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Devenir une star ou une salope 2

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Lue : 1920 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2013

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Casting de star... femme volée.

Avant de répondre aux questions de Serge, Louise me consulte d’un coup d’œil. Je fais « oui » de la tête. Elle s’étonne mais ne discute pas : si je suis d’accord, elle accepte, ce qui ne lui déplaît pas apparemment. Serge, fort de ces avancées, va droit au but.
- Donc, si tu veux gagner vite, il faut prouver ta volonté de réussir. Accepterais-tu de faire un essai rapide avec moi, juste pour montrer que tu peux vaincre ta retenue naturelle. Il faut battre le fer quand il est chaud. Si toutefois Claude n’y voit pas d’inconvénient : ce sont les contraintes de ce métier nouveau en rapport avec les progrès de la technologie. Qu’en pensez-vous cher ami ?
- Si Louise souhaite embrasser cette carrière, je ne saurais m’y opposer. C’est un choix personnel, il engage son avenir. Il lui appartient de mesurer toute l’étendue des contraintes et obligations mais aussi les avantages de la profession. Si mentalement et physiquement elle se sent apte à l’exercer et à en assumer les conséquences, je serais égoïste de gêner son épanouissement
- Louise, ton compagnon est formidable. Il est tolérant, ouvert sur la vie moderne : tu l’as bien choisi.
- C’est vrai, j’ai de la chance de vivre avec lui et d’être aimée comme je l’aime. Attends, je lui dois un baiser.

Toute nue maintenant, elle accourt vers moi, les seins sautillant, prend ma tête entre ses mains et dépose avec joie un baiser sonore sur mes lèvres :
- Merci mon amour de m’accorder cette chance.

Elle repart à petits pas précipités vers le canapé où Serge vient de s’asseoir. Je vois avec attendrissement le balancement rapide de ses fesses. Elle se pose sur les genoux de Serge, tournée vers moi. C’est sa manière de m’associer à la suite de l’événement. Elle gratifie Serge d’un baiser semblable à celui qu’elle vient de me donner et livre sa taille aux mains de ce deuxième homme important dans sa vie. Il caresse les flancs, goûte encore à la douceur des seins avant de glisser une main en direction du mont de Vénus rasé par ses soins. Pendant qu’il insinue un index dans la fente, il me toise, triomphant :
- Claude, tu es un chanceux. Cette femme t’aime, elle est prête à t’aider à acheter le toit qui abritera votre amour. J’admire son enthousiasme.

Elle s’est masturbée à sa demande, il la masturbe à son tour. Elle ouvre la bouche sous l’effet de ces attouchements audacieux, commence à rouler des hanches tant les doigts fouilleurs énervent son sexe. Elle gémit mais réussit à me sourire. Serge la dépose à côté de lui :
- Tu restes sur le canapé, tu me tends les bras. Je m’approche, je t’embrasse…; je te caresse. Et toi, que fais-tu ?

Cette fois il ne perd pas de temps. Il est en place et agit, se penche, colle sa bouche grande ouverte à celle de Louise, ne lui laisse pas le temps de demander une autorisation. Ses mains explorent immédiatement la poitrine et retournent au ventre. Louise reçoit ces caresses naturellement. Je ressens un profond dépit, j’attendais d’elle des protestations ou un refus, au moins au début. Non, elle fonce.
- J’ouvre ta braguette et je sors ton engin. Mais tu triches : tu es déjà tout tendu.
- N’oublie pas c’est un exercice, une sorte de casting. Je ne suis pas en pierre. Tu es une nana super attirante, je bande, ça va de soi. Masturbe-moi un peu, je te fais la même chose. Ton petit con est tourné vers la caméra, j’y pose un doigt, je sépare les lèvres, le client se rince l’œil. Ma bouche descend ton cou, fait halte sur tes tétons, se dirige vers le nombril, poursuit sa route. Je me place entre tes jambes, je jette tes pieds sur mes épaules et je vais m’abreuver de cyprine: je lape, je tète, je mordille. Tu poses tes mains sur ma tête comme pour me repousser, mais tu m’appelles avec passion
- Baise-moi, prends-moi. Serge je n’en peux plus, allez, cesse de jouer, pénètre-moi. Tu vois, j’y arrive. On peut arrêter l’exercice, ne suis-je pas douée ?
- Tu rigoles, il ne s’est rien passé. Je veux bien arrêter, mais l’essai n’est pas concluant à ce stade.
- Bon, mais comme tu es un acteur inconnu, je vais me mettre à quatre pattes et tu me sauteras par derrière. Je ne verrai pas ton visage, tes émotions. Ce sera professionnel, il n’y aura pas de sentiments.
- D’accord, pour une première fois. Mais au studio, tu obéiras. Promis ?
- Promis. Le temps presse, je dois aller travailler.

