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Journée bien remplie pour une femme fidèle partie 1
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JOURNEE BIEN REMPLIE POUR UNE FEMME FIDELE
partie 1
Moi, vous savez, ma femme est très belle. Une véritable splendeur. Mais je ne me fais pas de souci. Non seulement les hommes n'osent pas l'aborder parce qu'ils savent qu'elle est mariée, mais de plus je sais qu'elle refusera leurs avances.
Il était huit heures et demi du matin quand on sonna à la porte. Marjolaine alla ouvrir. Elle venait tout juste de se lever. Encore à moitié endormie, elle était enveloppée dans une nuisette couleur café, couverte par une robe de chambre de la même matière et de la même couleur. Nuisette courte qui dévoilait de jolies jambes, longues et fines. Elle était très grande, ce qui ne l'empêchait pas, bien au contraire, d'avoir des charmes bien fournis, et en particulier une poitrine conséquente qui tendait le tissu de la nuisette, visibles parce que le lien qui aurait du fermer la robe de chambre n'était pas attaché autour de sa taille, et la nuisette visible. Des tétons durs déformaient le tissu, le tendaient. C'était que, quand elle se réveillait, le matin, Marjolaine avait généralement envie de sexe. Et ce d'autant plus si elle avait fait des rêves érotiques dans la nuit. Elle se réveillait avec le sexe ouvert, humide, le ventre en feu, les seins tout gonflés.
D'ailleurs, et elle le savait pertinemment, lucide sur elle-même, Marjolaine avait TOUT LE TEMPS envie de sexe. Matin, midi, soir. Et un mari qui n'était malheureusement pas suffisamment présent pour la satisfaire. Comme elle avait dit un jour: 'Dans la vie il y a toujours des gens qui ont plus d'appétit que d'autres.' Elle se moquait bien de ce qu'on pouvait dire d'elle. Qu'elle était une chaudasse, voire pire.
Et Jean-Marc, son voisin était parfait. Un grand type brun, sympa, et qui venait très souvent lui parler. Elle sentait bien, question d'intuition qu'il était attiré par elle. Et elle, elle fantasmait sur lui, sur sa queue, sur ce qu'il pourrait lui faire. Elle avait fini par lui glisser une après-midi, il était venu l'aider, à sa demande, à ranger du matériel de jardin...
— Si tu passais le matin très tôt, après le départ de mon mari, on pourrait faire des choses sympa.
Il l'avait regardée, un peu surpris d'avoir, ainsi, un feu vert.
Marjolaine ouvrit la porte. C'était bien lui. Ravie, heureuse qu'il ait sauté sur l'occasion, elle l'attrapa par le bras et le fit entrer.
Marjolaine plongea tout de suite sur lui, sentant son sexe s'ouvrir et un ruissellement de liquide intime sortir d'elle et couler à l'intérieur de ses cuisses, disant son excitation. Elle ressentait un tel manque. Est-ce qu'ils allaient arriver à conclure? Peut-être pas une pénétration la première fois, mais un moment de plaisir...
Marjolaine vint se plaquer contre lui. Il était hors de question qu'elle vienne chercher sa bouche, ou qu'elle lui donne. Pour elle, c'était réservé à son mari. Elle s'était toujours posé des limites. Une de ses copines, qui trompait aussi un mari qui ne la satisfaisait pas non plus s'était elle aussi posé une limite, sans doute plus radicale, aucun de ses amants ne devait la prendre par la chatte. La bouche et le cul sans problème. 'Tu dois souvent te faire sodomiser', lui avait jeté Marjolaine. 'Oui, c'est comme ça que j'ai pris goût à me faire enculer, et j'avoue qu'aujourd'hui je trouve ça meilleur que de me faire baiser par la chatte.' Chacune ses limites, mais en tout cas, en commun, pour beaucoup de femmes, de l'envie et de l'insatisfaction.
Se plaquer contre lui, c'était l'occasion de sentir son corps, dur. Il faisait beaucoup de sport, de la musculation, mais pas que et il était musclé, sans excès. L'occasion aussi de glisser sa main vers son pantalon de survêtement, et de trouver une queue qu'elle avait imaginé belle, et qu'elle trouva déjà longue et dure. Il devait fantasmer sur elle depuis un bon moment. Il était arrivé en pensant que quelque chose allait se passer entre eux, et ça avait fait s'ériger sa queue.
Un pantalon de survêtement, c'était parfait pour sortir une queue, même si elle n'aimait pas brûler les étapes, donner du temps au désir pour s'étaler, et si elle commença par le masser à travers les tissus. Elle sentit la queue s'épaissir et s'allonger encore. Il avait été bien doté par la nature...Marjo, elle n'en avait pas honte, aimait les belles queues, longues, dures, bien charnues...
Elle le mit enfin à nu, baissant le pantalon de survêtement, et le caleçon derrière. Son gland dépassait du caleçon, un gros gland, bien décalotté, qu'elle eut immédiatement envie de mordre, de mordiller, de lécher...En ce qui concernait le sexe, elle avait tout de suite plein d'envies, des dizaines de scenarii s'écrivaient dans sa tête.
Elle se plia en deux et, avant même de baisser le caleçon, elle vint balader sa langue sur le gland congestionné. La réponse à sa caresse, ce fut un jaillissement de liquide pré-séminal qui se mit à couler, et lui remplit la bouche. Elle le lapa avec avidité. Elle avait toujours cette envie de boire le sperme d'un homme ou son liquide pré-sécrétif. Pour elle, c'était comme un nectar.
Le gars s'était mis à gémir. Il appréciait la caresse.
Marjolaine l’entraîna vers le divan et le fit s'asseoir, après avoir descendu le caleçon. Oui, décidément, il avait une belle queue, raide de désir et suppurante, collée contre son ventre.
La sexualité de Marjolaine avait démarré très tôt. Bien plus tôt que chez d'autres filles. Masturber des garçons, ou caresser leur queue de la bouche ou de la langue. Avec une infinité de plaisirs déclinés. Voir et sentir une queue gonfler, voir le sperme jaillir, voir un garçon jouir et se dire qu'on a du pouvoir sur lui...
Elle entreprit de lui prodiguer une fellation, comme, et elle le pensait sans prétention, il avait rarement eu. Elle en avait fait des dizaines, des centaines même, depuis ses plus jeunes années, et puis elle adorait ça. Le résultat ne pouvait qu'être sinon exceptionnel, du moins bon, plus en tout cas, elle en était convaincue, que les pipes que lui prodiguait sa femme. D'ailleurs, sous l'effet de cette langue qui se baladait sur lui, souple, habile et rapide, il s'était vite mis à planer. Elle, elle avait ouvert ses cuisses. La nuisette avait automatiquement remonté. Elle avait amené sa main au niveau de son gland clitoridien, tout gonflé, gorgé de sang, comme le reste de ses chairs intimes. Contre la pulpe de ses doigts, elle sentait non seulement le bout de chair décalotté et gorgé de sang, mais également que son sexe béait et que ses liquides intimes coulaient contre la paume de sa main.
Jean-Paul se laissait emporter par un torrent de plaisir. Mais elle ne valait pas mieux. Elle avait un jouet près du visage, à portée de bouche, dont l'aspect se modifiait à mesure qu'il approchait de la jouissance, et la moindre de ses satisfactions était bien de l'avoir amené jusqu'à cette jouissance. Elle resserra sa bouche autour de la verge, quand elle sentit qu'il allait exploser. Le premier jet de sperme la ravit. Elle le laissa couler dans sa gorge, amer et sucré. Le gars se tordait de plaisir, lâchant des rasades de sperme copieuses dans sa cavité buccale. Elle aimait qu'un gars perde le contrôle et lui offre sa jouissance, elle aimait aussi parvenir à l'amener jusque là. Ce fut quand il eut craché l'essentiel de sa semence, tout en continuant de suppurer, qu'elle pinça son gland clitoridien, tout congestionné, et ses doigts très serrés sur elle, frotta pour jouir. Il suffit d'un aller-retour pour que la jouissance explose en elle, et la fasse crier, alors que l'orgasme rebondissait dans son corps comme une boule dans un flipper.
Il y eut un moment de pause, de flottement. Ils étaient bien l'un comme l'autre dans leur jouissance, et dans une jouissance partagée. Elle se tourna vers lui, et, enfonçant ses deux index dans son sexe déjà bien béant, elle l'ouvrit encore plus.
— La prochaine fois, tu viendras dans ma chatte. Jusqu'au fond et tu me fouilleras autant que tu voudras.
La lueur qui s'était éclairée dans le regard de l'homme dit clairement que oui, il reviendrait, et que oui, cette perspective le réjouissait plus que tout. D'ailleurs sa queue, qui avait légèrement dégonflé redevint aussi longue et raide que juste avant qu'il ne jouisse. Marjolaine se demanda si elle profitait de la situation maintenant, en ajustant un préservatif sur la queue, mais elle devait travailler, et puis ce serait bon d'attendre, d'imaginer cette queue glissant en elle, la caressant à l'intérieur, la fouillant...
— Allez, il faut qu'on se sépare. Tu reviens demain matin à la même heure.
