ACCUEIL > Hétéro > Récit : Education sexuelle

Education sexuelle

+161

Lue : 121179 fois - Commentaire(s) : 12 - Histoire postée le 10/01/2010

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

J’étais tout petit quand mon copain Jean Claude, le fils de l’institutrice, me montra chez lui qu’en rampant sur le parquet on ressentait un picotement agréable dans nos queues. Tous les deux quand nous étions seuls dans sa chambre nous rampions en frottant nos bas ventres sur le sol ou sur un coussin posé par terre. Quand le picotement survenait dans notre quéquette raidie nous nous agitions frénétiquement pour augmenter l’intensité du plaisir que cela nous procurait.

Initié, je pris l’habitude de ramper chez nous, à la maison. Quand le plaisir s’estompait au bout d’un moment il suffisait de continuer de ramper pour le sentir revenir, plusieurs fois si je voulais. J’avais conscience, je ne sais pourquoi, que cette attitude était répréhensible, que c’était mal, qu’il ne fallait pas le faire, que c’était un péché, mortel peut être ? Je continuais malgré tout de me frotter le bas ventre pour le plaisir que cela m’apportait.

La confirmation que ce geste était mauvais me vint de mon père qui un jour entrant sans prévenir dans ma chambre me vit allongé sur le ventre et m’agitant par terre. Il se précipita sur moi et me relevant il m’administra une paire de gifles dont il avait le secret, puis il sortit sans dire un mot et ne m’en parla plus jamais.

C’était mal donc, mais c’était bon et je continuais de me faire plaisir mais en cachette. Cela avait quelques inconvénients, parfois pour faire monter le plaisir qui tardait à venir je devais m’agiter plus fort sur le sol et après coup j’avais mal aux couilles, elles me semblaient peser des kilos et je devais les tripoter au travers de mes poches de culotte pour atténuer cette sensation désagréable.

C’est seul cette fois que je découvris que je pouvais ramper au lit, c’était plus doux, plus discret ; le plaisir était plus long à venir mais plus intense semble t’il.
Aucune association d’idées ne me venait en rampant jusqu’au jour où mon copain Robert du premier étage de l’HBM où nous habituons me parla des filles. Pour moi c’était un genre à éviter, l’immeuble de quatre étages en était rempli, plus que de garçons je crois.

Quand j’en croisais une dans l’escalier, bonjour ! bonsoir ! C’est tout, les yeux baissés je filais. Robert par contre lui n’était pas timide et quand en bande nous jouions dans les escaliers ou dans le vestibule d’en bas il chahutait avec elles, cela se terminait par des simulacres de bagarres, il en profitait pour les peloter en faisant mine de les chatouiller, elles résistaient en le repoussant, rouges de colères feintes.

Les plus belles, les mieux foutus n’étaient pas les dernières et j’enviais la hardiesse de ce Robert, pourtant moins beau que moi. Il me racontait la fermeté de leurs seins, la rondeur de leurs fesses, avec Arlette du quatrième et Odette du troisième il réussissait à passer sa main sous leur robe et à serrer sa main entre leurs cuisses sur le tissu de leur culotte.

Il prenait des gifles, il se faisait griffer ou mordre, châtiments de peu d’importance pour le bénéfice qu’il en avait. Pour les filles l’honneur était sauf on ne pourrait dire qu’elles se laissaient faire ; et pourtant ! !

Et moi je n’osais rien . C’est en pensant aux filles que je rampais dans mon lit désormais, je mettais un oreiller sous mon ventre et j’en étreignais un autre dans mes bras, je pelotais des seins imaginaires aux coins de cette poitrine en plumes et je mimais en agitant mon ventre des combats érotiques. En me regardant à la glace je constatais que mon membre et mes parties grossissaient en se couvrant d’un léger duvet frisé.

Robert lui déjà allait à Paris en apprentissage, cela lui donnait de l’importance. Le samedi nous allions aux bains douches municipaux rue Diderot ; pour économiser nous ne prenions qu’une cabine et sans gêne aucune nous nous lavions de concert nus comme des vers.

C’est évidemment Robert qui commença à se branler, il agitait convulsivement sa main sur son membre savonné, son membre raidi prisonnier coulissant dans l’anneau de ses doigts. Regarde me dit il je vais juter ; il s’astiquait ainsi un bon moment l’air absent sans se soucier de ma présence ; il commença à gémir en s’agitant au rythme de sa branlette de plus en plus vite, les avancées de son ventre de plus en plus amples, brusquement il se mit à gueuler, il avait l’air de souffrir atrocement, son visage grimaçait et je vis un jet blanchâtre puissant gicler de l’extrémité de son gland décalotté, puis un autre, des gouttes enfin perlant au bout de sa bite qui mollissait.

« Tu as vu comme ça à giclé, j’ai jouis, ah c’est bon sais tu ?

Je n’eus pas le temps de lui dire que je ne jutais pas du moins pas encore, des violents coups frappés à la porte de la cabine nous firent taire

« Que ce passe t’il ? un peu moins de bruit s’il vous plaît ! ce n’est pas un bordel ici !

C’était la voix courroucée de la matrone responsable du bain douche. Plus discrètement nous reprirent nos occupations, Robert me demanda d’essayer de faire comme lui pour jouir à mon tour, jamais encore je ne m’étais touché la verge et quand ma main astiqua ma verge savonnée et après qu’elle se soit raidie je ressentis le même picotement que lorsque je rampais, un peu plus fort peut être.

Ainsi mon copain Robert était plus avancé que moi en la matière, d’ailleurs des poils commençaient à orner son membre contrairement à moi. Bizarrement ma verge était plus grosse et surtout plus longue que la sienne aussi bien au repos que lorsque nous bandions, mais la sienne restait constamment décalottée.

