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De la chair contre la vitre

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/08/2023

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DE LA CHAIR CONTRE LA VITRE

Avant d'entrer dans le vif du sujet, il faut sans doute que je vous donne le cadre de ce qui m'est arrivé. Sans précisions, vous ne comprendrez pas.
J'ai la chance d'habiter dans un département du Sud-Ouest, pas forcément paisible, mais où la nature a gardé la primauté. Ma maison est située dans un hameau de six cent habitants, mais nous sommes répartis par petits groupes au milieu de champs, plaines, forêts. C'est bien agréable d'être en pleine nature.
Dans mon quartier, il y a une dizaine de maisons, très dissemblables. Au départ, il y avait deux gros blocs, le presbytère, et la maison du fermier qui avait des dizaines d'hectares. Tous les bâtiments autour, reconvertis en propriétés, étaient des appentis, des dépendances...
J'ai un grand jardin, avec une partie en pente. Le matin, un de mes plaisirs, c'est aller au bout du jardin, il y avait un banc, quand j'ai acheté la maison, je l'ai arrangé, je me pose là avec mon café et mes croissants, et je profite de la nature qui s'offre à moi. Des champs, des bois, la rivière en dessous. J'ai de grands arbres dans lesquels viennent nicher des espèces d'oiseaux très diverses, dont j'ai appris à reconnaître les cris et le plumage.
Quand je suis posé sur ce banc, je tourne le dos à une maison qui jouxte ma propriété, une architecture différente, avec le jardin de l'autre côté. La façade est de la maison représente donc la limite du terrain, se prolongeant sur la gauche sur le début de son grand jardin, qui comme le mien, fait aussi parc, avec des arbres.
Gérard a à peu près le même âge que moi, un début de quarantaine, mais on a suivi deux parcours différents. Il est ingénieur, travaille pour un grand groupe, le site est à vingt kilomètres, et d'évidence il gagne bien sa vie. Moi, je suis professeur des écoles, un métier que j'aime passionnément, avec un salaire moins important.
Il n'y a pourtant nulle ostentation chez lui, nulle vantardise, nulle prétention, même s'il est clair qu'il gagne bien sa vie, mieux que moi en tout cas. Il était arrivé en même temps que moi, et on avait sympathisé. Il était simple, et vraiment sans aucune méchanceté.
A l'époque où je l'avais connu, il était encore marié, avec un enfant qui avait cinq ans et qui approchait aujourd'hui de sa majorité.
Ce qui m'avait vraiment bluffé depuis qu'il s'était séparé de son épouse, apparemment en bonne entente, le gosse se partageait entre les deux foyers, c'était le nombre de filles que j'avais vu défiler. Entre vingt et cinquante ans, on va dire. Et toutes canons, chacune dans son style. De belles femmes, mais aussi des femmes agréables, et dont on sentait bien qu'elles avaient de la personnalité, et de l'intelligence.
Le problème, c'était que ça ne tenait jamais. Je ne demandais pourquoi , évidemment, je ne risquais pas d'avoir la réponse, n'étant ni dans l'intimité du couple ni dans la tète des filles quand elles se décidaient de partir. Il n'était pas spécialement beau, mais le physique importe peu au final. Il ne semblait en tout cas jamais affecté, retrouvant très rapidement une copine qui passait régulièrement. J'avais dans l'idée que peut-être elles sentaient que, déçu par son mariage, il ne cherchait pas de relation sérieuse par peur d'être de nouveau déçu. Il ne le disait d'ailleurs peut-être pas ouvertement, mais ça se voyait.
Sa dernière copine, je l'avais déjà croisée plusieurs fois. Pas avec lui d'ailleurs. Comme la plupart des filles qui venaient, elle avait énormément de charme. Chacune avait son charme propre, elle c'était une petite brune, vraiment pas très grande, dans la vingtaine, avec de belles formes, un joli minois, qui disait sa chaleur et sa joie de vivre, et une superbe crinière brune. Elle n'avait pas hésité à parler, 'Bonjour, je m'appelle Althéa, je suis une amie de Gérard.' Je m'étais présenté aussi. On avait échangé, les fois suivantes, deux ou trois banalités.
