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L'étendage

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 30/12/2024

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L'ETENDAGE

D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été, comme pas mal d'hommes, mais sans doute plus que pas mal d'hommes, je l'admets, passionné par les sous-vêtements féminins.
La raison en est simple: très tôt, j'ai compris qu'ils renvoyaient, les ayant enveloppé ou allant les envelopper, aux parties des femmes qui sont cachées, ou dévoilées, provisoirement, mais, qui, dans tous les cas, obsèdent les hommes.
Un sous-vêtement n'a pas besoin d'être élaboré pour être troublant. Une simple culotte en coton peut être troublante. Quand mes hormones ont commencé à me travailler à la pré-adolescence puis à l'adolescence, je me souviens de m'être passionnément intéressé aux sous-vêtements de ma tante, une jolie brune d'une trentaine d'années, chez qui j'allais passer mes vacances. Et pourtant, elle était très basique, grande culotte qui couvrait tout et soutien-gorge qui enveloppait une poitrine aussi lourde que le reste de ses formes. Mais paradoxalement, elle allait de la pudeur pour masquer ses parties intimes à l'exhibition parce qu'elle se baladait en petite tenue et portait des vêtements en surface qui étaient très révélateurs. Elle aimait bien en particulier des tailleurs tous simples, qu'elle portait à même la peau, et ça me mettait dans tous mes états de voir la veste entrebâillée sur son soutien-gorge, ou sa jupe remontée, laissant voir une de ces culottes qui collait à sa moule, la dessinant d'une manière plus suggestive et troublante, dans sa forme et sa fente, que si elle avait été nue.
Ce qui me remuait aussi énormément, c'était quand je la voyais aussi, elle se baladait comme je l'ai dit plus haut, dans l'intimité, en petite tenue, avec soit des bas stay-up, soit des collants qu'elle portait sans slip, offrant à mon regard son intimité, des fesses bien pleines, charnues, rebondies, coupées en deux par un sillon profond, ou son ventre, un triangle brun, bien taillé, dont la pointe basse était orientée vers un sexe au dessin troublant, avec des lèvres sorties, et repliées en une multitude de plissements.
Il y a toujours un basculement dans le vie d'un garçon. Un moment où ce qui le laissait indifférent avant va prendre plus d'importance. Il est arrivé un jour où j'ai regardé ma tante différemment. Comme la belle et sensuelle femme qu'elle était. Elle ne s'est pas rendue compte de la transition. Ou peut-être si.
La preuve de mon évolution, c'est que j'ai commencé à avoir mes premières érections. Je me retrouvais avec la queue raide. C'est tout naturellement que je me suis mis à me caresser, c'est venu tout seul, quelque chose d'atavique et d'instinctif, que j'ai eu mes premiers orgasmes et mes premières éjaculations.
Dans les premiers temps, ça a été aussi fréquent qu'obsessionnel. Dès que j'avais un moment libre et que j'étais seul, je me masturbais.
C'est comme ça, sans doute, que je suis venu piocher dans le panier de linge sale. Je l'avais déjà vue dégrafer son soutien-gorge et le balancer dans le panier à linge, tirer sa culotte le long de ses jambes pour la balancer, en boule, dans le même panier, en faire de même avec tout ce qui était lycra.
Dès que j'ai soulevé, pour la première fois, le couvercle du panier, j'ai eu le sentiment d'avoir trouvé une sorte de caverne d'Ali Baba, mais aussi entrevu le potentiel de cette lingerie intime. C'était un renvoi puissant à son corps. Le soutien-gorge gardait l'odeur de son parfum, et les bonnets, même vides, me faisaient irrésistiblement penser à ses seins les remplissant. Sa culotte portait une autre odeur, forte. J'ai bien compris, malgré mon manque d'expérience que ce n'était pas du pipi, mais une odeur plus intime, celle de ses sécrétions.
Je n'ai pas été surpris. En effet, je l'avais déjà vue plusieurs fois se masturber. Elle se masturbait régulièrement et souvent, ce qui était somme toute logique. C'était une belle femme, mais et elle me l'avait dit, elle avait vécu des relations tellement ratées et malheureuses avec des hommes et elle ne souhaitait plus en nouer, mais le désir était encore là.
Sa culotte puait la cyprine.
Si, je l'avais déjà vue se branler, dans un fauteuil, sur un lit, robe ou jupe retroussées, ventre nu, culotte baissée, main dans la culotte, main dans le collant, ne comprenant pas, au début, puis au contraire très bien après qu'elle se donnait du plaisir, elle pensait qu'elle était seule.
Il y avait aussi un collant. Dont l'entrejambes puait lui aussi la cyprine.
Dès lors quand je lui rendais visite, et j'étais très souvent avec elle, ma mère avait toujours compté sur elle pour s'occuper de moi, elle avait plusieurs emplois pour subvenir à nos besoins, quittée par son mari deux ans après ma naissance, j'allais fouiller dans le panier à linge. A chaque fois, c'était une bonne pioche.
On a basculé sur autre chose un soir. Qui n'était pas très éloigné, quand on y réfléchit bien, de cette proximité qui avait toujours existé entre nous. Elle avait simplement pris une nouvelle forme.
J'étais allongée sur le lit, et je me masturbais, un de ses slips à la main. Froissé en boule au creux de ma paume. Il sentait bien l'odeur de ses sécrétions. Elle se caressait très souvent, au final.
Elle venait toujours me souhaiter une bonne nuit. Généralement en petite tenue. Ce soir-là une chemise de nuit longue, mais totalement transparente, sous laquelle elle était à poil. La lumière traversait le tissu, et la faisait plus nue que si elle avait été nue.
Elle a bien vu ce que je faisais, et je n'ai rien fait pour me dissimuler. On était au-delà de tout ça. Elle s'est assise au bord du lit, après avoir relevé sa chemise de nuit, totalement nue, et elle m'a dit:
— Si tu veux me toucher, tu peux.
Il y a eu un mouvement de l'un vers l'autre. Elle a tendu la main pour encercler ma verge, je l'ai lâchée, comprenant où elle voulait en venir, alors même qu'elle amorçait juste le mouvement. Et ma main à moi est venue sur ses seins. Une peau douce, chaude.
Alors bien sûr, elle s'occupait de moi depuis longtemps, on était très proches, on se lavait ensemble depuis des années, elle m'avait toujours enlacé, embrassé, tenu dans ses bras, elle n'avait jamais été avare de contacts, mais ça n'avait jamais été à l'image de ce qui se passait en ce moment. Les changements hormonaux étaient passés par là. Tout avait changé à commencer par ma verge, distendue, et qui prenait encore du volume, caressée par sa main. Cette main sur ma verge, ça n'avait rien à voir avec ma main sur moi. Il y avait la chaleur, l'habileté, le plaisir...
A l'autre bout, ma main, plus habile, plus souple que je ne l'aurais imaginée. Alors que je l'avais déjà touchée cent fois, je la redécouvrais. Ses seins, son ventre, ses cuisses, ses fesses, son sexe, ouvert et humide...J'avais la certitude délicieuse, qu'elle ne me refuserait aucune caresse. Je pouvais me glisser, comme je l'ai fait de manière plus appuyée, dans ses fentes, dans les jours qui ont suivi, elle ne dirait pas non. Pour encore plus de chaleur, une chaleur intime.
Caressé pour la première fois par une main de femme, je suis monté trop vite vers la jouissance, j'ai senti l'orgasme monter en moi, et je n'ai rien fait pour le retenir. Ma jouissance a jailli en traits aussi crémeux que copieux. Elle a attrapé ma main, qui tournait sur son ventre, et elle a frotté son sexe avec, se cambrant en arrière, tendue, enfin, dans le plaisir, et trempant ma main de ses liquides intimes.
Il y a eu des années merveilleuses, parfaites. Notre entente, toujours très forte, avait basculé sur autre chose. Le plaisir ensemble, dont nous avons décliné toutes les nuances au fil des années. Je me trouvais tellement bien avec elle que je n'avais vraiment pas envie de chercher ailleurs.
Et il y avait, une branche d'une relation multiple, Ses sous-vêtements dont elle me laissait disposer à ma guise, aussi bien quand j'étais avec elle que quand je n'étais pas avec elle, pour les emporter par exemple.
C'est durant cette période que la lingerie intime d'une femme a pris une énorme importance pour moi. Les heures que j'ai pu passer avec un collant à elle, une culotte à elle, touchant, reniflant...Et les orgasmes que j'ai pu avoir.