Robert me montra qu’on pouvait se retrousser la peau pour faire apparaître le gland, j’essayais mais je ressentis une douleur qui m’empêcha de sortir mon gland de son écrin.

« Il faudra faire comme moi, un peu plus chaque jour et tu verras ce sera comme moi, c’est plus propre, la première fois que mon gland est sorti j’avais plein de fromage à nettoyer, ça puait ! »

C’est ainsi que Robert à peine plus âgé que moi faisait mon éducation. A la maison quand j’étais seul ou dans mon lit je continuais de ramper et je commençais à me masturber en essayant de me retrousser. Un jour, vainquant la douleur je réussis et le gland m’apparut rouge, violacé, tendre. Comme Robert me l’avait annoncé je dus me nettoyer et enlever le fromage comme il disait, en effet cela ne sentait pas la rose ! C’est alors que j’aperçu une goutte de sang perler et cela me brûla durant plusieurs jours. Mais toujours pas de sperme, que des picotements.

Quand j’étais sûr de rester seul un bon moment à la maison, j’avais imaginé de m’exciter sur le mannequin de couture de ma mère, je m’allongeais sur lui en enlaçant ce buste et ses hanches de femme, il manquait la tête, les bras, les cuisses, mais puissance de l’imagination j’étreignais une femme, une fille, mieux parfois, dans ma tête, c’était Odette ou Arlette. Ce n’était pas commode d’enfourcher ses rondeurs rigides mais j’y trouvais du bonheur sur le parquet et parfois dans mon lit.


Vers 18 ans, j’étais toujours à la recherche du plaisir et j’avoue que je tournais un peu en rond. Ma timidité me paralysait devant les filles de la maison, je ne pouvais faire comme mon copain Robert qui n’hésitait pas à chahuter avec elles pour leur plus grand profit. Je ne comprenais pas leur réserve à mon égard, devinaient elles mon inexpérience, cela se voyait il sur ma figure? Fallait-il juter pour oser ? N’osaient elles pas avec moi ? En fait tout venait de moi, de ma timidité envers les filles.

Cela débuta le soir même de notre arrivée en vacances. Notre voisine de palier ayant loué une villa au bord de la mer proposa gentiment à mes parents de m’amener avec elle et sa fille Agathe un peu plus âgée que moi. En juillet nous serions trois, monsieur Travil, son mari nous rejoindrait un ou deux week-end durant le mois. J’étais enchanté étant donné que mes parents sans grands moyens à l’époque ne pouvaient que m’envoyer en colo avec les curés de la paroisse.

La villa au milieu d’un grand jardin sableux comportait trois belles chambres, une salle d’eau, un débarras, une cuisine et une grande salle. Dés le premier jour Agathe retrouva un chapelet d’amis et d’amies et disparu si bien que je pris mon premier bain de mer seul avec madame Travil.

C’était la première fois que je voyais la mer autrement que sur des images et je m’en donnais à cœur joie. Madame Travil me recommanda d’être prudent mais je nageais comme un poisson et je fis le fou dans les vagues. Au retour à la villa elle me conseilla d’aller me rincer la peau à l’eau claire, elle me conduisit dans la salle d’eau pour me montrer me dit elle et sans manière me pria de me dévêtir. Bien que grand pour mon âge, il faut vous dire qu’à près de 18 ans cela me gêna un peu.

« Allez dégourdi ! entre dans la baignoire, ôtes ton slip, voilà ! aller un peu d’eau froide »

Maternellement elle s’occupait de moi en me savonnant doucement. Aucune surface ne fut épargnée et fatalement et comme naturellement elle s’activa sur mon membre. A l’époque je commençais seulement à bander mais par rapport aux copains que je voyais nus comme des vers sous la douche après les matchs de basket, j’étais un des mieux lotis.

« Dis donc tu es puceau » dit elle en souriant, elle observait mon gland encapuchonné « A dix huit ans ! »
« Je n’ai que 17 ans madame Travil bientôt 18 » dis je presque honteux
« C’est égal, je pensais qu’on se dépucelait plus tôt à notre époque, il faut me laver tout ça, ta mère ne te le dit pas ? »

Et comme interdit j’étais figé sur place, elle se chargea de l’opération et je la laissais faire. Je fus branlé consciencieusement par une main experte, le savon facilitait l’introduction et le coulissement de ma verge dans sa main serrée sur elle.
« Ah bien tu bandes canaillou, c’est heureux, c’est plus facile à astiquer »

Elle me prenait le gland entre ses doigts, le pouce et l’index et le titilla fébrilement, je compris que petit à petit elle essayait de le décalotter, de le dégager de sa gangue de peau qui le recouvrait. Je l’avais fait une fois chez nous, cela faisait mal mais d’un autre côté je n’avais jamais été aussi gros aussi raide. Quand mon gland apparu, rose violacé je poussais un petit cri et une goutte de sang perla à nouveau par dessous.

« Regarde ce fromage, c’est un coup à avoir de l’inflammation »
C’était vrai, elle pu ainsi délicatement me laver le bout de mon membre entre ma hampe et le gland, un coup de savon, un bon rinçage.

« Et voilà le travail, toute propre, toute prête agiter avant de s’en servir ! Désormais si on te demande si tu es puceau, tu pourras dire non maintenant, tiens regarde toi dans la glace, vois ! Tu as une bite d’homme toute belle, toute neuve, un peu petite mais elle grossira à l’usage. Je suis contente je crois ne pas avoir perdu mon temps en t’étant utile ! »

Ainsi j’étais dépucelé ; les grands parlaient toujours de leur fleur avec nostalgie en pensant à leur premier baisage, à la première fille qu’ils ont serrée dans leurs bras. Pour moi je l’aurai perdu sous la douche.....
Je devais avoir triste mine car gentiment elle me dit
« Tu aurais préféré le perdre en couchant avec une fille, aller cela ne va pas tarder, beau gosse comme tu es. Tu es débarrassé, quand tu baiseras tu n’auras que du plaisir. Aller renfile ton slip et ton short... nous mangerons dans une heure »

J’avoue que j’eus besoin de m’isoler un moment pour revivre ces derniers instants, le bout de ma queue me brûlait légèrement, ma peau commençait à reprendre sa place, mais en bandant je sentais mon gland vaincre ce rempart et resurgir victorieux. Ma main dans ma poche explorait ma tige des couilles au nœud et j’avoue que je bandais davantage. Sur le tissu soyeux de ma poche je caressais le cylindre de ma verge et lui trouvais fière allure.