Claude veut se la faire. Louise, la tête contre l’accoudoir, fesses en l’air, reins creusés, un genou sur les coussins, un jpied sur le sol, présente la cible de son vagin à la flèche tenue d’une main par le partenaire. Il se raffermit, vient au contact.
-Ça c’est le sommet du spectacle, le gland frôle la chatte. Une main prépare le chemin. Il ne faut rien précipiter. Tu sens mon nœud aller et venir de bas en haut, plusieurs fois. Je le mouille avec ton jus. J’appuie à peine, c’est une fausse introduction. Je fais ça plusieurs fois et toi tu exiges que j’entre, tu me supplies. Allez, parle, fais ton cinéma.
-Baise, baise-moi à fond. Claude, mon chéri, viens me donner la main, ce sera plus facile, donne-moi du courage

Ma présence à leur côté pourrait heureusement freiner les pulsions de Serge. Contrairement à mon attente, il tient à me montrer l’emprise qu’il a sur ma femme. Et moi, au moment de passer d’un plan à l’application pratique, je me sens sur le point de flancher, de tout stopper. Serge m’observe et réveille habilement mes soupçons.
- Louise je veux bien te posséder ici et maintenant, à la condition qu’en dehors du studio d’enregistrement tu ne couches qu’avec Claude. Je te fais passer ton examen d’entrée, mais tu dois fidélité à ton homme.

En quelques mots il me rappelle dans quel but je l’ai convoqué : pour la séparer de ses fréquentations habituelles indésirables et pour contrôler ses relations sexuelles avec un amant choisi et à mes ordres. Il reprend son rôle « d’essayeur »

- Prépare-toi, quand je pousserai, tu vas crier, faire croire que c’est trop brute. Il faut exciter le voyeur.
Je fais encore l’ascenseur, je chatouille ta pastille, je cherche la bonne position. Je compte jusqu’à trois, prête? Un… deux… trois

-Aïe, ouïe, ho, hé, ff, ff

Serge s’est enfoncé du premier coup jusqu’à la garde. Et moi, je tiens la main de Louise. Elle plonge ses yeux dans les miens. Sur son visage je lis la montée du plaisir. Si elle est prise sous le mâle, elle l’a bien voulu. Par paliers, elle s’est laissé envoûter. Serge, l’habile gredin a su lui faire accepter de se prêter à tous ses jeux et maintenant, le prétendu professionnel s’est solidement fiché en elle, immobile au fond du vagin rendu humide par les préliminaires toujours professionnels.

Louise a consenti à se masturber devant Serge jusqu’à l’orgasme, elle a permis le contact des doigts et de la bouche sur son corps. Il a touché les cuisses pour indiquer les emplacements à masser afin d‘éliminer la cellulite, il a du doigt compté les jours entre les jambes, il a soupesé la poitrine, en a éprouvé la fermeté, évalué la réaction aux doigts, aux lèvres et à la succion. IL a vanté la finesse de la taille et flatté des mains le rebondi des hanches. Il a pratiqué, après attouchement du sexe chahuté par ses doigts, la fellation, imitation studio disait-il. Il a cabré Louise et a ému ses sens. Sa pénétration complète a été savamment préparée. Le vagin inondé par l’accumulation des sensations s’est ouvert facilement pour accueillir l’envahisseur. Toujours planté à fond, il imprime à son bassin collé au fessier opulent, une rotation lente et appuyée. Louise obéissante a poussé le cri inscrit au programme du parfait professionnel. Mais les couinements suivants sont spontanés et reflètent le plaisir sexuel tout simple, procuré par la présence et les poussées de cette verge au plus chaud de sa féminité. Ma présence tue toute inhibition, elle se félicite de me faire plaisir en se livrant à Serge après tant d’années.
Le recruteur veut maintenir l’illusion:

