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Du répit pour des aidants: Phil 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 12/11/2024

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DU REPIT POUR DES AIDANTS (2)
PHIL
partie 1
Je n'en pouvais plus. Avoir un parent à charge, très malade, et le gérer 24 heures sur 24...Avec la chance malgré tout qui est la mienne que je travaille à la maison...Il y a un moment où on est totalement usé. Et puis j'ai assisté à ce forum sur les aidants, forum qui regroupait plusieurs associations et j'ai compris que je pouvais avoir un moment de répit. J'ai contacté l'une d'entre elles, rempli pas mal de papiers, pour arriver au final à un résultat qui me satisfait autant qu'il me soulage. A 11 heures du matin, quelqu'un vient me remplacer jusqu'à 14 heures...Trois heures de liberté dont je profite pour sortir, aller me promener, faire des papiers...Jamais le terme de répit n'a jamais eu autant de sens.
A pied, j'ai redécouvert le ville. Des quartiers que je connaissais pas, dont celui de la Croix Verte. Un quartier paisible, des maisons, des commerces, avec des placettes.
Et ce restaurant. Je m'y suis arrêté pour manger un jour. Et je peux dire que depuis, tout a tourné autour de lui.
Dans ce quartier, il y avait des bâtisses cossues, et c'était le cas de cet hôtel-restaurant. Trois étages, quelque chose de trapu, avec des murs épais, des poutres apparentes. Une impression de solidité, de classicisme aussi, On sentait ici le poids des siècles. On voyait, encore présentes, les générations qui étaient passées en ces lieux.
Je n'oublierai pas ce premier moment. Pas plus que les autres. Midi moins dix. J'ai poussé la porte. Il n'y avait pas de sonnette. Une première salle, qui tenait du bar, avec un comptoir. Une autre à côté, plus cossue.
Je ne voyais rien. Et je n'entendais personne. J'ai avancé vers le comptoir. C'est à ce moment-là que j'ai enfin entendu, pour la première fois, une voix qui m'est devenue familière par la suite.
— Continue...C'est bon comme ça...Hyper bon...Tu es très8 habile avec ta bouche...Je ne me lasserai jamais de tes caresses...Tu pourrais me prendre dans ta bouche dix fois par jour, ça ne serait pas assez.
Et un petit rire, cristallin, enfantin.
Entre la salle et l'arrière-salle il y avait une porte ouverte, aux trois-quarts, avec un miroir. J'apercevais quelqu'un d'accroupi, une petite silhouette, fine.
Je me suis décalé sur la gauche, et j'ai tout vu.
Lui, un type d'une quarantaine d'années, grand, mince, et la queue sortie du pantalon, en pleine érection. Une belle queue, longue et charnue. Agenouillée devant lui, une fille dont je ne voyais pas le visage, caché par des cheveux bruns, silhouette menue, qui lui faisait une fellation. Elle tournait sur la queue, alternant caresses avec sa langue et sa bouche, et on comprenait bien qu'elle avait une réelle expertise en la matière. Le gars montait dans l'échelle de gradation du plaisir.
La brune a resserré sa bouche autour de sa queue, en engouffrant un tiers à peu près. Tout s'est passé au creux de cette bouche. Je n'avais qu'à imaginer, sans vraiment savoir. J'ai d'abord pensé qu'elle le caressait avec sa langue, frottant sa chair. Elle a amené deux doigts le long de sa tige et elle a frotté le reste de la queue, qui était dehors. L'homme s'est tordu, et j'ai compris qu'il jouissait dans sa bouche. Elle l'a gardée obstinément fermée le temps qu'il se vide en elle, ne laissant pas filer à l'extérieur une goutte, un filament de sperme. Elle l'a gardée encore, pour laper les ultimes restes de semence, avant de libérer une queue qui n'avait même pas débandée, mais ils s'en sont tenus là. La fille s'est éclipsée, sans que je voie son visage pendant que lui, il venait dans la salle.
— Je voudrais manger à midi, c'est possible?
Il n'a pas semblé conscient que j'avais pu voir quelque chose...Ou alors il le cachait bien.
— Pas de problème...Je vous mets dans l'autre salle, elle est plus confortable.
Il s'est passé deux minutes avant que n'apparaisse une jeune femme dans la salle. J'avais pensé que c'était lui qui me servirait. La même fille qui dix minutes plus tôt suçait savamment le patron ? J'ai pensé que oui. Une silhouette fine, elle n'était pas très grande...