Que penser également de madame Travil, pourquoi avait elle agit de la sorte ? Comme une mère ? Elle n’avait qu’une fille et pour elle j’étais peut être le garçon qu’elle n’avait pas eu. Par la pensée je refaisais son portrait et sous cet angle nouveau je découvris la femme que c’était, belle et vraie femme hors de portée de mes fantasmes et pourtant, j’imaginais sa croupe incendiaire, ses seins agressifs, je repensais à sa posture sur la plage lors de son bain de soleil, grande ouverte aux dards du soleil éclatant qui la pénétrait.

Cette femme qui m’avait dépucelé à la main, je m’imaginais maintenant la chevauchant à cru la fouaillant au plus profond d’elle même, je la faisais hurler de plaisir, quelle différence avec le mannequin de couture sur lequel je m’excitais quand j’étais seul et tranquille à la maison. Mais tout cela n’était que fantasme d’adolescent, malheureusement.
Durant le repas je fus comme vidé de ma substance, madame Travil m’observait en douce, souriante. Si elle avait su les rêves érotiques qui me hantaient et dont elle était l’héroïne elle aurait sans doute été moins aimable.

A la nuit je regagnais ma chambre tout fiévreux, je ne pouvais trouver le sommeil m’agitant en tout sens en me retournant, je rampais à plat ventre embrassant les seins formés par les coins de l’oreiller, je faisais jouer mon pénis dans son écrin de peau. Le sommeil du me surprendre tard dans la nuit, il fut peuplé de rêves érotiques.

A un moment je m’éveillais, la chambre était faiblement éclairée par la clarté de l’aube filtrant à travers des persiennes.....Elle était là, dans la pénombre, près de moi, assise sur le lit à ma droite, elle me regardait profondément, un doigt levé sur ses lèvres en signe de silence. Elle devait être là depuis un bon moment car lorsqu’elle s’allongea à mon côté, se collant sur moi, je sentis la fraîcheur de sa peau. Pétrifié je pensais rêver.

Elle commença alors à me caresser, ce n’était qu’un effleurement de sa main sur mon pyjama en s’attardant entre mes cuisses, ma verge saisie au travers de l’étoffe. Excité par mon rêve j’étais déjà raide, les doigts eurent tôt fait de la dresser davantage, puis elle s’occupa de mes couilles. Son visage s’approcha du mien et je l’entendis me murmurer
« je ne peux te laisser sur le mauvais souvenir d’hier soir, un dépucelage sans baisage, cela ne va pas »

Qu’elle était douce cette caresse, je sentais les doigts sur ma verge durcie plaquée sur mon ventre, voulaient ils me faire jouir pour la première fois ? Je m’imaginais comme dans mes rêves les plus osés la prenant à la hussarde.

La réalité fut tout autre, je sentis descendre mon pyjama et c’est elle qui m’enfourcha, relevant les draps elle se mit à genoux, face à moi, cuisses écartées, mon corps entre ses jambes, puis elle s’assit sur moi, sur mon ventre. Je n’osais bouger, je sentais sa chaleur m’envahir au travers de sa petite nuisette. Elle se releva légèrement pour se retrousser, seule sa petite culotte séparait nos deux membres, elle allait et venait sur moi pour la plus douce des caresses.

Je fus un peu inquiet quand elle se releva légèrement, un court instant car passant sa main par derrière entre ses fesses elle me saisit la verge. Je crus hurler quand écartant son petit slip de l’autre main elle descendit sur moi présentant mon gland entre les lèvres de sa chatte, d’une petite poussée elle se centra sur moi le bout de ma queue enlisée en elle, c’était doux, chaud et humide.

La danse commença, en deux ou trois aller et retour, d’un coup elle s’écroula en s’empalant à fond sur mon membre, les fesses sur mes couilles ; elle ajusta sa position et commença à bouger centrée sur mon membre, elle ondulait quand elle restait en moi à fond, elle avançait et reculait son bassin, j’étais alors branlé de la plus onctueuse des façons, ou alors elle tressautait sur mon ventre sans jamais abandonner mon membre le sortant presque complètement de sa chatte avant de le replonger au plus profond d’elle même.

Etonnamment je restais lucide, c’était donc cela baiser, planter sa queue dans un conduit accueillant, moins serré qu’une main, c’était meilleur je l’avoue. Et puis cette présence féminine, la douceur de la peau, le parfum des corps en chaleur, oui c’était bon.

Je sorti de mes réflexions car un changement se produisit, le fourreau qui me branlait s’anima d’autres façons, les mouvements devenaient plus heurtés, les descentes plus vertigineuses, par moment j’étais serré dans la vulve quand elle cherchait à s’échapper à d’autres moments au contraire ma queue avait du mal à rentrer broyée dans l’étau puissant de ses lèvres, un liquide sirupeux favorisait le contact de nos deux membres, le sien mouillait abondamment.

De tant à autre l’un de nous deux poussait un petit cri quand une initiative nous surprenait car je participais maintenant, je sentais dans ma queue un fourmillement de plaisir qui m’incitait moi aussi à bouger, à aller et venir dans ce calice grand ouvert ; quand il nous arrivait d’aller à la rencontre l’un de l’autre le choc était violent, mes couilles écrasées entre ses fesses écartelées, nos respirations devinrent rauques et saccadées au rythme de nos emmanchements, des circonvolutions de nos croupes tordant nos membres.

