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Dépucelage en groupe

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Lue : 5270 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 25/05/2016

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Ce récit, est une aventure que m’as raconté mon épouse au début ou nous nous étions connu. Ceci lui est arrivé l’année précédente, en 1981, elle avait donc 19 ans. Elle me l’a raconté à ma demande. Ce jour-là, alors que nous nous nous connaissions depuis quelques semaines, et je lui manifestais mon désir de pousser un peu plus loin notre intimité, en clair, je voulais coucher avec elle. J’en profitais pour lui demander si elle était vierge, et lorsqu’elle me dit que non, elle rajouta qu’elle avait eu sa première expérience aux vacances de Pâques, l’année précédente, mais d’une façon peu ordinaire. Je lui demandais donc lequel, et après s’être faite un peu prier, elle me raconta cette soirée-là, elle était très réticente à me donner les détails, et j’ai donc dû lui poser de multiples questions pour savoir ce qui c’était réellement passé. Je vais vous relater cette histoire comme si c’était elle qui relatait les faits. Je vous livre ça, en imaginant quelque peu, en fonction des détails qu’elle m’a livrée et aussi de ce qu’elle se souvenait, car elle-même en a des souvenirs assez flous. Par souci de confidentialité et parce que le monde est petit, j’ai changé les prénoms des deux amies de ma femme que je connais très bien elles aussi et que nous côtoyons encore régulièrement aujourd’hui avec leurs époux. Aujourd’hui encore, il m’arrive de me remémorer le récit de cette soirée lors de mes séances de masturbation solitaire ou effectuées par ma femme.

Nous étions en vacances dans le sud de la France, dans l’appartement que nous avaient prêter les parents de Aurélie. Nous étions donc 3 filles, Aurélie, Pauline et moi-même, tranquillement installées pour une dizaine de jours, le temps des vacances de Pâques. Nous passions beaucoup de temps à flâner, car la mer n’était pas encore très chaude et nous ne pouvions pas nous baigner. Nous fréquentions, en soirée, un petit bar sympa, ou nous pouvions écouter de la musique et où nous nous étions faites quelques connaissances, qui nous permettaient de voir un peu de monde, et de discuter un peu avec d’autres jeunes de nos âges. Le serveur, que nous connaissions assez bien, car il était devenu entre-temps, le petit ami de Aurélie, nous indiqua au fil d’une conversation, qu’il ne travaillait pas le lendemain, et que comme il doit passer la soirée avec quelques copains, nous pourrions nous joindre à eux et passer la soirée ensemble, ce devait être simple et tranquille, mais sympa. Le lendemain en fin d’après-midi, vers 17 heure, nous le retrouvons donc, au bar, mais accompagné de ses copains, au nombre de 4, dont certains que nous connaissons déjà. Nous les rencontrions assez souvent au bar, pratiquement tous les jours en fait, et nous draguaient régulièrement. Ils n’avaient jusqu’à présent obtenus que quelques baisers furtifs. Nous étions toutes trois vêtues assez légèrement car le temps était toutefois assez doux. Je portais une robe d’été longue style paysanne qui était à la mode à ce moment-là.
(C’est la même qu’elle portait le jour où nous nous sommes connus, serrée à la taille, dessinant bien son bassin et mettant ses seins en valeur. Elle s’ouvrait entièrement de bas en haut par une rangée de bouton sur le devant. Elle doit encore trainer quelque part à la maison).
Pauline portait un pantalon de toile et un tee-shirt je crois, quand à Aurélie, elle devait avoir un short et une chemise légère. Nous avions, je m’en souviens parfaitement, toute les trois un maillot de bain en guise de sous vêtement, prévoyant que la soirée nous emmènerait peut-être prendre un bain tardif, ce donc nous avions envie toutes les trois.