- Tourne la tête à gauche, regarde le vase sur l’étagère, c’est la caméra qui nous filme. Ton spectateur veut lire sur tes traits l’expression de ton plaisir. Sois naturelle. Là je me retire doucement et soudain, arrivé en bout de course, à l’instant précis où mon gland semble te quitter à regret, je replonge en toi : on doit le savoir à la seule lueur de ton regard ou à la plainte de ta gorge. Tu me comprends. On recommence, vlan….je n’ai rien remarqué: sursaute, cambre-toi, gueule de douleur ou de joie, sois expressive. Allez, encore.

Cette fois, tout y est, le son, le regard, le mouvement de la croupe, la tête enfoncée avec les épaules dans l’accoudoir. C’est que le démonstrateur y va gaiement, en puissance, ne ménage pas son énergie
-C’est mieux, ma belle. On va enchaîner par une suite d’allers retours. Laisse-toi aller, comme si tu faisais vraiment l’amour.

Heureusement, si elle se demande à quoi elle se livre, Serge lui rappelle qu’elle fait semblant de faire l’amour: c’est un entraînement professionnel, mais ça doit paraître réel. Et moi, en face de sa figure je ne vois pas la différence entre un casting et un coït. Toujours soucieux de se présenter à la caméra, Serge s’est couché sur le dos de ma femme, peau à peau, légèrement plus à droite et attrape le sein droit, s’accroche à la monture et continue son mouvement d’entrée choc et de retrait freiné. Il touille vaillamment, fourre, bourre, assaille. C’est un recruteur consciencieux. Il se donne à fond pour convaincre, et la réponse satisfaite de la candidate récompense ses efforts.

- J’entends que tu apprécies. C’est bien. Tu ne dois pas t’épuiser au premier assaut. Souviens-toi, il faut créer l’illusion mais il faut surtout garder le cochon payant devant son moniteur le plus longtemps possible. Il faut durer. D’accord?
-C’est vrai. Mais Serge cet exercice me rappelle tellement de bons souvenirs d’autrefois. J’ai du mal à me retenir.
-Il va falloir t’y faire si tu veux l’emploi. Je vais accélérer, essaie de dominer tes réactions, grimace, mais ce n’est pas l’heure de t’envoyer en l’air. Parce que, parmi mes étalons j’en ai de bien montés, longs et de gros diamètre et si tu démarres au premier coup de manivelle tu ficheras la représentation en l’air. Tu me sens, oui, serre les dents, pense à autre chose. Fais comme si j‘étais Claude. Ou pense aux marins bretons pris dans une tempête.

C’est original dans cette position. Il parle, mais il bouge, la cadence des coups a augmenté, il glisse sa main droite sous le ventre de Louise et l’agite sur le clitoris comme un joueur de mandoline gratte ses cordes. Il transpire, se contracte et finit en s’extirpant vivement de l’antre en feu.
- Excuse-moi. A mon tour j’ai eu l’impression de revivre une scène du passé et j’ai failli te remplir de sperme. Or nous ne sommes pas là pour ça. Prenons quelques minutes de repos pour calmer l’excitation.
- On pourrait peut-être se contenter de cet exercice aujourd’hui.

J’interviens, Serge n’arrêterait plus
- Tu as raison Louise, pour une première fois cela me paraît réussi. Il faut te préparer pour ton travail.

Serge s’incline
- C’est comme vous voulez. Cependant on pourrait étudier l’une ou l’autre pose plus réclamée. Par exemple celle-ci. Je m’assieds, jambes rapprochées, tu te penches sur moi, tu me prends en main, tu remplis ta paume de mes bourses, tu les embrasses, tu remontes le long de mon pénis, tu lèches, oui, comme ça, mais pas trop fort, il faut durer. Tu me tailles une pipe. Le gland en premier puis tu m’embouches de plus en plus et si tu y parviens tu viens coller tes lèvres à mon pubis et … Bon arrête, tu m’excites trop. Restons professionnel.