A ma grande surprise je m’aperçus ne pas être seul à être heureux, madame Travil mon initiatrice s’abandonnait comme moi au plaisir qui nous envahissait, ses mouvements devenaient convulsifs, incohérents, son bassin nerveux s’agitant en tout sens. D’un coup sa chatte s’ouvrit grande en durcissant, ma verge à l’aise d’un coup en elle dans sa corolle empli de rosée.

Elle gloussa quand je lui pris la taille nue sous sa nuisette, elle eut comme un rictus nerveux quand je lui gobais ses gros seins qui dodelinaient devant moi, elle mouilla davantage quand je pris ses mamelons durcis entre mes lèvres. J’étais excité au plus haut point conscient du plaisir que je pouvais donner moi aussi à une femme aussi expérimenté que mon hôtesse.

C’est à cet instant que je perdis la notion de l’espace et du temps, un ras de marée me saisit, mon gland éclata comme un volcan crachant sa lave, elle remonta des profondeurs comme une traînée de plaisir, première jouissance, premiers jets de sperm, pour mon bonheur dans une cramouille en furie. Mon ventre fut inondé d’une liqueur nacrée. Manifestement madame Travil jouissait encore quand je retrouvais mon calme, les yeux perdus elle s’empalait allègrement sur mon pieu dressé, sa chatte chuintait humide serrée autour de mon membre.

Je compris que je lui donnais du plaisir et je m’efforçais malgré la torpeur qui m’envahissait de rester raide le plus longtemps possible. J’observais longtemps encore son visage tourmenté, je lui pris les seins érectés, les serrant en les écartelant avec mes mains. Je me tendis une ou deux fois encore avant de m’écrouler comme la chèvre de monsieur Seguin qui après s’être battue toute la nuit avec le loup, se coucha au petit matin, pantelante.

Je ne me souviens plus de la suite. Je me retrouvais tard dans la matinée dans mon lit bien bordé, mon pyjama réajusté, bien boutonné. Un déjeuné chaud odorant m’attendait dans la salle.

De la matinée je fus un peu honteux, n’osant regarder madame Travil dans les yeux. Agathe était partie depuis l’aurore avec des copains.
Quelles vacances : arrivé le mardi, dépucelé le jour même, baisant le matin suivant, mais que me réservait donc la suite de ce long mois estival. Pour l’heure j’étais vidé et ce n’est que le jeudi que je recommençais à bander en me touchant au travers de ma poche.

-------------------------------------------

Ce jour là, encore, nous étions à la plage sans Agathe partie dés le matin je ne sais où. Avec madame Travil nous marchèrent longuement et l’on s’arrêta entre deux plages, tranquilles au creux isolé d’une dune. Nous nous allongèrent et elle me proposa de bronzer nus comme la plupart des baigneurs qui de loin en loin nous entouraient. Elle se dévêtit et je fis de même très gêné car je bandais depuis le matin.

Elle fit semblant de ne rien remarquer mais moi sournoisement je pus admirer ses formes généreuses, ses seins, ses fesses fermes sans la moindre trace de cellulite, ses hanches galbées et sa taille fine. Elle devait avoir l’habitude de ce genre d’exposition, car sans la moindre attention à mon égard elle offrait son corps au soleil dans toutes les positions. Ainsi c’est cette femme qui s’était donnée à moi, ce n’était pas croyable, moi le jeune puceau, pour la première fois j’avais baisé ce corps épanoui de vraie femme, j’avais joui en elle, je lui avais donné du plaisir. Pour me calmer, je dû aller me tremper dans l’eau froide de la mer, la verge en drapeau.

Dans la nuit, je ne pus fermer les yeux sans rêver à ce corps si troublant, ce corps de femme expérimentée, épanouie, qui par charité sans doute m’avais fait jouir comme je n’aurais jamais pu l’imaginer. L’obscurité était totale quand je me levais, seule la lune éclairait la chambre d’une lueur blafarde. Sans bruit, le cœur battant la chamade j’entrais dans la chambre voisine et m’assit sur le lit. Je tremblais d’émoi d’avoir osé être ainsi près de la femme aimante qui m’avait fait homme. Je me glissais sous les draps et me collais au corps brûlant de madame Travil qui se réveilla en sursaut :
« Encore toi ! à non mais ! que veux tu ? »

Et comme tétanisé je ne disais rien
« A non, fini ! j’ai réparé ma bêtise de la douche, ne m’en demande pas plus--- tu as fini ! ---Pierre ! tu arrêtes !

Sans obéir, je m’étais collé contre elle, sur son côté, mon pénis sur sa cuisse, je me pressais sur elle en gémissant, faisant rouler ma verge en érection.
« C’était bien hier, vous êtes belle, j’ai envie de vous, je n’ai pas peur de vous, j’aime être avec vous, apprenez moi, je ne sais rien de l’amour »

En parlant et comme elle ne disait rien, je baissais mon pyjama et doucement je la retroussais. Elle était nue sous sa chemise de nuit largement décolletée, je l’enjambais et me mis à plat ventre sur elle, elle sourit imperceptiblement et je restais, mon ventre entre le compas de ses cuisses, ma verge allant et venant dans sa fourrure.
« Sacré petit vaurien, me voilà éducatrice maintenant ! »

Malgré cette réprimande je la sentais troublée plus qu’elle ne semblait le dire, surtout quand je lui pris les deux seins. Jamais je ne les avais imaginé si beaux, si lourds, si doux, deux grosses taches brunes ceignant leurs rondes extrémités. En me penchant sur elle je l’embrassais dans le cou. Je m’agitais de plus en plus entre ses cuisses entrouvertes et j’allais jouir, mais je me freinais en me soulevant légèrement baissant ma garde j’essayais maladroitement de me centrer, je n’arrivais pas à mes fins, elle dut me guider, mais la douce pression de ses doigts sur ma verge me transporta et bêtement j’éjaculais dans sa main arrosant son ventre.

