Des vacances chez papi

Cette année, j’avais choisi de passer une partie de mes vacances d’été chez mon grand-père. Il a une piscine et vit dans un petit village du sud de la France.

Je n’y ai pas beaucoup passé de temps ces dernières années. Je limitais mes venues depuis que je l’avais surpris en train de se masturber devant un film porno alors que j’étais supposée faire la sieste. Je n’ai pas pu m’empêcher de me sentir mal à l’aise.
Et puis un jour je me suis rendue compte que cela ne me gênait plus… Au contraire, j’y pensais parfois avec une pointe d’excitation.

Donc cet été, celui de mes 30 ans, je suis allée lui rendre visite. Dans ma valise, des petites robes à fines bretelles, des strings très sexy et quelques petits bikinis dont les hauts cachent une infime partie de ma poitrine.

Il était convenu qu’il vienne me chercher à la gare. Lorsque je suis arrivée, un orage venait d’éclater. Ça arrive souvent par ces fortes chaleurs. J’étais trempée lorsqu’il arriva. Ma petite robe blanche était devenue transparente et laissait deviner beaucoup trop de mon corps. Elle collait sur mes fesses et mes seins. Je ne portais pas de soutien-gorge…
Il arriva en camionnette accompagné d’un autre homme qu’il me présenta comme un ami du village. Luc, l’ami de papi, était lui aussi un vieux coquin. Je le vis de suite à ses yeux et quand il toucha mes fesses pour m’aider à monter dans la camionnette.

L’avant du véhicule était prévu pour 3 personnes et je me retrouvais donc assise entre papi et Luc. Les 2 hommes m’expliquèrent que Luc descendait au village mais qu’il viendrait passer la soirée avec nous. Papi me caressait la cuisse et me disait à quel point il était content de me voir.

Il me dit aussi : « Tu es de plus en plus belle ! Tu as fait quelque chose pour avoir de si belles fesses ? ». Je rougis et les 2 hommes éclatèrent de rire.

Luc déposé chez lui, nous sommes donc rentrés. Papi me dit d’aller poser mes affaires dans ma chambre habituelle.
Une fois seule, je repensais à ce trajet en camionnette et commençait à me sentir excitée des mots prononcés par mon grand-père.

Le soleil était revenu alors je décidais d’enfiler un bikini et d’aller profiter de ce pas de la piscine. Je descendis les escaliers et rejoignit mon grand-père au salon.
« Tu vas prendre un bain ? » Je lui répondis oui et lui promis de l’aider à préparer le diner de ce soir.

« Ne t’en fais pas pour ça ! D’autant que Luc préfère la boisson à la nourriture. Je vais d’ailleurs te préparer un petit cocktail et ensuite tu vas me laisser te mettre un peu d’huile solaire. »

Je le laissais donc préparer les boissons. Il revint avec deux verres et une huile. On trinqua à ma venue. Le verre était très chargé en alcool et je ne tardais pas à en sentir les effets.

Il s’assit sur le canapé et me demanda de m’assoir entre ses jambes pour qu’il puisse m’étaler l’huile sur le dos. Ce que je fis en imaginant la sensation d’être collée ainsi.

Son huile avait une texture proche du gel. Il commença à me masser le dos du haut vers les hanches puis me demanda de prendre une posture plus cambrée. Mes tétons pointaient de plus en plus alors qu’il se rapprochait de ma poitrine. Ses mains passaient de mon dos aux côtés de mes seins qu’il malaxait l’air de rien. Je lui demandais alors si ce que nous faisions était normal. A quoi il répondit qu’il ne voyait pas le problème de caresser un peu le corps de sa petite-fille.

Je me sentais vraiment troublée par la situation mais indéniablement excitée. Excitation que je feignais de dissimuler même si mon souffle et quelques petits gémissements me trahissaient. Papi passait de plus en plus de temps proche de ma poitrine qu’il faisait remonter et moi je me cambrais un peu plus.

Puis il passa sur le tissu fin du bikini et ses mains s’attardèrent sur mes tétons. Le gel avait humidifié le haut du maillot qui ne faisait plus qu’un avec la peau. Il me dit alors qu’il prenait beaucoup de plaisir à toucher mes seins. Je sentais effectivement une masse durcir contre mes fesses.

Il descendit ensuite de mon dos vers mes hanches et arriva à mes fesses. Il massait le côté de mes cuisses puis les écarta et commença à masser l’intérieur. Je ne voyais pas son visage derrière moi et cela augmentait mon désir de le sentir davantage.

Il remonta l’intérieur des cuisses très lentement. Je ne pouvais m’empêcher d’imaginer ses doigts me pénétrer alors que je les sentais atteindre les coutures de mon bikini. Il effleura mes parties intimes puis s’arrêta en me disant « Je te ferais d’autres massages comme ceux-là pendant tes vacances. » Je me levais alors et alla prendre un bain pour me calmer un peu.

Le soir venu, papi dit avoir une surprise pour moi. C’était un tout petit bikini blanc qu’il me demanda d’essayer.