Serge ignore nos remarques, il continue sur sa lancée
-Tourne-toi vers la caméra, recule, jambes écartées, place-toi au-dessus de mon pieu. Tu te penches en avant.

Louise est une apprentie attentive et appliquée. Elle souhaitait arrêter mais ne peut s’y résoudre. Elle me fait les yeux doux, me fait comprendre qu’elle dispose de quelques minutes. Elle saisit le membre avant d’en recevoir l’ordre et le présente à sa fente. De sa main libre, elle ouvre la vulve gourmande et descend prudemment au contact. Serge se soulève comme un ressort comprimé et se projette dans le canal. Il n’a pas besoin de commander le son, ma femme ne simule pas, frappée en plein cœur. Elle pousse des gémissements rauques annonciateurs d’un orgasme prochain. A ce train-là, ça ne va pas tarder. Son visage congestionné est couvert de sueur.

- Mets tes mains sur ton sexe, écarte au maximum, tire sur les babines, que les spectateurs se rincent l’œil; ils doivent voir tes chairs roses et mon pilon qui te défonce. Claude, est-ce que tu peux bien voir nos sexes unis ?
- Oui, pour la première fois je vois sa vulve envahie par un autre homme. C’est impressionnant. Ca me bouleverse.

Louise soudain se retourne
- Ça te déplaît ? Veux-tu que j’arrête ? Dis un mot et je me relève.
- L’essentiel est passé. Terminez ce que vous avez entrepris.

Serge n’en demande pas plus. Il relance :

- Stop, lève-toi, tourne-toi et empale-toi, dos tourné à la caméra. Creuse les reins, les spectateurs, comme Claude, doivent découvrir la rondelle de ton trou du cul et, en-dessous l’arrière rose et trempé de ta fente et mon machin coulissant. Pense à bien t’exposer, jambes au large, fesses décrivant d’amples montées. Tu as la pose, mouvement, c’est toi qui mènes le bal, fonce, ne te retiens plus, c’est le final. Allez, au galop. Souffle, sue, rougis, rue, force, vas-y. Oh ! Ce n’est pas vrai!

- Mais que fais-tu ? Tu m’as envoyé la purée. Ah ! Non. Ce n’est pas professionnel ça. Cochon, tu m’as remplie sans prévenir. C’est toujours comme ça sur votre plateau ?

-Non, rarement au contraire. Excuse-moi, cela a été plus fort que moi. Jusqu’alors, jamais je n’ai envoyé mon sperme dans une candidate. Toi, je n’ai jamais pu t’oublier. C’est une erreur de recruter des personnes dont on est amoureux.

Tiens, il est amoureux, il le proclame, elle n’aurait pas entendu. Elle pense à autre chose.

- Eh! Ne me dis pas que j’ai raté mon examen. Si tu ne sors pas tes contrats immédiatement je te tue. Installe-toi à la table, pendant que je vais faire un brin de toilette. Regarde, berk, ça dégouline à terre, j’en ai plein les babines et l’intérieur des cuisses. Et ça sort encore. Toi aussi tu en as besoin. Zut, je vais être en retard au boulot et la responsable va se fâcher.

Ils se dépêchent dans la salle de bain, vont se vêtir.
Je reste assis. Les choses vont plus loin que je croyais. Louise se donne à Serge et se sent capable d’affronter les autres acteurs de la troupe. Je suis débordé, pris à mon propre piège, incapable de revenir en arrière. Serge est mon mauvais choix.

-Serge, pour les contrats, peux-tu passer demain matin vers 8h 30 ?

- D’accord, et je te réserve une bonne surprise. Je t’embrasse, à demain. Veux-tu que je te dépose, ça ira plus vite et j’aurai plaisir à t’attendre ce soir à la sortie.