Aujourd'hui, plus âgé, je sais que la sexualité est cyclique. J'ai quitté la région pour aller étudier à 800 kilomètres de chez moi et de ma tante. Le lien a persisté, le plaisir aussi, mais j'ai rencontré d'autres femmes, même si je lui restais toujours fidèle. Il y avait un lien unique entre nous que rien ne pouvait briser. Et ma passion pour les sous-vêtements ne s'exprimait qu'avec elle. Je sentais bien que d'autres filles n'auraient pas apprécié du tout.
Il s'est passé une bonne dizaine d'années avant que ne revienne cette passion pour les sous-vêtements, d'une manière totalement différente. Un retour sur un élément de ma vie jusqu'alors contenu à une personne qui avait pris une fin définitive quand ma tante, à la surprise de tout le monde, s'était mariée, elle venait de dépasser la cinquantaine, et j'avais clairement compris que nos relations, même si elles étaient épisodiques ces derniers temps, ne seraient plus ce qu'elles avaient été.
Je m'étais de plus installé à deux cent kilomètres de chez moi parce que j'avais trouvé le travail de mes rêves dans la maintenance dans une grande entreprise dont l'une des filiales était située dans une petite ville de province.
J'ai trouvé un appartement dans un grand immeuble en L, une ancienne usine désaffectée dans les années 70, et transformée en une série d'appartements, avec deux entrées, mais dont subsistaient encore pas mal de parties industrielles non transformées.
Tout a commencé un dimanche matin. Je me suis levé, tôt même le dimanche, et j'ai commencé à vaquer à ma routine du matin. J'ai mis le café en route et je me suis approché des volets pour les ouvrir.
Je les ai remarqués immédiatement.
Il y avait un appartement qui était dans l'angle par rapport au mien. La semaine précédente, il était encore vide.
Quelqu'un venait d'arriver. Et ce quelqu'un avait étendu du linge. Ce matin sans doute.
Il y avait deux étendages. Un étendage debout, et un petit étendage accroché à la barrière métallique du balcon. Sur le grand étendage, des vêtements. Pantalon, pull...Sur le petit, une collection de sous-vêtements dont la vision a fait durcir ma verge. Des soutien-gorge, des slips, des strings, mais aussi des collants et même des bas. Un écho à mon passé, à mes goûts,
Ce que j'avais pourtant sous les yeux n'avait rien à voir avec ce que j'avais connu pendant des années. Ma tante se cantonnait au bicolore, et cela m'avait suffisamment suffi pour fantasmer et avoir du plaisir. Là, je découvrais un monde nouveau, de matières et de couleurs.
J'ai passé la journée à fantasmer, jetant un coup d' oeil régulièrement par la fenêtre. Les sous-vêtements étaient toujours là, ils séchaient. J'espérais découvrir ma nouvelle voisine, faire une connection entre les sous-vêtements et elle, mais c'était peine perdue. Impossible de l'apercevoir.
En fin de journée, le linge a disparu, mais je ne l'ai pas vue l'enlever.
Une occasion ratée? Pas vraiment. Même si je n'avais pas pu faire de connection entre les sous-vêtements et son corps, une nécessité pour fantasmer, ça m'avait ramené en arrière sur ces plaisirs si forts qui avaient été les miens avec les sous-vêtements de ma tante. Des heures passées à les toucher, les renifler, en me laissant dériver, à frotter ma queue avec. Au fil du temps, elle avait rajouté de nombreux jeux avec. Si dans un premier temps, je me contentais de récupérer, avec son consentement, ses pièces de lingerie dans le panier à linge, j'avais bien remarqué que ce que je récupérais était de plus en plus marqué par ce qui fait l'essence d'une femme, des odeurs fortes, parfois des culottes encore humides. Mais, dans une seconde phase, elle avait accompagné tout ce qui se passait entre nous de jeux avec sa lingerie, qu'elle me laissait, pour me tenir compagnie quand elle n'était pas avec moi. J'avais des souvenirs très forts, qui étaient avec moi, tout le temps et qui étaient revenus avec encore plus de force ce jour, en voyant de la lingerie, lingerie pourtant totalement différente. Par exemple, elle se caressait devant moi, à travers et sous une culotte, avant de me laisser celle-ci.
Les jours et les semaines qui ont suivi ont été celles du désir et de la frustration. Très régulièrement, j'apercevais ses sous-vêtements accrochés au petit étendage, elle en étendait le week-end mais aussi dans la semaine. Elle, jamais...Grande, petite, blonde, fine...Difficile de savoir. Il fallait dire que j'avais ma vie, des occupations, c'était vrai pour elle aussi, sans aucun doute.
