De la piscine au lit

La chaleur du printemps inhabituelle en début avril me donne des envies de folies. Dès 15 heures me voilà en tenue de combat : seul le slip sous la jupe, sans rien d'autre je vais faire un tour à la piscine. L'eau à peine fraîche me fait frissonner. Je sens mes seins avoir la chair de poule. Je pousse un cri de joie. Me voilà libre quand j'enlève ce qui protège mon ventre. Je nage vers l'autre bout du plan d'eau, avant de retourner. La planche est une position parfaite : le soleil me réchauffe le ventre. Trop sans doute puisque j'ai aussitôt envie de jouir.
Assise je regarde les bords de l'eau, sans me préoccuper de ce qui se passe dans le jardin voisin. Naturellement ma main rejoint le bas ventre, mes doigts connaissent parfaitement le chemin. Je suis trempée de cyprine. L'index commence, seul, comme toujours les va-et-vient. Le début de l'orgasme n'est pas loin. Il monte lentement depuis les pieds en passant par le sexe, il monte encore vers le cerveau pour descendre là où je l'aime.

La voie de la voisine retenti :
- Alors tu te masturbes !

Comme si elle ne me voyait, pas. Ce n'est pas la première fois que je me fais du bien. C'est vrai qu'elle ne me connait pas assez encore sinon, elle ne poserait pas cette question idiote. Oui, je me branle et alors. Si elle savait comme j'aime me masturber devant d'autres personnes, par exemple pendant des sorties particulières faites avec mon mari.

Il aime me voir faire devant lui, il en profite pour prendre sa queue dans sa main. J'aime aussi voir sa main caresser longuement la pine avant de jeter son venir. Ma main en profite pour aller et venir sur le clitoris que j'ai un peu développé.
Si la voisine veut me voir de près qu'elle vienne, je ne la mordrais pas au contraire.
Fais le tour par la porte.
C'est le seul passage possible : passer par la rue pour venir chez moi. Elle connaît le chemin, non.

Je reste les pieds dans l'eau, les jambes offertes. Ma main continue sa caresse. Je l'entends quand elle marche près de moi. Je ne m'arrête pas. Je connais le résultat d'avance : elle va faire comme moi, se branler en ma compagnie. Je la regarderais jouir comme elle me regardera.
Elle se met nue : elle est belle et excitante. Si j'étais un homme il y a longtemps que je l'aurais baisée. Elle reste immobile à mes côtés.
Non, elle ne va pas me mettre devant moi. Si, elle passe ses jambes de chaque côté de ma tête, m'offrant sa chatte.
Je n'ai jamais fait ça. Elle se colle carrément à ma bouche. Je sens son odeur ambrée. C'est agréable à sentir sans plus. Elle se frotte à la bouche. Je suis presque obligée de sortir un bout de langue.
Ce n'est pas la première fois que je sucerai une fille, je l'ai fait pendant une partouze avec mon époux qui enculait la fille. J'avais aimé et le goût et la vue de la queue de mon mari entrant et sortant du cul. J'avais profité d'un peu de sperme quand il éjaculait
Mais là seules nous n'allons pas reproduire le même cunnilingus !

Du bout de langue je passe à la langue entièrement sur le sexe de la voisine. J'entends ses gémissements. Ils ne sont pas fait pour m'arrêter
Excitée encore un peu plus, ma main reprend le va-et-vient. Je jouis sans me gêner. Sans le faire exprès je mordille le clitoris. Elle grogne avant de se pencher vers moi.
Je reçois sa bouche sur la mienne. Notre baise devient profonde. J'ai envie d'elle normalement, pas à côté de la piscine.
Nous arrivons dans la chambre, main dans la main, comme des gamines. Sauf que les gamines sont assez grandes pour faire des bêtises. Nous oublions les préliminaires entamés près de la piscine. C'est elle qui me cherche, qui trouve. Directement sur le pubis pour venir lentement sur le sexe. Mes jambes s'ouvrent seules sans que je les commande : seul le désir compte. Elle écarte lentement les lèvres, passe deux doigts dans la fente. Je la laisse faire, gagnée par l'amour saphique qui se profile franchement. Tant pis pour mon mari, je vais jouir sans lui avec une autre.

Son museau vient sur mon ventre, cherche la porte d'entrée, la trouve pour donner sa langue. Sans me le dire j'attends cet instant depuis longtemps. Une fille rien que pour moi.

Les cheveux longs passent sur le ventre, me donnent des chatouilles. Ses mains passent sur les cuisses, les écartent à la recherche de mes trésors, lieux de plaisirs. Je dois être drôlement mouillée puisque sa langue glisse facilement. Elle remonte à peine pour prendre le bouton pour descendre encore

Enfin elle s'amuse à entrer dans le con. Elle cherche et trouve le point mystérieux. Je relève mon ventre pour profiter de sa langue qui dommage sort du vagin. En le tenant mal je vois son visage contre le pubis. Je sens sa langue bien plus bas, sur le cul. C'est ma première langue de fille à cet endroit. La vache, elle me fait du bien en entrant à peine.

Elle donne sa chatte. Je peux la lécher moi aussi. Son clitoris plaît à ma langue. Je m'y attarde longuement. J'arrive à la faire jouir. Je pars également en même temps qu'elle.

C'est- bon de jouir à deux filles. Nous sommes côte à côte, nous nous embrassons encore. Nos langues s'emmêlent. Nos mains vont sur le corps de l'autre à la recherche de ce que nous avons oublié pendant notre début.

Je trouve son cul que je ne connais pas encore. J'entre un seul doigt. Elle en met deux dans le mien. Encore un orgasme qui nous submerge.

Je la mets en levrette, passe sous elle. Je vois ainsi tout son matériel de baise. Je suis tentée par son vagin, je vais y mettre ma main. C'est mon premier essai : je force un peu pour entre deux doigts puis le suivant. Elle me laisse faire en ouvrant au maximum son trou. J'arrive à y mettre toute ma main. Je la fais aller et venir dans son ventre en tournant. Je regarde le résultat sur sa chatte. Elle jouit plusieurs fois.

Quand elle me rend le chose, je fais comme elle en jouissant, sauf que je lance un jet de cyprine qu'elle récupère dans sa bouche.

Nous devons nous revoir chez elle demain après-midi. J'en parlerais à mon mari demain soir pas avant, sinon, il voudrait me voir baiser par une autre fille.