Sacrée journée. En deux heures je viens d’en apprendre plus sur ma compagne qu’en deux ou trois ans de vie commune. Par principe je voulais ignorer son passé. Et pourtant les racines de l’événement présent y sont profondément ancrées. Ce Serge est un ex, ils partagent émotions et souvenirs. La pudeur habituelle entre étrangers n’est pas une barrière pour eux. Louise est-elle aussi naïve que sa conduite le laisserait croire ? A-t-elle été dupe de la rouerie de Serge désireux d’arriver à la baiser, j’en doute. Elle a flairé un emploi de bon rapport, elle a utilisé ses charmes pour obtenir une place où elle compte s‘amuser en amusant les autres. Souhaite-t-elle vraiment gagner beaucoup d’argent pour l’achat de notre demeure, ou pense-t-elle joindre l’utile à l’agréable en faisant semblant de se soucier de mon opinion.


Elle va revenir du magasin. Je suis devant ma porte de garage, j’attends son retour. Une limousine pesante la dépose, elle fait la bise au conducteur, lui fait un signe de la main, lui dit: « à demain » et s’étonne de me trouver devant elle. Je joue au bourru.

-Tiens, tu te fais ramener, tu fais du lèche-museau et tu donnes rendez-vous à demain, devant moi. Ton examen de passage de cet après-midi ne t’a pas suffi ? Tu ne peux plus te passer de ce Serge ?

Se faire houspiller pour si peu, après la partie de cul de l’après-midi doit lui sembler dérisoire. Elle a l’air gêné mais me rappelle que j’ai donné mon assentiment et assisté à l’accouplement nécessité par son embauche

- Serge m’a emmenée au travail et vient de me ramener gentiment. Tu devrais t’inspirer de sa conduite
- Tu as trouvé mieux que moi? Dis-le et adieu !

- Le gros jaloux. Mais ce n’est pas vrai ! Que vas-tu imaginer ? Viens embrasse-moi, tu es mon unique amour. Tu le sais depuis longtemps. Te décideras-tu un jour à me demander ma main, si le mariage peut te rassurer.

- Ce n’est pas d’actualité. J’attends d’être dans mon appartement ou dans ma maison pour officialiser ma vie en couple. D’ailleurs, nous en sommes d’accord.

- Alors, réjouis-toi, je vais t’aider à réaliser plus vite ton rêve. Ce type me propose un travail passionnant Comme je suis disponible le jeudi, le vendredi et le samedi après-midi, j’ai pensé que je pourrais faire chaque semaine une vingtaine d’heures.
- Tu crois, c’est beaucoup. Est-ce que ça te plairait ?
- C’est comme une vocation, je me sens la fibre. C’est un vrai travail bien rémunéré, tu l’as entendu. Le seul inconvénient c’est l’heure tardive.

Elle ne veut pas voir les autres inconvénients. Je suis foutu.

As-tu changé d’avis parce que j’aurai des relations sexuelles professionnelles ? Si c’est le cas, dis-le. Je peux encore refuser cette offre alléchante si tu le souhaites

- Je sens mal cette proposition de Serge. Tu n’aurais pas plutôt envie d’aller voir des garçons, de t'envoyer en l'air avec des bites différentes de la mienne ? Peut-être es-tu lassée de moi. Ce type avec sa grosse voiture te plairait ? Tu as des démangeaisons quand tu le vois ?
- Ce n’est pas gentil. Je suis prête à me fatiguer pour te venir en aide, parce que j’ai hâte de t’épouser et tu m’accuses de vouloir te tromper : je ferai les gestes de l‘amour avec des acteurs qui ne seront pas mes amants. Réfléchis, je pourrais gagner presque deux cents euros par semaine, fois 48 semaines, cela ne ferait pas loin de 10000 euros par an, surtout si je prends du service certains dimanches ou jours de fête.
- Au détriment de ta santé. Tous les corps ne sont pas légers à porter, tu vas te casser le dos, te fragiliser les reins, peut-être attraper toutes sortes de maladies, tu vas connaître des situations nouvelles difficiles à supporter, tu devras te plier aux exigences les plus inattendues, car la nature humaine est inventive. Tu vas vivre des émotions trop fortes. C’est un investissement physique, sentimental très lourd. Tu risques de te lasser ou de succomber sous le poids des charges. Te faire défoncer de toutes les manières par des matraques te rendra insensible.

