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Dépucelage

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Lue : 19361 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/01/2010

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L’histoire que je vais raconter se déroule dans un temps pas si lointain ou le SIDA n’avait pas encore frappé et où on ne se mettait jamais nu devant qui que ce soit. Les choses du cul étaient absolument taboues et avec le recul je me demande même quand les adultes qui m’entouraient pouvaient bien goûter aux joies de la chair. Ainsi j’ai atteint l’âge de 18 ans sans jamais voir un homme ou une femme dans le plus simple appareil. J’avais découvert par hasard la masturbation et le premier jet de sperme avait été extase et angoisse car je n’avais jamais entendu parler de cette pratique, que j’ai bien souvent renouvelée depuis !

Je partis après mon bac pour poursuivre des études à Paris. Je quittais pour la première fois le cocon familial pour une chambre d’étudiant. J’étais muni de l’adresse d’un de mes oncles dont on parlait peu à la maison et que j’avais très peu vu. Il avait la réputation d’un original et les conversations à son sujet se faisaient entre adultes à voix basse.

Je pris contact avec lui quelques semaines après mon installation et une fois que je m’étais intégré dans ma nouvelle vie d’étudiant.
Il m’invita à dîner un samedi soir et j’arrivais à l’heure dite dans son splendide appartement. Je m’attendais à le trouver seul car il était célibataire, mais je fis irruption dans le salon au milieu de plusieurs personnes et je me rendis vite compte que mon oncle et moi étions les seuls représentants de la gente masculine. Les quatre femmes présentes étaient toutes âgées de 25 à 30 ans environ, elles étaient très belles, vêtues avec un laissez aller étudié qui en pantalon moulant, chemisier transparent, courte robe, jupe légère, corsage échancré. Elles fumaient (c’était la mode pour les femmes des villes à ce moment), riaient, taquinaient mon oncle … Rapidement leur attention se porta sur moi, je répondis à leurs questions en rougissant (j’étais très intimidées par ces filles). Elles s’en amusèrent et se mirent à me mettre dans l’embarras par des allusions au sexe que je ne comprenais pas complètement.

On but longuement l’apéritif et l’alcool aidant je me détendi, il n’y eu pas de véritable repas mais une série de plats froids servis au salon et grignotés avec forces boissons. Les invitées et mon oncle se laissaient de plus en plus aller, trois filles l’entouraient, le caressaient, l’embrassaient et il n’étais pas en reste. La quatrième (Maud) s’assit à mes cotés et posa sa main sur ma cuisse, elle approcha sa bouche de la mienne et ce fut mon premier vrai baiser. Elle avait compris que j’étais puceau et avait décider de m’en guérir.

Elle me prit par la main et me mena dans une chambre. Sans un mot, elle se dévêtit et je découvrais pour la première fois le corps d’une femme. Ses seins étaient menus et fermes, les pointes étaient dures et longues avec des larges aréoles. Sa taille était étroite, sa peau ambrée et son pubis couvert d’une épaisse toison de poils noirs. J’étais fasciné et mon membre se tendait sous mon caleçon rendant mes mouvements douloureux.

Elle eut pitié et se mit en devoir de me défaire de mes vêtements. Chemise, chaussures, chaussettes furent promptement abandonnés au sol, elle prit ma main et me fit toucher sa peau, elle était douce. Guidé par elle, je parcourus ses seins et sa chatte, je crus que j’allais jouir tellement c’était magique.

Elle défit ma ceinture et fit glisser mon pantalon, ma bite libérée pu se déplier dans le caleçon. Maud émis un sifflement admiratif et me mis nu pour examiner mon engin, elle m’expliqua qu’elle n’avait jamais vu une verge aussi longue et épaisse et elle avait un large échantillon de morphologie masculine à son actif.
Elle entrepris de me caresser sur toute la longueur, de son autre main, elle palpait délicatement mes couilles, c’était infiniment meilleur que mes plaisirs solitaires.

En femme experte des choses du cul, sa bouche remplaça sa main. Elle avala ma bite jusqu'au fond de sa gorge et administra ma première fellation. Elle savait que je n’allais pas résister longtemps et m’encouragea fort gentiment à me laisser aller. Je me vidais dans sa bouche avec un râle d’extase.

Elle avala mon sperme en me faisant remarquer qu’il était temps de vider des couilles aussi pleines.
Elle entrepris ensuite de m’apprendre à caresser une femme, je passai sous son contrôle, obéissant à ses demandes. Mes mains et mes lèvres découvrirent la douceur des seins, la dureté des tétons, l’humidité de sa fente odorante, la moiteur de sa raie culière. Je découvrais les odeurs fortes d’un corps de femme excitée. Elle m’appris à masser et à lécher son clitoris jusqu’à l’exciter au point de repousser mes ardeurs et me presser de la pénétrer. Tout homme se souvient, je pense, de cette première effraction. Je vivais le meilleur moment de ma courte existence. Ma jeunesse et mon inexpérience me firent jouir trop vite une fois encore.
Maud sourit, indulgente.

Après un peu de repos, elle repris mon membre mou en bouche, ranimant instantanément mon désir. J’apprenais vite et mes caresse sur son corps devinrent plus sûres, plus douces, plus fortes selon les moments. Quand je la pris, elle était excitée et cette fois, fatigue oblige, je fus plus long à venir et j’arrachai le premier orgasme à une femme.
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