Deux copines en chaleur

Il est trois heures du matin, quand Martha et moi, quittons la boite, ou nous fêtions l’anniversaire d’une copine. Copine qui, entre nous soit dit, s’était faite embarqué par un jeune beur. En ce moment, elle doit être en train de se le faire mettre grave. Bref.

Cela fait bientôt trois ans que Martha et moi, nous sommes rencontrer chez des amis commun. C’est ce soir là, que mon copain m’avait dit, que c’était fini entre nous. Sous le choc, j’étais sorti prendre l’air, très déçu.
C’est à ce moment que Martha est sorti pour griller une cigarette. En voyant ma détresse, elle m’avait consolée, que si je voulais en parler, elle était là.
Je me souviens m’être blottie dans ses bras. Lentement, elle m’avait écartée, et pris mes lèvres. Je la repoussé doucement, et regagnais le salon.

La seconde rencontre, fut un réel coup de foudre, à tel point, que nous nous somme mises ensemble, et avons projetés de nous marier.
Au début, ça a été dur. Nous avions peur des regards, des jugements de certains personnes. Heureusement, nos familles respectives nous ont de suite acceptée telle qu’on était. Ce qui a conforté nôtre relation.

Sur le chemin du retour, Martha caresse mes cuisses, engage une main sous ma jupe. J’ai beau lui dire d’arrêter, que je conduis...rien n’y fait.
Par sécurité, je finis par me garer dans une petite pinède, en bord de plage.
Nous passons à l’arrière de la voiture, et ôtons nos culotte. Martha est la première à remonter ma jupe, et caresser ma petite chatte. Elle sait qu’elle a de l’emprise sur moi. C’est une dominatrice...et j’aime ça.

-Alors ma Lucie chérie, tu aimes ce que je fais à ton petit bouton.
-Oh oui...c’est bon tu sais.
-Tu es toute mouillée... ça veut dire quoi, petite vilaine
-Que j’ai envie que tu me bouffes la chatte.

Martha me demande d’ouvrir les jambes. Elle plonge son visage entre mes cuisses, et entreprend de lécher mon minou. Je sens sa langue aller et venir sur ma fente, ses lèvres aspirer mon clitoris. Je me cambre vers cette bouche qui me donne tant de plaisir. Je la relève, lui prend les lèvres. Pendant que nous nous embrassons, nous ôtons nos vêtements, pour finir entièrement nues. Martha parcours mon corps de baisers, à me faire frissonner l’échine.


-Laisse moi m’occuper de toi, lui dis-je...
-Hum...petite coquine...

C’est à mon tour de caresser la chatte de Martha. Même si je suis moins douée qu’elle, je parviens malgré tout, à lui arracher quelques gémissements de plaisir. Je sens que nous partons dans une folle nuit érotique.
Le bout de nos seins sont aspirés, mordus, nos clitoris agressés sauvagement par nos langues perverses.
Ensemble, nous atteignons l’orgasme. Le baiser qui s’ensuit est torride.
On s’abandonne totalement. Nous nous encastrons l’une dans l’autre, chatte contre chatte, clito contre clito. C’est à celle qui fera jouir l’autre en premier. Mais à ce jeu, Martha est plus forte, plus vicieuse. Elle rit quand je jouis. Heureusement, la plage est déserte à cette heure ci, et je peux totalement exprimer mon orgasme.

Nous nous apprêtons à partir, quand soudain, s’en doute attiré par la lueur du plafonnier, un groupe de mecs s’approche de la voiture, tapent à la vitre.
Par sécurité, nous verrouillons les portes, cachons nôtre nudité.

-Alors, dit l’un d’eux, on cherche de la queue.
-Pas du tout, avec Lucie, on préfère les femmes, répond Martha. Vous avez déjà vu deux copines qui se gouine...regardez. Voyez comme sa chatte est mouillée…

Je me sens gênée. Martha trempe deux doigts dans ma chatte, la fouille. Puis, elle baisse légèrement la vitre.

-Qui veut goûter, dit-elle, de la mouille toute chaude.
-Arrêtes Martha, lui dis-je...tu vois pas que tu les allume.

Un voyeur s’avance, attrape le poignet de Martha, et suce les doigts. Un copain finit la lèche, jusqu’à ce que la mouille est disparu dans sa bouche.

-Avec la langue, c’est bon aussi. Qui veut lécher la petite chatte de ma copine...vous vous dégonflez, je vais être obligé de m’en charger.

Martha est devenu folle. Elle plonge son visage entre mes cuisses, et lèche mon minou. Je ferme le yeux, caresse les cheveux de ma chérie. Je ne peux retenir un cri de plaisir quand je jouis.