Nous nous installons ensembles à une table et entamons une discussion banale portant sur tout et rien, comme tous les jeunes à 20 ans. Le temps passe agréablement, les garçons sont sympas, charmeurs et plein d’humour et nous semblons être, toutes les trois en charmantes compagnie. Quand l’heure du repas approche, et n’ayant pas vraiment les moyens de s’offrir un restaurant, Aurélie propose d’improviser un pique-nique à la maison, ce qui fait l’unanimité. Nous nous précipitons donc dans le magasin le plus proche faire quelques courses avant la fermeture : pizzas, quiches lorraines, chips, des jus de fruits, du vin pour le repas, et une ou deux liqueurs. Les garçons ont tenu à payer eux-mêmes les achats.
Nous nous rendons ensuite à l’appartement ou nous logions donc. C’était un duplex, avec une grande pièce à vivre en bas, aménagée en salon, 2 canapés, table basse, chaine hifi, bar roulant avec un petit coin cuisine où nous installons nos victuailles pour faire office de buffet. Une montée d’escaliers qui menait à l’étage comportant 3 petites chambres.
(J’ai imaginé moi-même la disposition de la pièce en fonction de son récit et de ce qui se passera un peu plus tard dans la soirée).
La discussion s’installa rapidement, tranquille et portant sur nos vies dans nos villes d’origine, nos études, etc, etc, en sirotant un jus d’orange ou un quelconque jus de fruit. Nous avions mis de la musique en bruit de fond, et laissé allumé seulement un lampadaire dans un coin, ce qui donnait une ambiance de bar du soir, ou il était facile de se laisser aller, un peu trop même. Un peu plus tard, les garçons ouvrirent une bouteille de vin, que nous buvons tout en grignotant les pizzas et quiches que nous avions achetées. La bouteille, à 7, fut vite vidée, et nous en ouvrons donc une autre, puis encore une autre. Après 3 ou 4 verres de vin, je sentais mes oreilles chauffer, n’étant pas habituée à l’alcool, et il semble que mes deux copines en sont au même point. La soirée avance doucement, les garçons ont sorti une bouteille de Bailey, et nous avons déplacé un peu la table basse pour danser. C’est traitre le Bailey, c’est doux, ça descend tout seul, mais ça tape traitreusement sur la tête et il me semble évoluer dans du coton. Pendant que nous dansons, Aurélie commence de flirter, et d’embrasser son copain, en semblant perdre toutes mesures au vu de sa façon de se frotter contre lui. Pauline est toujours assise sur le canapé car elle semble ne pas être trop à l’aise, quelque chose la dérange. Moi de mon côté, je danse avec deux gars devant moi et l’un d’eux, qui m’avait déjà draguée assidument, semble me refaire la cour de nouveau. Aurélie, qui a déjà eu quelques expériences sexuelles et plusieurs gars dans son lit, semble très à l’aise et danse maintenant avec son corsage ouvert, découvrant son soutien-gorge. Elle se trémousse en se frottant les fesses contre son petit ami. Les 2 derniers gars les rejoignent, et dansent près d’eux en matant la scène. Des deux garçons qui dansent avec moi, l’un est passé derrière et a mis ses mains sur mes hanches, il semble de temps en temps me caresser un peu le haut des fesses, mais l’alcool m’ayant enlevé quelques-unes de mes inhibitions, je le laisse faire et trouve même la caresse agréable. Le deuxième est face à moi, et me regarde dans les yeux tout en dansant. De temps en temps son regard descend un peu, et s’attarde sur mes seins. Subrepticement, quelques fois, il s’approche, et me dépose un doux baiser soit sur les lèvres, le cou, ou la joue. C’est très doux et agréable et je prends ça comme une marque de gentillesse.
Pauline, elle, a disparue, je demande à mes danseurs ou elle peut être, et l’un d’un me chuchote à l’oreille qu’elle doit être aux toilettes. Mais au bout de quelques minutes, ne la voyant pas revenir, je décide de l’y rejoindre, laissant les 5 garçons avec Aurélie. Je la trouve, accroupie à côté de la cuvette des WC, je remarque qu’elle a été malade, et est dans un état de semi inconscience. J’essaie de la relever, et appelant de l’aide, deux gars viennent la porter jusqu’au canapé ou nous l’allongeons le plus confortablement possible.
