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Découverte d'un sex shop

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/11/2022

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Tous les jours je pense à Françoise qui est devenue récemment mon amante. J’attendais une femme comme elle depuis si longtemps. Son appétit sexuel rejoint le mien. Son corps de braise, ses nichons lourds et ses tétons durs, ses pulsions brûlantes, sa chatte lisse si accueillante, sa bouche si affamée me poussent à me branler plusieurs fois dans la journée.

Souvent, seul chez moi dans ma maison, je ferme les yeux, repasse nos ébats en boucle et mon engin se met au garde à vous, n’attendant qu’à ce que je l’astique. Lors de notre première rencontre, nous avions fait l’amour dans toutes les pièces de la maison, nos cris, nos soupirs étaient au même diapason,. Je suis si impatient qu’elle me téléphone. Je lui avais laissé mon 06, je n’avais pas le sien. Elle n’avait pas voulu me le donner par rapport à son ami. Oui, elle fréquente un homme mais la routine s'est installée dans leurs relations et elle m'a dit qu'avec moi elle a envie de se dévergonder.

Une après-midi de cette journée printanière, le téléphone sonne. C’est elle que je n’avais pas revue depuis deux semaines. On était resté en contact par messagerie électronique et on se confiait nos envies. J’avais appris qu’un de ses fantasmes était de se faire exhiber dans un lieu particulier comme un sex-shop par exemple.
- Bonjour mon amant.
- Bonjour ma chérie, très heureux de t’entendre.
- Figure-toi que mon ami est parti toute la journée, serais-tu disponible aujourd’hui ?
- Bien sûr, toujours pour toi. Je n’ai pas cessé de penser à nos courriers électroniques. J’aimerai satisfaire tous tes fantasmes. L’un d’entre eux m’a particulièrement attiré. Je connais un sex-shop pas loin de chez moi. J’aimerais bien t’y emmener. pour t'acheter une robe. Habille-toi sexy, maquille toi, cet après-midi on sort.
- Hum ! Volontiers chou. Alors à toute. Plein de bisous partout.

Elle sonne à ma porte, j’ouvre et souris car elle me ravit. Elle est habillée d’une robe blanche fendue à mi-cuisses qui moule bien son corps, ses jambes exhibent des bas noirs. Je soulève délicatement son vêtement pour m’apercevoir qu’elle porte une culotte en dentelle transparente. Quelle beauté ! Elle ne laisse pas indifférente ma bite qui commence à se gonfler. S’apercevant de la bosse sur mon pantalon, elle me dit qu’avant de partir qu'elle est motivée pour me soulager. Quand même me dit-elle, tu ne vas pas sortir ainsi !

De son large décolleté, elle sort ses gros seins qui n’ont pas de soutien-gorge et me tend un de ses mamelons afin que je le suce. Ma langue lèche toute la superficie de cette imposante chair, elle s’attarde sur les tétons qu’elle agace et qui durcissent. Elle me pousse afin de rentrer. Elle s’assoit sur la table du salon, retrousse sa robe, écarte ses cuisses de satin. Sa fine culotte m’attire. Je perds ma tête entre ses jambes, lèche le tissu blanc, l’arrache avec mes dents pour découvrir sa chatte toute lisse qui commence à mouiller. Je la mange comme une gourmandise qui me manquait. Ma bouche suce son clitoris, l’aspire, le mordille jusqu’à ce que je sente son érection. Son petit bouton est devenu tout dur.

Pendant que ma langue fouille sa chatte, je la vois qui pétrit ses seins à pleine main, elle remonte ses mamelons jusqu’à sa bouche, tire sa langue pour en lécher les tétons. Ses seins sont si élastiques qu'elle y arrive. C’est une excellente cochonne qui me met le feu aux entrailles. Mais je n’ai pas envie de la pénétrer. Je veux la faire jouir uniquement avec ma langue et ma bouche, avec mes doigts aussi qui glissent dans son orifice trempé. Son soupir d’extase lancé, elle m’attrape ma tige, la masturbe un peu pour ensuite gober le gland avec sa bouche. Avec sa langue, elle fait les contours de mon prépuce, le lèche, ma bite se gonfle encore. Elle l’avale jusqu’aux couilles et fait de lents va et vient jusqu’à ce que mon sperme monte et jaillisse. Elle le prend dans sa bouche, et l’avale.
- Hum, voilà d’excellents vitamines pour partir dans un sex-shop !
Nous nous embrassons passionnément, nos langues tournant ensemble sur le même accord et nous nous rhabillons.

