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Double masturbation

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Lue : 6014 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/01/2014

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Il me tanne avec son envie continuelle de faire l’amour. J’étais en train de lire une revue quand il vient se coller à moi par-dessus l’accoudoir du fauteuil. Il sort sa queue devant mon nez. Il bande pas mal, je ne résiste plus : je le prends dans la main, je le branle. Il aime ça. J’entame le va et vient de ma main. Il est tendu vers moi. Je ralentis la cadence pour faire durer son plaisir. J’aime voir son gland se couvrir, se découvrir grâce à ma main. Sa queue me plait chaque jour d’avantage.

Je le branle et moi, je ressens la boule dans le ventre : j’ai envie moi aussi de quelque chose.

Il est mal placé pour me masturber. Je relève ma jupe tout en haut, au-dessus de mon ventre. Je sens que je mouille. J’ai envie de jouir, comme lui. Mon autre main est libre. Je la mets sous la culotte. J’écarte les jambes assez pour aller mettre deux doigts dans la fente.

Je ne suis pas bien ainsi, je baisse comme je peux la culotte. Je remue comme si j’avais la danse de Saint Guy. Je vaincs le bout de chiffon. J’ai réussi avec moult efforts à le faire descendre à mes pieds. Un simple geste des jambes, j’en suis débarrassé. Ma chatte est à ma disposition.

Je masturbe mon mari, je vais en faire autant, surtout qu’il me regarde et j’aime me branler devant lui. La dernière fois que je l’ai fait, il me regardait et il m’aidait à sa façon : je me caressais la chatte, il me doigtait le cul.

Aujourd’hui il ne va rien me faire, sinon certainement jouir sur moi. Je regarde sa bite, son gland, toute sa queue, ses couilles gonflées ; en baissant un peu mes yeux, j’aperçois son petit trou. Tiens si je pouvais j’irais l’explorer : il aime bien quand je visite son cul.

J’ouvre encore plus les cuisses, mon sexe est entrouvert. Je pourrais y faire mille choses. Mes doigts glissent vers le clitoris. Je peux me branler, prendre mon plaisir mais sans lui. Il regarde ma main, celle qui le branle et l’autre celle qui me branle.

J’avance sur le fauteuil. Mes fesses dépassent, je me sens mieux ainsi pour mon plaisir.

Je ferme les yeux, je me vois la première fois quand j’osais me toucher devant lui, qu’il en faisait autant avec sa queue. Il me tardait qu’il décharge son sperme. Je premier jet me semblais faiblard. Pas les autres qui giclaient loin de sa queue, presque sur ma robe. C’était beau de voir un homme se branler comme lui.

C’est toujours aussi beau, mais là c’est moi qui tiens sa bite. Je suis celle qui peut ou non le faire jouir, lui donner un orgasme. Et en plus c’est moi qui vais m’envoyer en l’air seule quand il aura jouit.

J’ai arrêté deux minutes pour reposer ma main. Sa bite a des mouvements incontrôlés, et il ne s’il ne s’impatiente pas, il attend comme un grand garçon qu’il est. J’aime bien la voir bouger seule, le gland qui sort de sa gaine comme pour m’appeler.

Son pantalon tombe doucement, il glisse sur ses cuisses pourtant un peu écartées.

Ma main s’agite sur moi, le clitoris plie un peu sous mes frôlements. Je me fais du bien, c’est bon, agréable, jouissif. Que j’aime me masturber surtout devant lui qui inspire mes plaisirs.

Son odeur de pine descend vers mon nez, c’est agréable, j’aime son odeur, comme j’aime son gout d’homme qui a envie de jouir. Je suis obligée de me gouter aussi, mes doigts viennent dans ma bouche, je les lèches longuement pour tout avoir. Je comprends qu’il aime me sucer le con, qu’il aime mon jus, comme j’aime le sien. Il est plus salé que moi. J’ai dit-il un peu gout à un coquillage : il a raison.

Le clitoris me renvoi son plaisir ; il monte de plus en plus. Que c’est bon de se branler. Que c’est bon de le branler lui avec sa belle pine. S’il avait voulu, il aurait pu me baiser, il voulait être branlé à midi.

J’imagine qu’il est en moi, pas devant, dans mon cul. Il entre le salaud, il écarte mon anus : c’est bon, j’aime qu’il me sodomise, j’aimais la sodomie, même avant même de le connaitre. Mais la sienne est supérieure, elle est peut-être plus grosse, mais quelle me fait du bien dans le ventre derrière. Je me demande comment il peut aimer cet endroit. Mais il a raison de me la mettre derrière, j’adore.

Mes doigts en profitent pour me caresser. Je caresse deux sexes la fois, le sien et le mien.

Je sens sa bite gonfler un peu : je sais : il va jouir. Moi aussi je sens monter cette sensation extraordinaire dans le ventre :

NOUS JOUISSONS.
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Histoire de fabrissa

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