Dans un bois

J’entends une voix féminine me dire « elle est belle celle-là »
J’étais en train de pisser dans un bois lorsqu’une jeune femme apparaît sans que je ne la vois venir. J’ai pourtant pris la précaution de me mettre derrière un fourré. Il est vrai que je venais d’avoir des pensées obscènes qui m’ont provoqué une érection. Je commençais à uriner quand elle est apparue et malgré cela elle a continué à me regarder faire.

Lorsque je fais le vas-et-viens de la fin, elle émet un « humm » à la vue de mon gland. Voyant cela, je commence à me palucher ce qui l’amène à se rapprocher tout en regardant ma queue en érection complète. J’arrête ma masturbation et l’encourage à me rejoindre, « viens », avec un sourire. Sitôt à ma portée, elle prend mon sexe d’une main et les couilles d’une autre, tout en me fixant avec un large sourire espiègle. Ses mains douces me caressent et elle met mon gland dans sa bouche. Elle embrasse ma queue avec ses lèvres, me lèche, me masturbe. Agenouillait, face à moi, j’aperçois son cul rebondi par une cambrure dut à sa très forte poitrine.

Laurie a un 100F qui lui donne ces jolies courbes. La forme de ses seins est magnifique, en poire avec des jolis tétons, bien fermes. Ces atouts lui ont attirés beaucoup de sollicitations. Son cul, proportionnel à ses seins, est fait divinement..

Il y avait beaucoup de passage chez ses parents, sa mère, belle femme aussi, était un peu volage. Les jeux de séduction étaient quotidien à son domicile. Et si ce n’était pas les amants de sa mère, c’était son père qui demandait d’aller dehors lorsqu’ils faisaient l’amour . Elle reçoit une éducation très stricte, trop stricte, (elle ne pouvait jamais rien faire, jamais dire non), qui l’a quasiment enfermée jusqu’à sa majorité.

Sa « première sortie », elle a vingt ans, l’a dépucelée.
Dés dix huit ans elle pu s’aventurer au delà de la pelouse. Elle a quand même été peloté par les grands frères des copines voisines; des mains aux fesses, des jeux ou quand elle perdait elle devait montrer ses seins. Elle n’était pas farouche et ouverte à toutes ses expériences nouvelles.

Les gémissements, le plaisir qu’avait sa mère lorsqu’elle recevait ses amants, donnaient à Laurie une image positive du sexe. Elle a observé, entendu, ses scènes de sexe derrière la porte de la chambre de ses parents. Ce ressenti si agréable l’amène à se masturber derrière cette porte où elle s’imagine plein de belles choses.

Elle fait une fugue le lendemain du jour de ses vingt ans ; un petit bagage et elle monte à la capitale !
N’ayant pas beaucoup d’argent elle décide de faire du stop pour se rendre à la gare. Elle a à peine commencé, qu’un homme dans une petite voiture s’arrête pour la prendre. L’homme à une trentaine d’années et parle très facilement. Il vient à louer son physique en mettant une main sur sa jambe. Elle est tétanisée dans un premier temps laissant notre chauffeur en profiter pour lui caresser les seins « t’a une belle poitrine toi ! mmmmh »

Laurie est saisie, elle n’ose pas bouger, prise entre la peur et le désir qui commence à monter. Elle n’a jamais connu ça de la part d’un inconnu. Il dirige désormais la main entre ses jambes. Sa robe, un peu serrante le gêne pour atteindre sa chatte. Elle comprend alors les gémissements de sa mère lorsqu’elle recevait ses amants et relève instinctivement sa jupe en écartant les jambes. La main expérimentée lui caresse la chatte délicieusement. Elle met son manteau sur ces genoux pour se cacher des regards extérieurs. Se faire doigter à la vue de tout le monde l’excite mais elle ne tient pas à être vue dans cette position. La gare n’est pas loin de son domicile et elle ne veut pas donner d’indice pour sa fugue. Arrivée à bon port et toute mouillée, notre pilote la libère pour son train. La culotte de Laurie garde la mémoire de cette expérience.

Prenant sa place dans le train avec un vieux couple avec qui, elle pense être en sécurité, elle se rend aux toilettes pour changer sa culotte pleine de mouille. Elle ne passe pas inaperçu malgré tout, un homme a repéré cette jolie mine souriante mais surtout ce jeune joli corps bien fait.
En se levant pour aller se changer, l’homme la suit sans qu’elle s’en aperçoive. A la porte des wc, il s’enfonce avec elle et lui met une main sur sa bouche et de l’autre lui indique de se taire en mettant son index et faisant « chut, tais-toi ». Il lui enlève la main de sa bouche et elle ne dit rien, la encore tétanisée par cet homme pas très grand, râblais qui s’est empressé de fermer la porte derrière eux.

