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Du sexe pour tous 13

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Lue : 1738 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/05/2013

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Finis les scrupules, je baise.

Pauline est partie se rafraîchir dans ma salle de bain ! D’autorité elle en a pris possession avec l’intention déclarée de se préparer pour un rapport sexuel avec moi. Puisque son mari a couché avec Lili, Pauline estime normal de se venger en couchant avec moi, André, le mari cocu. C’est notre deuxième courte rencontre seulement, elle ne peut pas éprouver de sentiment profond pour moi, ou la foudre lui est tombée sur la tête. Je ne sais rien d’elle, je la trouve jolie, bien faite, mais je ne suis pas amoureux d’elle. Coucher ensemble pour se venger, c’est loufoque. Mon but à moi est de conserver Lili, la femme que j’aime, non de me venger. Pauline fait fausse route si elle me croit prêt à trahir en raison d‘un passé pardonné. Baiser sans aimer est possible pour elle. Moi, je ne suis pas un truc qu’on utilise une fois pour faire bisquer un mari inconstant et qu’on jette ensuite comme un kleenex. Admettons que j’aie un moment de faiblesse, que je succombe aux charmes réels de Pauline, je l’aurai vengée. Elle ira l’annoncer à son mari. Lili finira par l’apprendre, je la perdrai pour l’avoir cocufiée.

Pauline est étrange, elle veut punir Robert d’une relation sexuelle passée et simultanément me persuader de ramener Lili près de Robert, donc de favoriser de nouveaux rapports sexuels entre son mari et ma femme. Il conviendrait au contraire de les tenir éloignés, sauf si Pauline est un peu folle et très vicieuse au point de vouloir passer sa vie à se venger. Mais pas avec moi. Au resto du sexe, en présence de Robert, elle pourra forniquer autant qu’elle voudra, faire le bonheur de nombreux étrangers. Ce sera une vengeance plus raffinée qu’une coucherie avec moi. Le mari verra son épouse chauffer un sexe masculin autre que le sien, le bichonner, le caresser, le masturber, le tremper de salive, le sucer en creusant les joues, le pomper. Il aura le plaisir de suivre la progression de cette forme spéciale d’adultère quand Pauline tournera le dos à la paroi trouée, reculera et se fera embrocher par la queue tendue et défoncer jusqu‘à l‘orgasme. Un peu jaloux mais surtout très excité, il pourra admirer l’expression du plaisir sur le visage de sa chérie. A moins que Robert ne tienne pour nulle une baise à travers les gloryholes en raison de l’anonymat. Je décide de suggérer ce doux supplice à la furie.

Pauline souhaitait se rafraîchir, je pensais à quelques gestes succincts, à une toilette rapide. Or depuis des minutes j’entends couler l’eau de la douche. Elle m’appelle,
- André, je n’ai pas de serviette. Peux-tu m’en passer une.

J’entre dans ma salle de bain avec le nécessaire. Pauline a ouvert les portes de la douche, me fait face. Une main sur chaque vitre, jambes ouvertes en position d’équilibre, seins orgueilleusement dressés, ma Vénus au bain guette ma réaction devant sa nudité. J’ai du mal à avaler ma salive. Ce corps de femme nue me trouble, mon sang se met à bouillonner. Malgré mes bonnes résolutions, je suis pris d’une envie subite et forte de l’attraper, d’aller la coucher sur mon lit et de la sauter comme un bonobo. Son piège est parfait, sa petite touffe attire le regard, l’écart entre les cuisses expose la vulve rosie par le jet d’eau chaude. Mon instinct se réveille.

