Une saint Eloi pas ordinaire

Murielle, veuve de son état, dirige une petite société, comme l'on dit, elle a chopée la grosse tête, il n'y a qu'elle qui compte, les autres ne lui arrivent pas à la cheville. Très hautaine, elle méprise les personnes qu'elle pense ne pas être à son niveau.
Comme chaque année, son personnel l'invite pour le saint Éloi. Murielle est une belle femme d'age mûre très bien conservée. Elle se pomponne, enfile une robe qui, lui arrive juste au-dessus du genou, largement échancrée qui laisse apercevoir une grosse partie du sillon qui sépare les seins. Les lobes, charnus, sont mis en valeur par un soutien-gorge à balconnets. Sa culotte de dentelle, taille basse, lui moule les fesses admirablement. Pour se grandir, elle chausse des escarpins à haut talons. Enfin pour terminer, quelques jets bien dosés de parfum, et là voila prête pour la fête.


Elle arrive, l'organisateur la reçoit, et place à table. Elle se retrouve entre un homme et une femme. En face de Murielle, un homme qui ne cesse de la dévisager. Petit à petit, les échangent amicaux s'engagent, le champagne coule à flot, le repas, délicieux, ravi les papilles gustatives. Un orchestre incite les invités à se divertir, les corps ondulent au rythme de la musique. Pendant qu'une table est débarrassée. À la fin de la danse, l'organisateur annonce le dessert. Une femme nue est étendue sur la table, son corps est couvert de chantilly et de fruit. Murielle regarde la femme avec surprise, jamais, elle ne s'attendait à ça. Rapidement, la femme nue est entourée de personnes curieuses et désireuses de déguster ce dessert étrange.

Des bouches se plaquent sur le corps de la femme, le lèche avec gourmandise. Des mains s'égarent sur ses parties intimes, des doigts s'enfoncent profondément dans la vulve couverte de crème et la fouillent vigoureusement. Murielle regarde, avec béatitude, les doigts qui ramonent le vagin. Pour se remettre de ses émotions, elle avale encore un verre de champagne. Des affamés se jettent sur les seins de la femme allongée sur la table et les dévorent sauvagement. Murielle, une grise, s'enhardie, elle pose sa main le corps de la femme et le caresse avec douceur, ses doigts frôlent la toison imprégnée de chantilly. Elle les porte à sa bouche et suce un à un ses doigts crémeux. La femme sur la table pousse râles de plaisir, sa chatte et ses seins sont très sollicités. Elle pousse un cri en se cabrant, et jouit fortement. Après sa jouissance intense, La femme disparait rapidement, les invités rejoignent leur place. Quelques chansons paillardes font sursauter Murielle. Ses yeux se posent sur sa voisine, une main, c'est glissé sous sa robe et lui caresse l'entrejambe activement, la femme semble aimer ça, car elle se trémousse en poussant de petits soupirs.

Soudainement, un bruit de verres qui chutent attire son attention. Une femme prise à bras le corps et couchée sur la table, ses rires résonnent dans la salle. Un homme lui retrousse la robe pendant qu'un autre lui arrache la culotte. La femme toujours en riant ouvre les jambes, rapidement une bouche féminine se pose sur sa chatte et la dévore sans douceur. Murielle reste coite, elle ravale sa salive. La femme pousse un hurlement, une verge monstrueuse vient de se planter dans son ventre, elle s'accroche à son baiseur en soufflant comme une bête. Un homme offre aux lèvres de sa voisine sa queue raide, la femme avale la verge goulument et s'active sur le gland. Murielle ne sait où donner de la tête. C'est l'orgie générale, elle est impressionnée par les queues qui s'enfoncent dans les chattes ou dans les bouches. Les cris de plaisir, ses acteurs, l'affolent. Elle reprend un verre et l'avale cul sec, l'homme en face d'elle lui dit en souriant :

-Cela te plait, hein salope, je suis sûr que tu mouilles !

Murielle regarde l'homme en écarquillant les yeux, la grossièreté de l'individu la laisse béate. Il la regarde en fronçant les sourcils et ajoute :

-Retire ta culotte salope, que je regarde ta chatte en fusion !

Murielle bègue en tremblant :

-Mais, mais, je, je !

L'homme se lève et vient s'assoir près d'elle, sans autre forme de procès, il pose sa main sur sa cuisse et la glisse sous la robe. Sans savoir pour quelle raison, Murielle ouvre les jambes en frémissant. La main se plaque brusquement, sûr s'en entrejambes et passe plusieurs fois sur sa fente. L'homme la regarde et dit :


-J'en étais sûr, tu mouilles comme une fontaine salope !
De voir des queues cela t'excite hein morue, et la mienne te plait regarde !

L'homme extrait de son pantalon une bite comme jamais, elle n'en a jamais vu

Murielle reste sans voix, ses yeux ne quittent pas le manche énorme. L'homme lui ordonne :

-Touche là, et branle-là, elle ne mord pas, vas-y !

Prise de court, elle ne sait que faire. L'homme insiste :

-Allez, branle-là, elle ne te plait pas ma bite !

Murielle tend timidement la main, elle tremble. Elle enserre dans ses longs doigts fins la verge tendue, la presse plusieurs fois, avec une certaine angoisse, elle décalotte le gland. Ses yeux s'ouvrent grandement, le gland ressemble à un cèpe, il est monstrueux. L'homme en riant lui dit :

-Ton mari n'en avait pas une comme ça hein vieille salope, allez fais-toi plaisir joue avec !

Murielle commence à masturber la verge imposante, à chaque descente de son poignet le gland se découvre et s'étale de toute sa splendeur. Sans que l'homme lui demande, Murielle donne des coups de langue sur le champignon gascon. Elle cesse de branler, regarde avec attention la verge raide comme une barre de fer. Les grosses veines apparentent gorgées de sang sont effrayantes. Après une courte hésitation. Murielle ouvre la bouche à s'en déboîter les mâchoires et gobe tant bien que mal le gland violacé. L'homme lui caresse les cheveux en ronronnant de plaisir. Il lui dit avec douceur :

-Tu vois, qu'ont en veut, on peut, vas-y fais voir ce que tu sais faire avec une queue !

Murielle, grisée par l'alcool, suce et tète le gland avec de plus en plus d'ardeur, les bruits des succions font sourire l'homme, qui appuie fortement sur sa tête. Sa queue s'enfonce profondément dans la gorge de la suceuse. Il lui baise la bouche avec violence, Murielle en a des hauts le cœur. Elle n'a pas le temps de repousser l'homme, qui lui envoie plusieurs décharges de semence dans la bouche. Elle le repousse violemment, car elle manque d'étouffer. Il lui crie :

-Avale vieille salope avale !

Murielle déglutie difficilement et finie par avaler la totalité du jus visqueux. Sec yeux sont larmoyants, elle attrape vivement la queue gluante et l'enfourne dans sa bouche, elle suce et tète comme une affamée, sa langue monte et descend sur la hampe au fort diamètre. L'homme est surpris par l'assiduité de Murielle, il lui dit :

-Oh putain ce que tu es bonne, hum, tu mérites ma queue, je vais te gaver comme tu ne l'as jamais été, fous-toi à poil vite !

Murielle jette un coup d'œil autour d'elle, ce n'est que gémissent et corps nus. Excitée, maladroitement, elle commence à se dévêtir. Elle à la force de dire :

- Comment que tu t'appelles !

L'homme la regarde et répond avec un large sourire :

-Paulo pour les intimes !

D'un revers de la main, il débarrasse la table !

Murielle est entièrement nue, l'homme la bascule sur la table, il se penche sur sa poitrine et commence à lui titiller les mamelons avec la pointe de sa langue. Il s'acharne sur les bouts qui deviennent larges et épais, les râles de Murielle sont bruyants, pendant qu'il lui suce les bouts, une de ses mains s'attaque à sa chatte. Ses doigts glissent sur la fente détrempée, taquine le clito avant de s'enfoncer profondément dans le conduit brulant. Le bougre lui malmène les tétons, tout en lui fouillant le ventre. Murielle, qui n'a pas eut de rapports sexuels depuis un bon bout de temps, s'agite sur la table. L'homme cesse de sucer, et ajoute deux doigts au deux qui fouillent la chatte en furie de Murielle. Les ramonages intenses font rugir Murielle de plaisir, son corps semble pris de frénésie, il s'agite fortement. Elle dit avec force :

-Oui, oui Paulo, bourre-moi bien la chatte, oh mon Dieu comme c'est bon !

Murielle se cabre et jouit en hurlant comme une bête blessée. Paulo se redresse, retire ses doigts et présente au vagin affamé sa queue hors norme. Il pousse, Murielle se cabre, serre les dents en soufflant comme un bœuf. La verge s'engage dans le conduit vaginal qu'il distend réellement. Paulo cesse de pousser que lorsque ses couilles frappent la chatte de son amante. Il dit en regardant Murielle :

-Alors, vieille pute, tu la trouves comment ma bite hein !

-Murielle sous la pénétration monstrueuse répond :

-Oh putain, tu m'éclates la chatte avec ton mastodonte, bourre-moi, ne parles pas tant, défonce-moi !

La demandeuse s'accroche à son amant en agitant son bassin. Paulo la démonte comme un beau diable, chacun de ses coups de reins font geindre Murielle comme une bête blessée. La queue puissante voyage dans le ventre de la soumise sans la ménager. Les gémissements de Murielle sont terribles, elle se cambre et hurle en jouissant terriblement fort. Paulo continue de la défoncer, il se bloque, pousse un rugissement de lion et remplit la chatte affamée de sa semence abondante. Il se retire, et invite d'autre à venir :

-Aller les mecs, elle est à vous cette bonne pute, venez démonter la vieille salope qui vous en fait baver au boulot !

Une femme se jette entre ses jambes et lui dévore la chatte remplit de sperme, les hum qu'elle pousse font comprendre qu'elle aime le jus gluant qui déborde de la chatte de Murielle. La langue fouille chaque recoin du conduit, avant de céder la place, la femme aspire le maximum de jus. Un homme prend la relève, il enfonce sa queue noueuse dans la chatte baveuse de Murielle qui crie :

-Oh oui, oui, encore, je suis votre pute, allez-y cassez-moi !

L'homme la défonce rageusement, il déverse sa semence dans le ventre, insatiable de la demandeuse, Murielle jouit comme une dingue. Plusieurs hommes se relèvent, ils l'ont fait jouir comme une malade. Elle fut même sodomisée avec force, la coquine en a même redemandée, les doubles pénètrations furent le clou du spectacle. Gavée repue, Murielle demande grâce. Elle promet de se donner encore à eux prochainement.