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Ecervelée

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Lue : 8748 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/04/2010

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On connaît d’abord le mari. La femme survient après qu’on convoite de suite. Trop content d’ajouter à l’humanité ou au compteur un nouveau cocu. La nana en l’occurrence est trop belle, trop bandante. Elle vous inflige le numéro que vous ne l’attraperez jamais et que vous êtes un vilain gogo et qu’elle vous demeura une perpétuelle chimère. Le cirque a déjà commencé. Elle vous est entrée dans la tête, la salope. Vous la rêvez dans votre lit d’autant qu’elle vous snobe à chaque fois qu’elle vous toise. Puis survient un petit incident drolatique, genre la guerre de Troie aura lieu vu que ce couillon de Paris a enlevé la donzelle. à Ménélas. Ma belle Hélène je l’ai croisé, un midi sur le parvis de la Défense. D’emblée je l’ai reconnu par ses jambes fines et nerveuses ce cul nerveux dedans sa robe courte et sa chevelure brune et rêveuse. Elle était flanquée d’un gros type lunetté, chauve, genre comptable pas expert pour un sou. Pas la première, pas la dernière fois que je découvre ce genre de couple monstrueux, la Belle et la Bête. A croire qu’elles ont toutes dans le cul, le fantasme Minotaure ou crapaud. N’empêche les deux semblaient se fendre la gueule. Il sortaient manifestement d’un resto tous deux pompette. Pour des relations d’affaires je trouvais que le comptable avait une main des plus lestes. Non content de lui enlacer la taille, il lui pelotait sans vergogne le cul et elle de s’esclaffer. Ils se retenaient visiblement de se lécher la figure devant tout le monde. Il avait du la besogner à l’hôtel. Du moins des images de cette sorte m’assaillaient. Qu’elle ne fut la surprise de Michelle de me découvrir dans son champ de vision. Je perçus une seconde son étonnement. Un autre esclaffement lui permis cependant de dissimuler notre trouble. Le portable du comptable se mit à sonner. Il s’éloigna pour parler. Elle me tourna le dos avec ostentation pour se griller une cigarette. Je m’éloignais par déférence et demeurais à regarder son cul, ses jambes. J’avais idée que ceux-là se rapprochaient et qu’ils seraient bientôt miens. Nous avions maintenant Michelle et moi quelque terrible secret dont je ne voudrais pour rien entretenir son mari. Le gros comptable vint la rejoindre et tous deux disparurent dignes et circonspects, dans la première bouche du métro.

J’escomptais qu’elle me manquerais moins de respect. Fini son mépris à deux balles. A cet égard je la rencontrais la fois suivante chez son mec. Son gus m’ayant convié avec deux de ses collègues pour regarder un super match de tennis. C’était la finale de Flushing Meadows. Décalage horaire, il se faisait tard. On avait encore quelques whiskies dans la tronche. On toucha à peine aux pizzas et aux autres cochonneries. La Michelle arriva fort tard arguant d’un hypothétique dîner d’affaires dont personne ne fut dupe. Elle n’était pas mécontente que tous ces mâles idiots soient scotchés à un écran télé. Je ne vis pas si ma présence l’avait surprise. Elle n’eût d’attention que pour les deux autres invités plus familiers du couple il est vrai. Je n’en conçus pas moins quelque dépit. Je me sentais quelque droit sur elle. Le match était à son comble. Je pris le prétexte d’aller pisser pour me glisser dans la cuisine où elle s’était réfugié. Elle préparait des petits fours, j’arrivais derrière elle. Son cul et ses jambes m’excitaient davantage. Elle montra que ma présence était indésirable. Vous manquez du match. Je ne voudrais pas vous faire perdre de votre temps. Vous gagneriez à la compagnie de vos amis plutôt que de moi. Ceci débité sur un ton d’insolence et de mépris. Radoucis-toi veux-tu. C‘était la première fois que je la tutoyais. Je t’ai découvert l’autre jour moins farouche et regardant sur la qualité d’un mec. Ceci balançait froidement, durement. Ton mari est cocu et je veux pas l’embêter là dessus. Elle protesta qu’il y avait méprise et qu’il ne s’agissait que d’un vieux copain d’université et que du reste il était ami du couple. Donne moi son nom je vais m’en ouvrir à ton mec. Elle rougit et me tourna le dos affectant de nettoyer une assiette. Sans coup férir je la collais et pu appliquer mes deux mains sur son cul et le haut des cuisses. Cela dura quelques secondes. Elle me laissa faire jusqu’à ce que je rejoignis mes alcolytes. Entre temps lui parlant l’oreille, après un baiser goulue dans la nuque, j’obtins qu’elle m’accorda un déjeuner à la Défense. Je sus après qu’elle était en instance de divorce et me perçut comme un danger dans son contexte délicat. Dans un regard tout de lassitude qui m’émut un peu, elle me dit : je vous crois galant homme et vous saurez ne pas trop exiger de moi.

