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D'une main à l'autre partie 1 Sara
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D'UNE MAIN A L'AUTRE...
PARTIE 1 SARA
C'est en partant au travail un matin pas très différent des autres, mais qui prit une autre dimension, que Sara le trouva.
Sara habitait pas loin de l'école privée, sise dans une très belle bâtisse ancienne, où elle faisait du secrétariat depuis plusieurs années. Il y avait tous les niveaux et les choses s'y passaient bien.
Sara était une très belle femme, qui approchait la quarantaine. Rousse, grande, un corps somptueux, bien dessiné, elle plaisait à beaucoup d'hommes, attirant immanquablement le regard sur elle partout où elle passait.
Des hommes auxquels elle avait choisi de renoncer.
Toute sa vie, depuis son adolescence, elle avait été en butte à des mâles, qui, elle l'estimait, s'étaient tous comportés comme des salauds avec elle. Qui ne s'intéressaient qu'à son cul ou au fric qu'elle était supposée avoir, et n'avait pas forcément. Lâches, manipulateurs, obsédés, le fameux prince charmant, elle ne l'avait jamais trouvé. Il n'avait même pas entrebâillé la porte. Elle avait plutôt vu le dégueulasse, moral comme physique, dans toute sa splendeur.
Raison pour laquelle, à présent, elle se sentait bien toute seule.
Et ce quant bien même pas mal d'hommes lui faisaient toujours des avances.
Mais elle déclinait à chaque fois ce qui lui était proposé avec plus ou moins de subtilité.
Même si, paradoxalement, elle aimait le sexe, et elle était assaillie par un besoin de jouissance qu'elle satisfaisait dans la solitude.
Elle avait en tout cas appris et compris que jouir toute seule avait pas mal d'avantages, n'était pas dégradant, et procurait autant de plaisir que le sexe à deux. Il n'y avait pas à supporter des banalités toute la soirée, en compagnie d'un partenaire qui ne pensait qu'à une chose, convaincu que vous ne lisiez pas en lui, bougeait deux minutes en vous sans se soucier de votre plaisir et finissait par ronfler à vos côtés, se fichant bien de savoir si vous aviez joui.
Des orgasmes forts, intenses, variés. Seule, elle avait plus de plaisir qu'avec la plupart des hommes qu'elle avait connus, et elle trouvait cela incroyable. Ce n'était jamais pareil. Comment pouvait-on avoir PLUS de plaisir seule qu'avec un partenaire? C'était pourtant bien la réalité.
Tout en avançant le long des rues, Sara jetait un œil distrait sur les containers disposés devant les maisons. Un bac pour les déchets qui n'étaient pas retraitables, un autre pour le recyclable.
Dans les quartiers qui jouxtaient son lieu de travail, plutôt prospères, des gens laissaient souvent, dans des sacs ou des cartons, sur les containers, des affaires diverses, en parfait état, dont ils ne voulaient plus. Il suffisait de se servir. Une manière de donner, sans qu'il y ait un échange. C'était d'ailleurs aussi bien, et ça permettait d'éviter les humiliations.
Ca lui avait d'ailleurs permis, une fois, de récupérer une magnifique collection de livres tout neufs.
Cette fois, ce fut cependant un objet totalement différent qui attira son attention.
Et pas tant l'objet lui-même que sa couleur, un violet criard.
Intriguée, elle s'approcha du carton qui le contenait, posé sur une pile de linge, se demandant ce dont il s'agissait. Elle pensa même un instant qu'il s'agissait d'un ustensile de cuisine.
Non, vu de près, ça n'était pas vraiment ça.
Ca avait, à bien regarder, la forme d'un cornet de glace. Oui, c'était bien ça, on aurait dit un cornet, un cône, avec une très grosse boule dessus.
Cet objet la fascina. Il y avait un mécanisme ON et OFF. Elle bascula sur le ON, et l'appareil émit un vrombissement discret. La tête se mit à tourner sur elle-même. Il y avait une gradation. Comme sur les sèche-cheveux. Mais ce n'était pas un sèche-cheveux. Il était calé sur le 1, elle glissa sur le 2. La vitesse fut plus rapide.
