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Deux gosses queues...rien que pour moi.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 6 - Histoire postée le 28/06/2023

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Alors que Rémi, mon mari doit partir en stage pour une semaine, il me proposa d’aller passer quelques jours chez ses parents, qu’il m’y rejoindrait. Après trois mois de mariage, c’est dur de se séparer de l’homme de sa vie, mais c’est mieux que rester seule. Puis, on va s’appeler tous les jours.
C’est donc seule que je débarquais chez mes beaux-parents. Ils habitaient une somptueuse villa en bord de mer, avec piscine et parc arboré.
Les parents de Rémi m’accueillent comme leur propre file. Ils étaient très sympathiques, et leurs conversations agréable.
Ils m’expliquaient que toute cette semaine, se tenait une grande braderie, avec nocturne, sur la place du village, et que Rémi aimait cette ambiance conviviale, ou il y retrouvait des potes, avec qui il faisait la fête.
L’idée ne me parut pas désagréable, et me dis, qu’après le dîner, j’irais y faire un tour, ne serait-ce que pour me changer les idées.
Après le repas, je me retirai dans ma chambre afin de téléphoner à Rémi, lui faire part de mon manque de lui. J’étais toute heureuse de l’entendre, de sentir mes sens en éveil chaque fois qu’il me parlait, de lui dire combien j’étais à lui, combien mon corps l’attendait. Il me répondait qu’il arriverait peut-être plus tôt que prévu, qu’il ferait la surprise, et qu’il me promettait de me faire l’amour comme jamais...
C’est dans cet esprit, que je me retrouvais par un temps magnifique sur cette place marchande, passant d’allée, en allée, souriant aux marchands tout en me délectant de l’ambiance au mille parfums des étals.
La jeune et superbe femme que j’étais, n’était pas mal sollicité, par les regards coquins des hommes qui scrutaient mon sublime corps. Je dois dire que ma tenue vestimentaire ne cachaient pas grand-chose de mes atouts de jeune mariée. Jupe d’été fleuries, assez courte, pour bronzer mes jolies jambes, un petit haut à lacets, offrant un décolleté laissant deviner de beaux seins bien fermes, privés de soutien-gorge, et des chaussures compensées.
Je me laisser aller aux gourmandises fruitées, et autres fruits bien juteux. Le tout dans une ambiance conviviale.
J’étais en train de fouiller dans un bac à fringues, quand je les vis arriver. Deux beaux gosses, des copains en balade sans doute, visiblement touristes eux aussi. L’allure gaie et souriante, ils détonnaient dans l’ambiance de cette braderie. Je me demandais ce que ces deux gars pouvaient bien venir faire dans ce marché, essentiellement fréquenté par des femmes et des gens d’un certain âge.
Puis cette idée s’éloigna de moi, après tout, ils profitent eux aussi de ce long week-end Pascal.
Tandis que je réglais mes achats, mon intuition féminine détectait, derrière moi, la présence des deux gars qui s’approchait, échangeant de grands rires aux accents méridionaux.
Je dois avouer que je devenais très distraite, car la proximité de ses deux beaux mâles finissait par ne pas me laisser indifférente. J’avais, de loin observé deux physiques très différents, du coin de l’œil. L’un avec son débardeur, et l’autre la chemise ouverte, avaient l’attitude de deux prédateurs, et je commençais à me sentir dans la situation de la proie, car mon détecteur me signalait que j’étais le centre de toutes leurs attentions, et que leur présence n’était pas innocente.
Restait le mystère. Qui les avait orientés directement vers le stand ou j’étais. Je sais que certaines personnes ont le pouvoir de détecter les jolies filles, j’étais assez disponible, et demeurais certaine, qu’il n’y avait que moi.
Même si j’avais une bonne dextérité pour accéder au plaisir, le souvenir de ma présence dans les bras d’un mâle, commençait à s’estomper.