Le match était à son comble. Mes potes étaient obnubilés, leur chemise trempée de la sueur des joueurs, gladiateurs modernes. Michelle nous avait rejoint et déposé les petits fours. Elle était vis à vis de moi. Son mec quasi au bout du divan, la tête dans la télé ne pouvait nous voir. J’hésitai entre le match et le spectacle de Michelle. En effet il m’échappa d’abord qu’elle avait adopté une nouvelle position. Après avoir croisé ostensiblement ses cuisses haut afin que personne n’ignora qu’elle porta des bas et que sa chair nue affleurait, était belle et désirable, elle choisit un moment d’enlever un pied de son escarpin et affectant de devoir le masser, le déposa sur une petite desserte placée devant moi. Ainsi outre ce pied mignon, il m’était révélé l’entièreté de son entre cuisse. Je pus à loisir découvrir que sa culotte était rose et transparente, les poils du pubis se devinant. Je vis que son regard s’assurait que je matais au bon endroit. Elle écartait les cuisses comme il fallait. Je bandais à présent ce qu’elle percevait bien. Cependant Dominique un des autres invités se régalait aussi. Il m’adressa un sourire et un clignement d’œil complice qui voulaient dire, Michelle est une satanée salope. J’ignorais que ce Dominique le savait d’autant qu’il était de ses amants. La démonstration qui s’en suivit me confirma là dessus. Michelle en effet se leva d’un coup pour aller fumer sur un balcon derrière moi. Dominique derechef lui emboîta le pas. Les deux autres convives ne perçurent rien.

Je me tournais discrètement afin d’examiner ce qui s’y passait.

Dominique collait Michelle, l’enlaçant de son bras, la tête enfoncée dans son cou. Celle-ci ne s’en offusquait point. Elle continuait à tirer calmement sur la cigarette. Il m’apparaissait à présent qu’ils été amants familiers. Dominique sans considérer si il était observé, hasarda à lui relever la jupe. Il lui découvrit les fesses et le string puis lui introduisit dextrement un des doigt dans la chatte. Il en fit autant je crois avec le cul. Elle se dandina un peu. Etait-ce gêne ou contentement ? puis elle sembla vouloir se séparer de lui. Elle rentra nonchalamment dans la pièce et se dirigea vers la cuisine sans accorder quelque attention au groupe d’hommes. J’étais épaté, mortifié de tout ce film. J’avais perdu entre temps le fil de mon match. Cette finale risquait de demeurer dans les annales du tennis. Nous allions à présent vers un tie break monumental.

Je ne savais si je devais la rejoindre à la cuisine. Je flanchais. Je me dégonflais à mesure. Je n’étais décidément pas de l’étoffe des héros. Par la suite elle se moqua et m’avoua avoir été déçu que je ne vins pas la rejoindre dans la cuisine d’autant que j’avais vu ce que le Dominique lui avait infligé. Car elle m’aurait sûrement sucé. Elle était toute mouillée ce soir là. En même temps je sus que ce fameux Dominique l’avait converti, elle et son mari aux vertus de l’échangisme. La première séance étant survenue ici. Le mari de Michelle dut se taper la dame de Dominique personne potelée pas vraiment canon mais cochonne avérée. Dominique pas mécontent de l’échange dans le même lit, s’étant astreint à sodomiser toute la nuit ma chère Michelle. Ils s’essayèrent par la suite et avec un moindre succès à des clubs spécialisés. Depuis Dominique s’autorisait à baiser Michelle dans tous les endroits et circonstances possibles. Adipeux et vilain il n’en était pas moins adroit et performant dans l’exercice. Cet amant ami se trouva pour Michelle une aubaine et un réconfort dans sa détresse actuelle. Bref elle ne marquât aucune honte à m’avouer du besoin d’un tel amant.


Nous honorâmes rapidement le rendez du restaurant. Elle me fit des confidences. Je dus lui paraître un peu prude et petit-bourgeois. Elle dut hésiter à se donner à moi. Son petit tailleur élégant, cette jupe de cuir noir. fendue à dessein et qui exhibait sans décence le principal de sa cuisse que d’autres hommes lorgnaient, tout cela me disposait à aller au bout. Je soutenais pourtant la conversation et l’intérêt de celle-ci encourait le risque d’expirer et de tout à fait tarir. Etais-je en train de me dégonfler ? Bref et comme pour se débarrasser elle me signifia que l’heure avançait et que nous devions nous hâter. Elle me cita un nom d’hôtel proche. Son culot me souffla. Une chambre fut prestement choisie. Je vis qu’elle connaissait le type à la réception de l’hôtel. Dans l’ascenseur elle se tourna vers le miroir afin de s’y mirer. Elle m’offrait ainsi l’opportunité de lui fourrer la main sous la jupe. Ce fut fait. Sa culotte était infime et je pus lui caresser le cul.