Je continuais de jouir en me branlant dans sa main qui ne m’avait pas lâché, j’étais heureux mais honteux de mon échec, moi qui avais rêvé de pénétrations savantes et profondes transformant mon amante en furie se tortillant de plaisir, j’étais maintenant tout penaud.
« Gros bêta ! tu en as fais un travail, ce n’est pas encore au point ton affaire. Je te le demande, as tu pensé à moi ?As tu pensé que jouir en moi pouvait avoir des conséquences ? Et mon plaisir, y as tu pensé un seul instant ? Une femme sache le est longue à se mettre en transe il lui faut du désir et des attentions. Le désir je l’avais car tu me troubles par ta jeunesse, ton inexpérience. Tu as joui et jeté ta semence trop tôt, il faut te retenir le plus longtemps possible. Jouir ensemble, jouir quand sa partenaire est en plein orgasme, rester raide en elle jusqu’à son épuisement, voilà des baisages réussis. Note bien petit, je ne suis pas trop déçue de ne pas avoir joui car je serais servi bientôt, monsieur Travil arrive samedi matin, Tom, lui, sait me faire jouir-----------Mais ne bouge pas nous allons salir tous les draps, relève toi, voilà je t’essuie la verge et mon ventre, là ! le mal est réparé-----‘ »

Ma quéquette qui s’était ramollie légèrement se redressa sous la caresse et quand elle m’essuya les couilles elle se dressa en durcissant. Madame Travil s’en aperçu et marqua son étonnement.
« Tu as l’air doué dit donc, tu rebandes ! d’habitude l’homme s’écroule de longs moments avant de pouvoir durcir »

En parlant elle me palpait en me caressant par dessous , puis elle remonta sur ma hampe jusqu’au gland décalotté . C’est elle encore qui organisa la suite, relevant ses genoux, cuisses écartées, elle mis un oreiller sous ses fesses, la position était merveilleuse, je m’approchais, ma verge verticale dans sa fourrure entre ses lèvres, elle se recula un peu et me guida en baissant ma queue , quand elle se recolla sur moi j’étais à demi emmanché en elle, je n’eus plus qu’à m’agiter, doucement, très doucement, rentrant et sortant ma queue de ce lieu enchanteur.

A ce stade elle me laissa agir à ma guise, confiante dans les conseils qu’elle m’avait prodigués, elle fermait les yeux, un léger sourire aux lèvres, je m’efforçais de faire naître son plaisir en variant mes ébranlements, soit par la cadence, soit par leurs profondeurs.

Je l’observais quand sortant mon membre je replongeais en elle en forçant sa vulve, à ces moments un bonheur irradiait son visage et cela m’encouragea à continuer à entrer et sortir mon gland avant de replonger au fond de sa chatte, dans cette position je n’avais aucun mal à me recentrer, je remarquais qu’elle mouillait abondamment et j’étais de mieux en mieux en elle, c’était doux, chaud, onctueux. Je sentis venir sa jouissance quand tout en continuant de me vautrer en elle je lui pris les seins, ils étaient durs, les pointes érectées , je les pétrissais en cadence
« Plus fort Pierre, oui continue, ahhh je suis bien, je sens bien ta queue, ta jeune queue bien dure, ouiiiiii à fond, mets tes mains sous mes fesses, ouiii aller rejoints moi ! inonde moi, ahhhhh je jouis, suce moi, suce moi les seins, écarte bien mes fesses, ouiiii je sens tes couilles battre mon cul ah ouiii c’est bon, viens »

J’essayais de venir comme elle disait, en m’activant sur elle, de plus en plus vite, de plus en plus profond, j’avais pris un sein dans ma bouche et ma langue virevoltait sur sa pointe durcie. Mon amante se tordait sous moi les yeux dans le vague, la bouche tordue, inconsciente en plein orgasme, plus je m’activais plus elle jouissait, allais je jouir à mon tour pour la deuxième fois en si peu de temps ?

D’un coup je me senti serré au fond de sa chatte, prisonnier de l’étau puissant de ses cuisses, c’est alors que j’éclatais en elle d’un puissant jet au bout de mon membre prisonnier, elle poussa un cri de bonheur et s’ouvrit en corole laissant ma hampe aller et venir onctueusement en elle. Oui nous jouissions tous les deux ensembles, que c’était bon ! Dans les bras l’un de l’autre nos deux corps liés par nos membres roulaient en tout sens, parfois dessus, parfois dessous, nos bouches n’étaient qu’une plainte, qu’un gémissement, à des périodes de calme succédaient des déhanchements furieux relançant le bonheur de la jouissance ; et puis le calme revint comme un orage qui s’éloigne et s’éteint nous laissant tous les deux enlacés et comblés.

Quand enfin nous nous désaccouplèrent, c’est elle qui brisa le silence qui s’était installé
« Désormais appelle moi Simone mon petit Pierre, une petite chose seulement, ne crois pas que je me donne à tous le monde, ta jeunesse m’a attiré, désormais tu seras moins nigaud avec les filles, j’espère que tu te souviendras de moi dans ces moments là »

« Et vous mad-, non, et toi Simone, tu étais bien avec moi ? ai je su te faire jouir ? »

« Tu l’as bien vu, oui j’étais bien, cela aurait été parfait si ton membre était un peu plus gros, mais il va changer, faits toi bander et rebander souvent, tu verras il se fortifiera pour le plus grand plaisir de tes compagnes »

« J’ai encore envie de toi Simone »

« Ah non, chéri, au dodo, et sois sage »
Je quittais la chambre avec un dernier regard sur les seins et la croupe de celle qui l’instant d’avant jouissait dans mes bras. De celle si gentille avec moi, si compréhensive qui bien servie par ailleurs ne me repoussait pas le jeune adolescent inexpérimenté que j’étais.
---------------------------------

Le vendredi fut calme, je récupérais de mes fatigues, Agathe faisait de brèves apparitions pour manger un morceau sur le pouce ou pour faire un petit somme, la plupart du temps elle était ailleurs, où exactement ?
Comme Simone me l’avait conseillé je me caressais au travers de mes poches, à tout moment en tout lieu et j’avais plaisir à me faire bander. A plusieurs reprises par curiosité je m’isolais dans la salle d’eau devant la grande glace et là baissant ma culotte je me regardais sous tous les angles. Je crois en effet que je grossissais, ma verge dressée à la verticale, le gland décalotté, la hampe bien grosse, lisse comme une peau de bébé.