J'ai fini mon café. J'avais encore un peu de temps devant moi. J'appréciais ces moments matinaux, qui n'appartenaient qu'à moi.
C'est alors que j'ai entendu plusieurs petits coups contre la vitre.
Je me suis retourné.
La maison avait certainement, contrairement à la mienne, une ancienne grange transformée, était faite par un architecte. Elle était de plain-pied, mais avec une sorte de tour qui faisait un étage, et la partie arrière était entièrement vitrée, une baie occultée par de grands rideaux. Je savais pourtant comment c'était à l'intérieur, car il m'avait fait visiter.
Je dois bien avouer qu'en me retournant, je ne m'attendais pas au spectacle qui m'attendait.
Le rideau avait été écarté sur la surface d'un panneau de verre, et pile devant ce panneau, il y avait la jolie brune.
Je savais qu'elle était seule, parce que cinq minutes plus tôt j'avais entendu le véhicule de Gérard, une grosse cylindrée, partir.
J'ai été..Un mélange d'émotions en fait. Surpris, tétanisé, saisi par le désir.
Elle était en petite tenue, comme on dit.
Mais vraiment petite.
Elle avait juste une culotte, rouge, et pour le reste, elle était totalement nue.
Sans paraître se soucier de cacher sa féminité.
Au contraire.
Elle avait son immense sourire sur le visage, et elle a baladé ses mains sur elle, dans un mouvement troublant, comme si elle se caressait. Une manière de présenter une nudité quasi intégrale.
Ce que ses vêtements promettaient, sa nudité le tenait. Elle avait de belles formes, avec deux seins très charnus, ronds, hauts et fermes, des hanches bien marquées, un cul en harmonie avec ses seins, qui tendait le tissu de sa culotte...Elle aurait sans doute, c'était par contre une certitude, des problèmes de poids quand elle serait plus vieille, mais pour l'instant, ce n'était pas le cas, elle était désirable.
Et elle avait envie, sans aucun doute, de m'allumer.
Elle considérait en tout cas que ses seins étaient une arme de séduction, et elle n'avait pas tort. Elle a su en tout cas s'en servir dans les secondes qui ont suivi. Le prenant en coupe, elle en a remonté un, et elle a dardé sa langue, pour venir la frotter contre un téton qui n'était déjà pas à l'état de repos, et qui a encore pris du volume, de l'épaisseur et de la longueur.
Le show, dans sa première partie en tout cas s'est fini lorsqu'elle s'est collée, mais littéralement collée contre la baie. Ses seins se sont écrasés contre, son ventre, et elle a plaqué sa bouche contre pour une forme de baiser.
Elle a pris le temps qu'il fallait pour ce moment s'imprime suffisamment en moi.
Ca a ben été le cas.
Elle a pris du recul, et elle a très lentement descendu son slip pour me révéler l'intégralité de sa nudité. Elle avait gardé, contrairement à la mode, une très belle toison brune, taillée en triangle, et plus bas, je distinguais le dessin de son sexe, une fente entrouverte dont sortaient deux bons bouts de lèvre, bien charnus et bien longs. Elle a tourné sur elle-même, pour me présenter ses fesses avant de finalement débloquer la baie, et de me dire :
--Viens...Il est parti...Tu as un peu de temps ?
--Un peu oui, mais...Tu ne penses pas que ?
--Tu me plais depuis que je t'ai vu pour la première fois.
Elle a rajouté,
--On n'a absolument rien fait cette nuit. Il était crevé, il s'est endormi devant la télévision. Je suis partie me coucher seule. Il a passé la nuit sur le divan. Et ce matin, je lui aurais bien fait une pipe, mais il n'avait pas le temps.
Dans un mouvement qui lui, n'avait rien de conscient, elle passait et repassait ses doigts sur son sexe, allant et venant avec un résultat tangible, son sexe s'ouvrait un peu plus, et elle commençait à mouiller, ses lèvres luisantes.
--Je n'ai qu'un quart d'heure, après il faut que je parte.
--On peut en faire des choses en un quart d'heure. (Elle a désigné une grosse horloge dans la pièce.)Tiens tu regarderas l'horloge, et, ou qu'on en soit, dans un quart d'heure, tu partiras...
