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Dans mon jardin

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Lue : 5363 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 30/01/2014

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J’habite dans un village de 180 habitants, pas loin de la ville principale : je suis la seule fille de mon âge, sans garçon autour. Sur place, je n’ai que peu de moyens de distraction, sauf des fois des copains et copines qui viennent passer un moment. Quand je n’ai pas court en fac je vais souvent au jardin entouré d’une forte haie qui l’isole totalement, du monde , à quelques 200 mètres du village. Depuis plusieurs mois j’ai un gode, un de ces machin évolués que j’ai acheté dans un sex-shop en ville.

Je le mets au fond du panier avant de partir, sous un vieux journal. Il revient dans les mêmes conditions. Si mon père savait, il m’engueulerait quand à ma mère je crois bien qu’en sourdine elle me donnerait raison : je crois qu’elle n’est pas toujours satisfaite des baises ou enculades paternelles.

Quand j’arrive au jardin, l’été surtout, je suis vite nue. Je me régale de bricoler, de biner, d’arroser en tenue d’Eve. J’aime sentir mes seins tressauter quand je remue. Pour avoir la paix, je vais l’isoler dans la cabane, près de la pompe. S’il fait très chaud, je tire un peu d’eau fraîche, j’en prends dans mes paumes pour en répandre sur moi, sur mes seins en particulier : cette sensation de fraîcheur, voir des gouttes sur mes pointes m’excite toujours. Des fois, souvent même ma fourrure retient un peu d’eau. Je l’enlève avec d’une pichenette. Des fois trop fort, je m’excite seule. Je me sens mouillée, ma tentation est forte, je ne sais pas résister à ce genres d’invitations diaboliques. Je « m’oblige » à passer un doigt entre les lèvres : c’est vrai je suis mouillée, trop mouillée, trop humide, il faut que je répare.

Je m’assois sur le banc, passe bien l’index droit sur mes lèvres, j’y ajoute vite le majeur. Mes doigts seuls me soulagent. Je caresse doucement, lentement le clitoris, qui est toujours près, comme les scouts. J’aime bien me toucher là. C’est toujours agréable, doux, ça n’apporte que des biens faits. Je vais de plus en plus vite, sans que j’en sois consciente. Mes jambes s‘allongent mes seins durcissent, mon ventre se creuse doucement au fur et à mesure que le plaisir s’accroit. Je sens monter lentement ce que j’attends. Ça commence vers le pubis, puis vers l’anus avant de monter par la colonne vertébrale jusqu’au cerveau : je m’envole à cet instant précis, mes yeux fermée, mes dents serrées.
• Je jouis *

Après un petit moment de récupération je sors de cette sorte de syncope pour retrouver le monde réel. Je dois ramasser des légumes, désherber, arroser encore. Je reprends ma tournée, toujours nue. Si je pouvais je ne vivrais qu’ainsi, nue, toujours, partout nue. Le monde serait plus gai, plus aimable. Je rêve en faisant ma tâche.

L’heure tourne. Avant de remplir mon panier, je sors le gode, mon cher amant. Un coup sous la pompe pour le nettoyer un peu, un peu dans la bouche pour le réchauffer. Quand il est dans ma bouche je pense à ce que je vais faire avec lui, je lui parle, comme une demeurée.

Retour sur le banc. Je suis assise pour commencer, je me le mets d’abord dans le vagin lentement comme si c’était ma première fois, celle qui remonte à …je ne sais quand. Pour me punir je le rentre tout au fond. Je sursaute toujours de cette intrusion volontaire. Ah, si ce pouvait être une vraie bite comme j’en rêve

Je commence à me baiser seule dans le jardin. Personne ne peut me voir sinon qu’elle histoire au village : la fille machin se masturbe au jardin au lieu de cueillir ces légumes, c’est une fille des rues, une putain, il ne faut pas la laisser seule avec un garçon, certains ajouteraient même avec une fille.

Forte de mon isolement je change de positon : je suis mieux sur le dos toujours sur le banc. Je pose ma jambe gauche sur le dossier. Ma main droite est enfin libre de recommence sa baise. Je fais aller et venir le sexe dans le mien. Je soupire de bien être, de plaisir, d’envie d’en avoir encore plus. Je vais à toute allure. Je dois battre le record de vitesse de la catégorie. Je sens les premières contractions juste une quart de seconde avant. Je jouis en enlevant le gode que je suce comme une vrai queue. Je récupère mon jus précieux. Il est un peu salé, il sent même un peu l’urine : j’ai dû faire pipi en jouissant, ça m’arrive parfois.

Je suis loin d’être entièrement satisfaite. J’ai un bon gode, je l’ai payé assez cher pour ma bourse. J’en veux l’usage maximum : je me raconte des histoires pour justifier la suite.

Je suis à genoux sur le banc, le dos face au vide. Mes mains caressent les fesses. Elles écartent la raie. Je sens l’air frais contre ma pastille. C’est là où je veux aller, je veux m’enculer seule. Je passe le gode dans ma bouche, je le mouille, ou je crois le mouiller, Je le passe dans ma raie frémissante. Je le descends doucement vers l’anus. Je suis très lente. Quand je suis tout prêt, le fais comme si j’hésitais à me sodomiser, alors que j’adore me faire ce genre de déviance. Je le redresse, j’entrouvre mon cul. Je pose le bout sur la pastille, j’entre doucement. Je dois mettre bien minutes à m‘enculer seule dans mon coin sur mon banc. Quel plaisir d’avoir mon cul occupé par une chose étrangère, surtout quand je le manœuvre en longs va-et-vient. Je suis pliée en deux, les fesses bien offerte au gode et la main gauche qui cherche le clitoris, encore lui. Je me fais jouir des deux cotés à la fois : une forme de paradis.

Je sors le gode après jouissance, quand mon cul a fini ses spasmes. Je le retire, je m’assois normalement sur le banc, je pousse un grand soupir de soulagement : j’ai joui des deux côtés. Hélas, je dois remettre le gode au fond du panier, mettre les légumes par-dessus et dommage ma robe. Guillerette, je reviens à la maison. Je récupère mon gode : ce soir j’en aurais un besoin important dans le lit : promis je ne m’enculerais pas.
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Histoire de fabrissa

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