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De pucelle effarouchée à vraie salope

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Lue : 7266 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/06/2018

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Je viens d'avoir 17 ans et passe le bac cette année. Mes parents n'ont rien trouvé de mieux que de décider de divorcer. En même temps, ça fait plusieurs années que je subis leurs engueulades quotidiennes alors qu'ils décident de mettre un terme à tout ça, ce n'est finalement pas une mauvaise solution. Le moment est juste mal choisi. Il a été décidé que je resterai avec ma mère et que mon père m'aurait le week-end, une fois tous les 15 jours. Notre maison a été mise en vente et a rapidement trouvé acquéreur, nous obligeant ma mère et moi à déménager.

C'est là où j'en ai voulu à mes parents. En plein milieu de l'année scolaire, j'ai dû changer d'établissement scolaire et surtout on est passé d'une maison individuelle avec jardin à un appartement dans un groupement de petits immeubles. Je découvrais alors la promiscuité et l'inconfort d'avoir des voisins en dessous, au dessus et de l'autre côté de nos murs.

Chaque matin, je devais prendre le bus en bas de l'immeuble, obligée de passer devant un attroupement de jeunes à peine plus vieux que moi, dont les seules occupations étaient d'interpeller des filles comme moi, de cracher par terre et de faire leurs petits trafics. Je ne me laissais pas faire et les rembarrais sans ménagement. Le soir quand je rentrais du bahut, j'avais de nouveau droit aux sifflets et compliments plus ou moins lourds.

Dans l'appartement, les relations avec ma mère étaient tendues et je ne lui cachais pas ma rancune d'avoir quitté ma vie d'avant pour celle-ci, beaucoup moins reluisante. Du coup, je sortais de plus en plus souvent, retrouvant mes anciennes copines au centre commercial. Je rentrais de plus en plus tard le soir à la maison, déprimant de retrouver ce quartier gris et bétonné.

Au pied de mon immeuble, il y avait toujours le même groupe qui oscillait entre 5 et 7 personnes. Des jeunes pour la plupart d'origine africaine comme la population du quartier. Ils me regardaient passé à chaque fois, et je sentais leurs regards sur moi. Je ne baissais pas la tête et avançais fièrement ne m'occupant pas d'eux malgré leurs appels incessants.

Un soir où j'avais traîné plus que d'habitude au centre commercial, je rentrais chez moi vers 21h00. La nuit était tombée et le quartier était calme. Devant la porte de l'immeuble, ils n'étaient ce soir là que trois. Ils chahutaient ensemble mais lorsqu'ils me virent arriver, ils s'arrêtèrent pour me regarder avancer, éclairée par les lampadaires de l'allée. Un premier sifflement suivi de leurs boniments habituels m'interpellèrent. Je regardais droit devant moi et continuais mon chemin. L'un d'eux pour une fois s'interposa devant moi.

- eh jolie jeune fille !! tu passes tous les jours et tous les jours tu nous ignores !! tu veux pas faire connaissance ??!!
- non, je dois rentrée...

Il ne voulait pas me laisser passer et insistait. Je le toisais du regard, lui montrant que je n'avais nullement peur de lui.

- on va pas te manger !! on veut juste faire connaissance !! entre voisins c'est normal !!

Je le contournais et continuais ma route.

- laisses tomber Oussama, elle nous snobe... on est pas assez bien pour elle !!
- c'est clair qu'avec son petit look bcbg, elle doit nous prendre pour de la racaille... surtout toi avec ton survêtement pourri !!
- en tout cas ça fait du bien de croiser une jolie fille comme vous dans le quartier, ça nous change des boudins qu'on voit tous les jours !!

Il avait ajouté ça tandis que je pénétrais dans le hall de l'immeuble.