Après s’être assuré qu’elle est simplement ivre sans risquer le coma éthylique,
(Ne perdons pas de vu que ce sont trois élèves d’une école d’infirmière à la fin de leurs 2ème année)
Nous reprenons notre danse, tout en sirotant de temps en temps une gorgée de Bailey, et c’est maintenant 3 gars aux mains très baladeuses qui dansent avec Aurélie. La musique a changé de rythme, et ce sont des slows très à la mode à ce moment qui passent sur la chaine hi-fi. Tout en dansant lascivement avec mes deux cavaliers, j’observe Aurélie danser avec les trois autres gars, qui lui ont progressivement enlevé son corsage et défait les boutons de son short. Elle est maintenant en soutien-gorge, son short et sa culotte à moitié baissés sur les fesses, elle semble gouter pleinement la situation.
(Je me souviens que Aurélie était peu farouche, et très portée sur le sexe, elle nous avait avoué un jour avoir couchée avec une bonne centaine de gars, et certaines fois avec plusieurs en même temps, la situation n’était donc pas nouvelle pour elle).
Elle ondule d’une manière très langoureuse et se retrouve rapidement entièrement nue, dansant au milieu des 3 gars qui ne se gênent plus pour la peloter et semble-t-il lui porter des attouchements beaucoup plus intimes.
(C’est à ce moment-là, que mon épouse a semble-t-il d’après ses propos eu envie de pousser plus loin, elle aussi, l’aventure). Moi aussi maintenant, je ressens l’envie d’être touchée, je n’ai jamais eu de rapport, je suis vierge, et hormis quelques caresses sur les seins, je n’ai jamais rien concédé aux quelques petits amis que j’ai connus à ce jour, les confidences de mes amis, ont toujours mis en évidence mon ignorance des choses du sexe. Mon cerveau commence à être bien embrumé et engourdi par la boisson, et sans que je m’en rende compte, tout en me servant de nouveaux petits verres d’alcool, les deux garçons ont défait les boutons de ma robe qui est maintenant complètement ouverte, avec mon maillot de bain quelques peu sexy, livrés à leur regard. Je finis de l’enlever moi-même, et c’est presque aussitôt que l’un deux me dégrafe mon soutien-gorge et que l’autre me descend la culotte sur les jambes et me l’enlève aussi. C’est ainsi que je me retrouve moi aussi complètement nue, au milieu des deux gars qui dansent contre moi en me caressant un peu partout sur le corps. La sensation de danser nue au milieu des gars encore habillés, est nouvelle pour moi et je suis toute émoustillée par les caresses qu’ils me donnent. Je me hasarde à aventurer à mon tour mes mains sur eux, et après leur avoir caresser le dos, les bras et la poitrine, mes mains s’aventurent vers leurs entre-jambes, et c’est la première fois qu’au travers de leur pantalon, je sens un sexe en érection sous mes mains. L’effet est saisissant et j’ai maintenant envie que ces gars prennent un peu plus d’initiatives, que je puisse moi aussi avoir ma première expérience et ne plus être l’oie blanche que je suis encore. Des trois gars qui dansaient avec Aurélie, deux se sont dénudés aussi, et l’ont amenée sur un canapé, où assis de part et d’autre d’elle, les jambes ouvertes, la caressent profondément tout en se faisant masturber. Sans tarder, je la vois ensuite à genou devant le canapé à leur faire alternativement une fellation.
Le troisième, lui est en slip, et s’est dirigé vers l’autre canapé, ou Pauline, ses nausées passées, et semblant avoir repris conscience, discute et recommence à boire avec le dernier des garçons. Elle semble maintenant simplement un peu éméchée, mais tout à fait consciente de ce qu’elle fait, et n’oppose aucune résistance quand le gars commence à la tripoter et lui enlève son tee-shirt. Elle ne tardera pas, elle non plus, à se retrouver entièrement nue, allongée sur le canapé embrassant le garçon, se prodiguant mutuellement de multiples caresses.
