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Débordements à la C.A.F.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 30/05/2025

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C’était un certain 31 août, que Claire Desfontaines fût fraîchement parachutée à la C.A.F. de Bourg la Reine dans les Hauts-de-Seine. Un jour de canicule. Les locaux étaient pratiquement déserts et pour cause : les congés payés...

Cette psychologue du travail ne s’est pas laissée démonter pour autant. Son bureau fut transformé en véritable temple zen avec des petits bacs à sable, un Bouddha en pierre volcanique de couleur grise, et des tentures à profusion afin de fixer l’ambiance générale.

Sans oublier son diplôme universitaire savamment retouché sur Photoshop ©. Au bout de trois échecs consécutifs, il fallait bien trouver une solution pertinente. En tout cas, elle reconnaît que le cadre est vraiment joli : la ronce de noyer fait toujours son petit effet.

Ce qui a tout de suite séduit le D.R.H. c’est la rubrique "divers". Cinq années de conservatoire de flûte alto. Jean-Michel Bernier aime cette qualité surtout chez une femme.
Sa photo ne l’avait pas non plus laissé de glace. Cette rouquine, en tailleur blanc, avait tout de suite mis le feu à son caleçon plus très propre à l’heure actuelle.

Une semaine plus tard les salariés déprimés vinrent la voir à la queue leu-leu. Tous en burn-out : faute de travail. Il est vrai que depuis l’Intelligence Artificielle, c’était la machine située au sous-sol qui répondait aux courriers des allocataires.

Au bout d’un moment, les femmes furent évincées du petit défilé quotidien. La gent masculine passait de plus en plus de temps avec Madame Desfontaines. La flûtiste confirmée usait de ses talents de musicienne pour détendre comme il se doit ses collègues.

Parfois, il n’était pas rare de la voir sortir de son bureau, la bouche encore pâteuse, pour se précipiter se servir un café à la machine automatique. Soulagée, elle repartait sur le champ accomplir scrupuleusement son travail harassant.

Malgré tout, elle avait rapidement trouvé sa place. Monsieur Bernier était ravi. Son instinct ne l’avait pas trahi. L’ambiance avait changé comme par magie. Fini les heures supplémentaires à errer dans les couloirs. Tout le monde repartait à 16 h 00 précises.
Claire se donnait sans compter, et recevait au centuple.

Radieuse dès le matin, elle arrivait toujours à jeun. Son estomac n’aurait pas supporté autrement. La prostaglandine, c'est bon, mais qu’est-ce que ça cale !...

Autant dire que dès son retour au foyer, elle évoquait la migraine, au moment du coucher. Le pauvre mari comprenait fort bien que le métier intellectuel de son épouse était la rançon à payer : trop responsabilités selon lui, mais le salaire plus que convenable arrangeait bien des choses. Fabrice était contraint de se vidanger tout seul les trois quarts du temps.

Un jour, les choses changèrent. Une rébellion de féministes effrontées commença à gronder dans le bâtiment B3 de la comptabilité. Monsieur Bernier a tenté de les calmer dans son bureau insonorisé, mais le malheureux, la quarantaine finissante n’a pas pu tenir le rythme effréné des sollicitations quasi bestiales.

On a dû licencier sec. Pas de rupture conventionnelle, ni autre chichi du droit du travail. Direction France Travail et au trot ! Dix personnes tout de même, des mères de famille en plus ! quelle honte… L’affaire n’avait pas fait grand bruit, tout le monde s’en foutait.

Du coup, l’espace gagné avait permis d’installer un spa flambant neuf. Les ouvriers avaient eu quelques difficultés à installer les tuyauteries, mais comme toujours Claire sut trouver le moyen de les faire bosser même de nuit. Ils bénéficiaient de privilèges un peu spéciaux. C’est bien joli de sucer toute la journée, mais sa chatte réclamait autre chose que ses doigts effilés glissants sur ses lèvres moites pendant les fellations à la chaîne.

Chacun des artisans avaient visité plusieurs fois sa fente et son petit trou. Pour certains, c'était une première, une découverte. Un jeune puceau en apprentissage, avait trouvé la "sodo" tellement merveilleuse qu’il eut fallu trois gaillards pour le sortir de là. Certains auraient utilisé un seau d’eau froide, chacun son style, ne cherchons plus...

Blague à part, il était tellement bien monté que Claire a dû passer quelques jours à marcher comme un canard... Il lui avait littéralement cassé le cul ce salaud ! Limite accident de travail. La C.P.A.M. aurait-elle accepté ? Un doute m’habite.