J'ai pris sa sensualité de plein fouet, le ventre plein de désir, le sexe tout dur. Un joli minois, souriant, celui d'une jeune asiate. Une crinière brune, des cheveux longs et soyeux, qui capturaient la lumière...Pas très grande, souple, avec des formes menues, mais bien marquées...Elle portait une robe noire, courte, qui s’arrêtait très haut, dévoilant des jambes fines mais bien galbées, gainées par le nylon de bas stay-up, dont l'accroche était clairement visible, et une paire de cuissardes à talons aiguille.
Quand on regarde les filles, il y en a qui vous laissent indifférent, d'autres que vous trouvez belles, très belles même, et au-delà, celles qui vous inspirent du désir, et dont vous sentez que le sexe ne leur fait pas peur. Quand vous les voyez, vous les imaginez sans mal dans des positions, des actes...
Exactement ce que je pensais en la voyant. Je l'imaginais...De mille manières...Je la voyais avec un sexe d'homme dans la bouche, dans le vagin, dans l'anus, je la voyais dans des positions, je la voyais aussi avec plusieurs hommes la prenant en même temps...C'est fou comme on peut fantasmer.
Elle m'a tendu le menu, avant d'ajouter :
— Toi pouvoir avoir menu du jour...Salade de gésier et en dessert gâteau au chocolat.
— On va partir là-dessus, j'ai dit.
Elle était juste à côté de moi, enveloppée par un parfum d'orchidée. Toute proche, si proche que j'aurais pu mettre mes mains sur elle...Comme j'en avais envie. Elle m'a dit:
— Toi bander!
Et effectivement, il était difficile de ne pas voir, même si je ne m'en suis rendu compte que trop tard, que j'avais une érection. Elle était hyper-désirable, difficile de ne pas réagir. Et la scène surprise en arrivant m'avait aussi bien émoustillé.
Est-ce que ça a été le réflexe de quelqu'un qui aime et qui est habitué au sexe ? C'est ce que j'ai pensé. Elle a tendu la main vers mon pantalon, a enserré doucement ma queue, et m'a masturbé doucement, faisant aller et venir autour de ma queue une main chaude et douce, même à travers le tissu. Elle a retiré sa main, avant de me proposer:
— Moi pas avoir de culotte...Toi vouloir voir?
Elle n'a pas attendu ma réponse. C'était le genre de fille qui offrait son corps depuis sans doute très longtemps, et en jouait, pour susciter le désir des hommes.
Elle a reculé un peu, s'est campée devant moi. Et elle a soulevé sa robe. Il n'y avait pas besoin de beaucoup, quelques centimètres seulement, il est vrai. Elle n'avait effectivement pas de culotte. J'ai aperçu un sexe ouvert, deux lèvres qui s'étendaient autour d'une muqueuse visible, bistre, et un enroulement de quelques poils, plus haut, sur son pubis. Elle s'est retournée pour me présenter son côté pile, un derrière rond, ferme. Elle a posé ses paumes dessus, a appuyé pour s'ouvrir, me révélant les plissements de son anus. Se retournant, elle a glissé deux doigts dans son sexe, et m'a laissé voir, en s'ouvrant, sa muqueuse, en largeur comme en profondeur. Ca n'a duré que quelques secondes, mais bien sûr laissé une empreinte marquante sur moi.
Elle est revenue cinq minutes après avec une salade copieuse. Faite par le patron. Il cuisinait bien.
Je suis resté seul dans la salle. Elle a refait son apparition.
— Moi amener toi dessert. Toi avoir droit à supplément.
Je me demandais quel était le supplément. Elle a posé le gâteau au chocolat, avec un coulis de vanille dessus devant moi. Le supplément c'était le coulis de vanille? Il fallait croire que non, car, elle est revenu cinq minutes plus tard, a sorti ma queue de mon pantalon avec des mains habiles, et m'a mis à nu. Je n'avais pas vraiment débandé, et j'ai retrouvé une entière prestance quand elle m'a mis à l'air libre. Elle a esquissé quelques caresses, souples et habiles, avant de se pencher sur moi et de me caresser de sa langue.
— Toi belle queue, bien longue et bien dure, elle m'a dit au bout d'un moment.
— Et toi tu caresses bien, je lui ai dit, en plein trip.
— Moi aimer beaucoup sexe.