Il était clair que l’absence de Rémi se faisait longue, pour une jeune mariée. C’est en pensant à tout cela que j’entendis le bel italien me parler, et s’intéresser au petit haut que je tenais dans la main. Cela ressemblait à un mode d’approche, et devait faire partie du tout premier épisode.
Son ami blond devait le savoir, car il le laissait faire ce travail d’approche. Quel argument avait ce beau brun, pour être certain, que je n’allais pas l’envoyer paître.
Je souris intérieurement en faisant d’incroyables efforts, pour ne pas laisser paraître le petit plaisir ressenti de me faire aborder ainsi.
Son copain ne disait mot, laissant faire la conversation sur les banalités qui s’installait autour de couleurs de tissus, de saveurs, de commentaires sur le beau temps, et aussi sur le fait que sur ce marché, on me trouvait belle.
Je jouais les insensibles à ce genre de compliment. Les efforts déployés pour avoir de moi un sourire, étaient appréciables, et il finit carrément à me faire rire, lorsqu’il me dit que mes efforts, pour éviter un petit sourire étaient tellement visible, qu’il en avait du chagrin.
C’est là que son ami prit la parole et qu’il en rajouta en disant que je m’en sortait très bien malgré tout, et que je devais avoir beaucoup de pratique pour rester sérieuse face aux plaisanteries de Luigi. Un vent de gentillesse passa dans ses paroles, et il enchaîna en disant qu’il s’appelait Gabriel.
Ces deux jeunes garçons étaient parvenus à créer un certain trouble en moi, par leur approche un peu déconcertante, le sentiment pour moi d’être unique par le fait que, sortis de je ne sais ou, ils ne portaient leur intérêt, que sur moi, sans jamais détacher leur regard d’une des parties de mon corps, tout en me parlant.
C’est ainsi qu’ils apprirent que je m’appelais Fanny, et me complimentèrent sur le côté méridional de mon prénom, affirmant que cette journée paraissait radieuse du fait de ma présence, et qu’à cet instant, cette rencontre relevait du Divin, ce qui me parut franchement exagéré, soit, mais plaisant.
Luigi me dit que j’inspirais des choses pas tout à fait banale, me demandais si je me sentais prête à entendre une proposition qu’il souhaitait me faire.
Je n’en fus, dans un premier temps, pas certaine, puis m’interrogeais quand même, sur la nature de sa demande.
Honnêtement, je ne voyais pas ou tout cela allait, et mon esprit m’orientait vers une invitation au restaurant, pour un dîner en tête à tête, lui et moi.
Mais la complicité entre les deux garçons, me troublait plus que de raison, et je ne me doutais pas de la direction qu’il empruntait.
Je ne cachais pas une certaine inquiétude quand ils m’avouaient avoir loué une petite villa près d’ici, et qu’ils voudraient bien me la faire visiter, insistant que passer un moment en ma compagnie, leur feraient vraiment plaisir.
La nature de mon inquiétude portait sur le fait que ces deux jeunes hommes me proposaient de passer une soirée avec eux, dans une demeure inconnu.
Il était clair qu’ils ne cherchaient pas une partenaire pour jouer aux cartes.
J’en étais encore à essayer de comprendre le sens de tout cela.
Gabriel engageait le pas, me mettant sa main dans le dos d’un mouvement à la fois doux et ferme, et me vis déséquilibrée en mettant un pied devant l’autre, tandis que Luigi, vrai moulin à parole, se lançait dans une description de l’environnement de cette villa, dont il était sur qu’elle me ravirait.
Gabriel, lui, approuvait tout en marchant, sans ôter sa main dans mon dos. Je suivis donc, ayant l’impression, d’une sorte d’envoûtement dont les effets me rendaient, non pas soumise, mais comme dépendante d’une ambiance.
Nous avions quittés la braderie, et c’est sans jamais s’arrêter de parler, que Luigi m’ouvrit la porte de la voiture pour un court trajet.
C’est lorsque nous entrions dans le salon, que l’impression d’intimité fut forte, et Gabriel vit mon visage changer, car il s’en inquiéta gentiment. Les choses allaient alors très vite dans ma tête, et pris conscience de mon choix.