Laurie s’exécute aux demandes; il prend sa main, la met sur son sexe et l’embrasse fougueusement tandis qui lui caresse les seins. Il les prend à pleines mains, mains robustes et fermes qui viennent faire vibrer notre insouciante. Les saccades du train ont un effet hypnotique sur Laurie, peloter par le gaillard, elle mouille de nouveau. Laurie n’est pas très douée pour la caresse de la queue de cet homme. Il lui montre et lui explique ce qu’elle doit faire. Elle apprend très vite, elle le branle doucement ce qui l’excite beaucoup.
Il lui remonte sa jupe et lui enlève sa culotte qu’il jette par terre. Il l’a plaque contre le mur et lui met un pied sur les toilettes lui écartant les jambes par la même occasion. Il approche son sexe de sa chatte et elle l’utilise pour frotter son clitoris et son vagin, il l’a pénétre au bord de sa chatte qui mouille de plus en plus.

Son gland entre chez notre pucelle qui l’accueille avec beaucoup d’émotions. Il est obligé de lui remettre la main sur la bouche pour faire taire ses gémissements. Il ralentit son vats et viens mais cela excite Laurie encore plus.
Sa queue est à la moitié et Laurie jouit en se mordant ses lèvres pour ne crier. Elle est dilatée et la queue rentre toute entière dans sa chatte. Elle est assurément vaginale. Elle s’était déjà enfoncée des bananes et autres fruits ressemblant à un phallus et son dépucelage n’était qu’une formalité. Il l’a prend par derrière en lui caressant les seins et jouant avec ses tétons.
Laurie garde sa main sur sa bouche en permanence, elle découvre une de ses positions préférées, de celles où elle ne se contrôle plus. C’est elle qui bouge sur cette belle queue qui l’enfourne et et elle très douée.

La vue de son cul est magnifique et enhardi notre opportuniste qui l’a prend à ses hanches. « C’est bon, ahhh, c’est bon » dit-elle tout bas, en sussurant. Il lui mit un pouce dans le cul quand Laurie se cambra pour inviter à se faire bien mettre à fond. Puis 2 doigts s’introduisent et l’explore de plus en plus profondément son anus. L’homme jouit pour la deuxième fois dans sa chatte et l’a quitte et lui disant « chut » et mettant son index sur sa bouche.
Laurie est remplie de ressentis physiques très agréables et elle ne peut s’empêcher de se caresser la chatte ses seins pendant quelques instants avant de se rhabiller. Avec toutes ses émotions, elle oublie sa culotte dans les toilettes, elle s’en rend compte par le sperme qui coule de sa chatte. Elle met son manteau sur ses genoux et entreprend de s’essuyer discrètement ce qu’elle arrive à faire. Elle ne peut s’empêcher de s’attarder et de se masturber. Elle est clitoridienne aussi..

Sans projet précis, en arrivant à la Gare du Nord, elle décide d’aller faire un peu de tourisme. Elle entendait toujours son père parler de Pigalle, rue Saint-Denis, des quartiers chauds de Paris. Peu de temps après être sortie du métro et flânant à Pigalle, une pluie intense l’oblige à s’abriter. Un cinéma fera l’affaire, pensant ainsi éviter les bars. C’est un cinéma porno qui s’est rempli au moment de l’averse. Chacun prenait place et il était difficile pour Laurie de d’en trouver une. Debout, elle regarde le film où une jeune femme est abusée par 3 hommes. Elle se souvient alors qu’elle n’a plus de culotte.

A ce moment là, d’autres personnes entrent et elle se retrouve très rapidement à subir des mains baladeuses et des invitations obscènes. Voyant de la place dans une rangée, elle s’y assoit, à côté d’un couple côté homme. Ce dernier lui met la main sur la jambe dès son arrivée et elle s’aperçoit que sa femme est en train de le masturber, pantalon abaissé, il prend manifestement beaucoup de plaisir. Laurie remonte sa jupe et offre sa chatte. Le film est excitant, la salle est dans une ambiance électrique par la concentration de personnes suite à la pluie. C’est comme si le temps s’était arrêté. Un homme âgé se met à gauche de Laurie et sort son sexe bien dur que Laurie se met a branler tout en se faisant doigter par l’autre voisin.
Elle prenait plaisir à branler les hommes mais aussi à les sucer. Elle entreprend de le faire auprès de l’homme âgé en se mettant à genoux à quatre pattes sur son fauteuil donnant ainsi la possibilité de se faire lécher et doigtée par son voisin de droite. Son joli cul ne passe pas inaperçu et les voisins de derrière ne sont pas en reste en lui caressant le cul et les seins si gentiment mis disposition. Des doigts la pénètrent dans sa chatte et dans son cul.