Ce petit manège recommença dès le lendemain matin et les jours suivants. Et puis chaque jour, je cédais un peu de terrain, rentrant doucement dans leur jeu et échangeant d'abord un mot ou deux puis restant quelques minutes à discuter avec eux. Mes à-priori tombaient doucement et je sympathisais avec plusieurs membres du groupe. Contrairement à ce que je pensais, ils ne passaient pas tout leur temps au pied de l'immeuble. Plusieurs d'entre eux avaient des petits boulots en journée, certains travaillaient de nuit. Je sympathisais plus particulièrement avec Oussama qui était chauffeur livreur à mi-temps, Traoré qui bossait dans une supérette du coin et Malik qui avait une petite boutique de réparation de portables. Ils avaient tous les trois entre 22 et 25 ans.

Ma mère n'aimait pas que je traîne avec ces gars et régulièrement elle me prenait la tête avec ça. Du coup ça m'incitait à passer plus de temps avec eux juste pour l'énerver. Après tout c'était de sa faute si je me retrouvais à fréquenter ce genre de garçon!

Ainsi désormais chaque soir, une fois mes révisions faites, je descendais au pied de l'immeuble et passais 1 ou 2 à discuter avec eux. J'en profitais pour fumer un peu, jouant les grandes. Ma blondeur et mon style contrastait avec ces garçons et les habitants du quartier semblaient surpris de me voir avec eux.
Moi ça ne me gênait pas, je les trouvais sympas et je rigolais bien avec eux. Malgré tout, petit à petit, une certaine complicité s'installa et la frontière entre camaraderie et jeu de séduction fut de plus en plus mince. Oussama se permettait plus de familiarité avec moi, n'hésitant pas à me prendre par la taille, à se coller à moi. Cela ne me dérangeait pas même si j'étais un peu sur la réserve. J'avais bien eu un petit copain dans mon ancien bahut mais on n'était pas aller plus loin que des embrassades. Malgré mon succès auprès des garçons, j'étais encore vierge et j'avoue que j'étais plutôt maladroite de ce côté là.

La fin d'année approchait avec le passage du bac et mon anniversaire dans la foulée.

- si t'as ton bac, on t'organise une grosse fête pour ton anniversaire me dit un soir Oussama. 18 ans ça se fête !!
- ok ça serait cool !!

Malgré une année compliquée, mon bac ne fut qu'une formalité et les épreuves se passèrent super bien. Oussama me proposa de m'accompagner le jour des résultats et lorsque je vis mon nom sur la liste des bacheliers avec la mention très bien, je sautais de joie. Je sautais au cou d'Oussama, trop heureuse d'avoir réussi avec brio cet examen. Dans l'euphorie, mes lèvres se posèrent sur les miennes et nous nous mîmes à nous embrasser avec passion au milieu de tous les autres lycéens.
Je retombais sur terre, heureuse et à la fois gênée d'avoir été aussi directe.
On repartit main dans la main et j'allais annoncer la bonne nouvelle de l'obtention de mon bac à ma mère.

Le soir même, je retrouvais Oussama au pied de l'immeuble. Il s'avança vers moi et devant ses potes, m'enlaça posant ses lèvres sur les miennes et fouillant ma bouche avec sa langue. Je me sentais bien dans ses bras puissants. Il reprit ensuite sa place à côté de ses copains et s'assit sur le petit muret, me faisant signe de venir m'asseoir sur ses genoux. Je passais mon bras autour de ses épaules et le laissais poser le sien autour de ma taille.

Les sourires de ses copains et leurs regards envieux le rendaient fier de lui. Il m'embrassait régulièrement et ses mains devenaient un peu baladeuses, s'insinuant sous mon tee-shirt et glissant sur mon ventre.

- Alors cette petit fête, on la fait quand ? demanda Malik
- samedi soir si vous voulez on peut le faire chez moi, mes vieux vont chez ma tante pour le week-end dit Traoré
- cool ! répondit Oussama... ça te va me demanda-t-il
- oui, ça me va!! ça va être cool !!
- on s'occupe de tout... ajouta-t-il puis il me glissa à l'oreille... t'auras juste à te faire jolie !!