Jamais personne, jusqu’à aujourd’hui, ne m’avait forcée à faire quoi que ce soit, et une sorte de sérénité se mis en place au plus profond de moi, me rendant alors plus détendue. Seul regret, Rémi n’était pas là. Il aurait adoré cette ambiance de légère tension, d’excitation, face à une part d’inconnu.
Je m’assis alors et entrepris de quitter mes chaussures, suivie par le regard de Gabriel, et me demandais vraiment si ces deux hommes pensaient poser leurs mains sur moi ce soir. Cette question n’en n’était pas vraiment une, car l’intimité créée depuis quelques minutes, le contact de la moquette sous mes pieds nus, la proximité de ces deux mâles assis près de moi sur le canapé, donnaient à mes sens une couleur, faite d’une légère brume de plaisir.
C’était maintenant Gabriel qui parlait, Luigi regardait.
Le bel italien se leva un instant pour, et à ma demande, ramener un verre d’eau fraîche, tant j’avais la gorge sèche, lorsque Gabriel posa à nouveau sa main sur mon épaule.
Ce simple geste du contact des doigts pratiquement sous mon bras, me fit un effet très différent, surtout lorsqu’il ajouta que mon corps lui était apparu désirable, dès le premier instant. Son regard allait de mes yeux, jusqu’à ma poitrine, et c’était comme une caresse ressenti sur chacun de mes seins.
Luigi défit adroitement les lacets qui retenaient ce qui cachait le haut de mon corps, me surprenant un peu, d’avantage par le fait que cela me libérait de cette oppression que je ressentais encore un peu, que par le geste lui-même.
Nous échangions un regard, et je posais instinctivement ma main sur ma poitrine, ce qui me fit sentir les pointes de mes seins à travers du fin tissu, confirmant le léger état d’excitation qui s’emparait de moi, de manière assez puissante, pour que je ne souhaite l’en empêcher.
Gabriel se fit plus pressant, et le tempérais, souhaitant reprendre un peu le dessus d'une situation qui me laissait l'impression de me dominer quelque peu. Je le tint a distance le temps d'un instant, si le terme “a distance” puisse être employé, vu qu'il posait maintenant la paume de sa main droite sur mon ventre, ce qui eu l'effet d'attiser davantage la surface de ma peau.
Le contact de sa main contre la mienne qu'il transformait en douce caresse se propageant du haut au bas de mon ventre, avait l'effet d'une ligne de feu qu'il traçait sans le savoir.
Garder un sourire devenait difficile, tant la sensation me pénétrait maintenant. Le caractère insidieux avec lequel je me sentait habitée par le désir portait sa part de mystère. Il fallait à présent compter avec les gestes précis de Luigi, dont les doigts agiles avaient complété mon effeuillage.
Et c'est en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire que je me retrouvais la poitrine dénudée. Je sentais dans le même temps au fond de mon ventre se former une douce chaleur, le bout de mes seins orgueilleusement dressés, offerts aux yeux de ces deux hommes qui me désiraient, ajoutait a la fusion de mes sens qui n'étaient plus sous contrôle.
Il est impossible de décrire la sensation produite par le regard de ces deux mâles. Impossible d'expliquer combien le bout de mes seins s'en trouvaient excités au point de les sentir durcir...l'envie d'être touchée de leurs mains.
Je voulais cacher ce désir qui s'installait en moi, et cela devait se voir, car mes complices éclatèrent d'un grand rire qui fini de me désarmer.
Je sentis la main de Luigi s'emparer de mon sein gauche, tandis que Gabriel posait ses lèvres sur mon sein droit.
C'était la première fois que deux hommes à la fois me touchaient, en même temps que la situation que cela représentait a mon esprit, me produisait du plaisir à l'état pur, sans savoir qui était au bout de ces mains. Ce contact était si fort, que j'en tirais un plaisir intense. Un peu gênée malgré tout, je plaçais furtivement ma main gauche dans mon entrejambe et je fus très troublée de voir a quel point j'avais la chatte mouillé.