Elle comprit bien que ce n'était pas un presse-purée.
Elle le voulait.
Elle le glissa dans son grand sac à main.
Un nouvel univers s'ouvrait à elle, qu'elle pourrait explorer.
Il y avait un pull dans le sac, elle fit glisser le vibro en dessous, le masquant ainsi.
Toute la matinée, bien que concentrée sur son travail, elle pensa à l'objet, donnant à deux ou trois reprises un coup d'oeil discret à son sac, en soulevant le pull.
Il était quasiment neuf. Il ne devait pas avoir servi beaucoup.
Elle se demandait pourquoi la personne qui avait investi une somme sans doute conséquente dedans avait voulu s'en débarrasser. On pouvait imaginer une multitude de raisons. La plus simple était peut-être la meilleure. Elle avait acheté un objet très cher, et il ne lui avait pas apporté la satisfaction et le plaisir souhaités.
Sara se demanda ce qu'elle éprouverait si par hasard elle le testait. Du plaisir? Ou rien du tout?
Plus le temps passait, plus elle avait envie de jouer avec cet objet aussi volumineux que coloré.
Sara se masturbait très souvent, c'était un plaisir, mais aussi une drogue, elle l'aurait bien reconnu. Ca n'avait rien à voir avec les moments masturbatoires de l'adolescence. Recommençant à se tripoter parce qu'elle avait envie de sexe, de plaisir et d'orgasmes, mais pas de partenaires, elle avait redécouvert l'onanisme, qui avait réellement pris une autre dimension. Quelque chose de sensuel, d'intense, qui la remplissait et lui procurait un plaisir fort mais aussi qui variait. Ce n'était jamais deux fois la même chose et cette palette d'orgasmes la ravissait.
Elle n'avait jamais eu jusqu'à présent recours à des objets.
Elle avait d'ailleurs, il fallait bien le reconnaître, une vision des sex toys, comme on disait aujourd'hui, assez archaïque, loin de ce magnifique objet qu'elle avait découvert. Ils avaient fait des progrès.
Elle ne s'en rendit pas compte immédiatement, mais l'objet, l'éventualité de l'utiliser, et l'idée qu'il puisse la faire jouir faisaient vibrer son corps. Son ventre était aussi chaud que son sexe était humide.
Dix minutes avant de partir, elle glissa discrètement sa main entre ses cuisses, et elle constata que sa culotte, sous la robe, était vraiment bien mouillée.
Le mardi après-midi était le seul après-midi de la semaine où elle était libre. Elle aurait une belle plage de temps pour tester le jouet sexuel.
Elle arriva chez elle sur le coup de midi vingt. Elle avait le repas prêt du matin. Il suffisait de mettre le four en marche. Mais l'envie de tester l'engin était plus forte que tout.
Elle se cala sur son grand lit, qu'elle occupait seule, sans regret aucun, après avoir dégrafé sa robe et l'avoir posée sur une chaise. Dessous, elle avait une jolie culotte noire, dont un tiers de la partie face et l'intégralité de la partie pile étaient transparentes.
En d'autres temps, elle avait eu envie d'être sexy pour un homme. Aujourd'hui, elle l'était pour elle-même.
Après avoir fait glisser sa culotte le long de ses jambes et l'avoir rattrapée, elle examina celle-ci. Il y avait une grande, très grande même tâche de mouille qui s'épanouissait sur la partie couvrant l'entrejambes et remontait sur le devant. Elle la renifla. Ca puait bien la cyprine. Elle glissa sa main entre ses cuisses, et trouva son sexe à la fois dégoulinant et béant.
En d'autres temps, elle se serait caressée comme cela, avec ses doigts. En ayant la certitude, avant même que ses doigts viennent sur son sexe, qu'elle éprouverait énormément de plaisir, quoi qu'elle fasse.
Mais elle avait décidé de faire différemment.