Dominique et ses deux gars, après un échange discret de petits mots chuchotés à l’oreille, se dirigent vers l’escalier, et disparaissent dans les chambres. Mes deux cavaliers se sont dénudés eux aussi et c’est avec un sexe dur et droit dans chaque main que je danse entre-eux deux. L’un me caresse le sexe tout en ayant un doigt dans ma fente que je sens inondée, me procurant beaucoup plus de sensations que je n’en ai jamais eu lors des masturbations que je me procure seule, quelques fois lorsque je laisse mon esprit divaguer. Le deuxième, tout en me tenant un sein dans une main, me caresse les fesses de l’autre, et me susurre des paroles douces et rassurantes à l’oreille. Tout en me laissant caresser, j’embrasse alternativement mes deux gars à pleine bouche, qui maintenant me caressent et me doigtent sans plus aucunes restrictions de ma part. J’ai quand même un sursaut lorsque l’un deux m’insère un doigt dans l’anus, mais la première gêne passée, je profite de cet attouchement, qui sans être vraiment agréable, me procure une sensation dans le bas ventre que je ne connaissais pas non plus. Les verres de liqueurs se succèdent les uns aux autres et c’est dans un état de totale euphorie que je me laisse emmener à l’étage à mon tour. Ils m’entrainent dans l’escalier, l’un me tient par la taille, et l’autre me tiens un bras car j’ai quelques difficultés à monter seule. Leurs discours ont changé, et ce sont des paroles peu flatteuses qu’ils échangent :
-On va quand même arriver à la baiser cette petite allumeuse, depuis le temps qu’on essaie et qu’elle ne lâche rien !!
-Nous n’avons pas mal choisi, parmi elles trois, elle a un super cul, on va lui en mettre ses pleines fesses !!
Et en me mettant une claque sur les fesses :
-Tu vas voir ma belle, ça va te faire du bien, tu vas aimer ça !!
Et d’autres commentaires du même style qui contrairement à ce que j’aurais pu penser, m’excitent plus qu’ils ne me dérangent. Sans le savoir, je suis peut-être vraiment cette salope dont ils parlent, mais quoiqu’il en soit, j’ai très envie de ce qui va m’arriver, et je n’ai plus aucuns doutes sur la suite de la soirée. Bizarrement, il me semble que les garçons ne semblent nullement incommodés par l’alcool, et je comprends soudain que ce n’était pas une soirée improvisée, mais qu’ils avaient tout prévus, et je dois reconnaitre qu’ils ont très bien mené leur coup. Ils avaient organisé à l’avance la soirée entre-eux, et j’imagine que l’idée du pique-nique chez nous, les a bien servis. Sinon, nous serions certainement allés chez l’un ou l’autre, et le résultat aurait certainement été le même. Ils nous ont fait boire un peu, doucement et progressivement pour endormir notre méfiance et nos inhibitions, alors qu’eux, quand j’y repense, je ne les ai guère vu se servir. C’est dans un état de totale excitation que je me retrouve allongée sur un lit avec un garçon de chaque côté. Je suis maintenant dans l’attente de leurs initiatives, ne sachant pas moi-même comment m’y prendre. Alors je les laisse guider eux-mêmes ce qui va suivre. Me prenant chacun une jambe, ils me les écartent et l’un deux se glisse en elles et me suce, lèche, déguste le sexe et une décharge électrique me parcourt tout le corps, n’ayant jamais reçu encore ce genre de caresses. Mon sexe est inondé et je sens des doigts me pénétrer sans difficulté aucune, d’abord le vagin, puis l’anus. Cette fois aussi, cette intromission m’est agréable, mais douloureuse lorsqu’il en insère un deuxième. Mon anus s’assouplit un peu et la pénétration devient beaucoup moins douloureuse donc encore beaucoup plus agréable. Je sais par mon amie que les gars aiment bien sodomiser les filles, et je me demande si je subirais aussi cela. Je suis curieuse de tout et maintenant que je suis là, j’ai envie de tout connaitre et tout subir. Peu après, un sexe se frotte sur mon visage et essaie de forcer l’entrée de ma bouche. Un gentil « suces moi un peu » me convainc d’ouvrir les lèvres et de le prendre dans la bouche. Son gland sur ma langue est chaud, doux et une liqueur visqueuse s’écoule doucement de son sexe, j’apprendrai plus tard qu’il s’agit de liquide séminal que les gars sécrètent quand leur excitation monte. Pendant cette fellation, je commence à comprendre qu’ils ont prévus de me faire subir tout ce qui leurs passe par la tête, et que c’est une véritable initiation à la lubricité que je suis en train de subir. J’ai maintenant envie de tout, être pénétrée, enculée, sucée, subir toutes les pratiques sexuelles possibles et imaginables. Ce n’est plus un acte de sexe entre copains, mais une véritable partouze.