Ce qui a fait changer et avancer notre relation, ça a été ce dimanche matin où la situation s'est présentée sous un jour nouveau.
Je me suis levé. Le vent soufflait encore. Une tempête avait été annoncée la veille, qui avait démarré dans la soirée, s'était prolongée la nuit, elle tapait contre l'immeuble, supposée cesser le matin. Elle s'était apaisée mais il y avait encore un chouia de puissance.
Elle avait quand même sorti son linge. Le résultat était sans surprise. Malgré les épingles, le linge n'avait pas tenu. De la sorte, et elle avait de la chance, je me retrouvais avec, sur mon balcon, le vent était parti dans ce sens, dans un angle droit, une ration de ses sous-vêtements. Un magnifique cadeau, inattendu, inespéré, pour quelqu'un qui est fou de petites culottes. Le Père Noël était passé avant l'heure.
J'ai ramassé ce que le vent m'avait apporté. Il y avait un soutien-gorge de dentelle rouge, un slip lui aussi en dentelle mais vert printemps, et un collant.
Cela va sans dire, ma verge s'était durcie d'un seul coup, d'un seul mouvement, longue, dure, et gorgée de sang.
J'ai ramené les trois pièces de lingerie à l'intérieur.
Quelqu'un qui n'aurait pas été fétichiste, comme moi, aurait sans doute eu une attitude constructive, positive, et normale. Ayant repéré que la voisine habitait en face, et de toute façon, il aurait été difficile de l'ignorer, vu que l'étendage le disait clairement, il aurait ramené la lingerie directement à la voisine.
Pas moi.
Je voulais en profiter avant.
Je me suis laissé tomber dans un fauteuil. Oui, malheureusement, j'en ai eu la confirmation en fourrant mon pif dans le tissu, la culotte ne sentait pas la cyprine mais plutôt le parfum, lavande, de la lessive. De ce côté-là, j'étais refait. Mais je me suis rendu compte que, contrairement à mes à-priori, et même si je ne la connaissais pas, ne pas avoir une idée de comment elle pouvait se dessiner n'était pas forcément un problème. Penser simplement que son slip avait été contre sa chatte, contre sa croupe, était suffisant pour me mettre dans tous mes états. Je me suis dégagé, et, la culotte dans la main, ma queue dans l'autre, je me suis mis à me caresser...J'étais tellement excité que j'ai joui quasi immédiatement, en criant, un orgasme fort, qui n'était pas assez. J'ai continué, jouissant encore, un deuxième orgasme, puis un troisième, avec une latence à chaque fois, mais un plaisir aussi grand.
Les pièces de lingerie allaient rester avec moi. Je les ai installées sur le dossier du canapé. Etalées l'une près de l'autre.
Il y avait deux options.
Soit leur propriétaire comprenait, en constatant leur disparition, qu'elles avaient atterri chez quelqu'un et elle se mettait à leur recherche, en allant frapper aux portes, soit elle considérait qu'elles s'étaient envolées, et en faisait le deuil.
Si c'était la première option, elle allait taper à toutes les portes.
Ce serait l'occasion d'enfin la voir.
La matinée s'est terminée, le début d'après-midi m'a vu boire un café, assis sur le divan.
Elle n'avait pas donné signe de vie.
J'étais décidé à lui ramener ses possessions en fin de soirée. Pour le moment sa lingerie me tenait compagnie, et c'était une belle compagnie.
Je finissais mon café quand on a sonné à la porte.
Elle? Ou mon voisin d'en face qui passait souvent me voir pour discuter?
J'ai été ouvrir...
...Sous le charme dès les premières secondes.
Elle était...Très très attirante.
Je vais essayer de la décrire, sans doute sans pour autant lui rendre grâce.
Brune, avec une chevelure longue et épaisse, soyeuse, qui lui descendait presque aux fesses, elle devait faire 1 mètre soixante-dix. Elle avait un joli visage, harmonieux, avec une bouche pulpeuse, et de grands yeux sombres. Au-delà d'une beauté évidente, ce qui m'a plu dans son visage, c'est qu'il respirait la douceur et l'harmonie. C'était une personne équilibrée.