Elle attrapa le vibro géant. Jeta un coup d'oeil, elle ne l'avait pas encore fait, aux batteries. De grosses piles, comme celles de la Maglite qu'elle avait dans la cuisine. Il n'y aurait pas de problème pour les remplacer.
Le moment était venu. Elle bascula d'OFF à ON et mit la vitesse 1. Il y eu un vrombissement, un bruit doux, et le vibro se mit en marche. Intriguée, et parce qu'elle voulait avoir une première impression, elle posa la grosse boule ronde et qui tournait sur elle-même sur sa peau, au niveau de son avant-bras. La sensation était vraiment plaisante, celle d'une caresse, mais d'une caresse améliorée, quelque chose que ses doigts ne pouvaient pas lui procurer, un mélange de douceur et de force. Rien que là, sur sa peau, et elle le vérifia en l'amenant sur sa joue, c'était vraiment un moment de plaisir.
C'était maintenant.
Elle garda le vibro à la même vitesse, et le fit glisser entre ses cuisses.
Elle fut immédiatement emportée par les sensations très fortes.
Du plaisir à l'état pur.
Elle recula l'objet. Elle ne voulait pas rentrer dans le processus de la jouissance immédiatement, et déjà, elle sentait l'orgasme arriver.
Il fallait sans doute dompter la machine. Là, c'était la première sensation, mais après sans doute qu'on maîtrisait mieux. Qu'on apprenait à avoir du plaisir sans jouir immédiatement.
Ce qui après tout n'était pas rédhibitoire. Si elle avait envie de jouir vite. Parfois, le matin, quand elle avait envie de sexe, elle s'isolait cinq minutes dans les toilettes et elle se faisait jouir très vite.
Elle ramena le vibro sur elle. Le garda sur ses lèvres, l'écarta d'elle, le ramena, avant de le monter plus haut. Elle le mit au niveau de son gland clitoridien, qui se décalotta sous l'effet de la caresse. Elle trouva un rythme, alternant entre moment de caresse et pause.
On a toujours envie d'aller plus loin, voire plus haut,
Elle passa au stade numéro 2. Il y avait un peu plus de vitesse. Ca n'allait pas trop vite, mais ça donnait à la caresse plus de force, et il y avait plus de plaisir en bout de course.
Sara se rendit compte qu'elle montait vers l'orgasme, petit à petit, et que ça allait plus vite qu'elle ne l'aurait cru. Elle pensait maîtriser, elle ne maîtrisait pas du tout. Elle se trouva au bord de l'orgasme sans avoir réalisé qu'elle en approchait. Elle colla l'appareil contre son gland clitoridien. Son sexe, elle le sentait bien, avait évolué, elle s'était ouverte, ses lèvres dilatées, comme quand elle se contentait de sa main pour se caresser, mais elle avait l'impression que la machine l'avait poussée vers un niveau supérieur. Son gland avait tendance à être volumineux, mais elle ne l'avait jamais senti aussi gros qu'avec le poids du vibro contre.
Elle explosa dans une série d'orgasmes, éjaculant en même temps, comme elle le faisait quand elle avait énormément de plaisir. Il y eut des jets de liquide, qui tachèrent ses cuisses, les draps...Elle avait pris la précaution d'écarter le couvre-lit...
Elle retomba sur le lit, épuisée. Elle avait bien joui. Mieux qu'avec ses doigts? Non, chaque expérience était nouvelle, elle ne pouvait pas dire que c'était mieux. C'était différent. Ce qui faisait justement la joie du sexe. C'était toujours différent.
Elle avait faim.
Elle se leva et passa dans la salle de bains. Elle se lava les jambes. Elle changerait les draps plus tard. Elle avait prévu de sortir cet après-midi. Elle nettoya le vibro avec une serviette à peine mouillée. Elle ne voulait pas l’abîmer. Il serait son nouveau compagnon de plaisir. D'autant qu'il lui restait à tester les vitesses 3 et 4. Mais déjà la 1 et la 2 lui promettaient un plaisir renouvelé.
Elle posa l'appareil au-dessus d'une pile de serviettes propres et s'éclipsa.