Sans que j’aie à bouger, le gars baise ma bouche en faisant des va et vient, et je sens très vite sa jouissance s’écouler et une liqueur chaude et gluante, que je recrache en partie, mais que l’arrivée de l’autre sexe m’oblige à avaler. Ils me roulent ensuite sur le lit, puis m’entourant de leurs bras, les garçons me positionnent en levrette, les fesses en l’air, et la poitrine à plat sur le lit. Je reçois maintenant quelques claques sur les fesses. Ces claques ne sont pas fortes, mais quand même juste assez pour me rosir les fesses j’imagine, car je les sens chauffer un peu à chaque coup. Je suis là, à quatre pattes, les fesses en l’air et ouvertes, exposant mon anus et ma chatte à ces deux gars qui me gratifient d’un :
-Quel beau cul tu as, ça claque bien !! Ton petit trou est tout ourlé de brun, et nous avons très envie de t’enfiler par là aussi.
Tout en continuant à recevoir cette fessée, Je sens un objet s’insinuer dans mon sexe, qui semble me déchirer les entrailles, je m’apercevrai un moment plus tard que c’est une canette de coca-cola qu’ils avaient amenée avec eux. J’ai maintenant les fesses douloureuses, elles me brulent mais je n’ai d’autres choix que de les laisser s’amuser avec mon corps et de toute façon, j’aime ça et je suis disposée à tout subir. Je me sens chienne, salope et disponible. Etre exposée, comme ça, complètement ouverte et disponible procure une sensation de soumission, je leur appartiens complètement et peuvent disposer de moi à leur guise. Ils me pénétrèrent ainsi un long moment me semble-t-il, alors que je sens aussi des doigts fouiller mon anus. Je ne sais si c’est le plaisir ou la douleur, mais je sens des vagues électriques me parcourir le corps, et c’est lorsque ma chatte s’écoule à flot que je comprends que c’est du plaisir bestial à l’état pur et que je suis une femme fontaine. Ceci semble leur plaire aussi, au vu du nombre de doigts que j’ai dans le sexe maintenant et qui me pénètrent très énergiquement. Et c’est dans un flot de cyprine, que j’exprime maintenant mon plaisir en hurlant plus que gémissant des « oui, oui !!! Ce qui décuple leurs ardeurs, prolongeant mon orgasme et le flot de ma chatte. La tension redescend doucement, leurs gestes s’adoucissent aussi et leurs doigts se retirent de mes entrailles. Mon vagin et mon sexe sont maintenant libérés des intromissions qu’ils avaient, et c’est un sexe dur et chaud qui à présent me sodomise. Quelques paroles graveleuses me parviennent aux oreilles :
-Défonces lui son cul !!
-Putain, elle est bonne, et ça n’a pas l’air de lui déplaire à cette salope !!
Ce qui ajoute à mon plaisir et cette situation de soumission m’apporte un contentement que je n’aurais pu imaginer.