Il était tard et Oussama et moi nous retrouvèrent enfin seuls. On se bécota longuement et ses mains reprirent leur ballet sous mon tee-shirt, remontant dans mon dos, glissant ensuite vers mes côtes avant de remonter, effleurant mon soutien-gorge. Mes seins durcissaient à ce contact. Nous étions debout dans le hall de l'immeuble, la fraîcheur extérieur nous ayant incité à rentrer. Il m'avait plaqué contre le mur et m'embrassait dans le cou. A cette heure-ci il n'y avait plus beaucoup de passage mais malgré tout, j'étais un peu gênée de me faire peloter ainsi à la vue du premier passant.

Je lui dis, il m'attira alors vers l'escalier et la porte menant aux caves. Il poussa cette dernière et on s'y engouffra. Il reprit alors ses baisers, Je sentis ses mains commencer à dégrafer mon pantalon. J'eus alors un mouvement de recul. Il me regarda surpris.

- je... je ne l'ai jamais fait lui dis je timidement.

Il eut un air encore plus surpris mais revint se coller à moi.

- t'inquiètes pas... ça va très bien se passer... j'ai super envie de toi !

Je frissonnais d'envie et de peur mélangées mais je le laissais reprendre ses investigations... Une fois mon pantalon entrouvert, je sentis sa main se glisser dans ma culotte. Ses doigts glissèrent sur mes petites lèvres. J'étais tendue et malgré ses baisers, je n'arrivais pas à me détendre. Il dut le sentir car il retira sa main.

- tu as peur ? me demanda-t-il
- oui un peu...
- si tu veux on essaiera une autre fois... ici ce n'est pas le coin le plus romantique pour ça!

Il avait raison, ce petit sas avant de descendre vers les caves étaient un peu glauque et perdre ma virginité ici n'était pas ce dont j'avais rêvé !!
Je rattachais mon pantalon et allais sortir lorsqu'il se saisit de mon poignet.

- et mais attends... même si on ne va pas coucher ensemble ce soir, tu m'as grave excité et tu ne peux pas me laisser dans cet état... !!

Sur ce, il venait de poser ma main sur son entrejambe ou une bosse volumineuse et dure semblait prête à crever son pantalon. Il se plaqua de nouveau contre moi et maladroitement, je malaxais son sexe au travers du tissu. J'avais déjà fait cela à mon ex petit copain mais là non plus je n'étais pas aller plus loin.

Oussama par contre souhaitait ardemment que j'aille plus loin. Il dégrafa son pantalon et le baissa à mi-cuisses. Son boxer était déformé par une bosse de plus en plus grosse. Fébrilement, je tirais sur l'élastique de celui-ci et glissais ma main à l'intérieur, touchant pour la première fois de ma vie le sexe d'un homme. Je l'extirpais du sous-vêtement et découvris un pénis très gros, je le serrais dans ma main sentant le membre dur et gonflé palpiter. Je me mis à le branler doucement faisant aller et venir ma main. Je découvrais le gland rosé à chaque mouvement. Oussama me laissait faire. Sa main glissa dans mes cheveux et sur ma nuque et je le sentis exercer une pression douce mais constante m'obligeant à me plier en deux. Je compris ce qu'il attendait de moi et mon visage se rapprocha rapidement de son sexe tendu. Je pliais les jambes et me retrouvais accroupie devant lui. J'avais son sexe à hauteur de mon visage et naturellement j'ouvris ma bouche pour le sucer. Son goût était agréable et je commençais à aller et venir sur le membre gonflé.

- hummm... elle est bonne ta bouche... tu suces très bien...continues ma belle !!

Je m'appliquais enroulant ma langue autour du gland volumineux, sentant ses veines sur mes lèvres. Il avait plaqué une de ses mains sur ma tête et accompagnait mes allers et venues.

- c'est trop bon, tu te débrouilles comme une pro !! tu vas me faire jouir si tu continues comme ça !!