PARTIE 1 SARA
C'est en partant au travail un matin pas très différent des autres, mais qui prit une autre dimension, que Sara le trouva.
Sara habitait pas loin de l'école privée, sise dans une très belle bâtisse ancienne, où elle faisait du secrétariat depuis plusieurs années. Il y avait tous les niveaux et les choses s'y passaient bien.
Sara était une très belle femme, qui approchait la quarantaine. Rousse, grande, un corps somptueux, bien dessiné, elle plaisait à beaucoup d'hommes, attirant immanquablement le regard sur elle partout où elle passait.
Des hommes auxquels elle avait choisi de renoncer.
Toute sa vie, depuis son adolescence, elle avait été en butte à des mâles, qui, elle l'estimait, s'étaient tous comportés comme des salauds avec elle. Qui ne s'intéressaient qu'à son cul ou au fric qu'elle était supposée avoir, et n'avait pas forcément. Lâches, manipulateurs, obsédés, le fameux prince charmant, elle ne l'avait jamais trouvé. Il n'avait même pas entrebâillé la porte. Elle avait plutôt vu le dégueulasse, moral comme physique, dans toute sa splendeur.
Raison pour laquelle, à présent, elle se sentait bien toute seule.
Et ce quant bien même pas mal d'hommes lui faisaient toujours des avances.
Mais elle déclinait à chaque fois ce qui lui était proposé avec plus ou moins de subtilité.
Même si, paradoxalement, elle aimait le sexe, et elle était assaillie par un besoin de jouissance qu'elle satisfaisait dans la solitude.
Elle avait en tout cas appris et compris que jouir toute seule avait pas mal d'avantages, n'était pas dégradant, et procurait autant de plaisir que le sexe à deux. Il n'y avait pas à supporter des banalités toute la soirée, en compagnie d'un partenaire qui ne pensait qu'à une chose, convaincu que vous ne lisiez pas en lui, bougeait deux minutes en vous sans se soucier de votre plaisir et finissait par ronfler à vos côtés, se fichant bien de savoir si vous aviez joui.
Des orgasmes forts, intenses, variés. Seule, elle avait plus de plaisir qu'avec la plupart des hommes qu'elle avait connus, et elle trouvait cela incroyable. Ce n'était jamais pareil. Comment pouvait-on avoir PLUS de plaisir seule qu'avec un partenaire? C'était pourtant bien la réalité.
Tout en avançant le long des rues, Sara jetait un œil distrait sur les containers disposés devant les maisons. Un bac pour les déchets qui n'étaient pas retraitables, un autre pour le recyclable.
Dans les quartiers qui jouxtaient son lieu de travail, plutôt prospères, des gens laissaient souvent, dans des sacs ou des cartons, sur les containers, des affaires diverses, en parfait état, dont ils ne voulaient plus. Il suffisait de se servir. Une manière de donner, sans qu'il y ait un échange. C'était d'ailleurs aussi bien, et ça permettait d'éviter les humiliations.
Ca lui avait d'ailleurs permis, une fois, de récupérer une magnifique collection de livres tout neufs.
Cette fois, ce fut cependant un objet totalement différent qui attira son attention.
Et pas tant l'objet lui-même que sa couleur, un violet criard.
Intriguée, elle s'approcha du carton qui le contenait, posé sur une pile de linge, se demandant ce dont il s'agissait. Elle pensa même un instant qu'il s'agissait d'un ustensile de cuisine.
Non, vu de près, ça n'était pas vraiment ça.
Ca avait, à bien regarder, la forme d'un cornet de glace. Oui, c'était bien ça, on aurait dit un cornet, un cône, avec une très grosse boule dessus.
Cet objet la fascina. Il y avait un mécanisme ON et OFF. Elle bascula sur le ON, et l'appareil émit un vrombissement discret. La tête se mit à tourner sur elle-même. Il y avait une gradation. Comme sur les sèche-cheveux. Mais ce n'était pas un sèche-cheveux. Il était calé sur le 1, elle glissa sur le 2. La vitesse fut plus rapide.