Cela me fit me concentrer sur l'état d'excitation sexuelle dans lequel j’étais. Je savais que j'avais envie, très envie. Je savais aussi que je ne m'opposerais a rien, ni a leur mains, a leurs caresses, ni au contact de leur queue, car mon corps s'imposait maintenant en demandeur.
Nous nous levâmes ensembles pour finir de nous déshabiller. Il devenait urgent que les mains de ces garçons, se posent sur les lieux les plus intimes de mon corps.
Cette sensation que j'avais un peu oublié, faisait que je mouillais maintenant a ce point, me faisait désirer le contact d'un sexe d'homme. J'avais tout autant envie de les voir nus qu'eux avaient envie de moi. ,
Mon regard se rivait malgré moi sur le sexe de Gabriel, encore caché, pressée que j'étais de le voir, de le toucher.
Je me déshabillais en même temps, ôtant cette jupette qui restait le denier rempart entre une certaine source de plaisir et moi même.
La sensation du frottement de mes cuisses entre elles me procurait un curieux effet qui me rappelait au désir en permanence.
En fait, Gabriel se déshabilla rapidement et se plaça derrière moi, m'aidant à ôter ma culotte. Je sentis le léger contact de sa bite sur ma fesse droite.
Cela me troubla davantage, et c'est d'une main fébrile que je me dépêchais d'enlever cette mince frontière entre mon intimité et le contact maintenant tant attendu de leurs mains, tandis que mon regard se posa sur le sexe de Luigi, m'efforçant de contrôler cette envie de toucher.
Le fait d'avoir à portée de main deux sexes d'hommes créait une ambiance terriblement sexuelle, laissant l'érotisme de coté.
Je m'assis, mettant instinctivement mes mains sur mes seins dont je sentais les pointes érigées. La main de Gabriel posée sur l'intérieur de ma cuisse m'électrisa, et c'est aussi d'instinct que j'écartais mes jambes, en ressentant dans ce mouvement à quel point mon entrejambe était mouillée.
Luigi posa sa main chaude sur moi, et je ne saurai, encore à présent décrire l'effet que me faisaient ces mains d'hommes différentes sur mon corps littéralement en feu en cet instant.
L'envie incontrôlable de tenir entre mes mains la queue de Gabriel se saisit de moi, je n'en pouvais plus de cette proximité, je voulais sentir, toucher cette virilité, si près de mes lèvres maintenant.
Je ne sus si la sensation de son sexe dur entre mes doigts fut plus forte que la caresse de Luigi sur mon clitoris au même moment. Ce que je sais, c'est que mes sens étaient tous en éveil, brûlant.
Je pus enfin toucher de mes lèvres la queue tendue de Gabriel, ressentir cette chaleur sur ma langue, devenue vive, s'entourant autour de son gland que je sentais à vif. Je crois que le plaisir que j'en ressentais à ce moment avait commune mesure avec celui que je lui prodiguais. Mais le plaisir ressenti chavirais mes pensées, allaient a la vue que j'offrais à Luigi qui ne cessait de me caresser savamment la chatte complètement mouillé maintenant.
Il passait ses doigts autour de ma fente, doucement parfois, plus violemment d’autres fois, délaissant mon petit bouton, puis y revenir, et je ne saurai décrire combien ces attouchements me brûlaient l’intérieur du corps.
L’envie d’être pénétrée était terriblement forte, et mon bassin s’animait malgré moi, lorsque Gabriel posa simplement son majeur directement sur le bout de mon clitoris, appuyant sans le bouger.
Je le senti glisser tant il était mouillé de désir, tandis que les doigts de Luigi ne s'arrêtaient pas. Je fermai les yeux, ces garçons me rendaient folle.
