif de la rupture est tout trouvé : tu aimes les femmes fidèles, ce que Sabine n'est pas, et sa mauvaise conduite a été l'occasion de réfléchir à l'avenir de ton propre couple. Tu veux reprendre ta vie conjugale en main.

Je mens, le détective est imaginaire, mais il pourrait surveiller René et lui inspirer l’envie de m’obéir par peur de représailles : Le doute peut assagir le jeune homme. Il va se sentir obligé de suivre mes consignes. Quelque chose le chagrine :
- Mais tu vas me compromettre en étalant cet album pour gagner ton divorce. Que va dire Julie si ces photos paraissent ? J’ai rempli le rôle que tu m’as assigné, ne casse pas mon couple.
- Je ne devrais pas m'en soucier. Il ne fallait pas commencer : à cause de toi je porte des cornes. Ca fait assez longtemps que tu te paies sur la bête. Par respect pour ta femme et pour ta fille, je conserve au secret les preuves de ta trahison. De ton côté, j'insiste : invoque la coucherie de Sabine avec Albert pour rompre définitivement votre liaison. Si tu es correct, les photos compromettantes ne seront pas dévoilées.

Ce point réglé, je déclare à ma femme que je suis las des reports qu'elle m'impose depuis des années à propos de la conception de notre enfant.
- Tu ne me prends pas au sérieux. J'ai décidé de ne plus avoir de rapports sexuels avec toi si tu conserves ton stérilet. A quoi sert-il si tu souhaites sincèrement être mère ? Contre qui ou quoi te protège-t-il ? Notre couple est en danger, je refuse de reprendre la vie menée avant ton stage, sans espoir d’enfant.

Je suis sourd à ses récriminations, je ris de ses soupçons. La perspective de l'éclatement de son couple modèle la conduit à accepter un rendez-vous chez son gynécologue samedi prochain. Je reste inflexible, je refuse de lui faire l'amour. j'exige des faits.
- C'est désespérant, m'a raconté Julie dimanche soir en revenant de la gare. René a de nouveau passé le week-end au lit, avec un terrible mal de tête. Je me demande s'il n’a pas rencontré une autre fille là-bas. Il me néglige. Je ne le reconnais pas. Il était si aimant, si fougueux.

Je l'ai consolée. Je lui ai rappelé que ma femme veillait sur son mari. Elle m'a remercié, a voulu m'offrir un verre. Nous en avons bu deux. Elle avait les larmes aux yeux. J'en avais mal au coeur. Je l'ai serrée contre moi pour la réconforter. Elle s’est épanchée, a pleuré, a cherché le creux de mon épaule. Elle a levé ses yeux tristes, m'a fait fondre. Nous nous sommes embrassés. Elle était frustrée, j'étais en manque d'affection sincère. Et l'inattendu s'est produit : Julie m'a fait une déclaration d'amour.
- Contrairement à René, tu es fort, mature, posé, solide, sécurisant, fidèle, sympathique.

J'en passe; j'avais toutes les qualités que Julie attendait d’un homme. Pris au dépourvu, ému aux larmes, je dus faire un effort surhumain pour remettre de ordre dans nos sentiments et pour étouffer une brusque bouffée de désir.
-Julie, j'ai pour toi une véritable amitié. Mais aussi émouvante que soit ta déclaration, je t'invite à ne pas céder à un moment de déception. Toutes ces qualités que tu me trouves, tu les redécouvriras chez ton mari. Laisse-lui du temps, il va retrouver plus de sérénité d'ici un mois. Tu es adorable, tu mérites d'être heureuse. Restons amis et confidents. Il m'est arrivé de rêver de toi, tu es très désirable: hélas, ça ne nous conduirait nulle part.

La tentation était là, la vengeance facile. je résistai. Je pensais à Judith, bientôt divorcée et libre, à un bonheur sans complication, sans remords avec cette adorable créature. Les dégâts de l’inconduite de Sabine et René ne devaient pas affecter la vie de Julie et de sa fille.

De plus j'étais curieux de connaître les réactions de Sabine sevrée de relations sexuelles pendant une semaine. J’attends le rapport hebdomadaire de René.

D'après René ma femme a compris ses reproches et a vécu chastement. Le rendez-vous du samedi chez le gynécologue la délivre de la protection anti grossesse. Sabine espère de gros câlins. Hélas le médecin lui recommande quelques jours d'abstinence et je me montre très soucieux de la bonne santé de mon épouse. Je suis scrupuleusement le conseil du gynécologue.