Le trajet en voiture n'est pas long. Nous sommes arrivés et entrons dans cette boutique. Le sex-shop est petit et sombre. Françoise me confie que c’est la première fois qu’elle découvre un tel établissement. Le patron nous accueille avec un visage lumineux. Il doit avoir 30 ans, les épaules carrés, des pectoraux qui collent à sa chemise bleue, lui même a les yeux bleus, il semble sûr de lui.
- Je suis Julien. Puis-je vous être utile ?
- Oui, nous cherchons une robe assez légère et sexy.
- Suivez-moi, je vais vous montrer ce que j’ai en stock,
Nous nous rendons à l'arrière de la boutique après être passés devant des revues aussi des objets sexuels divers. Devant le large choix, j’en saisis trois qui semblent plaire aussi à Françoise.
-Laquelle préfères tu ?
Je lui présente une robe rouge en satin qui s’arrête au dessus du genoux, une autre plus courte noire en cuir, et enfin une robe volante blanche aussi transparente qu’un papier calque.
- Hum, la blanche m’attire bien. J’ai envie de l’essayer. Elle se dirige vers la cabine et ne ferme qu’à moitié les rideaux.

Je reste dehors à attendre mais comme le rideau n'est pas tiré à fond je la vois. Elle lenève ses talons aiguilles, dégrafe sa robe qui s’échoue sur le sol.
Le vendeur, à côté de moi, la mate avec insistance. Et arrive à nos côtés un client qui a l’air assez vieux, aux environs de 70 ans, le crâne dégarni, les yeux marrons et il est un peu bedonnant.

Constatant que les deux compères ne perdent rien du spectacle, je lance qu’ils peuvent s’approcher, "plus on est de fous et plus on rit". Les deux comparses matent le petit bout de tissu qui camoufle la moule de Françoise.
Vous aimez ce que vous voyez leur dis-je
S’apercevant de mon absence de jalousie ils me répondent en choeur par l’affirmative.
- Patientez un moment, le temps qu’elle s’habille et vous pourrez alors la toucher.
Françoise dans la cabine enfile la robe blanche qui ne cache rien de ses formes voluptueuses. La robe est moulante, le tissu est fin. Et elle vient vers nous.
- Alors qu’en pensez-vous ?
Elle tourne sur elle-même, la robe se soulève et dévoile ses jolies fesses charnues.
- Hum ! Exquis. Sublime ! Alléchant !
Ils s’approchent tous les deux. L’un par devant, l’autre par derrière.

Toute émoustillée, Françoise lève sa robe.
- Oh comme elle est légère, je sens l’air me caresser mes parties intimes. Hum, mais ce n’est pas assez, vous ne voulez pas messieurs y trainer vos mains ?
Julien frotte sa main contre la culotte pour ensuite la descendre complètement pendant que le vieux Monsieur pétrit les fesses de Françoise.
- Délicieux messieurs. Continuez. Et j’espère qu’en étant aussi gentille la robe me sera offerte !

Le vieux Monsieur a le visage tout rouge. Son pantalon dessine une boule entre ses cuisses alors que Julien, totalement à l’aise se branle en doigtant Françoise.
Un autre client entre. La vingtaine passé, des boutons sur le visage, une chemise bleue ouverte à mi-poitrine, il porte un jean’s bleu et des santiags noires. Quand il s’aperçoit de la scène, il accourt, s’assied, sors sa bite sans pousser un seul mot. Le sexe est d’une dimension défiant toute raison, il doit bien mesurer 25 cm, et quand il regorge de sang, il s’épaissit d’au moins 7 cm.
- Dis donc, lance Françoise tu n’as pas une queue entre les jambes, mais une matraque. Elle se penche vers lui et le suce avec véhémence.
- Désolé, mais je ne peux pas me retenir.

Pendant que Françoise suce l’un, se fait tripoter le cul par l’autre et que Julien s’amuse avec ses doigts et sa langue avec la chatte de mon adorable maitresse, je saisis mon téléphone portable et filme la scène. Elle me fait bander d’une force incroyable.

J’espère qu’avant de retourner chez elle et de voir son ami légitime, Françoise passera chez moi pour me dégourdir ce jonc qui ne s’arrête pas d’enfler à cause d'elle. En attendant, elle vide le vier du jeune. Son jus dégouline le long de sa tige. Elle le récolte avec un de ses doigts et l’amène à sa bouche pour le sucer. Quant à Julien, il a glissé quatre doigts dans la chatte de Françoise qu’il fait coulisser doucement, entrant et les tournant incessamment. Il se masturbe ardemment. Le vieux Monsieur s’éclate en faisant coulisser un godemichet dans l’anus de Françoise.

Au bout de leurs orgasme respectifs, Julien offre la robe à Françoise. Je lui chuchote qu’on devrait acheter aussi des bas résilles et des sex toys car elle a incendié mes pulsions et je compte bien que l’on joue aux pompiers à notre retour. Il me propose de revenir un autre jour et qu'il nous fera découvrir de beaux jouets.