Je ne me rendais pas trop compte de ce que cela signifiait mais je continuais avec la même ardeur. Son sexe semblait gonfler encore et soudain je sentis sa main se crisper sur mes cheveux et je sentis un liquide chaud s'écraser au fond de ma gorge, suivi de plusieurs autres. Ma bouche fut rapidement remplie d'un liquide chaud et épais. J'ai failli tout recracher mais sa main me maintenait son sexe au fond de ma bouche et je fus contrainte d'avaler le tout et ce pour son plus grand plaisir !

- t'as tout avalé... t'es une sacré cochonne toi !! t'as aimé j'espère !!!

Tandis que je m'essuyais les lèvres, je hochais la tête... c'est vrai que j'avais aimé !! c'était super excitant.

Il m'a aidé à me relever et m'a raccompagné jusqu'à la porte de mon appartement. Une fois dans ma chambre, on a discuté sur skype pendant encore un bon moment. J'étais encore toute chamboulée et excitée par cette première expérience sexuelle. Si bien qu'il n'a pas eu grand mal à me pousser à faire des choses inhabituelles pour moi comme me mettre en sous-vêtement d'abord devant la webcam puis avec l'excitation, je n'ai eu aucun mal à faire tomber ces dernières protections de mon intimité. Il a ainsi pu découvrir mes seins et mes fesses ainsi que mon sexe.
Oussama était comme un fou de l'autre côté de l'écran.

Finalement, j'ai fini par aller me coucher et je n'ai pu m'empêcher de me caresser en repensant au sexe du garçon que j'avais eu en bouche.

J'attendais désormais avec impatience la soirée de samedi. Je m'imaginais déjà dans le bras de mon petit copain, son sexe allant et venant en moi, sa bouche parcourant mon corps.

Pour l'occasion, je décidais de me faire la plus belle possible. Je pris même rendez-vous la veille chez une esthéticienne pour me faire épiler complètement afin de m'offrir à Oussama plus fraîche que jamais !

Le samedi soir, lorsque je débarquais chez Traoré. Oussama était déjà là. Il était vautré dans le canapé avec ses potes et ils regardaient tous son smartphone. Mon entrée fut alors très remarquée. Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de monde. Oussama était accompagné de ses deux copains Traoré et Malik mais il y avait aussi d'autres garçons que je connaissais moins. Oussama se leva pour venir à ma rencontre tandis que j'entendais des remarques plus ou moins salaces sur ma tenue. Mon copain leut fit signe d'être plus discret mais je n'y prêtais guère attention, obnubilé par mon beau black qui s'avançait vers moi. Tous les yeux étaient pourtant rivés vers moi et cela aurait dû m'interpeller mais j'étais déjà ailleurs, dans les bras de mon homme.
Oussama m'invita à venir m'asseoir sur le canapé. Sur la table, il y avait plus de bouteilles d'alcool que d'invités et les joints tournaient déjà.
On me servit une vodka orange puis on me tendit un joint puis de nouveau je bus un autre verre. En peu de temps la tête me tournait. Les gars riaient et la musique forte couvraient leurs discussions mais malgré tout souvent j'entendais mon nom. Je ne comprenais pas ce qu'ils disaient, mes pensées étaient embrumées par l'alcool.
Oussama me prit par la main et m'aida à me relever. Je le suivais docilement, titubant quelque peu. Il poussa la porte d'une chambre et sitôt celle-ici refermée, il m'enlaça. Je me laissais embrasser tandis que ses mains glissaient dans mon dos et sur mes fesses. Il me poussa sur le lit et je sentis ses mains dégrafer ma ceinture. Il tira ma petite jupe, entraînant par la même mon petit string. Ses mains remontèrent le long de mes cuisses et les écartèrent. Je sentis alors sa bouche se poser sur mon sexe et sa langue se mettre à fouiller mon intimité. Je me mis à gémir sous cette caresse, glissant ma main dans ses cheveux. Je sentais mon sexe se lubrifier à chaque coup de langue sur mon clitoris. Il se releva alors et je l'observais du coin de l'oeil se déshabiller. Il se rapprocha de nouveau de moi et dégrafa mon petit haut. Les bretelles de mon soutien-gorge glissèrent de mes épaules et il tira celui-ci vers le bas, faisant jaillir mes seins.
J'entendis un bruit de sachet que l'on déchire. Il était entrain de mettre un préservatif. Je le sentis alors se positionner entre mes cuisses. Il frotta son sexe contre le mien et s'y enfonça lentement. Une douleur vive me fit pousser un petit cri. Ca y était je n'étais plus vierge. Oussama était désormais complètement en moi. Il fit alors de lents vas et viens. La douleur fit place à une douce chaleur qui irradiait tout mon bas ventre.
Je m'agrippais alors à ses hanches et accompagnais chaque mouvement. Il se mit à aller et venir avec plus de force et de rythme. Je gémissais sous ses coups de reins. Oussama me fit l'amour pendant de longues minutes, me faisant me retourner et s'agrippant à mes hanches pour me prendre plus fort. C'était délicieux et même si je n'avais pas trop les idées claires avec l'alcool que j'avais dans le sang, je ressentais un plaisir certain à le sentir aller et venir en moi. Il donna un dernier coup de reins et s'immobilisa, je sentis les spasmes de sa verge en moi. Il était entrain de jouir au fond de sa capote. Il se retira et m'embrassa dans le cou.
Il resta un instant contre moi tandis que je somnolais. Je le sentis se relever et se rhabiller puis quitter la pièce. Je ne réagissais pas et restais allongée, nue.