- André, qu’attends-tu pour m’essuyer. Frotte le dos… descends… plus bas. Tu as peur d’appuyer ? Mes fesses aussi. Elles sont à ton goût ? Hihi, tu me chatouilles. Devant maintenant. Sois doux avec mon sein. Dessous; et l’autre. J’aime. Tu me fais de l’effet. Donne-moi la serviette. Prends vite une douche et rejoins-moi sur ton canapé. Fais vite. Elle trottine vers le salon, je la suis des yeux, ému par la danse des fesses rondes devant moi. Pauline se laisse tomber sur les coussins, lève ses pieds. J’arrive, habillé.
- Tu peux m’essuyer les pieds, s’il te plaît

Avant la douche elle me vouvoyait. Lavée, nue, prête à l’abandon elle me tutoie : c’est un bond dans l’intimité. Elle me tend une serviette, présente un pied et garde l’autre tendu. Je suis debout entre ses jolis petons et j’ai une vue plongeante sur son abricot. La vulve s’ouvre, le sexe m’attend, bâille d’impatience. Je perds la boule.
- Eh! Bien, te faut-il une invitation spéciale, grand nigaud ? Allez, baise-moi ! Venge-nous.
Je suis sur le point de succomber et de me jeter à couilles rabattues sur ce con prêt à se laisser envahir. Stop ! La référence à la vengeance me bloque. Je passe une main sur mes yeux. De mes lèvres sèches sort la phrase préparée et prévue pour tuer l’envie :
- Vous n’avez pas de douche chez vous ?

J’obtiens l’effet escompté. Pauline ouvre de grands yeux, laisse retomber ses jambes, lâche déçue :
- Je ne te plais pas ? Tu es impuissant ? Pas étonnant que ta femme galope après les maris des autres. La pauvre fille !

Me voici renseigné sur la nature de ses sentiments pour moi. D’un bond elle est debout, attrape ses vêtements, enfouit sa nudité dédaignée dans sa robe, monte dans ses escarpins, arrange sa tenue, ramasse soutien-gorge et bas, me fixe et me crie:
-Cocu.

Elle trouve la porte et peut aller pleurer son échec. Cela n’a tenu qu’à une phrase. L’insulte finale me console de l’occasion manquée. Dans quelques minutes j’irai raconter cette affaire à ma Lili.

J’arrive à la boutique. Pauline m’a devancé. Elle gesticule devant Lili. Elle pose ses mains sur des épaules imaginaires, appuie, fait baisser un vis à vis fictif, pousse vers lui son ventre: elle mime une fellation imposée. Elle mime ensuite un baiser, ses deux mains entourent un visage situé plus haut, repoussent un agresseur. Celui-ci la fait culbuter et Pauline se couche sur le dos, replie ses genoux, les renverse sur sa poitrine. Lili est debout, doigts sur les tempes, l’air désolée et doit voir, comme moi, le sexe nu de Pauline. J’ai compris, la gentille garce explique à ma femme comment je viens de la violer. J’entre, les jambes de Pauline retombent mais son minou reste visible. Le récit bloque, un grand silence m’accueille. Lili me dévisage :

- Toi, tu oses encore te montrer. Hypocrite, violeur, salaud. Ah ! Tu sais me faire la morale mais tu es pire que tous les autres réunis. Si tu n’obtiens plus assez de plaisir avec moi, rends-toi au resto du sexe et tu recevras le complément sexuel nécessaire à ton équilibre. Mais tu préfères t’en prendre à des petites femmes pour soulager tes pulsions. Sors d’ici, fous le camp. Je ne te pardonnerai jamais d’avoir violé Pauline.
- Lili, écoute-moi. C’est faux. Pauline invente…
- Dehors. Je passe prendre mes affaires et je ne reviendrai plus dans la maison d’un salaud de violeur. Dehors.

Pauline est plus crédible que moi. Pourquoi ? Parce qu’elle a parlé en premier, parce que c’est une femme ? Par le jeu de la solidarité féminine ? Parce qu’il est plus difficile de se défendre pour un innocent ? Parce que ma culpabilité libère Lili du poids de mon opposition à des activités sexuelles au fameux resto ? Si je suis le sale individu décrit par la femme de Robert, elle n’a plus à respecter mes conseils. Le resto lui manque. Moi, le mari devenu violeur, je devrai me taire et tout permettre. La véhémence de Lili me surprend. C’est sa première grande colère, je juge inutile de contredire Pauline. La rage de Lili l’aveugle. Mieux vaut m’en aller et attendre que la tension retombe.