Excité, les hommes ont sorti leur bite, la frotte contre la carrosserie. Martha baisse un peu plus la vitre, saisit une queue, la décalotte. Elle tend son cou hors de la voiture, et la prend en bouche. Je n’y crois pas. Serait-elle en train de changer. Je ne veux pas passé pour une coincée. Je baisse la vitre, et en fais autant de l’autre côté.
Les mecs sont ma foi, assez bien montés...et leurs couilles bien pleines. Voulant en savoir d’avantage, on déverrouille les portières.
Un homme s’approche de mon côté. Je tiens sa queue bien droite, et lèche ses énormes couilles, tandis qu’il parvient à glisser une main entre mes cuisse, pour doigter mon clito avec son majeur. Je glousse de plaisir, tandis qu’il profère des mots incompréhensibles. Je me retrouve à genoux sur le siège, la croupe légèrement à l’extérieur de la voiture. Un colosse s’avance, me pénètre la chatte . Il se retire au bout de quelques minutes, revient, me défonce le cul. Je ne me souviens plus la dernière fois que je me suis fait prendre en levrette. Depuis que j’ai rencontré Martha en fait.
A côté, un inconnu force ma copine à s’empaler sur sa queue en érection. Elle se débat pour éviter la pénétration, mais est obligé de se soumettre.

-Salaud...pas ça...ça t’a excité de voir ma copine se faire chatter...
-Si tu savais...t’as l’air d’aimer la bite, pour une gouine.
-Bien sur...même si c’est pas ce que je veux...enfoiré...

J’entends le souffle de ma copine s’accélérer. Elle prend mes lèvres de force quand elle jouit. Prise de spasmes, elle ne voit pas arriver le danger, sous la forme d’un deuxième larron, qui se place derrière elle, sa queue au contact de son petit trou. D’une simple poussé, il pénètre le petit orifice. Soudée à mes lèvres, Martha étouffe un cri de douleur.
Impuissante, j’assiste à la double pénétration de ma chérie.
A peine la sodomie terminé, un colosse extirpe Martha de la voiture, en la tirant par les cheveux. Il la clou sur le capot. De ses doigts pervers, il pénètre les tous un à un.

-T’aimes ça salope, tu vas voir comme je vais t’enculer...ah...putain…
-Arrêtez...assez, pleure Martha.

A travers le pare brise, je croise le regard de Martha, les yeux remplis de larmes. Après tout, c’est elle qui a provoqué tout ça,
Soudain, je sens des bras virils, m’arracher de la banquette. Des bras vigoureux qui me colle sur le coffre arrière. Puis je sens un énorme calibre pénétrer ma chatte, pendant que son pote place sa queue devant ma bouche. Je l’aspire de mes lèvres. Je me fais prendre comme une pute quand, soudain, ils se vident les couilles en moi.
Deux autres copains attendent leur tour. Nous les supplions de nous laisser, qu’on a commis une grave erreur, et qu’on voudrait rentrer chez nous.
Le groupe décide enfin de partir.
Je vois des armes perlées sur la joue de Martha. Elle se sent responsable.

Une fois seules, nous ouvrons les vitres en grand, pour aérer l’habitacle. Nous prenons des serviettes dans le coffre, et fonçons à la plage. Après cette sulfureuse nuit, un bon bain nous fera le plus grand bien.
Martha a repris ses esprits. On roule enlacée sur le sable, attrapons le bout de nos seins, nous prenons les lèvres. Toutes les lèvres.
Martha n’en n’a jamais assez, joue avec mes parties intime. Je n’en finis pas de jouir...c’est tellement bon.
Après nous être essuyer, nous rentrons à la maison. Pendant le trajet, Martha ressasse cette folie nuit, regrette ce qui s’est passé. Les mecs, ce n’est pas nôtre truc.
Tant bien que mal, je parviens à la consoler sous la douche, Je lui dis que c’est pas grave, que s’était une mauvaise rencontre. Je l’emmène au lit. Un peu de repos nous fera le plus grand bien.
Martha se blottit contre moi.

-Dis moi ma chérie, malgré ce qui s’est passé, rien n’a changé, on va quand même se marier.
-Mais bien sur mon amour, lui dis-je...mais une petite escapade de temps en temps, ça peut être très excitant...t'en dis quoi...
-J'en dis quoi...viens ici salope, je vais te faire passer le goût des mâles.

Nous éclatons de rire, et nous endormons, enlacée dans les bras l’une de l’autre.