Quelques instants plus tard, la porte se rouvrit puis se referma. Je sentis ses mains se poser sur mes cuisses et remonter vers mon entrejambe. Ses doigts glissèrent sur mes lèvres et entrèrent en moi, me faisant sortir de ma léthargie. Je me cambrais davantage, remontant mes fesses pour mieux accueillir la caresse. Ses doigts se mirent à fouiller mon intimité. Ils glissaient facilement. Il se redressa et je l'entendis se déshabiller. Il me saisit par les hanches et me tira vers lui. Je me retrouvais alors à quatre pattes sur le lit. Une nouvelle fois, j'entendis le bruit d'un papier que l'on déchire. Il enfilait un nouveau préservatif.
Il me pénétra brusquement, s'enfonçant en moi jusqu'à la garde et m'arrachant un cri de surprise. Il se mit alors à me baiser à grands coups de reins, me faisant tressauter sur le lit, s'agrippant fermement à mes hanches. Je gémissais, étouffant mes cris dans l'oreiller face à moi. Son sexe tapait au fond de mon vagin, me procurant comme des petites décharges électriques. J'avais l'impression qu'il était plus long que tout à l'heure mais je pensais que c'était le fruit de mon imagination. Il s'agita encore un moment puis se retira soudain, je l'entendis alors étouffer un râle et je sentis les giclées chaudes de son sperme s'écraser sur mes fesses. Sitôt fait, je l'entendis se rhabiller et avant même que je n'ai eu le temps de dire ouf, j'entendis la porte de la chambre se refermer. Je m'écroulais sur le lit morte de fatigue.
Dehors la nuit était tombée et la chambre était désormais plongée dans la pénombre. Alors que je somnolais de nouveau, la porte s'ouvrit et le filet de lumière me réveilla. Je vis une ombre pénétrer dans la chambre puis la porte se referma.

- viens... lui dis je en lui tendant la main.

Il laissa sa main glisser sur mon dos jusque dans mes cheveux qu'il caressa doucement. J'entendis alors le zip de sa braguette puis le bruit de ses vêtements glissant à terre. Sa main prit la mienne et il la posa sur son sexe endormi. Je le branlais doucement le sentant gonfler entre mes doigts. Je le sentis se rapprocher encore et j'ouvrais naturellement ma bouche pour l'accueillir. Je me mis à le sucer avec plaisir, le sentant encore grossir dans ma bouche. Cela dura plusieurs minutes jusqu'au moment où je sentis son sperme chaud couler dans ma gorge. Il n'avait pas émis un seul son et tandis que je m'essuyais la bouche, je vis la porte s'ouvrir et son ombre disparaître puis revenir vers moi.