Et son corps était...Voluptueux. Des formes bien pleines, bien marquées. Elle portait un hoodie, tendu par sa poitrine, et un caleçon noir, très collant, très moulant, comme tous les caleçons, qui rendait hommage à sa féminité. Collant à ses hanches, son pubis, son sexe, et ses fesses que j'ai pu admirer quand elle s'est retournée. Je me suis même demandé si elle avait une culotte dessous, ironiquement et paradoxalement. La manière qu'avait le caleçon de dessiner, de manière ultra-précise son sexe, dans les moindres détails, y compris pour les lèvres qui sortaient d'elle allait en tout cas dans le sens de mon hypothèse. Mais même si ça n'avait pas été le cas, elle m'aurait quand même séduit. Elle avait un charme fou.
— Bonjour, excusez-moi de vous déranger...Je suis votre nouvelle voisine...J'ai emménagé il y a un mois à peu près et...
— Ils sont là, je les ai récupérés...
Elle a paru réellement soulagée.
— Ah, comme je suis contente. Je tiens vraiment à mes sous-vêtements. J'en ai toute une collection. C'est quelque chose qu'on paye très cher, et ça m'aurait embêtée de les avoir perdus. J'aime me sentir belle sous une tenue plus banale. Ou être belle pour celui qui me déshabillera.
Une véritable profession de foi.
Elle a avancé jusqu'au divan, et a récupéré ses pièces de lingerie. J'ai ressenti un pincement au cœur. Je les reverrais sur l'étendage. C'était bien qu'ils retrouvent leurs frères et sœurs.
J'ai vécu les secondes et les minutes qui ont suivi avec la plus totale des stupéfactions.
Elle s'est retournée. Elle avait l'oeil brillant.
— Vous aimez les sous-vêtements pas vrai...Comme pas mal d'hommes...Pour les avoir étalés ainsi...
Je me suis senti rougir.
— Je ne vais pas dire le contraire.
Elle a baissé les yeux sur mon ventre, et je me suis rendu compte que, j'avais non seulement une belle érection, mais que celle-ci, dans mon pantalon de survêtement, était très visible. J'ai eu honte. Elle, au contraire, non seulement ça ne la gênait pas du tout, mais elle semblait très intéressée par la chose. Il y a des filles que le sexe rebute, d'autres au contraire qui en ont très envie, et qui trouvent toujours un chemin vers le plaisir.
Elle a tendu la main vers la bosse qui déformait mon survêtement et elle a enveloppé doucement ma queue.
Ca s'est fait rapidement et simplement. Avec fluidité, alors qu'on se connaissait à peine. Elle s'est laissée glisser sur le fauteuil tout près d'elle et a tiré sur mon survêtement, emportant mon caleçon, pour descendre le tout. Ma queue a jailli à l'air libre, à laquelle elle a jeté un regard enveloppant plein d'envie.
— Hmmm, ça tombe bien, j'avais envie d'une queue aujourd'hui.
Et elle a commencé une fellation qui disait effectivement autant l'envie que l'habileté et l'expérience. Sa langue venant caresser ma queue, tourner sur mon gland, descendre le long de ma tige, frôler mes couilles...C'était vraiment très bon. Je me suis mis à couler d'abondance, et ma queue s'est dilatée.
Dans le même temps, et ça m'a terriblement troublé, elle a, de sa main libre, l'autre tenait ma queue, chopé son caleçon à l'élastique, et elle l'a descendu.
J'ai eu la joie de constater que mon hypothèse était bonne. Dessous, sa chair à nu. Un sexe glabre, mais avec déjà des signes marqués d'excitation, que celle-ci ait pris naissance il y avait juste quelques secondes ou un peu plus tôt. Son sexe était ouvert sur son intérieur, et ses chairs luisantes de la mouille qui continuait à se déverser d'elle. En même temps qu'elle prenait mon sexe dans sa bouche, l'avalant en partie, m'offrant la chaleur de sa cavité buccale comme le plus beaux des cadeaux, elle s'est mise à se pistonner, glissant ses doigts dans sa vulve, un accès facile puisqu'elle était dilatée d'excitation, et les faisant aller et venir, se fouillant pour se donner du plaisir, s'ouvrant encore plus sous l'effet de la caresse, Elle mouillait abondamment, précipitant des jaillissements de secrétions quand elle poussait ses doigts en elle. Entre le plaisir qu'elle me donnait avec sa bouche et le spectacle qu'elle m'offrait, j'avais toujours été troublé de voir une fille se caresser, j'étais sur cette ligne où je pouvais à tout instant basculer dans l'orgasme. Je m'efforçais de rester, autant que possible de l'autre côté. Je voulais profiter de ce moment dont je savais qu'il serait sans aucun doute unique.