J'étais hyper-dilaté. Là où j'ai vraiment vu qu'elle aimait le sexe, et qu'elle avait beaucoup d'expérience, c'est quand, au lieu de me finir avec sa bouche, elle m'a amené sur sa cuissarde. Je me suis demandé à cet instant si elle n'avait pas été une professionnelle. L'idée même de me frotter contre le cuir, son lisse glacé après la chaleur de sa bouche... Je ne suis pas arrivé à tenir très longtemps. J'ai libéré des jets de semence qui n'en finissaient pas. Elle a ri, heureuse, et, ramassé les traits blancs et crémeux du bout de ses doigts pour les engloutir.
Je ne m'attendais pas à un moment pareil. Un peu groggy, je me suis redressé.
J'ai eu un réflexe que j'ai regretté par la suite. J'avais pris du liquide à un distributeur en venant. J'ai tiré de mon portefeuille un billet de 50 que je lui ai tendu. Son regard a immédiatement flamboyé de colère.
— Moi pas vouloir ton argent...Moi pas pute...Moi aimer sexe et faire ça pour le plaisir.
Elle m'a tourné le dos et s'est éloignée, les talons aiguille de ses cuissardes tapant sur le sol.
J'ai gagné le comptoir. Le patron était là, qui servait un alcool anisé à un client. Il m'a souri. Il était, et a toujours été, chaleureux et avenant.
— Vous avez bien mangé?
— Je reviendrai.
Il m'a tendu l'addition.
— Vous avez fait connaissance de May? Elle est thaïlandaise.
J'en savais enfin un peu plus.
— Je pars régulièrement en Thaïlande. Là-bas, c'est une autre vie. On n'a pas besoin de beaucoup d'argent, les gens sont tolérants...Il y a des filles magnifiques...Comme May...Elle voulait venir en Europe pour voir comment c'était. Je lui ai proposé de m'accompagner.
— Elle se plaît ici ?
— Elle découvre un autre monde. Je ne sais pas si elle a envie de rester. Moi je suivrais plutôt le chemin inverse. Cet hôtel-restaurant, il est dans la famille depuis trois générations. Et pourtant, j'ai envie de le vendre et de partir là-bas pour l'éternité.
Je suis revenu chez moi, reprenant ma place auprès de mon père. Avec dans la tête, tout l'après-midi et en soirée, comme merveilleux dérivatif, de penser à May...May sexy, sensuelle, May faite pour le sexe, quelque chose de simple et naturel pour elle, May qui m'avait caressé...Ma vie amoureuse et sexuelle, ces derniers temps, était réduite à néant. Difficile de ne pas repenser à ses caresses.
Pourtant, dans un premier temps, bénéficiant de ce qui était calé dans mon contrat, de cette pause entre midi et deux, je ne suis pas retourné immédiatement au restaurant. J'avais envie d'y retourner, mais en même temps j'avais été terriblement troublé. C'était un peu comme pour des prisonniers de guerre qui n'avaient rien eu à manger pendant des mois, squelettiques, et qui se retrouvaient devant des montagnes de nourriture. L'envie de tout manger, tout en sachant que ce n'était pas bon pour eux et quand même le réflexe de ne pas le faire.
May m'attirait énormément et j'imaginais des moments de sexe avec elle. Elle correspondait pour moi, et ce n'était pas forcément une bonne chose, au cliché de l'Asiate toujours agréable, prête à s'offrir sans jamais refuser...
Le vendredi, j'ai repris le chemin du restaurant. Dans ma tête, il y avait eu pas mal de réflexion, de tergiversation...J'avais finalement tout balayé...J'avais envie de retourner dans ce lieu que je trouvais agréable, pour un repas agréable, et pour revoir May.
Elle était bien là, fidèle au poste. Elle avait été en colère, la fois précédente, mais c'était apparemment oublié. Le patron n'était pas là, il n'y avait encore personne, et elle a surgi de l'arrière-boutique quand elle a senti ma présence. Elle m'a fait un grand sourire. Irrésistible. Ce jour-là, elle portait un caleçon très moulant, qui soulignait son anatomie dans les moindres détails, des bottes rouges et hautes, jusqu'au genou, sans que ce soient des cuissardes, et un débardeur qui tenait avec de fines bretelles, du satin noir, tendu, même si elle n'avait pas des seins énormes, par ses seins, et contre lequel se dessinaient des tétons parfaitement visibles.
Un immense sourire, puis un petit rire...Elle a baissé le caleçon, sous lequel, sans surprise, elle n'avait pas de slip...