Parvenue dans la chambre elle fut d’emblée odieuse. Elle s’affala dans un fauteuil et par un geste théâtral projeta au milieu de la pièce l’un des escarpins lequel vint échouer auprès de moi sur la moquette. Il s’agissait du même pied que l’autre fois. Elle me le tendit. Elle avait avec sûreté perçu un de mes vices. J’étais un peu fétichiste, il est vrai. Je m’agenouillais et tel un prince devant n’importe quel Cendrillon je pris dévotement son pied magnifique sculpté dans un bas noir résille. Je m’en caressais la joue, la bouche et le baisais suçant un peu quelques-uns des orteils à travers son bas. La senteur malséante du pied ajoutait comme à mon trouble et à mon excitation. Son pied était nerveux et me giflait et m’agaçait en même temps tout le visage. Bientôt je fus couché sur la moquette acceptant que ce pied m’écrasa et me foula la face.

Dans ce délicieux désarroi je vins à regarder au-dessus de moi vers ma maîtresse qui me domptait et me surplombait, je découvris à peine étonné qu’elle n’avait plus de culotte et qu’au dessus des bas trônaient une chatte et une vraie raie de cul. Ma queue bandait, j’étais centaure. Elle choisi ce moment pour me faire rasseoir dans mon fauteuil. Entre mes genoux la braguette ouverte, la queue bien extirpée elle se réfugia et s’adonna à une démonstration furieuse. Jamais ne je fus pompé ainsi. Ensuite levant avec affectation la jupe, elle s’installa à quatre patte sur la moquette à la façon d’une chienne. Elle tendit sa croupe et me cria : vas-y prend moi. Sers toi c’est mon mari qui offre. Qu’il soit cocu ! L’évocation de son mari me galvanisa avec une joie mauvaise. La queue bien dure, je la fouaillais et la besognais. Je commençais par la chatte. Puis rapidement j’introduisis un des doigts dans l’anus. Elle sut m’indiquer que celui-ci aussi pouvait être défoncé. J’étais un peu godiche et par trop scrupuleux en cet exercice. J’avais le gland gros et ne voulait point lui faire de mal. Par la ruade des fesses et quelque aveu d’impatience elle m’aida vite à entrer. Je vis que son orifice engloutissait le gland sans difficulté. Preuve d’un passage régulier. La bite entrée à demi dans le cul, je pus accentuer et conforter mon avantage. Ainsi je pus l’enculer tout à loisir. Ses gémissement n’étaient point feints ce dont je lui fus redevable. Elle aimait çà. Je compris que l’ami Dominique se la soit attaché par cette façon. Ainsi nous baisâmes une heure durant sans que le lit fut touché, défait. Elle m’adouba. Je faisais parti du club des rares amis de son mec qui pourraient la sauter.

Dominique sut par un autre que j‘avais culbuté Michelle ce dont il me félicita aussitôt. Il était sport et partageur et se tapait je le su après nombre de femmes de collègues. Cette performance ne laissait pas de m’étonner car il était décidément vilain. Un matin, je l’observais par la fenêtre du bureau parcourant tout l’espace du parking. Bedonnant il avait la démarche disgracieuse d’un boiteux. Il semblait devoir reprendre son souffle tous les dix mètres. Etait-ce là l’apparence d’un tombeur ? Manifestement il bénéficiait de sa réputation non usurpée de bon coup et dont chacune de ses proies avait du se faire l’écho. Il m’apprit par là même que tous les types de l’étage avait sauté Michelle ce qui m’attrista profondément. Celle-ci manifestement était nympho, elle m’assura qu’elle ne savait pas se refuser à un homme qui la convoitait. Dernièrement le laveur de carreau, un arabe de cinquante ans avait obtenu qu’elle ferma la porte du bureau. Il avait pu à son aise la besogner un bon quart d’heure. Il en avait oublié de laver les carreaux. Pareil elle avait accepté d’être plusieurs fois gouiner par la femme de Dominique. Cette dernière était une fieffée maquerelle. Je ne sais comment elle était parvenue à prostituer ma douce Michelle à certaines de ses amies afin d’obtenir en retour les faveurs de quelques jeunes lesbiennes qu’elle n’eut attrapé autrement. Là-dessus Michelle voulu tout nier en bloc. Son scrupule témoignait du moins des limites de sa lubricité et de son immoralité. Néanmoins je sus qu’elle avait accepter une fois de coucher avec la directrice des ressources humaines notoire lesbienne ; ce ne pouvait être sûrement que pour apparaître avantageusement sur la liste d’avancement. Bref chaque révélation augmentait un peu de mon dépit et de mon ardeur à la baiser quand je l’entraînais le midi à l’hôtel ou dans la voiture au fond du parking. Du reste je ne devais pas être le seul à l’honorer de cette façon en ce lieu. Au final j’appris que son mec avait renoncé à bander depuis longtemps ce qui ne justifiait complètement l’erratique comportement de Michelle.
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