Jamais mon corps n'avait ressenti tant de sensations et de fortes impressions de chaleur, se mouvant entre mes jambes, entre mes lèvres, entre mes doigts. Un cri m'échappa lorsque deux doigts de Luigi s'insérèrent en moi.
il n'eut aucune peine a le faire, et je m'étonnais de la profondeur à laquelle il s'introduisirent, très attentif à la moindre de mes réactions et faisait coulisser ses doigts en expert, tandis que de l'autre il continuait a caresser le bout de mon clitoris dont je sentais la dureté au bout de son index maintenant.
Je ne saurai traduire le ressenti de ces caresses qui s'ajoutaient à l'effet de la queue de Gabriel sous ma langue.
Sentir son gland dans ma bouche en même temps que les doigts de Luigi en moi menait à un vrai désordre de mes sens qui s'enflammaient davantage.
Mon corps se faisait demandeur, n’était plus capable de ne rien refuser. J'étais dans un cet état extrême, lorsque Gabriel se mit à me me murmurer à l’oreille. Il arriva à capter mon attention, sans que je sache si c'était sa voix qui avait ce pouvoir hypnotique ou ce qu'il disait, qui devait ressembler à
«…Tu vas aimer, tu sais…tu aimeras tout à l'heure, ce que nous te ferons ressentir, lorsque doucement je poserai le bout de ma queue sur ton clitoris, que je te ferai cette caresse en cercles sans encore te pénétrer, tandis que ton corps commencera a manifester de petits coups de reins, imperceptibles, réclamant ce membre dur que tu as touché tout à l'heure et que tu avais trouvé si chaud. Puis je délaisserai alors ton petit bouton, pour continuer à caresser, du bout de mon sexe, le bord de ta chatte, en la pénétrant juste un peu, pour en caresser les bords. Ce sera être chaud, tu sais…»
Il disait cela tandis que Luigi donnait de légères petites tapes sur ma fente béante et que les idées les plus troubles me traversaient.
L'imaginaire érotique est quelque chose de puissant, et ce beau salaud le savait. Il me rappelait Rémi, qui savait en jouer, et qui savait que je n'étais pas étrangère à ce monde de plaisir. Les mots qu’il avait prononcés et tout simplement l'état dans lequel mes nouveaux amis m'avaient mis, était ce qu'on peu appeler un état limite.
Plusieurs fois j'avais lutté contre la venue d'un orgasme, souhaitant maîtriser un tant soi peu une situation dont je ne voulais pas qu'elle m'échappe.
Je me retournai vers Luigi, me saisis de son calibre que je caressai, le temps pour Gabriel, de quelques mouvements adroits de me positionner sur le ventre, de me relever les reins, m'appuyant sur un genou, et lui donnant à la fois une vue et un accès à mon intimité que je lui offrais totalement.
Luigi était fait différemment. Son membre, puissant emplissait entièrement ma bouche, et la sensation de cette chaleur coulissant sous ma langue en même temps que le doigté sur mon clitoris, me transportait littéralement.
Soudain, Luigi se tendis, lâcha de puissants jets de sperme au fond de ma gorge, tapissant mon palais, pour finir sur ma langue. C’est avec délectation que j’avalais tout son jus. Puis Gabriel se coucha sous moi, la tête presque sous mon ventre et se lança dans un « cunni » diabolique.
Sa langue furtive passant sur la pointe de mon petit bouton, s'enroulant autour de lui, se faisait chaude, en même temps que la dure virilité de Luigi entre mes lèvres intimes me fit succomber à un plaisir contre lequel cette fois-ci je ne luttais pas.
C'est lorsque les lèvres de Gabriel se saisirent de mon clitoris, lui faisant un effet de va et vient en même temps que je sentais sa langue sur mon petit bout que mes reins se firent incontrôlables .
De puissantes vagues de plaisir générant des contractions en rafales se formèrent au bas de mon ventre et troublèrent ma vue, générant ce fameux vertige indescriptible vous embrasant totalement. Je jouis sans contrôle, m'appuyant contre Luigi, serrant sa bite entre mes doigts.
Mon clitoris prisonnier des lèvres serrées de Gabriel était en feu, générateur de plaisir sans fin, je n'avais plus la sensation de mon corps, et n'étais que plaisir, que jouissance.
Gabriel se mit sur le dos, m’attira à lui, m’obligea à m’empaler sur sa hampe. Il me prit les lèvres, tandis que Luigi se présentait derrière moi. Sa queue lubrifiée par ma bouche, taquinait mon petit trou. Il me sodomisa, sans aucune douleur.
Je me retournais, me plaçais sur le dos, sur la bite en érection de Luigi.
Gabriel s’accroupit, et enfonça sa bite dans ma chatte. Je sentais leur sperme envahir mes orifices, déclenchant en moi de terribles orgasmes.
Puis, l'épuisement s'emparant de moi sans que ne s'arrête complètement ces spasmes se faisant alors légers. Le bas de mon ventre était maintenant comme un terrain miné, une autre partie de moi.
J'aimais cela. les doigts de Luigi caressant mon clitoris de légers attouchements, Gabriel me pénétrant, doucement et sans s'arrêter.
Je continuais la fellation a Luigi, je ne voulais pas lâcher sa bite. Elle était dure, son érection puissante. Son gland sous ma langue était mouillé et coulissait dans ma bouche au rythme des caresses que me prodiguait Gabriel.
C'est là qu'une autre vague de plaisir me submergea, que leurs bites se remirent en action, que leurs couilles se vidèrent au plus profond de moi, libérant une chaleur irradiant ma chatte, générant ces tremblement incontrôlés.
Je me sentais maintenant sans force, étourdie et n'ayant plus grande notion, ni du temps, ni de ce qui se passait vraiment.
Je me sentis soulevée, transportée, déplacée, avec toujours ces spasmes encore présents, dont les saccades se calmaient seulement maintenant.
J'avais jouis bruyamment, je crois. J'en pris conscience et l'idée que d'autres personnes aient pu m'entendre me traversa l'esprit, alors que nous étions seuls. Je m'offrais à ces hommes et ne voulais plus de limites.
C'est peu a peu que je repris conscience, lorsqu'ils me posèrent sur un grand lit, dans une autre pièce.
Un rapide regard autour de moi me fit distinguer une chambre quasiment vide, juste ce grand lit, une petite table, et un canapé dans un coin sombre.
La température était douce et me disais que je vivais une véritable séance de bien-être physique, et que je ne voulais pas qu'elle s'arrête.
Je désirais maintenant tout autre chose, et je leur demandai de me prendre sans plus attendre, en double.
Je désirais Luigi, son calibre dans ma main avais laissé sa marque, et c'est lui que je voulais, que ce soit lui qui est les faveurs de m’enculer. Un furieux désir de pénétration s'empara de moi, et je le fis savoir. Luigi s'approcha de moi, et relevant ma jambe posa sa queue contre moi. Je sentais la douce chaleur qu'il me communiquait, et le savais d'une réelle dureté. Il bougea un peu et caressa le haut de mon clitoris du bout de son gland, le positionnant peu a peu, tout en caressant mes seins. Puis il me pénétra d'un coup en relevant mes jambes. Je le sentais au fond de moi, laissant échapper un léger cri sous ses mouvements d'abord lents, pour devenir plus rapide. Je le sentais coulisser en moi, sa bite chaude m'emplissait complètement, générant un plaisir tant attendu.
Luigi me pris longuement, établissant un rythme, régulier, puissant, profitant de mon corps autant que je jouissais du plaisir qu'il m'offrait. Je ne sus pas vraiment combien de temps cela dura, mais je passais ainsi de l'un à l'autre, accédant au plaisir de manière multiple et différente à chaque fois. J'aimais autant les puissantes pénétrations de Luigi, que les fantaisies de Gabriel.
Les pointes de mes seins générait maintenant cette légère douleur d’excitation qui ne s'arrêtait pas, mon corps entier n'étant que jouissance de tous ces instants.