Il aurait bien pris de la pénétrer immédiatement, mais il masqua sa déception. Il ne voulait pas la contrarier, de peur de ne plus rien avoir. Elle le fit sortir, et alla se préparer.
partie 1
Moi, vous savez, ma femme est très belle. Une véritable splendeur. Mais je ne me fais pas de souci. Non seulement les hommes n'osent pas l'aborder parce qu'ils savent qu'elle est mariée, mais de plus je sais qu'elle refusera leurs avances.
Il était huit heures et demi du matin quand on sonna à la porte. Marjolaine alla ouvrir. Elle venait tout juste de se lever. Encore à moitié endormie, elle était enveloppée dans une nuisette couleur café, couverte par une robe de chambre de la même matière et de la même couleur. Nuisette courte qui dévoilait de jolies jambes, longues et fines. Elle était très grande, ce qui ne l'empêchait pas, bien au contraire, d'avoir des charmes bien fournis, et en particulier une poitrine conséquente qui tendait le tissu de la nuisette, visibles parce que le lien qui aurait du fermer la robe de chambre n'était pas attaché autour de sa taille, et la nuisette visible. Des tétons durs déformaient le tissu, le tendaient. C'était que, quand elle se réveillait, le matin, Marjolaine avait généralement envie de sexe. Et ce d'autant plus si elle avait fait des rêves érotiques dans la nuit. Elle se réveillait avec le sexe ouvert, humide, le ventre en feu, les seins tout gonflés.
D'ailleurs, et elle le savait pertinemment, lucide sur elle-même, Marjolaine avait TOUT LE TEMPS envie de sexe. Matin, midi, soir. Et un mari qui n'était malheureusement pas suffisamment présent pour la satisfaire. Comme elle avait dit un jour: 'Dans la vie il y a toujours des gens qui ont plus d'appétit que d'autres.' Elle se moquait bien de ce qu'on pouvait dire d'elle. Qu'elle était une chaudasse, voire pire.
Et Jean-Marc, son voisin était parfait. Un grand type brun, sympa, et qui venait très souvent lui parler. Elle sentait bien, question d'intuition qu'il était attiré par elle. Et elle, elle fantasmait sur lui, sur sa queue, sur ce qu'il pourrait lui faire. Elle avait fini par lui glisser une après-midi, il était venu l'aider, à sa demande, à ranger du matériel de jardin...
— Si tu passais le matin très tôt, après le départ de mon mari, on pourrait faire des choses sympa.
Il l'avait regardée, un peu surpris d'avoir, ainsi, un feu vert.
Marjolaine ouvrit la porte. C'était bien lui. Ravie, heureuse qu'il ait sauté sur l'occasion, elle l'attrapa par le bras et le fit entrer.
Marjolaine plongea tout de suite sur lui, sentant son sexe s'ouvrir et un ruissellement de liquide intime sortir d'elle et couler à l'intérieur de ses cuisses, disant son excitation. Elle ressentait un tel manque. Est-ce qu'ils allaient arriver à conclure? Peut-être pas une pénétration la première fois, mais un moment de plaisir...
Marjolaine vint se plaquer contre lui. Il était hors de question qu'elle vienne chercher sa bouche, ou qu'elle lui donne. Pour elle, c'était réservé à son mari. Elle s'était toujours posé des limites. Une de ses copines, qui trompait aussi un mari qui ne la satisfaisait pas non plus s'était elle aussi posé une limite, sans doute plus radicale, aucun de ses amants ne devait la prendre par la chatte. La bouche et le cul sans problème. 'Tu dois souvent te faire sodomiser', lui avait jeté Marjolaine. 'Oui, c'est comme ça que j'ai pris goût à me faire enculer, et j'avoue qu'aujourd'hui je trouve ça meilleur que de me faire baiser par la chatte.' Chacune ses limites, mais en tout cas, en commun, pour beaucoup de femmes, de l'envie et de l'insatisfaction.
Se plaquer contre lui, c'était l'occasion de sentir son corps, dur. Il faisait beaucoup de sport, de la musculation, mais pas que et il était musclé, sans excès. L'occasion aussi de glisser sa main vers son pantalon de survêtement, et de trouver une queue qu'elle avait imaginé belle, et qu'elle trouva déjà longue et dure. Il devait fantasmer sur elle depuis un bon moment. Il était arrivé en pensant que quelque chose allait se passer entre eux, et ça avait fait s'ériger sa queue.
Un pantalon de survêtement, c'était parfait pour sortir une queue, même si elle n'aimait pas brûler les étapes, donner du temps au désir pour s'étaler, et si elle commença par le masser à travers les tissus. Elle sentit la queue s'épaissir et s'allonger encore. Il avait été bien doté par la nature...Marjo, elle n'en avait pas honte, aimait les belles queues, longues, dures, bien charnues...