Quant aux couilles c’était variable, soit serrées l’une contre l’autre, soit pendantes et bien séparées dans leur sac fripé légèrement masquées par un léger duvet noir et frisé . J’étais satisfait de l’évolution annoncée et continuait en douce de me caresser. A cette époque, était ce propre à moi ? j’étais préoccupé par ma bite depuis qu’elle se manifestait autrement que pour des besoins domestiques, j’étais très attentif à ses dimensions et le mètre à ruban m’était indispensable pour mesurer mes progrès.

Quand je ne bandais pas en baissant mon pantalon, je m’excitais pour grossir et cela ne tardait pas surtout depuis que trouvant une petite culotte de femme qui séchait sur l’étendoir je me caressais avec elle. Ce minuscule et soyeux bout de tissu avait le pouvoir extraordinaire en me frôlant la verge de la faire se dresser comme jamais auparavant. Je me demandais parfois si les filles de mon âge, si Agathe par exemple avait le même souci à propos de sa chatte.

Le samedi matin, en voiture, j’accompagnais madame Travil à la gare, pour récupérer son mari . Elle s’était habillée et fardée avec goût, son parfum embaumait la voiture. C’est monsieur Travil qui descendit le premier du train suivit d’une femme que je reconnus être une voisine de palier, madame Diallo. Ce n’était pas prévu et je crus discerner sur le visage de Simone une furtive moue de désapprobation vite estompée par un :
« Formidable ! tu as bien fait d’inviter Laura, cela la changera de ses quatre murs »

« j’ai cru bien faire » répondit le père Travil « J’ai pensé qu’elle profiterait un peu de la mer et du bon air durant un week-end »

« Merci à vous deux, j’espère ne pas trop vous déranger »

Des banalités furent échangées sur le chemin du retour, il fut convenu que j’emmènerais madame Diallo à la plage, monsieur et madame Travil ayant des courses à faire. Vous avez compris que madame Diallo était noire, fille des îles célibataire, agrégée de philosophie. C’était une femme magnifique ; quand elle fut en robe de plage, c’était indescriptible. Pourtant grand pour mon âge, en la suivant je devais avoir l’air du bon petit valet blanc, esclave de la reine de Sabbat. Je compris alors mieux les réticences de Simone, s’imaginait-elle des choses entre elle et son mari loin d’elle ?

Nous prirent un bon bain et je laissais la belle faire quelques emplettes. Je regagnais rapidement la maison, entrant sans bruit dans ma chambre. J’en avais le pressentiment, Simone et son mari étaient bien là dans la chambre voisine. Se croyant seuls ils ne se gênaient pas, j’entendais le rire nerveux de Simone et les phrases gaillardes de son mari

« Oh le beau cul que voilà, il m’a manqué chérie »

« Ah bon ! c’est sûr ce mensonge »

« Fi la belle culotte ! attend que je l’enlève »

A n’en pas douter on ne s’ennuyait guère à côté. Une semaine sans baiser, le père Travil devait être sous pression. Curieux comme une fille et pour parfaire mon éducation, je quittais ma chambre sans bruit et passant par le garage je montais dans le faux grenier obscur et je rampais sur le plancher de bois et au droit de la chambre, allongé, par un trou du plafond de pin je plaquais un œil et embrasait toute la pièce par dessus.

Au premier coup d’œil je frissonnais, le couple en était à la parade avant l’amour, vautré sur le lit, à moitié nus l’homme attaquait la croupe de son épouse par l’arrière, une main passée sous le slip diaphane caressait les fesses offertes tandis que l’autre s’occupait des nichons. Sournoisement une main en arrière la femelle extirpait un énorme membre de la braguette grande ouverte sortant aussi les couilles.

A genoux sur le lit, les jambes écartées en dehors, la tête sur l’oreiller, les seins pendants elle l’attira vers elle. Bientôt je vis le mâle debout derrière elle le chibre emmanché aller et venir dans sa chatte. De mon mirador j’observais le gros cylindre du sexe aller et venir entre ses fesses écartelées, j’entendais le souffle précipité des deux amants.

Simone se mit à se plaindre, le murmure se transforma bientôt en des phrases inaudibles, des onomatopées syncopées, puis un grand cri de jouissance suivi d’un gueulement du mâle en rut, il avançait son ventre par des amplitudes énormes égales à la longueur de sa verge, fesses serrées il éjacula au plus profond de sa compagne. Le couple se calmait quand on entendit Laura rentrer

« merde ! » dit Simone « Laura! il ne manquait plus qu’elle ! je te retiens de l’avoir emmenée, arrêtons ! on remettra ça cette nuit, dommage on commençait à s’amuser, enfin ! ! »

Comme monsieur Travil se réajustait se déroula alors une scène incroyable que je n’oublierais jamais, était ce possible ? La belle Simone s’étant assise au bord du lit attira vers elle son mari, debout face à elle, elle lui baissa le pantalon et le slip et avançant son visage je la vis laper de sa langue la queue souillée de foutre, sous les caresses la queue enduite de salive se dressa, énorme, horizontale.