- alors ma belle me demanda Oussama... la soirée te plait...
- oh oui... tu es incroyable... viens contre moi... lui susurrai je...
- attends moi... je reviens dit il avec un large sourire.
Je l'entendis ressortir puis quelques secondes plus tard entrer de nouveau. Il s'allongea contre moi et m'embrassa dans le cou. Je me retournais face à lui, les yeux fermés. Je me sentais bien dans ses bras. Il termina de me retirer mes vêtements et s'empressa de me peloter les seins, les comprimant puis les embrassant. Je sentais contre moi son sexe dur de nouveau. Je m'en saisis. Il paraissait encore plus gros que tout à l'heure et je peinais à en faire le tour avec ma main. J'embrassais son torse et descendis vers son sexe. J'ouvris la bouche et le fis glisser dedans. Il m'étouffait et je ne le gardais pas longtemps, peinant au niveau de mes mâchoires. Il se redressa alors et me fit basculer sur le lit. Je sentis tout son poids s'écraser sur moi. Il se releva et je l'entendis mettre un préservatif. J'ouvris les yeux. Il faisait désormais complètement noir et je ne devinais qu'une ombre massive au dessus de moi. Son sexe se fraya un chemin dans le mien. Pour la troisième fois de la soirée, je sentais son sexe entrer en moi et à chaque fois les sensations étaient nouvelles. Il me fit l'amour lentement et au bout de plusieurs minutes, je sentis une sensation étrange parcourir mon corps et soudain ce fut comme une explosion au creux de mes reins. J'étais entrain de jouir et sans aucune pudeur je criais mon plaisir !!
Mon amant ne s'arrêtait pas pour autant et continuait ses vas-et-viens tandis que mon corps était secoué de spasmes délicieux. Il finit par s'arrêter et attrapa ma main. Je pris de nouveau son sexe entre mes doigts et je le branlais énergiquement au dessus de mon ventre. Le premier jet de sperme alla s'écraser sur mes seins puis plusieurs autres coulèrent sur mon ventre
Je l'entendis à peine gémir, simplement sa respiration s'accéléra. Il se retira du lit et je le vis quitter la pièce. Dans l'embrasure de la porte tandis que la lumière du couloir m'éblouissait, je ne reconnus pas la silhouette de Oussama. J'eus l'impression de voir quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus costaud, comme son ami Traoré.
Je reprenais peu à peu mes esprits cherchant de quoi m'essuyer, du sperme coulant sur ma peau. La porte s'ouvrit de nouveau. Oussama apparut à contre jour.

- Alors ma belle... toujours d'attaque !!?? me demanda-t-il
- euh j'avoue que tu ne me laisses pas beaucoup de répit...

Il se rapprocha de moi et m'embrassa.

- comment trouves tu ton 18ème anniversaire !
- incroyable grâce à toi!! lui dis je amoureusement...
- pas que grâce à moi me dit il...
- pourquoi tu dis ça lui demandais je sans trop comprendre...
- tu promets de pas te fâcher?

Je ne voyais pas pourquoi je me fâcherais donc je lui promis.

- et bien après notre premier câlin,... tu as aimé les suivants...
- oui... c'était très bon !!!
- et bien les suivants ce n'était pas moi !!
- quoi !!!??

Prise de panique, je me redressais. Les effets de l'alcool s'était estompé d'un coup. Je me rendais alors compte que j'avais été dupée et que Oussama m'avait attiré ici pour que ses copains profitent de moi. Je compris alors l'horreur de la situation. J'avais été abusée par trois autres garçons ce soir.
Oussama tenta bien de me calmer mais je me mis à le taper de toutes mes forces, lui criant que c'était un salaud !! Je tentais de retrouver mes vêtements, je n'avais plus qu'une idée, fuir ce lieu. Il me rattrapa avant que je ne sorte de la pièce.