Voilà déjà un an, comme le temps passe vite. La psychologue roule maintenant en Porsche Cayenne et n’hésite pas à prendre la place réservée au Directeur.
Pour Monsieur Jérôme Roubiaud, cette fois s’en est trop !

Lors d’un entretien privé, il a fallu à peine trente secondes pour trouver le chemin de sa braguette. La verge déjà toute dure a coulé sans faire d’histoire au fond de la gorge experte de la vilaine insolente.

— Mais vous n’y mettez pas les dents, je n'ai rien senti ! S’exclama-t-il émerveillé… Quand je pense à Catherine mon épouse qui, enfin, vous me comprenez ?!…

— Chè toute un chavoir faire ! Répondit-elle la bouche encombrée.

— Pensez-vous que ce vieux renard de Bernier m’en aurait parlé ! Dit-il en remballant son matériel parfaitement nettoyé.

Ce petit intermède laissa notre responsable hiérarchique les yeux dans le vague, ne prêtant même pas attention au départ éclair de sa bienfaitrice.

Inutile de dire que la semaine suivante, le D.R.H. fut démis de ses fonctions pour troubles cognitifs. Document signé de Claire elle-même. Faut-il préciser qu’elle dut s’habituer à son nouveau bureau… Beaucoup plus spacieux et loin des importuns.

Terminer de jouer la pute pour des salariés minables en mal de pipe à longueur de temps. "Adressez-vous à votre femme désormais, ou à des hôtesses tarifées dans les airbnb du centre-ville de Bourg-La-Reine !".

Un seul problème, plus de copieux petit dej… Il fallait retourner au bien vieux café croissant en prenant garde à ne pas prendre de kilos.

L’avantage d’être D.R.H. : les horaires. Elle pouvait faire ses courses, arriver à 10 h 00 : personne ne voyait la différence. Claire avait son ascenseur privé. Plus de collègue à bisouter, sans compter les mains aux fesses de certains queutards toujours en manque, malgré leurs couilles complètement desséchées.
De temps à autre, elle descendait dans le service des fraudes. Christine Pelletier la Responsable Contentieux avait ordre d’imprimer un listing précis des allocataires peu scrupuleux qui détournaient parfois des sommes conséquentes.

Christine et Claire les recevaient parfois en privé pour les intimider. L’effet était immédiat. Seulement de temps en temps quelques récalcitrants continuaient, sans broncher, leurs petites magouilles. Les deux femmes se devaient de passer à l’étape supérieure.

Ces derniers étaient accueillis dans la salle dite "rouge". Une pièce à part, décorée dans un style très moyenâgeux. Une grande table monastère en guise de bureau, et toutes sortes d’instruments de torture en fer forgé donnaient le ton à l’ambiance générale. Un vrai club sado-maso.

Djibril Benarfa, un père de famille d’origine malienne fut accueilli comme il se doit, entre ces quatre murs dont l’éclairage diffus était loin d’inspirer la convivialité habituelle de la C.A.F.

— Vous êtes prié de rester debout, ma collègue va se charger de vous mettre complètement à poil
— Mais vous n’avez pas le droit… je proteste ! S’insurgea le black d’une trentaine d’années
— Tais-toi ! Sinon, tu finiras à la rue comme un vulgaire clochard ! À mendier comme un chien miteux, c’est ça que tu veux ?

Une fois dans son plus simple appareil, les deux femmes furent hypnotisées par le membre viril de Djibril. Sans faire de mauvaises rimes. Une vraie matraque de C.R.S., ou plutôt un rouleau à pâtisserie… sauf qu’il n’était du tout l’heure d’étaler une pâte sablée en suivant les recettes de Cyril Maniac.

En revanche les deux femmes avaient un tout autre appétit. Déjà Christine commençait à effleurer cette "chose" insolite. L’objet de désir pris le temps de gonfler pour enfin se tenir au garde à vous, raide comme la fusée Ariane prête au décollage vers les étoiles.

Que dire de cette paire de couilles. Grosses épaisses, charnues, énormes… d’autres superlatifs auraient pu rallonger la liste… Mais passons. Imaginez simplement deux avocats bien mûrs retenus par un concombre gigantesque.
— Tourne-toi que je vois ton cul ! Ordonna Claire, qui déjà se tripotait sous la table.

Elles étaient parfaites, deux vraies fesses rebondies, fermes à croquer. Christine en profita pour explorer les contours galbés d’une perfection inouïe. À force de les toucher, elle sentit sa vulve devenir moite et ruisselante, à deux doigts d’exploser de désir. Sachant qu’il s’agirait de l’index et du majeur bien entendu.