Lorsque je revins de la salle de bain où j’étais allée l’essayer, il s’exclama :
« Oh la la, il te va encore mieux que dans mes fantasmes… ton cul est vraiment mis en valeur dans ce string. On a envie de le bouffer. Et voir ta chatte moulée comme ça exciterait n’importe quel vieux cochon du village. Et crois-moi j’ai vraiment envie que les copains te voient et qu’ils aient envie de te baiser autant que j’en ai envie depuis des années ! »

J’étais un peu choquée mais en même temps je commençais à sentir chacune de mes limites voler en éclat à l’idée d’être l’objet du désir de tant de pervers.

Luc arriva à ce moment-là. Il était suivi d’un autre homme d’une soixantaine d’années. Il était bedonnant et je repérais de suite l’épaisseur de ses doigts. Ce qui m’excita au plus haut point. Ils avaient tous les deux des bouteilles à la main et je comprenais qu’ils comptaient bien me saouler pour faire sauter d’éventuelles résistances.

J’aimais le fait de me sentir convoitée sexuellement par ces hommes. D’autant que c’était avec l’aval de mon grand-père.

Je leur fis un signe de la main et alla m’installer sur le lit transat du jardin. Papi apporta un plateau avec d’autres cocktails et des petits verres de Rhum par lesquels nous avons commencé. Avec cette chaleur, l’alcool faisait vite effet et je me sentais très coquine devant les regards de ses vieux cochons.

Ils étaient installés sur le même lit transat que moi. Je devais me pencher devant eux pour poser mon verre et je décidais d’en jouer.

Hervé, le 3ème homme, se présenta et me dit qu’il était content d’être invité à célébrer ma venue pour quelques jours.

Je demandais alors : « Ah bon ? Nous célébrons ma venue ? ». A quoi Hervé répondit que oui, ils comptaient bien me célébrer depuis l’annonce de ma venue.

Je me penchais vers le plateau sachant que je leur offrais la vision de mes fesses. J’écartais les jambes pour que ma chatte leur apparaisse. Lorsque je me penchais une nouvelle fois, des doigts se posèrent sur le tissu de mon string et papi me dit alors « On va te toucher et te peloter toute la soirée. Je trouve que c’est excitant de discuter, boire et te tripoter ».

Alors je continuais à discuter pendant que les doigts de Luc effleuraient ma chatte par derrière. Il passait sur mon clito puis allait jusqu’à l’entrée de mon vagin en y appuyant un peu. Il se mit à masser mes fesses et les écartait alors que je me penchais davantage. Hervé commença lui aussi à me caresser par devant. Leurs doigts se croisaient sur ma chatte trempée d’excitation.

Verres après verres, je ne pensais qu’à une chose ; me faire tripoter et baiser dans tous les sens.

Papi dit alors « Allez viens petite salope que je te caresse les seins. On va reprendre là où on en était cette après-midi. Toi qui m’as vu me branler il y a quelques années, tu vas voir ce qui m’excite »

J’étais surprise et excitée et je dis « Oui papi ».

Il revint derrière moi et se mit à me masser les seins pendant que Luc m’aspergeait de gel. Ma poitrine était malaxée doucement. Il la remontait et puis il écarta le bikini sur les côtés laissant apparaitre mes seins. Il caressait et roulait mes tétons entre ses doigts. Je gémissais de plaisir et d’envie de me faire prendre. Puis il me dit de me retourner. Ce que je fis.

J’étais presque à 4 pattes, les mains posées devant moi, mes seins entre mes bras. Il reprit ses caresses expertes en tirant doucement sur mes tétons. Luc passa derrière moi et écarta mon string découvrant ma chatte qu’il caressa en tout sens. Il commença à me doigter avec lenteur puis rapidité. C’était tellement bon que je me mis à supplier Hervé de me fouiller lui aussi. Je sentis que je giclais de plaisir. C’était incroyable.

Après une petite pause où chacun me pelotait le corps, Luc prit le relais sur mes seins et mes tétons. Papi écarta mes jambes et plongea sa tête dans ma chatte. Ensuite, il s’allongea et me demanda de m’assoir sur sa tête. Il me léchait goulument. J’avais l’impression qu’il me dévorait et le bruit de lèche et de salive me faisait hurler de plaisir.

Je me penchais de plus en plus alors qu’il me malaxait. En même temps, Hervé se mit à bouffer mon petit trou. J’écartais mon cul de plus en plus et d’un coup je sentis qu’il y glissait un doigt.

« On va te baiser, te défoncer ta petite chatte et ton petit cul. Avoue que tu en rêves ! »

« Oh oui défoncez moi. J’ai envie de me faire baiser comme la salope que je suis.
Luc s’allongea et j’avançais vers sa bite en érection à quatre pattes alors que Hervé fouillait toujours mon cul de son doigt. Je m’empalais sur Luc qui gémit et se remit à tripoter mes seins et mes tétons.

Hervé retira son doigt de mon cul et je sentis son chibre pénétrer mon anus. J’étais prise par ces deux pervers. Je n’avais jamais autant pris de plaisir et mes gémissements en étaient la preuve.
Les deux porcs éjaculèrent en moi. Mon corps était engourdi mais ma chatte vibrait encore.

Papi revint alors avec une bassine d’eau et du savon et entreprit de me laver lui-même la chatte. Il se mit derrière moi et me frotta le sexe de ses doigts. Je me cambrais pour lui offrir tout l’espace dont il avait besoin. Il me lavait et me caressait de toute sa main. Et moi je trémoussais mes fesses de plaisir.