- Je suis jeune, pleine de fougue. J’ai de la vigueur à revendre, le changement ne me fait pas peur et je saurai me soumettre aux éventuelles exigences des demandeurs. Je crois être assez souple de caractère et capable de faire n’importe quoi pour satisfaire les petites fantaisies de gens malheureux qui regarderont notre site.

- Je ne peux pas m’empêcher de penser aux demandes perverses des internautes, aux fantaisies sexuelles de tes partenaires devant les caméras, aux ruses et exigences de cet ami Serge d‘apparence froide, mais à l‘appétit sexuel débordant comme tu l‘as constaté lorsqu‘il a éjaculé en toi. Notre couple survivra-t-il à cette activité ? A toi de peser les conséquences de ce travail particulier. Tu as vu, Serge n’a pas simulé un acte sexuel, les acteurs se ménageront-ils davantage quand ils pourront disposer de toi ?
- Je vais essayer. J’arrêterai si c’est trop difficile. Il serait dommage de rater cette occasion. J’ai connu Serge dans le passé. Je lui fais confiance. Tu as promis de ne pas être jaloux.

- Quelle force garderas-tu pour moi ? Je ne te verrai plus le soir, je me coucherai seul. C’est une perspective qui ne m’enchante pas. C’est l’annonce de la fin de notre vie de couple.

Je rame à contre-courant. J’essaie vainement de détricoter ce soir ce que j’ai malencontreusement tricoté le jour. Je supportais de voir Louise prendre un amant. Serge va y ajouter les acteurs et cela sort de mon projet. Mais Louise est mordue :

- Tu es vraiment pessimiste. Tu ne manqueras jamais d’amour et d’affection, je te le promets. Nous continuerons au même rythme, peut-être plus en début de semaine, un peu moins en fin. Laisse-moi au moins tenter l’aventure, si elle ne nous convient pas, j’arrêterai.

- Je ne suis pas pour, mais je ne compte pas m’opposer à ce fort désir de prendre en charge toute la misère des hommes. Quant à notre maison, au prix monstrueux que tu veux payer, je préfère y renoncer. Puisque tu y tiens tellement, fais à ta tête. Ne viens pas te plaindre de la difficulté, des horaires, des courbatures et de la fatigue.

- Tu es un amour. Viens toucher ta récompense. Je passe à la douche et je te rejoins au lit. Ca va être ta fête.

- Le sacrifice que tu t’imposes, est hors de proportion avec le but initial. L’idée des petits plaisirs escomptés et des grandes souffrances à venir m’afflige, me coupe envie et appétit sexuel. Il faut que je me réhabitue au célibat, puisque tu ne te coucheras plus en même temps que moi. Ca me déprime. Je ne tiendrai pas le coup. Il me faut une femme présente.

- Rabat-joie. Tant pis pour toi. Bonne nuit quand même. La nuit porte conseil, demain tu auras peut-être changé d’avis.

-Si tu décidais de continuer à être la femme dont j’ai besoin au lieu de te transformer en courant d’air ?

Sur ce désaccord nous nous couchons. Je suis trop contrarié par la tournure des événements pour avoir envie de faire l’amour à Louise. Comblée par Serge et repue elle n’insiste pas pour me récompenser de ma tolérance. Elle a goûté une queue nouvelle, elle a joui avec ce revenant sous mes yeux et en me tenant la main. L’expérience lui a plu. C’est de ma faute

Il faut croire que la journée d’hier a été éprouvante, la gymnastique sexuelle de Louise avec Serge l‘a fatiguée. Contrairement à l’habitude, mon lever n’a pas provoqué le réveil de Louise. Elle dort à poings fermés. Exceptionnellement je prends seul mon petit déjeuner. C’est le premier effet du passage de Serge. J’en prévois d’autres. Qui vivra verra. Je suis fataliste. Louise a mis le pied sur une planche savonnée. A vingt-cinq ans elle est responsable. Elle a constaté mon désaccord tardif, ma contrariété. Je lui ai parlé du prix « monstrueux » à payer. Elle n’a pas relevé le mot, elle voit la vie en rose.
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Histoire de Veilleur

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