L’incroyable se produisit alors, quand la bouche grande ouverte goba le gland décalotté avec une main Simone caressait les couilles de son mari. En silence le couple s’amusa, l’homme s’anima d’une forte houle, le membre pincé entre les lèvres charnues disposées en cul de poule, manifestement aspiré, pompé par la bouche vorace. Monsieur Travil, les yeux dans le vague se branlait doucement dans la bouche carnivore qui par moment le dévorait en presque totalité, ses jambes flageolaient par instant, il dut même s’allonger pour ne pas s’écrouler suivi par cette chatte à lèvres horizontales, il se tendit alors plusieurs fois et moi éberlué j’imaginais les longs jets de semence dans la bouche gourmande de sa femme. Jamais je n’aurai imaginé cela possible. Ce devait être bon de jouir ainsi, comment un homme pouvait il rendre à sa femme un tel plaisir ? Mystère ?

Je me tâtais, ma verge était grosse, ma tête pleine de connaissances nouvelles et de projets diffus.

Ce soir là Agathe amena une copine pour coucher, je n’y pris pas garde mais je compris par des brides de conversations entre Simone et Laura que cela posait problème.
« c’est un gosse ! Laura »

« oui je sais je l’ai connu au berceau »

« Le lit est grand------ pour une nuit seulement »
Il me semble qu’elles décidaient que Laura coucherait avec moi dans mon lit. Cela semblait gêner Laura mais Simone insista sur ma candeur et mon jeune âge. Le marché fut donc conclu et l’on me prévint gentiment
« Pierre, nous sommes obligées de te demander le service d’accepter Laura avec toi cette nuit, les autres chambres sont complètes !»

Les deux femmes me regardaient intensément, je cru discerner un léger amusement dans celui de Simone, je bredouillais quelques mots inintelligibles qu’elles prirent pour un acquiescement.

Après le souper qui fut joyeux et bien arrosé par les adultes je regagnais ma chambre en premier, en hâte je me déshabillais pour me mettre au lit. Au bout d’une heure chacun regagna sa chambre. Laura m’interrogea :
« Tu dors petit ? »
« Pas encore madame Diallo »
« Bien veux tu te retourner quelques minutes----- bon tu peux regarder maintenant »

Je n’osais, j’aperçus une masse vaporeuse s’installer dans le lit à mes côtés et se border dans les draps soyeux.
« Je peux lire un moment Pierre ? » me dit elle

Je fis un signe d’approbation. A la dérobée je l’observais, elle était presque assise et je devinais ses seins nus sous la nuisette, son visage régulier, ses cheveux décrêpés, et ses lèvres, malheur ! Je pensais à ce que j’avais vu l’après midi ! ! Les bras nus elle feuilletait son livre et son regard brûlait les pages. Je commençais à m’assoupir quand cela commença dans la chambre voisine, fous rires, petits cris hystériques, protestations joyeuses.

Laura comme moi prêtait l’oreille et son nez se pinça quand le bruit d’une longue et douce plainte filtra au travers de la cloison. Nos regards se croisèrent et une mimique comique illumina son joli visage, elle semblait me dire
«Dit donc !On ne s’ennuie pas à côté ! »

Insensiblement, alors qu’à côté la fête continuait crescendo, je m’étais approché de ma voisine et comme involontairement j’avançais ma main gauche et la posait, elle atterrit sur son genou, à plat simplement mais sans bouger, j’attendais une réaction qui ne vint pas. Et puis mes doigts se refermèrent, doucement, très doucement s’arrondissant sur une rondeur que je devinais sous la soie de sa nuisette.

J’étais dans un état second, éberlué de mon audace, Laura continuait de lire et moi à chaque cri à chaque craquement du lit voisin je confortais ma position en remontant insensiblement ma main. Je palpais maintenant le galbe parfait de sa cuisse droite et cela sans la moindre réprimande. Je restais longtemps en place mais en m’insérant insidieusement vers l’entre cuisses, je crus même qu’il s’ouvrait un peu. Je serrais ma main sur sa cuisse charnue en remontant, mes doigts dépliés explorant de plus en plus haut.

C’est en tremblant que j’arrivais sur sa chatte et là je fis une longue pose. Déjà content de l’émotion qui m’envahissait je ne voulais pas risquer de tout perdre, Laura n’avait pas de culotte, des poils courts et frisés tapissaient son minou, véritable astrakan bouclé. D’un coup sa main se posa sur la mienne et je me sentis perdu, j’allais battre en retraite mais sa main épousa la mienne, le doux contact me rassura, mieux sa main guida la mienne en des endroits plus secrets encore, quittant le court pelage de sa toison elle l’inséra davantage pour butiner les lèvres charnues de sa vulve.
« Charmant petit voyou ! » me dit elle tendrement en me regardant, « on ne va pas les laisser s’amuser seuls à côté--- on est en vacances nous aussi, qu’en penses tu ? »

« Je pense que j’ai bien fait d’oser »

« Qui sait si ce n’est pas moi alors qui t’aurais caressé. Avec Simone j’ai fait comme si j’hésitais à coucher avec toi, en réalité l’idée me plaisait beaucoup, tu est beau et fort Pierre j’ai vu cela sur la plage, je me demandais si seulement tu me désirerais toi aussi ? »

« oh oui, je te désire, tu est merveilleuse et si gentille ! »

En parlant je l’enlaçais en la retroussant et je me plaquais sur elle en l’embrassant dans le cou pétrissant ses gros seins d’ébène, serrant la taille marquée, caressant ses fesses et puis j’osais remonter une main entre ses cuisses ouvertes et pour la première fois, haletant , dans un état second j’empaumais sa chatte, monde inconnu pour moi.