Elle comprit bien que ce n'était pas un presse-purée.
Elle le voulait.
Elle le glissa dans son grand sac à main.
Un nouvel univers s'ouvrait à elle, qu'elle pourrait explorer.
Il y avait un pull dans le sac, elle fit glisser le vibro en dessous, le masquant ainsi.
Toute la matinée, bien que concentrée sur son travail, elle pensa à l'objet, donnant à deux ou trois reprises un coup d'oeil discret à son sac, en soulevant le pull.
Il était quasiment neuf. Il ne devait pas avoir servi beaucoup.
Elle se demandait pourquoi la personne qui avait investi une somme sans doute conséquente dedans avait voulu s'en débarrasser. On pouvait imaginer une multitude de raisons. La plus simple était peut-être la meilleure. Elle avait acheté un objet très cher, et il ne lui avait pas apporté la satisfaction et le plaisir souhaités.
Sara se demanda ce qu'elle éprouverait si par hasard elle le testait. Du plaisir? Ou rien du tout?
Plus le temps passait, plus elle avait envie de jouer avec cet objet aussi volumineux que coloré.
Sara se masturbait très souvent, c'était un plaisir, mais aussi une drogue, elle l'aurait bien reconnu. Ca n'avait rien à voir avec les moments masturbatoires de l'adolescence. Recommençant à se tripoter parce qu'elle avait envie de sexe, de plaisir et d'orgasmes, mais pas de partenaires, elle avait redécouvert l'onanisme, qui avait réellement pris une autre dimension. Quelque chose de sensuel, d'intense, qui la remplissait et lui procurait un plaisir fort mais aussi qui variait. Ce n'était jamais deux fois la même chose et cette palette d'orgasmes la ravissait.
Elle n'avait jamais eu jusqu'à présent recours à des objets.
Elle avait d'ailleurs, il fallait bien le reconnaître, une vision des sex toys, comme on disait aujourd'hui, assez archaïque, loin de ce magnifique objet qu'elle avait découvert. Ils avaient fait des progrès.
Elle ne s'en rendit pas compte immédiatement, mais l'objet, l'éventualité de l'utiliser, et l'idée qu'il puisse la faire jouir faisaient vibrer son corps. Son ventre était aussi chaud que son sexe était humide.
Dix minutes avant de partir, elle glissa discrètement sa main entre ses cuisses, et elle constata que sa culotte, sous la robe, était vraiment bien mouillée.
Le mardi après-midi était le seul après-midi de la semaine où elle était libre. Elle aurait une belle plage de temps pour tester le jouet sexuel.
Elle arriva chez elle sur le coup de midi vingt. Elle avait le repas prêt du matin. Il suffisait de mettre le four en marche. Mais l'envie de tester l'engin était plus forte que tout.
Elle se cala sur son grand lit, qu'elle occupait seule, sans regret aucun, après avoir dégrafé sa robe et l'avoir posée sur une chaise. Dessous, elle avait une jolie culotte noire, dont un tiers de la partie face et l'intégralité de la partie pile étaient transparentes.
En d'autres temps, elle avait eu envie d'être sexy pour un homme. Aujourd'hui, elle l'était pour elle-même.
Après avoir fait glisser sa culotte le long de ses jambes et l'avoir rattrapée, elle examina celle-ci. Il y avait une grande, très grande même tâche de mouille qui s'épanouissait sur la partie couvrant l'entrejambes et remontait sur le devant. Elle la renifla. Ca puait bien la cyprine. Elle glissa sa main entre ses cuisses, et trouva son sexe à la fois dégoulinant et béant.
En d'autres temps, elle se serait caressée comme cela, avec ses doigts. En ayant la certitude, avant même que ses doigts viennent sur son sexe, qu'elle éprouverait énormément de plaisir, quoi qu'elle fasse.
Mais elle avait décidé de faire différemment.