Après avoir joui et fait jouir son voisin de gauche elle va aux toilettes et s’enquiert du temps qu’il fait, il commence à se faire tard et elle besoin de trouver un logis. Une personne qui parle anglais lui entame la discussion; elle connaît un peu cette langue apprise à l’école. Après une petite conversation, il lui propose de venir chez lui ce qu’elle accepte. Il habite non loin, sous un pont..ce qu’il n’avait pas précisé. Amosa vient du Cameroun et séjourne en France de manière illégale.

Quand ils arrivent sous le pont il est trop tard pour Laurie de reculer, elle est transie de froid sous la pluie qui s’est remise à tomber. Il l’invite dans une tente et lui donne une couverture en l’invitant à se déshabiller. Elle retire ses vêtements trempés et met le maillot qu’il lui donne « un marcel en coton (presque) blanc », ses seins débordent de tous les côtés mais il est suffisant long pour lui en faire une petite robe. Assis dans la tente, il l’invite à le rejoindre entre ses jambes dans la même position que lui, et les entourent dans la couverture.
Dans cette position il passe ses bras autour d’elle et l’enserre fortement pour la réchauffer. Ne portant que le maillot pour tout vêtement, elle se réchauffe tout doucement dans les bras de ce beau black de 22 ans. Ses seins, si gros, reposent sur les bras d’Amosa. Peu à peu Il commence à lui toucher en les complimentant, pour la réchauffer, lui dit-il. Elle se laisse faire par ses mains si douces et si chaudes qui la pelotent. Positionnée derrière elle, son sexe durcit sur le dos de Laurie, elle le sent et cela ne la laisse pas insensible.

Un homme rentre dans la tente en lançant un « fuck » de désagrément du temps si pluvieux. Djal découvre Laurie tout sourire dans les bras d’Amosa. Quelques amabilités entre eux en Camerounais où Amosa précise qu’elle est super sympa, qu’il faut la réchauffer et qu’il y a « moyen ». Djal commence par lui caresser les pieds qui dépassait de la couverture. Une fois les jambes de Laurie réchauffées elles aussi, par ses mains rigoureuses, sa chatte est l’objet des attentions de Djal. Elle glisse alors son bassin vers l’avant et écarte les jambes.
Son désir monte, elle est bien réchauffée sous ses caresses à 4 mains. Sa chatte est bien mouillée sous les doigts de Djal qui du haut de ses 29 ans est bien expérimenté. Il passe sous la couverture et vient lécher la chatte de Laurie qui apprécie « oh oui, comme ça, c’est bon » Ses encouragements pousse Djal à glisser un doigt plein de mouille dans son anus. Amosa lui pince légèrement ses tétons qui sont bien durs maintenant, toute sa poitrine lui donne des émotions fortes par ses caresses. Amosa est surexcité, il a trop envie de la prendre. Il dit en camerounais à Djal qu’il va la pénétrer par derrière et entreprend de venir à la place de Djal qui se retire en se mettant sur le côté. C’est une tente deux places et il est difficile pour Amosa de se frayer un chemin.

Laurie accompagne les déplacements d’Amosa en lui caressant le sexe au passage et instinctivement elle se met à quatre pattes pour qu’il la prenne par derrière. Djal, installé sur le côté s’occupe de ses seins qu’il a fait sortir du marcel. Amosa prend plaisir à la prendre tant elle s’offre avec sa cambrure magnifique. Sa chatte toute mouillée, par la langue et les doigts de Djal, accueille pleinement la queue d’Amosa qui en a tellement envie. Les gémissements de Laurie ne passent inaperçu. Il y avait d’autres tentes de migrants à proximité. L’un d’eux entra et se mit de l’autre côté à la parallèle de Djal tandis qu’un autre prenait la place d’Amosa. Les peloteurs de seins lui suçaient , lui malaxaient sa poitrine généreuse pendant qu’elle se faisait prendre en levrette. La tente ne résiste pas et s’éventre laissant tout notre petit monde à l’air libre sous la lumière de la pleine lune.

Tous les hommes du camp s’agglutinent autour de Laurie et viennent tour à tour prendre leur part. Laurie ne dit jamais non; elle est prise en sandwich et suce les nombreuses queues se présentant à sa bouche. Le sperme coule à flots, Amosa vient pour la 2ème fois dans son cul. Djal s’est positionné en dessous d’elle et s’occupe de sa chatte en conservant la belle vue de ses seins tripotés par de nombreuses mains...

Quelques heures de sommeil dans une autre tente lui permettent de récupérer un peu. Ce repos lui permet de réfléchir et elle décide de rentrer devant son incapacité à dire non aux hommes. Une grande ville c’est autant de propositions qu’elle ne pourrait refuser.