J'aimais lorsque Gabriel me retourna, me pénétrant à fond, provoquant des
allers retours rapides qui m'amenaient au bord du plaisir, puis s'arrêtant pour mieux recommencer, me pénétrant profondément, restant ainsi plusieurs secondes, appuyant d’avantage d'un coup de rein puissant et se retirant.
Je ne saurai dire le nombre de fois que je jouis sous les yeux de mes amants qui en tiraient plaisir, et tour a tour ne cessaient de me caresser, d'entraîner mon corps au delà d'un orgasme quasi permanent
Je me souviens encore de ce dernier orgasme sous l'effet du sexe de Gabriel qui, me pénétrant à fond dans un de ses derniers coups de rein m'amena au plaisir total, générant ces vagues qui vous partent depuis les seins, et vous parcourent le ventre jusqu'au haut des cuisses, laissant au passage la chatte irradié d'une tension faite d'une indescriptible chaleur et l'esprit trouble.
Je me sentais le corps épuisé, comme relâché d'une tension qui aura duré des heures, tout mou et cotonneux maintenant dans cette pièces qui s'assombrissait avec la fin de la journée.
Mes amants ne cessaient de me caresser de manière différente maintenant.
Leurs mains faites de douceurs parcouraient mon cou, mes longues jambes, mes seins, mon clitoris, détendant mon corps peu a peu, me ramenant à cette réalité de la fin de cette journée si spéciale, ou j’avais pris énormément de plaisir.
J'étais bien, et mes amants heureux, m'embrassaient sur le ventre, sur les seins et dans le cou, de ces baisers légers qui vous irradient de tendresse. Luigi, plus espiègle, faisait tourner sa langue sur mon clitoris..
Après une nuit torride, je regagnais la villa des parents de Rémi. Par chance, ils étaient rentrés sur Paris.
A peine sortie de la douche, que j’allais m’étendre sur un transat au bord de la piscine, laissant la légère brise dur soir, caresser mes seins nus, ma chatte, ou le clitoris s’était enfin assoupi, épuisé par tant de coups de langues.
Pourtant je sentais encore le feu se consumer dans mon ventre. Je finis par m’assoupir, pensant à Rémi, que je venais de tromper, après seulement trois mois de mariage, sans aucun regret.
Soudain, je sentis des baisers parcourir tout mon corps, même dans les coins les plus intimes...j’ouvris les yeux...Rémi ?
On s’embrassait, s’enlaçait, se donnait de sulfureux baisers, puis finissons dans la chambre. Les deux heures qui s’ensuivirent furent torrides, tout en restant dans le classique. Je ne franchissais avec mon mari, les interdits que j’avais franchis avec mes deux amants. Du reste, je me demandais s’il en serai capable.
Après un bonne douche, Rémi se rappelait que s’était la saison des braderies au village. Celle là même ou j’avais rencontré ces deux dandys, qui m’avaient attirés dans leur lit, et baisée tout l’après-midi.
Arrivés au bar des copains, Rémi se jette dans les bras de deux potes…
Luigi, et Gabriel...



























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Commentaires du récit : Deux gosses queues...rien que pour moi.

Le 02/10/2023 - 19:17 par Levoyeurde23ans
Un coup monter de ce cher Rémi, c'est sûr.. excitante histoire
Le 02/10/2023 - 19:17 par Levoyeurde23ans
Un coup monter de ce cher Rémi, c'est sûr.. excitante histoire
Le 30/06/2023 - 14:27 par Zenitude69
Superbe texte qui décrit magnifiquement les sensations de cette jeune mariée infidèle ... En espérant une suite. Merci pour ce plaisir de lecteur
Le 29/06/2023 - 14:26 par OlgaT
Très coquin. Avec la complicité du mari?
Le 28/06/2023 - 10:35 par valeriane
Oh la belle coquine hum .
Le 28/06/2023 - 10:28 par michelle2
j'adore

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