Ce fut le moment de la prise de mesure. Christine sortit un mètre de couturière homologué AFNOR de couleur jaune avec un embout renforcé en métal brillant, légèrement arrondi.

— Ne bougeons plus ! Insista Christine déjà en train de dérouler le ruban

Les chiffres furent éloquents, les records précédents furent explosés. Se tenait devant elles leur plus grand champion.

Tenez-vous bien si vous me permettez cet impératif : 25,5 cm de long et 5 cm de circonférence. Il s’agit de mesures en plein effort bien entendu, le gourdin gonflé au maximum. De quoi faire rêver n’importe quelle demoiselle ou dame fatiguée de se taper des pénis bien en deçà.

— Claire, cette fois, c'est trop… qu’en penses-tu ?
— Tout à fait d’accord ! Répondit-elle les yeux déçus
— On va te rhabiller mon garçon… dit Christine d’une voix éteinte

La Responsable Contentieux prit soin de remettre la chemise hawaïenne, qui n’avait jamais le Pacifique, sur les épaules de l’homme musclé sans besoin d’aller à la salle.

Elle ne put résister de humer son slip boxer. Ses narines détectèrent des notes boisées de vieux bordeaux périmé depuis une quinzaine de jour. Ce parfum musqué ne tarda pas à l’excité malgré tout.

— On n’a plus le temps pour ces conneries pêchées dans cinquante nuances de braies ! Tonna Claire qui n’en pouvait plus de ce cérémonial interminable.

Une fois revêtu convenablement, notre mécréant de banlieue allait devoir subir le dernier test, et non des moindres.

La nouvelle D.R.H. saisit un porte-vue administratif qu’elle laissa fermé sur la table en chêne massif. Une étiquette blanche aux bords arrondis indiquait simplement : test 258-ÉCHANTILLON-35E-ALPHA en caractères de typo Arial gras.

— Vous savez, je suis en France depuis 5 ans, je risque de mettre du temps à déchiffrer votre test… et…

— Pas d’inquiétude à ce sujet ! Coupa net Claire les yeux brillants

— Tu as juste besoin de sortir ton gros truc de ta braguette

Le malien s’exécuta. Son chibre était devenu tout flasque, perdant du même coup sa virile fierté. On eut dit à s’y méprendre un boudin créole prêt à être dégusté avec une bonne compote de pommes chaude.

Claire ouvrit le document à la page du milieu.

— Tu la reconnais, j'espère ? Interrogea doucement la D.R.H.
— Oui c’est Élisabeth la…
— Élisabeth comment ?
— Borne ? Dit-il sur un ton affirmatif

Les deux femmes se regardèrent en gloussant comme deux collégiennes préparant un coup fourré. Elles étaient assises devant lui tout en fixant l’entrejambe du mâle inquiet.

— Tu vas nous faire le plaisir de te branler sur elle d’accord ! Dit Claire, d’une voix diabolique.
— Mais je ne peux pas, on dirait une grand-mère qui aurait trop cramé au soleil…
— C’est ça... ou on te radie plusieurs mois, autant dire que tu n’auras plus un radis

Djibril devant ce défi infranchissable pris son courage à une main, et commença à astiquer son manche de chair. Le petit bonbon rose prenait plaisir à se faire décalotter, malgré le portrait de la Ministre exposé sous son meilleur profil devant lui.

Après quelques minutes de paluchage exécuté dans les us et coutumes, il commença à se tordre au niveau du bassin. Le point imminent n’allait plus tarder à arriver à son paroxysme.
Certains spécialistes l’appel climax ! On dirait plutôt le nom du dernier film porno de Julien D’orcel le vendeur de bijoux de famille dans votre galerie marchande la plus proche de chez vous.

En parlant de proche, Djibril fut bien embêté. Il ne voulait en aucun cas souiller la moquette épaisse déjà pleine de taches jaunes imprégnées dans le tissu crème. Aussi, il amena donc son gros gland boursoufflé au niveau de la bouche de la ministre.

— Oh oui vas-y ! Viens jouir sur cette vieille peau ! Vociféra Claire ne lâchant plus du regard la terminaison phallique du malien

Il tressaillit une dernière fois et "splash"… Voilà notre chère Ministre de l’Éducation Nationale arrosée copieusement d’une épaisse crème d’amour tiède. Elle semblait émue sur la photo, des larmes coulaient de ses yeux fantomatiques et froids. Sa bouche restée fermée dégoulinait de foutre gluant.