— Petite chatte toujours pour toi.
Cette fois, il y avait plus de clients dans la plus grande salle, mais ça ne lui a pas posé problème. En m'apportant mon plat, j'avais pris un steak-frites aujourd'hui, elle a massé ma queue dans mon pantalon, comme elle l'avait fait la première fois. Je m'étais placé différemment, dos au mur, face à la salle...Il y avait trois couples, qui discutaient, personne n'a rien remarqué. J'avais déjà constaté que les gens, de manière générale, n'étaient pas attentifs à ce qui se passait autour d'eux.
Ca a été quand tout le monde est parti, elle m'a servi mon dessert en dernier à dessein, c'est du moins ce que j'ai pensé, un banana split, que s'est mis en place un moment de plaisir. Je ne comptais pas forcément dessus.
Elle est arrivée dans le salle, en tenant quelque chose à la main. Je pensais que c'était l'addition, c'était un préservatif encore emballé. La fluidité de ses mouvements, sa rapidité aussi, m'ont laissé penser qu'elle était vraiment accoutumée à l'acte sexuel, sans que je puisse en tirer des conclusions, quelles qu'elles soient. Elle a déchiré l'emballage, La rondelle de plastique luisante de lubrifiant est apparue dans sa main gauche. Elle m'a fait défait de sa main droite. J'étais déjà dans une belle érection. J'avais eu le temps d'avoir envie d'elle entre le lundi et le vendredi. Elle s'est penchée sur moi et a baladé sa langue sur mon gland. Du liquide s'est mis à couler, abondant. Elle a fait glisser le préservatif sur moi,
Elle est venue se positionner au-dessus de moi, en me présentant son dos. Elle s'est laissée descendre sur moi. Je l'ai attrapée par les hanches. Elle, elle a attrapé ma queue, et elle l'a guidée vers ma vulve. Ma queue est parfaitement rentrée, Elle m'a pris en elle, m'a niché en elle, en me donnant sa chaleur et cette sensation que j'avais oubliée, à force de solitude, d'être enveloppé, pris, caressé par un sexe de femme.
C'était bon...Je me suis dit que j'aurais du revenir plus tôt. Mais il fallait d'abord que je règle des choses avec moi-même.
Elle a bougé sur moi dans un mouvement fluide qu'elle a fait varier au fil des minutes. Plus rapide ou plus lente. Je me suis posé un instant la question de savoir si elle prenait aussi du plaisir ou si elle agissait juste avec son talent, son savoir-faire, pour me donner à moi du plaisir, prenant paradoxalement du plaisir à m'en donner, mais ses ruissellements, bien réels, valaient sans doute pour partie de la réponse.
Sa sexualité était bien évidemment bien loin de la mienne, bien au-delà en termes d'habitude, d'expertise...Je m'en suis rendu compte dans les minutes qui ont suivi.
Le point de départ, ça a été cette sensation que je n'ai même pas vraiment sentie sur le moment, qui s'est imposée plus tard, et que j'ai comprise encore plus tard. En fait, très clairement, elle a resserré ses muscles vaginaux autour de ma queue, l'étreignant dans une caresse serrée, caresse qui a été réellement marquée quand, avec une souplesse que je n'avais pas, redressant ses jambes, elle a tourné sur elle-même, pour se retrouver face à moi. Là, elle a laissé ses jambes pendre au lieu de bouger sur moi, me masturbant d'une manière que je n'avais même pas imaginée, jamais imaginée...Elle a a serré et desserré les muscles de son sexe autour du mien. Une caresse inédite, très forte, intensément excitante. J'aurais du jouir immédiatement, et cent fois, mais, au lieu de cela, quelque chose s'est figé en moi, qui m'a donné la chance de profiter de cette caresse. Un état transitoire, hypnotique, qui me faisait redécouvrir le plaisir, moi qui en étais privé depuis des années. J'ai senti aussi que je grossissais dans son ventre, et je crois bien que je n'avais jamais été aussi gros. J'en ai d'ailleurs eu la preuve quand elle s'est soulevé pour me sortir d'elle. Elle s'est penchée sur moi, m'a pris dans sa bouche, enserré, et elle est venue frotter mon gland, glisser dans mon méat. J'ai eu l'impression de libérer dix litres de sperme dans sa bouche soigneusement fermée. Mes traits de semence ont glissé dans son gosier. Elle s'est redressée, a ouvert sa bouche pour me montrer qu'il n'y avait pas le moindre trait de semence dedans.