-Et moi !! Je peux en profiter aussi ?
Une troisième voix s’est ajoutée à celles des deux gars déjà présents. Lequel est-il ? Je ne le vois pas vraiment, il vient j’imagine de passer la porte et je lui tourne le dos, livrant à sa vue, cette sodomie que je subis. Que va-t-il arriver ? Que vais-je devoir encore subir ? Je le sens plus près de moi maintenant, et je pense que ce sont ses mains qui courent sur moi me caressant alternativement, le dos, les seins et visitant mon entre-jambe, lui aussi.
Quand à son tour, il me pénètre la chatte puis l’anus en levrette, je suce alternativement mes deux autres amants qui sous l’excitation de la situation ne tardent pas à me jouir dans la bouche chacun leur tour.
C’est maintenant que je dis stop et demande un moment de calme, commençant à être fatiguée et souhaitant pour ainsi dire un arrêt des hostilités, du moins pour un moment car je sens que mon désir ne tardera pas à revenir. De toutes manière, maintenant je veux profiter au maximum de ma soirée, une opportunité comme celle-ci risque de ne pas se représenter de quelques temps. Les garçons s’allongent à côté de moi, et tout en me caressant doucement sur l’ensemble de mon corps, nous discutons tranquillement. Ils sont tout de même surpris, que je manifeste une telle frénésie sexuelle, et semblent ne pas me croire lorsque je leur annonce que jusqu’à ce soir j’étais vierge. Toutefois, ils sont flattés que je leurs ai accordé cet honneur, de me dépuceler, et d’une manière très….très hard et surprenant pour une première expérience. Ils ont reconnu, qu’effectivement ils avaient quelques idées en tête au sujet de cette soirée, mais que jamais ils n’auraient imaginé que ça se passerait ainsi.
De paroles en paroles, de caresses en caresses, comme je l’avais prévu, mon désir remonte et c’est sans aucune gêne que je leur annonce que j’aimerais assez que l’on recommence un peu avant qu’il soit trop tard et que le sommeil nous saisisse.
Mais cette fois, complètement libérée, je prends moi-même l’initiative, et je me glisse vers l’entre-jambe de l’un d’eux, et tout en le suçant, je masturbe les deux autres. Leurs sexes retrouvent très vite la taille avantageuse qu’ils avaient auparavant, et me changeant de position, ils entreprennent de revisiter mon corps. Leurs caresses deviennent donc plus appuyées, leurs doigts retrouvent le chemin de mes moiteurs, et c’est ainsi, que je me retrouve une nouvelle fois à quatre pattes, le cul bien ouvert, une main sur chaque globe de mes fesses par l’un deux alors qu’un autre me pénètre. Le troisième garçon est resté avec nous, et lorsque que chevauchant l’un deux et m’empalant sur son sexe, le deuxième me sodomise, et le jour de mon dépucelage, je découvre aussi la double pénétration, tout en suçant le troisième. Les deux sexes me taraudent les orifices, je suis remplie, pleine de sexe qui me fouillent et je sens enfin presque simultanément leurs liqueurs chaudes qui s’écoulent en moi. Je jouis moi aussi assez bruyamment, ce qui déclenche la jouissance du troisième gars au fond de ma gorge. J’en avale l’intégralité, ayant beaucoup apprécié le gout du sperme, lors des premiers orgasmes de mes compagnons de début de soirée.
Quelques choses de gros et froid coulisse maintenant dans ma chatte, et je crois sentir quelque chose me fouiller encore l’anus. Lorsque l’objet se retire et se présente à mes lèvres, j’identifie la canette de coca-cola que je suce comme un sexe qui lui, ne ramollira jamais. Je reçois encore quelques claques sur les fesses, par le troisième gars qui a été informé de mes prédisposition pour la soumission par ses deux compères et je suis ravie d’entendre encore quelques paroles graveleuses me concernant.