— Et bien dis donc ! Tu ne l'as pas raté, on dirait… Dit Christine tout en riant nerveusement
— Sors le fouet ! Ordonna Claire complètement hystérique

La Responsable Contentieux se leva d’un bon en direction du tiroir d’une armoire normande. D’une main preste, elle sortit : un bol, une cuillère et le fouet, le tout en cinq secondes chrono.

Puis, elle nettoya le faciès simiesque d’Élisabeth avec des gestes étudiés. On eût dit une artiste peignant un tableau à l’école des beaux de la maison de quartier. Un coup à gauche à coup à droite, au milieu, en bas… Sur vingt degrés, à quatre-vingt-dix degrés, à cent quatre vingt… et rotation finale.

Ouf ! Voilà notre Ministre pimpante comme lors de la cérémonie du 11 novembre sous l’Arc de Triomphe, accompagnée d’une ribambelle de pontes en grandes pompes.

Claire quant à elle se dirigea vers un petit frigo d’appoint. En ouvrant, une lumière jaune caractéristique éclaira un bocal à confiture transparent. Sauf qu’à l’intérieur, il était rempli d’une substance dont je vous laisse deviner la composition. Un indice, ce n’est ni de la béchamel, ni du fromage blanc.

Toujours est-il que nos cadres de la C.A.F. commencèrent à verser le contenu du pot dans un bol adéquat. La plus douée d’entre elles, Christine actionna manuellement le fouet pour faire monter la "crème" en neige. Normalement tout devrait être fait à température… Va-t-elle réussir… On dirait bien que la magie opère pourtant.

Parfois, elle change de main : les crampes. Essoufflée, rouge comme une pivoine dans un champ de coquelicots, elle ne lâche rien !

— Oh oui, c'est bon ! Continue ! Oh oui vas-y ne t'arrête pas ! Encouragea Claire comme elle se faisait prendre en levrette par un mâle alpha choisi sur Tinder un samedi soir.

Ses encouragements n’ont pas été vains. La bouillie de départ avait désormais un aspect aérien comme des œufs en neige au Grand-Bornant.

— Il ne manque plus que des fraises importées d’Espagne ! Observa Claire se léchant les babines avec une langue sensuelle, presque provocatrice.

Du coup, on avait presque oublié le sort du pauvre Djibril complètement dépité, livré à lui-même.

— Toi, tu vas signer quelques papiers avant de t’en aller, simples formalités… Dit Claire les doigts déjà plongés dans la Chantilly au goût étrange.
Sans broncher, il griffonna à l’aide d’un Bic noir le Cerfa 11423*06-45 dans la case correspondante : date et nom du signataire.

Avec une brutalité déconcertante Christine envoya un coup de tampon sur ledit formulaire susnommé précédemment. Elle tendit le feuillet violet à l’allocataire sommé de ne plus recommencer ces frasques vénales.

— N’oublie pas de fermer ta braguette ! On ne veut pas d’histoires ici, tu comprends…

Il tourna les talons tout en glissant le zip de son jean levis délavé. Elles jetèrent une dernière fois un coup d’œil alangui à cette paire de fesses magnifiques qui s’éloignaient en se balançant comme un pas de salsa.

— J’imagine sa femme, elle doit prendre cher avec lui ! Soupira Claire en se léchant les doigts. Dis-donc tu ne trouves pas ça un goût de saucisson aillé ?
— Je ne sais pas… ça me rappelle plutôt un camembert rance oublié dans le buffet de chez ma grand-mère...

En tout cas, la barquette de fraises catégorie 1 achetée à Super U n’est plus… Vide ! Quant au bol, Claire s’en charge en dégustant les bords comme un petit chaton goulu. Une chose est certaine, il ne passera pas au lave-vaisselle collectif de la cafétéria bondée à cette heure-ci.

Déjà midi, il est temps d’aller chercher une petite salade au LIDL du coin, histoire de faire passer tout ça. En plus ils ont été élus meilleur magasin de fruits et légumes de l’année d’après un sondage IFOP-Ipsos.

— À vouloir commencer par le dessert, on risque de manger comme les rosbifs, déjà qu’ils conduisent de l’autre côté ! Ricana Christine en réajustant son tailleur Chanel.

Les deux copines de travail sortirent du bâtiment se tenant le bras. Le ciel d’azur sans nuages annonçait une journée ensoleillée, peut-être aussi encore de belles surprises à venir.

Descollages © – Mai 2025
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