Elle le mit enfin à nu, baissant le pantalon de survêtement, et le caleçon derrière. Son gland dépassait du caleçon, un gros gland, bien décalotté, qu'elle eut immédiatement envie de mordre, de mordiller, de lécher...En ce qui concernait le sexe, elle avait tout de suite plein d'envies, des dizaines de scenarii s'écrivaient dans sa tête.
Elle se plia en deux et, avant même de baisser le caleçon, elle vint balader sa langue sur le gland congestionné. La réponse à sa caresse, ce fut un jaillissement de liquide pré-séminal qui se mit à couler, et lui remplit la bouche. Elle le lapa avec avidité. Elle avait toujours cette envie de boire le sperme d'un homme ou son liquide pré-sécrétif. Pour elle, c'était comme un nectar.
Le gars s'était mis à gémir. Il appréciait la caresse.
Marjolaine l’entraîna vers le divan et le fit s'asseoir, après avoir descendu le caleçon. Oui, décidément, il avait une belle queue, raide de désir et suppurante, collée contre son ventre.
La sexualité de Marjolaine avait démarré très tôt. Bien plus tôt que chez d'autres filles. Masturber des garçons, ou caresser leur queue de la bouche ou de la langue. Avec une infinité de plaisirs déclinés. Voir et sentir une queue gonfler, voir le sperme jaillir, voir un garçon jouir et se dire qu'on a du pouvoir sur lui...
Elle entreprit de lui prodiguer une fellation, comme, et elle le pensait sans prétention, il avait rarement eu. Elle en avait fait des dizaines, des centaines même, depuis ses plus jeunes années, et puis elle adorait ça. Le résultat ne pouvait qu'être sinon exceptionnel, du moins bon, plus en tout cas, elle en était convaincue, que les pipes que lui prodiguait sa femme. D'ailleurs, sous l'effet de cette langue qui se baladait sur lui, souple, habile et rapide, il s'était vite mis à planer. Elle, elle avait ouvert ses cuisses. La nuisette avait automatiquement remonté. Elle avait amené sa main au niveau de son gland clitoridien, tout gonflé, gorgé de sang, comme le reste de ses chairs intimes. Contre la pulpe de ses doigts, elle sentait non seulement le bout de chair décalotté et gorgé de sang, mais également que son sexe béait et que ses liquides intimes coulaient contre la paume de sa main.
Jean-Paul se laissait emporter par un torrent de plaisir. Mais elle ne valait pas mieux. Elle avait un jouet près du visage, à portée de bouche, dont l'aspect se modifiait à mesure qu'il approchait de la jouissance, et la moindre de ses satisfactions était bien de l'avoir amené jusqu'à cette jouissance. Elle resserra sa bouche autour de la verge, quand elle sentit qu'il allait exploser. Le premier jet de sperme la ravit. Elle le laissa couler dans sa gorge, amer et sucré. Le gars se tordait de plaisir, lâchant des rasades de sperme copieuses dans sa cavité buccale. Elle aimait qu'un gars perde le contrôle et lui offre sa jouissance, elle aimait aussi parvenir à l'amener jusque là. Ce fut quand il eut craché l'essentiel de sa semence, tout en continuant de suppurer, qu'elle pinça son gland clitoridien, tout congestionné, et ses doigts très serrés sur elle, frotta pour jouir. Il suffit d'un aller-retour pour que la jouissance explose en elle, et la fasse crier, alors que l'orgasme rebondissait dans son corps comme une boule dans un flipper.
Il y eut un moment de pause, de flottement. Ils étaient bien l'un comme l'autre dans leur jouissance, et dans une jouissance partagée. Elle se tourna vers lui, et, enfonçant ses deux index dans son sexe déjà bien béant, elle l'ouvrit encore plus.
— La prochaine fois, tu viendras dans ma chatte. Jusqu'au fond et tu me fouilleras autant que tu voudras.
La lueur qui s'était éclairée dans le regard de l'homme dit clairement que oui, il reviendrait, et que oui, cette perspective le réjouissait plus que tout. D'ailleurs sa queue, qui avait légèrement dégonflé redevint aussi longue et raide que juste avant qu'il ne jouisse. Marjolaine se demanda si elle profitait de la situation maintenant, en ajustant un préservatif sur la queue, mais elle devait travailler, et puis ce serait bon d'attendre, d'imaginer cette queue glissant en elle, la caressant à l'intérieur, la fouillant...
— Allez, il faut qu'on se sépare. Tu reviens demain matin à la même heure.
Il aurait bien pris de la pénétrer immédiatement, mais il masqua sa déception. Il ne voulait pas la contrarier, de peur de ne plus rien avoir. Elle le fit sortir, et alla se préparer.
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