J'ai été tenté encore une fois de lui donner de l'argent, mais je m'en suis abstenu. Je ne voulais pas la froisser. Il fallait penser qu'elle aimait simplement le sexe, que ça faisait partie de son mode de vie. Pas besoin d'être thailandaise pour cela. J'avais le souvenir d'une copine, au lycée qui adorait le sexe, et qui avait masturbé et fait des fellations à pas mal de mecs, et léché le minou de nombreuses filles, dont sa copine préférée. Le regard posé sur la sexualité par ceux qui ne le pratiquaient pas et étaient frustrés et/ou conditionnés par la société et leur famille était souvent très dur. Ce n'était pas mon cas.
— Si toi vouloir venir dans après-midi, possible, après quinze heures et chambres nettoyées, plus faire grand chose, préparer dîner du soir plus tard. On peut monter dans chambre.
— Ca sera pas possible pour le moment. Je suis libre qu'entre midi et deux.
— Toi revenir manger demain ?
— Oui. Je reviendrai demain.Et les autres jours.
— Quand fini manger on peut monter dans chambre.
— Ton patron ne dira rien ?
— Lui servir aussi, et rien pouvoir dire. Moi donner lui sexe aussi. Moi libre, moi lui avoir dit dès le départ.
Le patron n'était évidemment pas dupe, mais cela ne nous a pas empêché de sympathiser. Il était simple,chaleureux et franc. Il me parlait de sa famille, de cette tradition familiale, des lieux, de quelques anecdotes, mais aussi de la Thailande, son pays de cœur.
— Une amie de May va bientôt arriver...Elle voulait aussi venir en Europe. Moi j'ai envie de repartir là-bas...Et de ne pas revenir...
C'est le lendemain que le repas s'est fini autrement. Après le dessert, et avant que je ne paye, elle m'a pris par la main, et fait monter le long d'un escalier sombre qui amenait à un étage moquetté. Des portes, closes. Quelque chose de calme, de feutré, comme une coupure du reste du monde.
Elle était particulièrement belle aujourd'hui. Elle avait une robe longue, rose, avec de nombreux volants, et de petites bottines noires avec des talons aiguille. Le haut soulignait son corps, sa taille, ses seins semblaient vouloir sortir de son décolleté, poussés vers le haut et gonflés, et le bas s'évasait en une multitude de volants. L'envie, à la voir, c'était de les soulever pour voir ce qu'il y avait dessous.
Elle a poussé une porte. Je me suis demandé si elle avait préparé quoi que ce soit. Est-ce que c'était la chambre où elle dormait ? Elle était pourtant neutre, sans affaires, sans trace d'une présence humaine, il n'y avait que le lit, grand ouvert, moins sans doute parce que quelqu'un en était sorti que pour nous accueillir.
Elle s'est calée juste devant, et, après s'être pliée en deux pour attraper l'ourlet de la robe, elle l'a remonté très lentement, se dévoilant centimètre après centimètre. Elle souriait, un sourire qui disait qu'elle s'offrait totalement.
Elle avait gainé ses jambes de bas couleur chair, stay-up, dont les accroches sont apparues alors qu'elle remontait la robe. J'ai vu apparaître sans surprise un sexe nu, ouvert et luisant. Elle a basculé sur le lit après avoir dit:
— Moi garder robe, plus excitant pour toi...
Elle a plongé la main dans son décolleté, et est venue récupérer un préservatif. Elle s'est approchée, m'a mis à nu, j'étais en pleine érection...Elle m'a encore montré son habileté, commençant par me prendre dans sa bouche sur une partie limitée de ma queue, frottant mon gland de sa langue, avant de se reculer. Elle a ouvert la bouche, posé le préservatif contre ses dents, est venue sur moi, descendant, me faisant glisser en gorge profonde, avant de se dégager. Ma queue était entièrement gainée de latex. Elle a glissé sur le lit, en soulevant sa robe, s'offrant à moi. Elle a tourné la tête, son regard et son sourire me disant: 'Je m'offre à toi, viens !' Son sexe était bien ouvert et des filaments baveux pendaient à ses lèvres.
Son anus, lui, avait un aspect spécial. Sa chair était masquée par une rondelle métallique sombre.