Les pénétrations se succèdent, ma chatte et mon trou du cul, qui est maintenant très souple et accueillant sont pris d’assaut plusieurs fois de suite, je jouis, je suce, j’avale, je crie, je reçois d’autres claques sur les fesses, et c’est après un déchainement sexuel que la fatigue nous gagne tous les quatre et qu’après une courte discussion nous sombrons dans le sommeil.
Au petit matin, je me réveille enlacée à mes amants, encore totalement nue, alors que doucement eux aussi, s’éveillent chacun leur tour. Un baiser furtif à chacun en guise de bonjour, et je commence à prendre conscience de ce qu’il s’est passé cette nuit. Mon sexe et mon anus sont douloureux, j’ai l’impression d’avoir été labourée. Pour une première expérience sexuelle, j’ai été comblée et rassasiée de sexe. Je me sens un peu honteuse de mon comportement, mais leurs sourires et leurs paroles de réconfort me rassure sur leurs pensées. Attirés par l’odeur de café qui monte du salon, nous rejoignons nos amis en bas que nous trouvons entièrement nus eux aussi. Nous négligeons donc de nous habiller et c’est ainsi que tous ensembles nous prenons un petit déjeuné réparateur. La matinée avance doucement, et c’est toujours en tenue d’Eve et d’Adam, que nous remettons ensembles de l’ordre dans la pièce. Le rangement dure plus longtemps que prévu car il nous est difficile de ne pas échanger quelques baisers et caresses tout en essayant d’être efficaces. La maison rangée, nous passons à la salle de bain, à plusieurs n’ayant plus aucune gêne les uns vis-à-vis des autres, un de mes amants de la veille prend la douche avec moi, nous nous savonnons mutuellement et tous les deux seuls, nous pouvons nous prodiguer quelques baisers et étreintes plus câlines et romantiques que la veille. Nous nous caressons mutuellement mais je refuse la pénétration ayant le sexe douloureux. Nous nous contentons donc de nous masturber mutuellement, ce qui fut aussi très agréable et excitant.
Cette matinée fut des plus agréable, et une certaine complicité très tendre s’est installée entre nous tous suite à cette soirée de sexe. Mais hélas, il nous faut nous séparer car nous devons, nous les filles préparer nos affaires et rentrer le soir chez nous, et pas question de louper notre train.
J’aurais aimé revoir ce garçon qui a pris la douche avec moi, ou tout au moins avoir de ces nouvelles, mais hélas, les promesses faites à la fin des vacances, sont rarement tenues.
Mais j’ai connu quelques mois plus tard celui qui devait devenir mon époux et le père de mes enfants. Connaissant maintenant mes goûts et penchant sexuels, j’ai pu avec lui satisfaire toutes mes envies car il est très porté sur le sexe lui aussi. Ensemble, nous avons fait de l’échangisme, participé à des soirées de frénésie sexuelle. Plusieurs fois, il m’a emmené dans des endroits où, livrée entièrement nues, yeux bandés, les mains attachées dans le dos, il m’a livrée à des groupes d’hommes qui ont passés sur moi tous leurs fantasmes et fait ce qu’ils n’osaient pas faire avec leurs épouses. En fait, je suis bien la salope que je soupçonnais être le soir de mon dépucelage, et nous avons eu une vie sexuelle avec mon mari très débridée. Mais comme mon mari a dit souvent à nos partenaires de jeux, je sais être la maitresse et la salope de service quand les circonstances le permettent, mais je redeviens la tendre épouse et bonne mère de famille quand nous nous retrouvons dans notre intimité. L’Âge venant, notre libido s’est un peu calmée, mais de temps en temps, ils nous arrivent encore quelques fois de faire une rencontre qui nous permet de s’adonner aux joies du sexe de groupe, mais hélas, c’est de moins en moins souvent car autant l’un que l’autre, n’avons plus les corps fringuant de notre jeunesse. Nous n’avons pourtant aucuns regrets, car nous avons bien profiter de tous ces plaisirs de la vie en son temps. Maintenant nous sommes des grands-parents, et à chaque âge ses plaisirs.
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