Lili revient chez nous, accompagnée de Pauline. La chienne ne lâche pas sa proie. Lili va droit au canapé, passe la main derrière les coussins et crie :
- Alors, c’est quoi, cette chose ?
Elle brandit une petite culotte de femme. Pauline donne la réponse :
- C’est ma culotte, il me l’a arrachée avant de me prendre de force sur le sol devant le canapé. C’est la preuve que tu demandais.
- Laisse-moi me défendre. C’est un guet-apens grossier, une manipulation perfide. Elle est venue me proposer de la venger des infidélités de Robert, notamment avec toi, elle a pris une douche…
- Pour me laver après le viol. Je me sentais si sale. Tu vas payer, je porterai plainte, hurle la comédienne.
Lili me demande de me taire. La honte devrait me submerger.
- Pauline, veux-tu m’aider à faire mes valises ?

Tant d’incompréhension et tant de mauvaise foi m’abattent. L’une ment effrontément, l’autre se montre crédule et hostile. Il y a avis de tempête, ma défense se heurte à un mur. Lili est remontée contre moi et la présence de la culotte de Pauline est pour elle une preuve irréfutable de ma culpabilité. Ce n’est pas ma parole contre celle de Pauline, mais contre le cul nu de Pauline et la découverte de sa culotte cachée en souvenir derrière les coussins. Je me tais, je fais le dos rond. Lili finira par trouver la vérité et reviendra. Pour le moment elle tire ses valises, les charge dans un taxi et quitte notre nid sur une dernière tirade cruelle : « Pourri, hypocrite, salaud, violeur. Quelle honte. Me faire ça, à moi. Je passe ma vie à lutter contre le viol et toi, tu le commets chez nous ! Violeur. »

Dès le lendemain je me rends au commissariat. Je raconte ma mésaventure à un officier. Il entend ma version, vérifie l’absence de plainte contre moi. Si la dénommée Pauline ne se manifeste pas et laisse aux traces le temps de s’effacer, elle aura du mal à convaincre. Je pourrais déposer plainte contre elle. Cependant l’officier ne pense pas que cela provoquerait le retour de Lili.
- Votre femme ne vous fait pas confiance, se laisse influencer par une menteuse. Elle saisit une occasion pour mettre fin à votre mariage. N’aviez-vous rien vu venir ? Aviez-vous des disputes fréquentes ?
-Non.

Son raisonnement rejoint le mien. Lili n’était plus bien avec moi. Elle souffrait en silence. Pauline lui a fourni une bonne raison de se séparer de moi. Elle est partie sans regret, avec la conscience d’accomplir une bonne action en punissant mon crime. Elle peut désormais s’adonner sans frein à sa passion de venir en aide au peuple des déshérités, des malheureux privés de vie sexuelle. Donner aux malheureux de la chaleur humaine, c’est son programme. Dans l’immédiat elle ajoute un individu à la cohorte de ceux qui auront besoin de cette chaleur humaine : moi, l’époux renié.


Lili ne reviendra plus. Depuis deux mois elle n’a pas donné signe de vie. Je suis passé discrètement devant sa boutique certains soirs. Elle vaquait à ses occupations, rangeait des piles de linge, vendait. Elle restait la commerçante souriante d’avant son départ. Un dimanche, je rôdais par là avec l’espoir de l’apercevoir, j’ai constaté le changement de l’horaire d’ouverture. Elle terminait à dix-neuf heures au lieu de vingt heures.