Nos jouissances se sont déclenchées quasiment en même temps, et dans la proximité temporelle mais aussi physique. Elle s'est cambrée, a poussé une sorte de rugissement et a craché, autour de ses doigts encore fichés en elle des jets copieux de liquide, de véritables éjaculations. C'en était trop pour moi. Le feu s'est déclenché dans mon ventre, je me suis mis à jouir, crachant des jets de semence copieux. Malgré son plaisir, elle a eu la présence d'esprit de garder sa bouche très resserrée autour de moi, pour ne pas perdre une goutte de cette semence qui a coulé dans son gosier. Elle m'a gardé dans sa bouche, léchant mon gland, enfonçant sa langue dans mon méat pour profiter de ma semence jusqu'à la dernière goutte.
Ce qui s'était établi entre nous, cette complicité, cette proximité, s'est cassé en quelques secondes. Comme c'était souvent le cas quand, poussé par l'envie, on avait des rapports sexuels avec une personne qu'on connaissait à peine. Le rapprochement initié par la sexualité se dissout très rapidement après la jouissance, et on préfère se séparer pour éviter le malaise.
La bouche encore pleine de sperme, elle a remonté son caleçon, attrapé ses sous-vêtements, et après un 'A bientôt!' elle a disparu.
Le reste de la journée a glissé dans l'incrédulité et le souvenir de ce moment unique.
En jetant un coup d' oeil par la fenêtre, sans intention, je me suis rendu compte que ce que j'avais récupéré était revenu à sa place. Sous-vêtements parmi les sous-vêtements.
Un cycle était bouclé.
Le matin, je pars très tôt au travail, et je récupère toujours mon quotidien, déposé encore plus tôt, à l'heure où je dors encore, par le livreur. J'y jette un œil rapide, profitant ensuite de ma pause de midi pour le lire.
Mais il n'y avait pas que le journal dans ma boite.
Une enveloppe de papier kraft marron.
Intrigué, je suis parti à ma voiture. Le jour se levait. Il n'y avait pas d'adresse, je me demandais donc d'où venait cette enveloppe. Souvent on avait droit à des publicités issues d'organismes, ou glissées dans les boites par des distributeurs, mais cette enveloppe ne correspondait pas à la norme.
J'ai ouvert l'enveloppe.
Je ne m'attendais vraiment pas à ça. Dedans, il y avait une petite culotte et une feuille de papier pliée en deux.
J'ai d'abord sorti la petite culotte. Elle était bleue, en satin, et l'entrejambes était sombre. J'ai porté mes narines sur cette zone. Une odeur très forte, odeur unique, quoi que variable, de secrétions féminines. Elle m'avait offert non seulement sa petite culotte, mais aussi ce qu'elle avait de plus intime. Un beau cadeau que je n'aurais vraiment pas attendu.
J'ai déplié le mot.

Je suis partie vite hier, et je m'en suis voulue de ne pas t'avoir suffisamment manifesté ma reconnaissance.
J'ai bien compris, c'est tellement évident que tu aimais les sous-vêtements des filles.
Ils ne sont jamais mieux que portés.
Je me suis caressée ce matin avec cette culotte sur moi. Ma main est venue dessus, dessous, en alternance, Je me suis donnée du plaisir et ce plaisir j'ai envie de le partager avec moi.
Une manière de te remercier encore.
Ma culotte restera avec toi toute la journée, elle t'assurera de ma présence de femme.
Ce soir, je rentre à 18 heures. Je te propose de me rejoindre. Pas forcément pour me rendre la culotte, d'ailleurs, que tu peux garder aussi longtemps que tu veux. Je pourrai te prêter celle que j'ai mise ce matin, et qui m'accompagnera toute la journée. Collée contre mon ventre, elle recueillera ma mouille quand je penserai à ce que j'aimerais qu'il se passe entre nous si tu me rejoins.
A ce soir peut-être.
Je l'espère en tout cas de tout cœur.
Ma queue, dans mon pantalon, était raide comme un manche de pioche. Je me suis dégrafé et masturbé en respirant l'odeur, aussi récente que forte, sur le slip. Je n'ai pas tenu longtemps tellement j'étais troublé, et mon sperme a jailli au creux de ma main.
Les jours à venir s'annonçaient sous les meilleurs auspices.
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Histoire de JamesB

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