Elle attrapa le vibro géant. Jeta un coup d'oeil, elle ne l'avait pas encore fait, aux batteries. De grosses piles, comme celles de la Maglite qu'elle avait dans la cuisine. Il n'y aurait pas de problème pour les remplacer.
Le moment était venu. Elle bascula d'OFF à ON et mit la vitesse 1. Il y eu un vrombissement, un bruit doux, et le vibro se mit en marche. Intriguée, et parce qu'elle voulait avoir une première impression, elle posa la grosse boule ronde et qui tournait sur elle-même sur sa peau, au niveau de son avant-bras. La sensation était vraiment plaisante, celle d'une caresse, mais d'une caresse améliorée, quelque chose que ses doigts ne pouvaient pas lui procurer, un mélange de douceur et de force. Rien que là, sur sa peau, et elle le vérifia en l'amenant sur sa joue, c'était vraiment un moment de plaisir.
C'était maintenant.
Elle garda le vibro à la même vitesse, et le fit glisser entre ses cuisses.
Elle fut immédiatement emportée par les sensations très fortes.
Du plaisir à l'état pur.
Elle recula l'objet. Elle ne voulait pas rentrer dans le processus de la jouissance immédiatement, et déjà, elle sentait l'orgasme arriver.
Il fallait sans doute dompter la machine. Là, c'était la première sensation, mais après sans doute qu'on maîtrisait mieux. Qu'on apprenait à avoir du plaisir sans jouir immédiatement.
Ce qui après tout n'était pas rédhibitoire. Si elle avait envie de jouir vite. Parfois, le matin, quand elle avait envie de sexe, elle s'isolait cinq minutes dans les toilettes et elle se faisait jouir très vite.
Elle ramena le vibro sur elle. Le garda sur ses lèvres, l'écarta d'elle, le ramena, avant de le monter plus haut. Elle le mit au niveau de son gland clitoridien, qui se décalotta sous l'effet de la caresse. Elle trouva un rythme, alternant entre moment de caresse et pause.
On a toujours envie d'aller plus loin, voire plus haut,
Elle passa au stade numéro 2. Il y avait un peu plus de vitesse. Ca n'allait pas trop vite, mais ça donnait à la caresse plus de force, et il y avait plus de plaisir en bout de course.
Sara se rendit compte qu'elle montait vers l'orgasme, petit à petit, et que ça allait plus vite qu'elle ne l'aurait cru. Elle pensait maîtriser, elle ne maîtrisait pas du tout. Elle se trouva au bord de l'orgasme sans avoir réalisé qu'elle en approchait. Elle colla l'appareil contre son gland clitoridien. Son sexe, elle le sentait bien, avait évolué, elle s'était ouverte, ses lèvres dilatées, comme quand elle se contentait de sa main pour se caresser, mais elle avait l'impression que la machine l'avait poussée vers un niveau supérieur. Son gland avait tendance à être volumineux, mais elle ne l'avait jamais senti aussi gros qu'avec le poids du vibro contre.
Elle explosa dans une série d'orgasmes, éjaculant en même temps, comme elle le faisait quand elle avait énormément de plaisir. Il y eut des jets de liquide, qui tachèrent ses cuisses, les draps...Elle avait pris la précaution d'écarter le couvre-lit...
Elle retomba sur le lit, épuisée. Elle avait bien joui. Mieux qu'avec ses doigts? Non, chaque expérience était nouvelle, elle ne pouvait pas dire que c'était mieux. C'était différent. Ce qui faisait justement la joie du sexe. C'était toujours différent.
Elle avait faim.
Elle se leva et passa dans la salle de bains. Elle se lava les jambes. Elle changerait les draps plus tard. Elle avait prévu de sortir cet après-midi. Elle nettoya le vibro avec une serviette à peine mouillée. Elle ne voulait pas l’abîmer. Il serait son nouveau compagnon de plaisir. D'autant qu'il lui restait à tester les vitesses 3 et 4. Mais déjà la 1 et la 2 lui promettaient un plaisir renouvelé.
Elle posa l'appareil au-dessus d'une pile de serviettes propres et s'éclipsa.
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Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
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