Comme pour achever de me convaincre, elle a ajouté :
--Regarde j'ai des capotes là sur la table, je les ai sorties de mon sac quand j'ai décidé de t'interpeller. Le show t'a plu ?
--Très efficace.
Et je me suis glissé à l'intérieur. Elle a reculé contre le canapé trois pas derrière.
Avec sur le visage un mélange de plaisir et d'envie, elle est venue défaire mon pantalon, le renflement qui tendait le tissu disait sans aucun doute qu'elle me faisait de l'effet. Elle m'a caressé à travers, en disant :
–Mmmm, je sens une bonne queue bien dure la dessous...Tu sais, moi j'aime les queues...Bon je t'ai fait de l'effet...
Elle m'a mis à nu.J'étais d'autant plus dur que, depuis mon divorce, quatre ans plus tôt, je n'avais pas vraiment eu de relations, des coups d'un soir plutôt, et ces derniers temps, je ne m'étais pas vraiment rapproché d'une fille. La voir toute nue, la voir s'offrir avait généré un désir d'autant plus fort. Elle m'a bouffé la queue avec avidité, de coups de langue en aller-retour sur ma tige.
--Ne jouis pas maintenant, elle m'a dit, j'ai envie que tu viennes dans ma chatte.
--Il ne te baise pas assez?, je n'ai pu m'empêcher de lui dire.
--Il est très gentil, et il me donne beaucoup d'argent, elle a répondu, entre deux caresses buccales.
Tout était dit.
J'ai jeté un coup d' oeil à l'horloge. Déjà cinq minutes. Elle avait sans doute aussi conscience du temps qui passait, car elle s'est laissée partir en arrière, glissant le long du dossier du canapé, pour se retourner et se retrouver en position assise.
--J'ai envie d'une langue sur ma chatte. Tu me caresses avec ta langue cinq minutes et après tu mets ta queue dedans cinq minutes. C'est un bon équilibre, non ?
J'ai contourné le canapé pour venir me glisser entre ses cuisses, sur lesquelles j'ai posé les mains. Elle avait une peau douce et chaude, et son sexe juste devant moi. J'ai été impressionné par la manière dont ses lèvres s'étaient développées, ramassées sur elles-mêmes quelques minutes plus tôt, mais, à présent, elles étaient gorgées de sang, étirées et les plus longues que j'avais jamais vues. De même, son gland clitoridien s'était décalotté de lui-même, et pointait, en haut de ses lèvres, gonflé et étiré lui-aussi.
Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait de cunni à une fille, mais c'est comme la bicyclette. Ca ne s'oublie jamais. J'ai attaqué ses lèvres de la langue, et ses gémissements m'ont dit que j'étais sur la bonne voie. Ses liquides intimes ont coulé dans ma bouche, abondants, alors que je parcourais ses chairs, me glissant à l'entrée de son sexe, caressant ses muqueuses internes, m'efforçant de rentrer, puis finalement j'ai opté pour frotter son gland clitoridien, tendu d'excitation.
Elle avait un œil sur moi, un autre sur l'horloge.
--Il nous reste cinq minutes, mets une capote et viens dans ma chatte...J'en ai trop besoin...Mais ne jouis pas dedans, je te ferai quelque chose que je réussis très bien.
J'ai attrapé la boite de préservatifs et je m'en suis gainé. Elle m'a regardé faire en frottant son gland clitoridien. Elle était offerte. J'ai approché ma queue de son sexe, elle l'a guidée de sa main et je suis rentré en elle.
Ca faisait trop longtemps que je n'avais pas pénétré une fille, et ca a été tellement intense de retrouver ces sensations que j'ai failli jouir sur le champ. Etre gainé par un sexe de femme, qui s'applique contre votre chair, qui vous frotte, vous caresse....Je comprenais bien qu'on pouvait se damner pour ça...Mais il fallait croire qu'elle aussi se serait damnée pour avoir un sexe d'homme dans le ventre...Elle était quasiment en transes...Elle s'est mise à frotter son gland clitoridien de la pulpe de ses doigts, gland qui a quasiment doublé de volume, pendant que je bougeais en elle...