Peut-être Pauline s’est-elle trahie en ne portant pas plainte, peut-être Lili voudrait-elle s’excuser de la violence de ses paroles, peut-être n’a-t-elle pas le courage de venir au-devant de moi, peut-être attend-elle un signe de moi. Je serai devant la porte de la boutique avant la fermeture, je l’aborderai et, au nom de nos années de vie commune, je lui demanderai de m’entendre. C’est décidé, je vais lui ouvrir les yeux. J’y vais.

Je connais l’allure de celui qui me précède. Il entre dans la boutique, tend les bras, Lili se précipite contre lui, l’embrasse fougueusement mais le pousse vers les cabines d’essayage. Elle pend un panneau sur la vitre de l’entrée et disparaît à son tour dans le coin des cabines.
« Absente pendant 30 minutes »
Dit l’écriteau. C’est nouveau mais prémédité, bien pratique pour certaine forme de commerce. Je sais pour l’avoir pratiqué ce qu’un homme et une femme peuvent faire à l’abri des regards. L’homme n’est pas un travesti venu s’habiller. C’est le trop fameux défenseur de la vertu des pauvres, Robert, le patron du resto du sexe. Un jour il avait demandé à Lili de lui accorder la relation sexuelle complète qu’elle refusait aux autres hommes. Voilà, il a obtenu ce qu’il réclamait, et désormais hors les murs du resto, égoïstement pour lui seul, il fait commerce de chair avec celle qui a quitté le domicile conjugal. A l’intérieur, derrière les rideaux de toile ces deux-là copulent, volent une part de bonheur à un mari délaissé et à combien de déshérités en mal d’amour.

J’ai tout perdu, sauf l’espoir de reconquérir Lili. J’y mettrai le temps nécessaire. Pour y parvenir, j’exerce une surveillance régulière de son lieu de travail. Par habitude je filme les entrées et les sorties des deux amants. Ici, seul Robert a le privilège de passer derrière les rideaux avec Lili. Elle l’accueille avec exubérance et ferme sa porte pendant une demi-heure. Je souffre dehors, je suis malade de les savoir unis, accouplés à quelques mètres de moi.

Une nouvelle surprise éclate un jeudi : Lili reçoit Pauline, pend l’écriteau et toutes deux partent derrière les rideaux. La sexualité de Lili s’enrichit. Leur chevelure décoiffée, la disparition du rouge à lèvres, les mouvements pour réajuster la ceinture d’une culotte ou les boutons d’une blouse frapperaient n’importe quel observateur averti. Lili a agrandi l’éventail de ses amours. Le baiser final n’échappe pas à mon objectif, un baiser de lesbiennes, donné en sortant de la cabine où elles viennent de s’aimer. Lili et Pauline font à peine plus attention que Robert et Lili, lorsqu’elles s’embrassent. Le cérémonial se répète d’une semaine à l’autre. Le jeudi est le jour de Pauline

Aujourd’hui je suis les deux amies dans les rues. Elles me mènent au resto. Après un dernier bisou plein de tendresse, Lili entre dans le local et Pauline continue sa route. A distance j’emprunte le même itinéraire, je me presse et arrive assez près alors qu’elle fouille son sac pour y prendre ses clés.
- Bonsoir Pauline.
- Bonsoir, monsieur… André ? Oui, c’est bien vous ? Je me demandais ce que vous deveniez. Et Lili, comment va-t-elle ?
L’hypocrite le sait mieux que moi.
- Je suis sans nouvelles. Peut-être pourriez-vous me dire où et comment elle vit.
- Elle tient toujours sa boutique, paraît-il. Mais vous prendrez bien un café ou un verre, entrez…