Dans ma solitude, je regardais énormément de porno, sans forcément me masturber d'ailleurs, fascination pour un monde dont je me sentais coupé, celui des rapports sexuels. Et il y avait beaucoup de filles qui se fichaient des plugs dans l'anus, ça les dilatait pour une éventuelle sodomie.
— Toi venir d'abord dans ma chatte, ensuite dans mon cul, si tu as envie.
Je me suis approché d'elle. Elle a tendu la main en arrière pour me guider vers sa chatte, mais sans doute que je serais rentré tout seul, tellement j'avais envie et tellement j'étais tendu par une érection. J'ai vu ma queue glisser dans la muqueuse ouverte. On avait déjà eu des rapports en bas, dans la salle à manger, mais c'était la première fois qu'on se calait dans une chambre, sur un lit, et ça me ramenait loin en arrière, dans une autre vie, avant que les catastrophes ne me tombent dessus.
Chaque partenaire est particulier, c'était sans doute encore plus vrai pour May...Etre au sein de cette petite chatte brûlante qui m'enveloppait comme un gant...Je n'avais jamais connu ça avant... Je n'avais pas le sentiment que je l'avais prise, mais plutôt que c'était elle qui m'avait pris, qui me prenait, m'enveloppant de l'enveloppe soyeuse de sa chatte, me caressant, me frottant, se contractant pour m'enserrer, puis relâchant sa caresse, comme elle seule me l'avait jamais fait.
Elle m'a fait basculer dans d'autres positions, toujours en gardant ma queue en elle, avec une habileté que, sans aucun doute, aucune de mes autres partenaires n'avait jamais eu, souple comme une liane, accrochée à moi. Sans surprise, elle m'avait proposé, revenant à sa position d'origine:
— Sors-moi le plug du cul, et tu y mettras ta queue...
Avec le sentiment de ne pas être très adroit, je suis venu accrocher la rondelle de métal. Je l'ai tirée doucement, dévoilant un anus dilaté, aussi béant que sa vulve, muqueuses roses ouvertes et offertes, comme une invite à venir en elle.
A force d'être dans sa vulve, à force d'avoir été caressé par elle, ma queue était dilatée comme elle l'avait rarement été. Norme d'excitation et de plaisir. Pourtant, elle était tellement ouverte que j'ai glissé en elle sans problème, et sans lui faire mal. Une caresse plus étroite, plus excitante, mais aussi une autre dimension pour elle, J'ai eu le sentiment qu'elle prenait un plaisir plus fort...
Elle a complété son plaisir en se masturbant. Commençant par frotter ses lèvres et son gland clitoridien, puis se fichant les doigts dedans et les faisant aller et venir, ses liquides intimes poussés à l'extérieur par le mouvement de ses doigts.
Au bout de quelques minutes, elle s'est mise à jouir comme je ne l'avais pas encore vue jouir. Le corps secoué par des soubresauts, crachant des jets de liquide qui avaient tout d'éjaculations, et rien à voir avec les liquides qui coulaient d'elle auparavant, quelque chose de blanc et d'épais qui ressemblait à du sperme, et en était d'une certaine manière.
Quant à moi, je bloquais, je m'en rendais compte à présent, ma jouissance, quand j'étais avec elle. Sans doute parce que je voulais profiter au maximum d'elle, aussi loin que c'était possible. Si j'avais joui au bout de deux secondes... Et sans doute aussi qu'elle me finisse avec son style inimitable. Elle m'a éjecté de son anus, a enlevé le latex souillé, pour accéder à ma queue. Elle est venue mordiller mes couilles, avant de les lécher. J'ai explosé, crachant des jets de semence copieux, dont elle s'est laissée arroser le visage, avant de récupérer mon sperme pour le bouffer.
Comme je tenais vraiment à la voir, à profiter d'elle, avec le sentiment que ces moments étaient éphémères, je me suis arrangé pour avoir d'autres moments que la tranche entre midi et deux. Je ne pouvais pas demander plus à l'association, mais j'avais une voisine dont j'étais proche, compatissante, et qui comprenait la situation. Elle ne travaillait que le matin, et elle a accepté de me remplacer pendant que j'allais, pour une heure, soi-disant, régler des problèmes administratifs, en réalité rejoindre May pour un moment de sexe dans un hôtel déserté. Le patron n'habitait pas ici, et il lui laissait les lieux en charge, ne revenant que pour préparer le dîner.
Et puis Anong est arrivée, et tout a été différent. Sur tous les plans.
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Histoire de JamesB

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