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Désirs coquins

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Lue : 14777 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/08/2011

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J'étais allongé sur mon lit quand je reçus un SMS de ma meilleure amie qui me disait qu'elle voulait me voir. Nous avons pris rendez vous pour le lendemain après-midi. Je me suis donc présenté devant sa porte habillée normalement, elle m'ouvrit et me fit entrer dans son salon me demandant si je désirais quelque chose à boire. Je me mis à la regarder, elle portait un joli collant noir avec une petite jupe légère en coton et un t-shirt de rock. Elle était grande, avec de long cheveux roux et un visage à faire tomber les garçons, sa poitrine était ni trop grosse ni trop petite, son fessier quant à lui était d'une dimension rêvée par toutes filles.

Par la suite, elle me conduisit jusque dans sa chambre où elle s'allongea sur son lit sur le ventre la tête enfoui dans un coussin. Je m’assis au bord du lit. Pendant qu'elle parlait la tête dans son coussin j'examinai de plus près son postérieur, les collants moulaient à merveille ses deux fesses bien rebondies et fermes. Un peu trop d'ailleurs, je me rendis compte qu'elle ne portait pas de culotte, en regardant son t-shirt je m'aperçu qu'elle ne portait pas non plus de soutif. Cette pensée fit monter en moi une douce chaleur, je l'imaginais nue, son corps chaud contre le mien.

Elle se retourna et se mit sur le dos, ma présence ne la gênait guère et elle ne se sentait pas observée. Ses jambes s'écartèrent doucement puis elle les plia en les laissant retomber : écartant ainsi ses jambes au maximum. Je réussissais à tenir la conversation, mais le désir de regarder son entrejambe était plus fort, discrètement entre deux rires, je glissai mon regard sur son pied et le faisant remonter le long de sa cuisse. J'aperçus alors, de nombreux poils roux sur le dessus de son sexe cacher par un tissu plus épais. Cela me frustra un peu, mais je me concentrai sur la conversation, oubliant cette magnifique vue.

Après une bonne heure de conversation, elle me surprit en train de regarder vers son entrejambe mais elles n'en dit pas un mot. Doucement elle glissa sa main sur sa table de chevet et y pris une paire de ciseaux, elle découpa sous mes yeux ébahi un trou partant de sa toison pubienne jusqu'au milieu de ses fesses. Mon cœur battait la chamade je pouvais enfin voir ce qu’au fond de moi j'avais toujours voulu regarder. Elle enleva son t-shirt, sa jupe sans dire un seul mot. J'étais dans un état second je n'arrivai plus à réfléchir ni même à penser raisonnablement. C'était ma meilleur amie je ne pouvais pas, mais sans bruit elle vint se coller dans mon dos nue, ne portant que ses en collants et passa sa main sur le devant de mon jean.

Mon sexe était aussi dur que de la pierre et je sentais ma mouille se mettre à sortir, elle me mit debout. Elle me déshabilla entièrement et caressa doucement mon sexe. Des frissons me montaient dans le corps partant de mes testicules. Je devenais bouillant, le contact de ses doigts sur ma peau me faisait l'effet de chocs électriques. Puis elle se mit à quatre pattes sur le lit, moi debout au bord du lit, elle recula son bassin de façon à ce que son sexe soit appuyé sur le mien. Elle commença alors à faire des va-et-vient avec son corps, répandant sa mouille sur mon sexe, elle frottait son clitoris sur mon gland. Après une bon quinzaine de minute elle se mît sur le dos et tout en le regardant avec des yeux qui ne bouger pas, elle me demanda de la dépuceler.

Je nageai en plein rêve, moi qui croyais qu'elle l'avait déjà fait. J'avais une impression de ralenti où vous vous demandez si vous dormez. Sans perdre de temps je me mis sur elle rentrant doucement mon sexe tendu dans le sien. Elle ferma les yeux et se mit à respirer de plus en plus fort. Mon sexe la pénétrait de plus en plus vite puis doucement, et je recommençais tout le temps, sa mouille coulait le long de son sexe pour former un petit ruisseau qui partait entre ces fesses. Après quelque dizaine de minute, je décidais de lui faire changer de position, je lui demandais de se mettre à quatre pattes. Elle s'exécuta, alors que mon sexe se trouvait à l'embouchure de son minou, je ne pus m'empêcher de saisir ses fesses pour les écarter.

Je vit son petit trou tout mouillé, je lui mît quelques fessées pour faire rougir ses fesses blanches, elle sembla apprécier et se mit à gémir. La vue de ce petit trou me fascinait et je ne pus m'empêcher de mettre mon gland tout mouillé au bord. Elle tourna la tête et le regarda, je ne savais pas quoi faire et vu qu'elle se de manifestait pas, je rentrais mon gland dans son cul. Ses yeux se fermèrent et ses cris commencèrent à résonner quand je mis mon sexe en entier. Je faisais des va-et-vient doucement, elle était devenu l’objet de tous mes désirs, sa beauté me rendait fou et sa soumission encore plus. Après une bonne demi-heure (je tiens longtemps ça en devient plus un défaut qu'une qualité) je retirai mon sexe pour aller éjaculé sur ses poils roux. Allongée, elle laissa mon sperme recouvrir son sexe pendant que je m'affalais a ses cotés bien décidé à l'embrasser.
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Histoire de Kanadem

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