Au moment du départ du train mon oeil averti constate un froid entre Sabine et René. Osera-t-elle, sans le stérilet, se lancer dans une autre aventure? Patientera-t-elle jusqu’à samedi ? Par contre la joie de Julie fait plaisir à voir. J'avais raison, reconnaît-elle, son mari est redevenu l'homme qu'elle a choisi. Il s’est montré en forme, plein de tendresse. Elle verse des larmes de joie et m’embrasse sur les deux joues.

J'ai de plus en plus de plaisir à rencontrer Judith. Elle m’attendra. Elle est certaine que nous formerons un couple idéal. Normal me suffirait. L’avocat va entreprendre les démarches pour mon divorce. Il nous recommande de ne rien précipiter pour ne pas compromettre l’issue du procès.


Ce week-end, j’annonce à Sabine ma décision de divorcer. Elle tombe des nues, fait l’innocente.
- Ce n’est pas possible !

Elle me croyait sérieux, fidèle, capable de supporter la séparation du stage et fier de sa future promotion. Quel diable m’a piqué? Quelle femme m’a sorti du droit chemin ? Que vont dire parents, amis et connaissances ? Je dois réfléchir, me calmer. Elle m’aime, tout ce qu’elle a fait, elle l’a fait pour moi :
- Il y a ce projet de bébé. J’ai fait retirer le stérilet volontairement. Huit années de mariage, un si grand amour, un avenir plein de promesses. Non, tu plaisantes. Mais ce n’est pas une plaisanterie à faire. Qu’ai-je fait pour mériter une pareille injure ?

J'ouvre mon album. Elle revit ses amours adultères en quelques clichés.
- Au lieu de me faire espionner, tu aurais mieux fait de me mettre en garde.

Je lui présente le manuscrit de son engagement éhonté envers René. Elle pleure sur ses erreurs, demande pardon, jure que plus jamais…C’était sa première faute.
- C’est-ce que tu as raconté à Albert, en oubliant René, Emile le DRH et sans doute d’autres acteurs de tes promotions.

Pour couper court, je lui rappelle qu’elle a été surprise à genoux devant son ex DRH désormais muté pour avoir eu des rapports sexuels sur son lieu de travail : a-t-elle oublié? Judith en témoignera si nécessaire. Combien de premières fautes pour sa promotion ou pour son plaisir ?
- Il m’est impossible de te faire confiance à l’avenir. En considération de ton apparente fidélité pendant des années, de la discrétion de tes écarts, je te laisse le choix entre un divorce par consentement mutuel sans éclaboussures et un divorce pour faute avec l’étalage de toutes les preuves et les dommages collatéraux : atteintes à ta bonne réputation, témoignages de tes amants à la barre, enquêtes sur tes promotions passées, appel à témoins, destruction d’autres foyers, ridicule aux yeux de tes collègues. Que penseraient tes parents et tes amis de ce petit album ?

Son choix était prévisible. Je lui recommande de prendre un avocat. J’annonce mon déménagement au cours de la semaine qui vient. Je n’emporterai que ma chambre à coucher et les meubles de mon bureau. Enfin, le bail de location arrive à expiration le 31 du mois. Ses problèmes ne me concernent plus. Ce soir elle pourra dormir sur le canapé de ses exploits. Dernière attention du cocu :
- Utilise des préservatifs, je te délie du serment de fidélité que tu n’as pas respecté.


René et Julie ont commandé un garçon. C’est long un divorce. Le mien l’a été particulièrement. Je serai bientôt libre d’attaches, j’attends un vrai bonheur… Demain Judith épouse notre avocat !
- Ah ! Voulez-vous répéter ?
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Histoire de Veilleur

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Commentaires du récit : Cruelle désillusion

Le 18/09/2013 - 00:45 par Veilleur
A y regarder de plus près, j'ai le sentiment que c'est une attaque contre le site, car ON a tapé sur tout le top des auteurs. La question serait plutôt : Qui veut saborder le site ? Il y a une action concertée menée par une bande de sept ou huit votants.
Le 14/09/2013 - 17:09 par Veilleur
Nenes. Pourquoi cette question? La chute brutale de mes points est évidente. C'est la règle du site : le lecteur aime ou n'aime pas et il vote. Je ne peux que me soumettre. Je me console de l'échec en additionnant le nombre des lecteurs de mes textes : par rapport au total, je considère que les mécontents sont peu nombreux. De plus ils oublient d'exprimer les causes de leur désapprobation.
Le 14/09/2013 - 15:39 par nenes
bonjour que se passe il sur ce site avec les notation quelqu'un te veut du mal?

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