ACCUEIL > En groupe > Récit : Double pénétration

Double pénétration

+11

Lue : 3909 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/11/2013

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

- Reste comme ça.

Elle parle seule accoudée à son balcon. Elle continue un bon moment :
- Ne pars pas, reste avec ta tête en dessous.
- Oui, lèche-moi encore.
- Encore une dernière fois.
- Merci de m’avoir tant fait jouir.

J’entends tout ce que dit cette fille, je suis assis sur un banc, juste en dessous. Je me pose la question de savoir à qui elle parlait. Je sais qu’elle a un petit ami, un beau et costaud gars de 25 ans. Je le connais bien, je sais qu’il lui fait l‘amour souvent, mais certainement pas dans ces conditions.

En plus je connais cette nana pour l’avoir un peu baisée il y a peu : c’est un fer rouge tellement elle se consacre à ce qu’elle fait en baisant. Elle me donne encore envie d’elle. Mais mon copain qu’en dirait-il ? Nous nous connaissons assez, je peux lui poser la question, sans passer par la fille qui acceptera de toute façon.

Reste à savoir qui la suçait en se cachant ? Un garçon, une fille, les deux ? Avec elle tout est possible classée comme elle est dans le haut du top ten des meilleurs baiseuses de la ville. Jacques, le copain arrive à lui tirer les vers du nez : Hélène se faisait tirer par une cousine.

Pourquoi une fille, pourquoi pas moi ou mon copain ou les deux à la fois. Voilà de quoi la faire réagir quand on lui proposera de venir entre nous deux. Ce ne serait pas la première ni la dernière à gouter à nos bites.

C’est dit, nous nous retrouverons samedi soir après 22 heures chez Jacques. Je n’ai aucun détail sur les promesses que lui a faites mon ami. Pas de l’argent, peut-être un coup à boire ? Ou simplement la promesse d’une bonne baise ?

Le soir dit, je me trouve avec Jacques. Tiens la file a du retard. C’est un peu dans ses habitudes. En attendant nous éclusons deux verres d’armagnac. Elle arrive, pimpante, guillerette, charmante, gracieuse, affable. Gentille en un mot. Elle nous donne un baiser sur les joues à chacun. Elle est douce. En plus elle sait bien pourquoi elle est là avec deux hommes qui lui veulent du bien. D’office, elle prend une place sur un fauteuil en face de nous. Nous sommes silencieux : comment engager une conversation sur notre intention, sur la sienne, sur l’amour en général, sur la baise en particulier, sur ses gouts ou les nôtres.

Elle fait tomber son jean, son chandail, sans qu’on le lui demande. Elle nous parle dans sa nudité, elle nous demande de venir nus nous aussi près d’elle. Nous avons encore les bites peu développées, elles divaguent dans tous les sens. Elle les prend dans les mains, pas une, les deux à la fois. Elle nous masse en cadence. Bien que nous nous développons. Bien sûr nous bandons. C’est bien ce qu’elle voulait, non ? Elle s’approche du bord du siège, garde dans ses mains nos deux sexes. Elle fait ressortir les glands, elle les lèche comme un timbre. Et elle masse les deux paires de couilles.

Nous nous laissons faire. Pour jacques je ne sais pas, pour moi par plaisir immédiat. Elle nous réunit dans une seule main. C’est bien la première fois que j’ai une autre bite contre la mienne. Elle ouvre la bouche. Je pariais qu’elle ne pourra pas nous sucer à la fois. Bingo, seul Jacques est bien sucé. J’attends tout près, j’attends comme devant la caisse d’un super marché. Elle libère la queue de Jacques pour prendre la mienne. C’est agréable, bienfaisant, serviable. Elle ne perd rien pendant qu’elle nous lèche, nous lui faisons subir les derniers outrages à ses seins, ses tétons, ses cuisses. Elle est tellement malmenée qu’il demande la suite. Elle nous spécifie bien que ce qu’elle va faire est pour que nous la voyons sans intervenir. Elle pose les cuisses écartées sur les accoudoirs, une main se pose sur une chatte gourmande. Elle lui donne sa ration de caresses. Elle passe sa main doucement sur le moindre détail de son con. Elle garde deux doigts sur son bouton, d’or. Elle la tripose un moment avant de passer aux choses sérieuses : elle se masturbe devant nous. Quand elle penche sa tête en arrière, qu’elle pousse un petit cri, nous savons qu’elle vient de prendre son pied.

Elle se lève, elle est à nous. Elle choisit son premier amant sur un coup de dé. C’est moi qui vais étrenner son corps. Elle se penche devant moi pour m’embrasser sur la bouche, me lécher les lèvres, entrer sa langue à la rencontre de la mienne. Elle est douce quand elle joue dans ma bouche, qu’elle la fouille. A côté de moi Jacques se touche la bite, il commence sa masturbation légère, à ce rythme il en a pour une bonne heure.

Elle vient sur mes genoux, caresse ma queue. Sa main est la meilleure de la ville.

Elle me fait coucher sur le divan : Jacques est obligé d’aller sur le fauteuil : il assistera au live show. Elle se couche sur moi. Je sens tout son corps, ses seins durs contre ma poitrine. Sa main passe sur mon ventre, elle cherche ma queue. C’est facile à trouver. Elle se relève un peu, pose la bite sur son entrée particulière. Et vlan, je suis en elle : elle est mouillée, chaude, douce, exquise. J’y suis un peu serré à mon grand étonnement. Je la laisse bouger sur moi, elle me fait entrer et presque sortir.

Un poids différent sur moi, Jacques est venu sur elle. Il ne pourrait pas être plus circonspect, paisible ? Il passe ses jambes entre les miennes et celle de notre commune amante. Je le sens forcer un peu : il doit se loger dans le petit trou. Il y entre : je sens sa queue contre la mienne. Finalement si la fille prend du plaisir avec deux que, je pourrais dire pareil avec la queue de Jacques qui cherche la mienne à travers une fine cloison.

Nos mouvements ne sont pas confus, ils s’accordent dans le ventre de notre amante. Il faut reconnaître que c’est peut être amoral, mais tellement agréable d’être deux en elle. Et puis, l’un et l’autre la limons en commun. Qu’elle gémisse sans cesse montre au moins qu’elle prend son pied. Je ne sais pour Jacques, moi je sens deux ou trois spasmes quand elle jouit. C’est bon de faire jouir une femme, même à deux, surtout à deux. Nous ne bougeons pas, c’est elle qui mène son train qui jouit et nous fait jouir. Je jouis tellement que je sors du con pour me perdre sur les couilles de mon ami, qui ne m’en veut pas.
11 vote(s)


Histoire de baiserjouir

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Double pénétration


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :