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De l'interdit pour le nouvel an

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Lue : 31568 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2011

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Il y a 5 ans, alors que j'avais 16 ans, mes parents décidèrent d'aller passer nouvel an en famille à l'île Maurice. Tout le monde me croyait enchantée, mais bon, à 16 ans, passer nouvel an au chaud, oui bon plan, mais sans amis .. Pas trop

Je me retrouvais donc le 31 décembre autour d'un apéro magnifique, du champagne, du foie gras, du homard et tout ce que l'on peut avoir de mieux. Ainsi que mes parents, ma tante et mon oncle, une de ses collègues, son mari Gabriel, et un autre couple. Tous entre 40 et 50 ans. En bas jouaient les petits : mon petit frère, mes deux cousins, et les enfants des deux autres couples.

Mais bon, c'était quand même Nouvel An, il fallait fêter ça tout de même. J'avais ainsi mis une robe noire très décolletée, laissant une vue imprenable sur mes seins généreux, assez courte, dévoilant mes longues jambes bronzées (et oui, une semaine de vacances ça aide), des talons de 15cm. En me regardant dans la glace, je m'attristais de ne pouvoir rien faire ce soir.

Je me suis donc assise avec mes parents, parlant naturellement de mon année de terminale avec ma tante, de ma dernière plongée. Je me suis vite rendue compte que Gabriel fixait mon décolleté avec insistance. Je me mis à lui parler naturellement. Comme à n'importe quel invité. Il était très bel homme, prof de sport dans un grand hôtel, habillé dans un lin blanc, en grand contraste avec sa peau mat. Une chemise très ouverte montrant des abdos très bien formé.

Je m'amusais à voir ses yeux revenir toujours vers mon décolleté. Je me penchais ostensiblement pour reprendre une coupe, pour qu'il puisse mieux voir mes seins.

Un petit se mit à crier, je suis descendue, contente de m'enfuir un peu. Ils allaient bien, ils jouaient, je les regardais jouer un moment, derrière une porte, un couloir sombre derrière moi. Je sentis une présence derrière moi. Je regardais furtivement et vit la silhouette de Gabriel. Je fis semblant de ne pas l'avoir vu, pensant qu'il ferait demi tour, ou qu'il me parlerait, je ne sais pas, j'attendais. Mais non, je l'entendais s'approcher, petit à petit, cela m'excitait, je savais que rien n'arriverait, sa femme était en haut, ses enfants à quelques mètres, il avait plus du double de mon âge, mais sa présence m'excitait.

Soudain, je sentis une caresse sur ma cuisse, très furtive, voyant que je ne réagissais pas, il reposa une main sur le bas de ma cuisse, l'autre sur ma hanche, il me caressa très lentement, je n'objectais pas mais je ne l'encourageais pas non plus. Je ne savais que faire, sa main sur ma peau me faisait mouiller mais c'était juste impossible. Il se colla à mon dos. Une main remontant le long de ma cuisse, l'autre me caressant les seins. Il commença à m'embrasser le cou, à me le lécher. Et enfin, je tournais la tête, et il m'embrassa à pleine bouche, une main entre mes jambes, l'autre pinçant un de mes tétons, je sentais la pression de son sexe contre mes fesses. L'interdit décuplant mon plaisir.

Soudain, un bruit, on se sépara, j'allais vers les petits, lui se dirigeais vers les toilettes.
Lorsque je remontais enfin vers les adultes, il était là, assis avec eux, comme si de rien n'était. Je repris mes discussions avec les uns et les autres, comme si de rien n'était. Minuit sonna, on se souhaita une bonne année. On ressortit du champagne. Gabriel sauta dans la piscine, les autres le regardèrent depuis la terrasse. Je restais avec eux un moment, le regardant moi aussi.

Il enleva sa chemise, je le voyais, j'avais envie de lui, c'était fou, je savais que ce qui s'était passé était déjà trop. Que mes parents étaient proches. Je descendis dans la chambre qui m'était attribuée, elle avait une porte fenêtre donnant sur la piscine. J'ouvris un volet, il me vit, vint vers moi, et avant que je puisse réagir, m'embrassa à pleine bouche, se colla contre moi. Il me mouilla, c'était rafraîchissant de l'avoir contre moi. Il referma le volet derrière lui, au dessus, on entendait la musique, les autres qui dansaient, les petits jouaient dans une autre salle. J'avais peur que quelqu'un rentre, mais j'étais tellement excitée, je n'en pouvais plus. Il me plaqua contre le mur, m'embrassant dans le cou, puis descendit vers mes seins. Il baissa le haut de ma robe, m'enleva mon soutif. Il commença par s'occuper de mon sein droit, l'embrasant, le léchant, me mordillant le téton. Puis il se mit à téter fortement le deuxième. Je mouillais abondamment. Il avait ses mains derrière mes fesses, les malaxait et frotter son pénis durci contre moi. Je laissais échapper un gémissement. Il me dit qu'il allait me faire beaucoup de bien. J'ai dit que c’était pas raisonnable, il lâcha mes seins et m'embrassa à nouveau. Puis il me porta jusque au bureau. M'y assis, enleva mon string si mouillé et enfoui sa tête entre mes cuisses. Il commença à jouer avec mon clitoris du bout de sa langue. Il était déjà bien érigé. Il fit d'abord de petits ronds autour, puis l'embrasse, l'aspirant, le mordillant. Je jouis une première fois.

Je n'eus pas le temps de me remettre qu'il me pénétra d'un coup sec. Je retins un cri. Je lui dis d'y aller plus fort, plus profond, j'en avais tellement envie. Il fit passer mes jambes au dessus de ses épaules et recommença plus fort. Je jouis une seconde fois.

C'était la première fois de ma vie que je ressentais un tel plaisir, j'avais eu deux orgasmes qu'il n'avait pas encore éjaculé, il avait tellement de maîtrise, il savait ce qu'il voulait, ce qui me ferait jouir. Il me mis à genoux par terre, et me dit tout bas dans l'oreille. "Je savais bien que tu étais une petite salope, une petite salope avec des seins si attirants, toute le soirée je voulais te les bouffer, et à chacun de tes sourires, j'imaginais ce que tu vas me faire maintenant. Tu es ma jeune pute, si jeune pute, tu vas me pomper, fort. Et il prit ma tête et m'enfonça sa bite dans la gorge. Je n'arrivais plus à respirer, mais je le pompais, je faisais de mon mieux, bien que je n'ai pas le choix, il me tenait la tête et je le sentis éjaculer au fond de ma gorge. Je m'étouffais. Il tira mes cheveux et termina d'éjaculer sur mon visage. Je léchais ses boules, les gobait, lui offrait tout ce que je pouvais encore lui offrir. Puis ce fut fini.

Je passa un maillot de bain, sauta dans la piscine, appela les petits qui vinrent jouer avec moi, il alla dans le jacuzzi. Il rejoint sa femme pendant que je jouais avec ses enfants.

Il s'était passé une heure, une heure pour les autres, mais tellement plus pour moi. J'ai ainsi commencé cette année par quelque chose de fou, quelque chose qui n'aurait jamais du arrivé. Et comme on dit, les premières heures de l'année définissent notre année. Je me suis bien amusée cette année là.
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Histoire de lililalou

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