Pauline me précède dans l’escalier, exagère le balancement de ses fesses, répand un parfum fort de chez « Suivez-moi, Monsieur » Depuis plus de deux mois mes testicules sont au repos, je ne m‘intéresse plus aux femmes, à leur poitrine, à leur cul ou à leurs jambes. Je me languis de Lili, j’attends Lili, je rêve de la retrouver lassée des amours sans lendemain, fatiguée de sa passion adultère pour Robert et, à partir d’aujourd’hui je peux ajouter à la liste de mes vœux, oublieuse de son penchant nouveau pour les femmes. Cette démarche chaloupée de Pauline, son parfum, son invitation à partager une boisson et mon envie de Lili se conjuguent, réveillent en moi le sauvage qui sommeille. Mon sang irrigue soudain la verge si longtemps muette, je suis pris d’une grosse envie de sexe. Cette femelle qui m’a injustement accusé de viol, mérite un passage à l’acte, à la réalisation de son fantasme. J’ai un coup de retard sur son discours, je lui dois une baise. Elle la voulait, elle l’aura.

- Excuse le désordre. J’avais à faire, j’ai déposé les enfants chez ma mère avant une course pressante. Que puis-je t’offrir ?
- Ton attention. Vois cette photo.
Familièrement elle pose une main sur mon épaule, sa joue frôle la mienne quand elle se penche vers le petit écran, elle fait
- Oh ! Tu es au courant ?
- Depuis quelques soirs. Robert sait-il ?
- Non. Je ne lui ai rien dit de cette liaison
- Ta mère, ton père, tes voisins, tes amis savent-ils ?
- Non, ça ne regarde personne. Lili est seule, je la console.
- Cette photo va rendre crédible ma déposition au commissariat le lendemain du prétendu viol que tu as oublié de signaler.
- J’étais furieuse du râteau que tu m‘avais fait ramasser. J’ai voulu me venger de ton rejet. Que veux-tu, je suis femme et il est vexant de se faire éconduire.
- Rends-moi ma femme. Dis-lui la vérité.
- C’est impossible nous nous aimons trop.
- Tu aimes Lili. Lili t'aime-t-elle ? Regarde les photos suivantes, il y a de la concurrence. Reconnais-tu l’homme ? As-tu une idée de ce que ces deux-là fabriquent derrière le rideau où tu te trouvais il y a peu ?

Pauline, bouche bée, tremble.
- Les salauds. Ils m’ont juré … « Rien, rien, nous sommes amis et collègues. » Ils n’ont pas besoin de moi là-bas dans leur bouiboui, à deux ils gèrent. Alors, Robert va la tringler dans la boutique ?
- Tu reconnais les lieux.
- Cette fois, c’est la guerre. Il m’a trompée, il se moque de moi. Lili me donne le change, ses caresses ne sont pas sincères, elle fait semblant de m‘aimer pour me voler le père de mes enfants.
Elle réfléchit vite :
- Tu veux ta Lili salope ? Prends-moi et je lui parlerai, promis, juré. Elle saura la vérité. J’avouerai que j’avais caché ma culotte dans tes coussins par obéissance à Robert. Mais c’est tout de suite. Viole-moi.

Elle a une curieuse conception du viol ! Ma fidélité n’a pas payé, ma patience n’a servi à rien sinon à laisser la place à d’autres. Pauline s’engage à révéler la vérité à Lili. C’est une dernière chance de renouer avec ma femme. Donc cette fois, je prends mes risques. J’accepte la condition de Pauline, ce ne sera pas désagréable de m’unir physiquement à cette belle créature. La posséder après ses ébats avec Lili, me restituera un peu de mon aimée. Elle a dit : « Tout de suite ».
- D’accord, approche, je vais t’aimer.
Les mains de Lili l’ont caressée, Lili l’a embrassée, Lili a léché sa peau, sucé les lèvres de son sexe, brouté les poils de sa chatte. Sur tout ce corps je retrouverai les traces de Lili. C’est Lili, ma drogue, que je redécouvrirai sur Pauline. Faire l’amour à Pauline, c’est faire l’amour à Lili. La boucle est bouclée. Si coucher avec Pauline me ramène Lili, finis les scrupules, jouissons !

A suivre
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Histoire de Veilleur

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