On avait une limite dans le temps, mais celui-ci s'était dilaté, et on n'aurait sans doute pas eu plus sur un temps long...
Je n'avais pas oublié sa promesse, et je suis sorti d'elle. Je pensais qu'elle voulait me prendre dans sa bouche pour que j'y jouisse, mais ça n'a pas été du tout ça. Elle s'est laissée un rien descendre, et m'a remonté un peu plus haut, enlevant le préservatif, pour entamer une cravate de notaire.
Concernant la sexualité, on n'a jamais tout vu, et puis il y a toujours les éléphants blancs, comme on dit. Les cravates de notaire, j'en avais entendu parler, bien sûr, mais aucune fille ne m'en avait jamais fait. Elle avait en tout cas ce qu'il fallait pour. Elle a ouvert ses seins, et les a ramenés sur ma queue, en avalant ainsi les trois-quarts, avec le gland qui dépassait. Elle s'est mise à me frotter avec, et je dois bien dire que j'ai été décontenancé par cette caresse, très différente de celle d'une muqueuse vaginale, ou même anale. C'était doux, suave et chaud, et je n'ai pas tenu très longtemps.
Je lui ai dit :
--Je vais...
J'ai pas fini ma phrase. Un premier jet de sperme, puissant tout autant que copieux est parti sur le côté gauche de son visage. Elle a fermé les yeux, se laissant arroser de sperme avec un plaisir évident. Je n'en finissais pas de me vider, comme, si, ce n'était toutefois pas une réalité biologique, tout le sperme que j'avais pu garder pendant ces mois sans relations sortait de moi. Elle en a eu plein sur le visage. Un masque de beauté d'un nouveau style.
Il y a eu un moment de latence. Elle s'est éclipsée, est revenue avec une serviette de toilette, s'essuyant le visage et des vêtements à la main. Elle a repassé sa culotte, enveloppé sa poitrine d'un soutien-gorge, puis fait tomber le long de son corps une robe en lainage rouge vif qui, indéniablement, soulignait ses formes, sublimant ainsi son corps.
En guide d'adieu, elle est venu se coller contre moi, et elle m'a étreint.
Je suis repassé mon jardin, elle par la porte de sortie de la propriété de Gérard.
Je ne l'ai pas revue dans les jours qui ont suivi. Mais j'avais bien compris que ce devait être un one-shot. Qui me laissait un souvenir que je ne parvenais pas à effacer. En si peu de temps, je lui avais trouvé énormément de charme. Et pas que physique. Le peu de sa personnalité que j'avais vu se dessiner m'avait plu.
A la fin du mois, un soir, en rentrant, j'ai croisé une superbe rousse, fine et élancée qui se garait.
--Bonjour, je suis l'amie de Gérard.
Il avait encore changé.
Elle était vraiment magnifique. Sans pour autant effacer, à mes yeux la petite brune. C'était elle ma préférence.
Il s'est passé encore deux mois...Et puis un soir...On a sonné à ma porte. J'ai été ouvrir.
Devant moi, avec un immense sourire sur le visage, il y avait quelqu'un que je n'avais pas imaginé revoir. J'ai été submergé par une joie immense, comme rarement éprouvée.
Elle était un peu plus grande que la fois précédente, mais ça n'allait pas durer, parce qu'elle avait des cuissardes à talons aiguille. Un caleçon noir très collant qui révélait son intimité dans les détails, et qu'elle n'avait sans doute pas de culotte dessous, En haut, sous un perfecto, un corset orange laissant apparaître, j'aurais dit 60 pour cent de ses seins.
Elle a glissé ses mains dans son décolleté et ses deux énormes doudounes sont apparues. Elles étaient toujours aussi appétissantes.
--Toujours intéressé ?
--Oui, mais pour un peu plus qu'un quart d'heure.
--Une nuit. Et plus si affinités, elle a répondu, en descendant le caleçon sous lequel elle n'avait pas de slip, pour me faire voir que par là, c'était aussi intéressant.
Je l'ai faite rentrer.
Ca fait un peu moins de trois ans aujourd'hui et elle n'est toujours pas repartie.


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Commentaires du récit : De la chair contre la vitre

Le 10/08/2023 - 13:00 par OlgaT
Une excellente opportunité!

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