Arrivés à la maison, Françoise me fait part qu’elle veut se changer et mettre sa nouvelle robe. Devant moi, elle tombe sa robe blanche fendue à mi cuisses, ôte sa culotte en dentelle. Elle est nue devant moi. Mais avant qu'elle ne commence à enfiler sa nouvelle robe, je la stoppe instantanément et lui montre le vibromasseur que j'ai acheté discrètement dans le sex shop sans qu'elle ne s'en aperçoive. Il a la forme d’un long concombre et ce jouet se termine par un genre de petite poire de part et d’autre. Un bouton sur le côté permet de l’activer. Et quand on appuie dessus, les poires gonflent gonflent dans la chatte pour la dilater au maximum. Elle regarde cet engin avec étonnement mais aussi intérêt. Je la vois rougir.
- Désolé mon petit cœur, mais je ne peux plus attendre, tu mettras ta nouvelle robe plus tard. Regarde ma bite. Regarde le canapé, il semble nous appeler.

J’ouvre ma braguette et lui exhibe mon engin prêt à exploser. Il est tendu, raide, dur. Je lui fais signe de s’assoir avec les jambes écartées. Elle s’exécute avec une pointe de satisfaction. Je m’accroupis face à elle, porte ses longues et attirantes cuisses sur mes épaules. Puis, je lèche sa chatte comme si je la lubrifiais, je passe ma langue sur ses petites et grosses lèvres, suce son clitoris raide, enfile un doigt que je fais tournoyer à l’intérieur de sa fente, y ajoute un second, puis un troisième doigt. Leur va et vient est incessant. Ma langue happe avec passion son mont de vénus, je lubrifie et détend son clitoris qui s’écarte naturellement. Alors, je retire mes doigts et j’enfile doucement le sextoy dans sa chatte, je l’enfonce peu à peu, le ramène à moi, l’enfonce à nouveau. Françoise a les yeux fermés, elle lance de légers soupirs qui me prouvent son plaisir. Ses lèvres s'écartent, elles entourent ce "masseur".

En même temps, elle se caresse les seins, presse ses tétons. Je me rends compte qu'elle aime cela, s'occuper de ses mamelles. Il faudra que je m'en occupe davantage me dis-je. Je la sens tout à fait prête pour que j’appuie sur le bouton afin de faire grossir la poire. Elle gémit, oui oui oui dit-elle. Je ne veux pas insister pour cette première fois et je retire l'engin.

Tellement excité, mon gland laisse dégouliner un peu de mouille. M’apercevant du trou béant de sa chatte qui s’offre à moi, je remplace le jouet par mes doigts. Je les enfonce un à un, dessine des cercles à l’intérieur. Quand mes cinq doigts sont à l’intérieur, je forme avec ma main un poing que je fais coulisser lentement. Je ne vais pas plus loin, je me rends compte que c'est nouveau pour elle. J’aime la rendre folle ma Françoise .Son corps remue de droite à gauche, ses gémissements sont suaves, chauds et montent au plafond. Soudain, je l’entends pousser un cri d’extase. Elle jouit, crie, son corps est secoué de spasmes.

Elle me confie d'une voix tremblante qu’elle n’avait jamais joui ainsi. Je le remarque lorsque je ressors ma main, mes doigts sont totalement trempés.
- Tu te sens prête à continuer ? J’ai besoin quand même de me le dégonfler.
Elle me regarde avec des yeux exténués.
- Si tu veux je te la suce, je te donne ton plaisir et après on se repose.

Je prends sa place. Elle s’agenouille devant moi, ouvre sa bouche en grand et me gobe le nœud. Doucement elle fait des aller et retour, parfois elle me caresse les couilles, s’attarde avec sa langue sur mon prépuce. De temps à autre, elle se retire et me branle. Elle s’y prend tellement bien qu’en peu de temps je crache mon plaisir qu’elle prend dans sa bouche et elle vient m’embrasser ardemment. Le goût de sa salive mélangé à celui de mon sperme me remplit d’ivresse.

Je bénis ma chance de l’avoir croisée. Parfois le hasard fait bien les choses. Je n’irai plus faires mes courses comme d’habitude. Et chaque fois que je m’arrêterai devant le rayon des concombres, je penserai à elle, si bonne, si belle, si gourmande, si libérée. Je ferme un moment les paupières, et pense déjà à notre future aventure. Que découvrirons-nous la prochaine fois ?


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Histoire de Thierrydu13

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Commentaires du récit : Découverte d'un sex shop

Le 07/11/2022 - 13:30 par OlgaT
Excellent texte!

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