Dogging partie 1

Toujours une journée bien longue avec le boulot, les petits soucis du quotidien. Ce soir là, nous n'avions pas envie de grand chose mais sûrement pas de s'étaler devant la télévision ! Même en milieu de semaine, avec ma femme, Laetitia, nous avions souvent la bougeotte, alors direction le restaurant.

Nous prîmes une douche et nous nous habillâmes comme si c'était un grand soir. Chic mais sobre, je portais un costume léger et une chemise fine. Nue devant la glace, Laetitia, se maquillait en conséquence : je remarquais son envie de se faire un look provoquant. Elle insistait sur les yeux et la bouche, accentuant son regard perçant et ses lèvres pulpeuses. Je percevais avec satisfaction, l'idée qu'elle se préparait comme une prostituée. Elle avait senti ma présence et fait fis d'être concentré. Elle cambrait ses hanches, montait sur la pointe des pieds, me livrant une vision gourmande de son cul. Finalement, la soirée allait sûrement être plus délectable que prévue !

Après un temps infini, elle sortie de la chambre : elle portait une mini jupe en jean brut et un top en soie à manches longues. Son haut noir couvrait ses épaules mais baillait amplement de son cou au milieu de son ventre ! De toute évidence elle ne portait pas de soutient gorge, ses seins pouvait être visible au moindre mouvement. A coup sûr, une main entreprenante y avait accès sans peine. Décidément, avec ses talons à lanières qui montait à mi-mollet et son air mutin, elle était très sexy, à la limite de la provocation.

Nous prîmes la voiture en direction du restaurant. Nous connaissions déjà l'établissement, sa cuisine appétissante et ses salles intimistes ; des alcôves de délice pour un dîner aux lumières tamisées.

Une serveuse nous présentât une table à l'extrémité d'une salle. Au calme. Il n'y avait personne autour de nous. Nous décidâmes de nous asseoir côte à côte sur la banquette au mur. Nous étions électrisé par cette promiscuité à l'abri des regards indiscrets. Laetitia prenait plaisir à jouer avec ses épaules pour approfondir son décolleté, j'apercevais à plusieurs reprises un téton.

Nous commandâmes une bouteille de champagne, alcool qui transcendait les appétits sexuels de ma femme. Déjà à la fin de l'apéritif, elle remontât sa jupe, écartât les jambes et dévoilât son secret : elle ne portait pas de culotte ! Elle avoua :
- "Habillée comme ça, tout mon corps t'appartient sans avoir à être nue .... profites en !"

Cette proposition indécente dans un lieu public enflamma mes sens, mon sexe prenait du volume, mes lèvres s'abandonnaient aux siennes. Mes mains se glissaient discrètement entre ses jambes, effleurant son clitoris, délivrant les premières humidités.

Nous étions véritablement émoustillés lorsque la serveuse amena les plats ; nous remarquions alors que trois jeunes hommes s'étaient installés à une table voisine. De toute évidence, ils devaient voir nos attouchements car ils lançaient d'intenses regards sur ma femme. Laetitia ne semblait pas gênée ; sa jupe était toujours relevée, avec habileté, sans y paraître, elle dévoilait maintenant la profondeur de son décolleté en direction des voyeurs.

L'alcool aidant, Laetitia lançait des coups d'oeils intenses et joueurs vers ses hommes. Je pris sa main, la dirigea vers mon sexe tendu sous le pantalon. Elle le caressa longuement avant de le sortir. Plus rien ne semblait la gêner, après un regards long , explicite vers les hommes, elle se pencha sur la banquette et me pris en bouche ! Les hommes à la table étaient médusés, ils hésitaient entre la gène, le nez dans leurs assiettes, et la vue de ma femme allant, venant, avec mon sexe palpitant dans sa gorge.
L'arrivée de la serveuse coupa court à ses préliminaires. Laetitia se releva brusquement et ajusta ses vêtements :
- "Désirez vous autre chose ? lança avec complicité la serveuse qui dû voir notre manège,"
- "Merci, l'addition."

Lentement, nous nous levâmes et passâmes devant la table des hommes, je tenais ma femme par la taille car elle était à demi saoule. Mais, je ne désirais pas en rester là :
- "Viens, allons nous promener dans le parc ... Régale moi avec tes talents d'allumeuse !"

La fin de la soirée dans une nouvelle histoire.