- allez t'énerves pas ma belle, c'est pas comme-ci tu n'avais pas aimé !!! t'as pris ton pied, tout le monde t'a entendu !!
- t'es qu'un salaud !! vous êtes tous des salauds !!!
- et toi une sacré salope !! tu as aimé nos queues et maintenant tu joues les saintes nitouche !!
- vous m'avez trompé, vous avez abusé de moi !!
- et alors??? me dit pas que ça ne t'a pas plu !!! tu as adoré te faire sauter comme une chienne !!

Ce salaud avait raison, ce soir, outre avoir perdu mon pucelage j'avais découvert des plaisirs incroyables... mais ce n'était pas une raison, il n'avait pas le droit de me faire ça !!

Oussama me serrait dans ses bras. Il était derrière moi et je sentais que ce salaud bandait contre mes fesses!

- allez calmes toi... tu as pris ton pied et on a pris le notre... avoues que c'était bon et que tu as aimé ça !
- le problème n'est pas là... je passe pour quoi moi maintenant !!??
- pour notre petite pute blanche !!... t'es faite pour le sexe... je l'ai vu dès le premier jour !!
- non mais ça va pas ??!! je suis pas une pute !!
- bien sûr que tu n'es pas une pute !! tu es notre pute !!!

Ce salaud avait abusé de moi à mon insu et me considérait désormais comme la pute de lui et ses copains...!!!

Je le repoussais mais il continuait de me tenir fermement, son sexe ne cessait de grossir contre mes fesses. Il me plaqua alors contre le mur et avec ses pieds il écarta mes jambes. Son sexe trouva directement le mien et il me pénétra d'un coup. Une nouvelle vague de chaleur me submergea. Je tentais en vain de le repousser et il se mit alors à me baiser avec force m'arrachant des gémissements de plaisir. La situation m'excitait au plus profond de moi et cette soirée qui m'avait transformé de petite pucelle à salope resterait gravé à jamais dans ma mémoire.
Oussama se mit à me pilonner avec la régularité d'un métronome. Je le suppliais d'arrêter et l'instant d'après de continuer. Je ne contrôlais plus mes sens. Il m'attira sur le lit. Je l'enfourchais et laissais sa queue s'enfoncer en moi. Il plaqua ses mains sur mes seins et me les tritura sans ménagement agaçant les tétons durcis.
Je sentais une nouvelle fois un orgasme monter en moi et ce fut comme une délivrance lorsqu'il éclata au creux de mes reins. Je me rendis alors compte qu'il n'avait pas mis de préservatifs et avant qu'il ne jouisse à son tour, je me retirais et me précipitais sur son sexe tendu. A quatre pattes sur le lit, je me mis à le sucer attendant avec impatience qu'il ne crache sa semence.
Dans l'excitation, je n'avais pas vu que la porte de la chambre s'était ouverte. Les copains d'Oussama étaient là à contempler le spectacle. Je sentis alors les mains d'un des hommes se poser sur mes hanches et l'instant d'après son sexe me pénétra. Je ne me retournais même pas pour voir la tête de mon baiseur. La scène excita encore davantage Oussama qui se mit à jouir dans ma bouche en plusieurs jets épais.

Ce fut alors le défilé de bites dans ma bouche et dans ma chatte trempée. Les 4 hommes me baisèrent une bonne partie de la nuit, se relayant pour me faire jouir. Je n'étais plus qu'un objet sexuel dans leurs mains, j'étais devenu en l'espace de quelques heures leur petite pute blanche comme ils aimaient me le dire.

Ils avaient raison, suite à cette soirée, je suis devenue leur pute soumise. Régulièrement, je passe mes soirées à me faire sauter sur leur canapé, à sucer leurs sexes imposants. J'ai consulté un gynécologue et je prends désormais la pilule. Les gars se sont fait dépistés et peuvent désormais jouir en moi. Fini les préservatifs qui leur gâchent le plaisir, je peux recevoir leur foutre dans mon sexe mais également dans mes fesses depuis qu'ils m'ont également fait découvrir la sodomie.
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Histoire de LN78

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