Deux grosses lèvres, une vallée humide, plus loin un col étroit ou j’enfonçais un doigt. Ma reconnaissance semblait lui plaire car elle s’offrait en ondulant, écartant et en resserrant ses cuisses sur ma main. A un moment elle me caressa à son tour, allant elle aussi à ma découverte, je sentis son étonnement en inspectant mon pénis, sa main déboutonna fébrilement quelques boutons pour le mettre à l’air, gros, raide, dressé, le gland décalotté. Sa main l’inspecta, en fit le tour, palpa mes couilles :
« Si je m’attendais ! » murmura t’elle simplement » Tu as une bite d’homme mon chéri ! »i

Profitant de son émoi, je m’installais entre ses cuisses, lui relevant les fesses j’allais la faire profiter de ma jeune expérience, j’étais impatient de la prendre, de m’enfoncer dans sa chatte en ayant soin de la faire jouir longtemps avant de jouir moi même. Le membre en main je me présentais mais elle se déroba en murmurant
« Non Pierre, pas avec ta verge, c’est défendu ! avec tes mains tant que tu veux ! avec ta bouche c’est permis aussi »

« Avec ma bouche ? » dis je éberlué

« Oui, ta bouche, tes lèvres, ta langue, fais moi jouir petit homme »
Ainsi c’était ça la réponse, l’homme pouvait lui aussi donner du plaisir à son amante en l’embrassant de partout. Décidément mon éducation commençait à peine. Et j’avais plein d’idées.

Je me retrouvais nu, à genou dans la travée du lit, entre les cuisses de Laura retroussée jusqu’aux seins, en travers de la couche, les jambes pendantes. Nous n’avions pour seul éclairage que la lampe de chevet. Je m’étendis sur elle lui prenant la bouche, puis petit à petit je me reculais ma bouche abandonnant ses lèvres pour son cou gracile, pour ses seins, pour son ventre, je mordillais la chair mole de sa taille, contournais les hanches et enfin à genoux, la tête entre ses cuisses je découvris le premier minou de femme, la première chatte.

Je ne fus pas déçu ; quelle beauté, quelle harmonie. Après un premier baiser avec ma langue entre ses grosses lèvres qui fit frissonner mon amante, j’observais ce fruit qui s’offrait, cette mangue éclatée laissant voir au milieu d’une vallée rose et humide d’autres lèvres plus petites de couleur violette et au milieu d’elle un méat secret assez proche d’un autre trou dans la commissure des fesses, plus discret, cerné de bistre, l’anus.

Quel tableau merveilleux comparé à nos attributs masculins. Et puis encore, caché, émergeant sous un petit capuchon, un petit membre rougeoyant. C’est lui que je léchais en premier, la réaction fut immédiate, Laura feula de plaisir en s’ouvrant davantage, sous ma langue ce petit membre comme le mien se mit à bander, à grossir, je pus le saisir, le pincer entre mes lèvres et ma langue.

Par moment je l’abandonnais pour du bout de ma langue lécher la chatte, essayant de la planter raidie entre les petites lèvres. Aux réactions de Laura, à ses plaintes je trouvais ce qui était mieux pour elle pour le plaisir qu’elle manifestait, ma bouche sur son clitoris érecté et un doigt allant et venant dans sa vulve, je trouvais même un endroit où bien enfoncé le doigt en s’agitant déclenchait une furieuse agitation de la croupe qui se tordait de plaisir.
A un moment Laura en pleine furie m’échappa en se mettant à genoux au bord du lit, les fesses offertes
« Pierre, je n’en peux plus, prends moi, défonce moi avec ton pieu d’homme, allez viens ! ! »

Enfin pensais je, un final que je connaissais, debout je m’approchais, je bandais comme un cerf, j’allais baiser une fois encore, il faudrait me retenir le plus longtemps possible avant de décharger dans ce fourreau qui s’offrait, le plus longtemps pour bien faire jouir Laura ma maîtresse. Je me présentais donc où je savais, entres les lèvres que j’avais pu admirer et embrasser. Déjà je la prenais à la taille pour attirer sa vulve sur mon gland, mais cette dernière était obturée, Je me reculais c’était une main passée par devant entre ses cuisses qui faisait obstacle à ma raideur
« Prends moi ! aller viens ! »

Je ne comprenais plus rien, on m’interdisait la chatte où je voulais m’enliser et pourtant devant moi Laura ondulait de la croupe en rouspétant
« alors tu viens ! je n’en peux plus ! je t’attends ! prends moi ! emmanche moi »

Je n’osais comprendre, ce n’était pas possible que cela soit, plus haut que sa chatte, à bonne hauteur dans sa raie des fesses, son anus s’ouvrait comme quand on le force pour autre chose, mignon tout à l’heure il s’ouvrait et se fermait comme un cloaque, il était enduit de la liqueur venant de la chatte voisine. Le mot enculer me revint en mémoire. Au lieu de baiser sa chatte, fruit fendu et défendu, Laura m’offrait son cul, son petit trou serré, quelle semaine pensais je en m’approchant, je crachais dans ma main pour enduire ma bite de salive et là après je vis tout, je vis mon gland se centrer, heureusement j’étais gros mais très raide, je poussais pour le voir disparaître dans ce puis d’enfer.

« Oui ! ouiiii ! ouiiiiiii ! c’est bien Pierre ! tu as compris ce que je veux depuis que je t’ai vu, enfonce toi ! défonce moi ! oui,ohhhhh ! je te sens bien ! elle est grosse ta queue, tu es bien ? Oui, je le sens, je suis la première que tu encules ? oui, ouiiii ! c’est bon ! va bien à fond ! ouffff ! tu vas loin ! je sens tes couilles sur ma chatte, pelote moi les seins, bien ! ! passe l’autre main entre mes cuisses et fourre moi la chatte ! bravo tu es doué ! attend je te laisse, je n’en peux plus je vais jouir, je vais jouir ! ! ! ! ahhhhh je jouis ouiiiii c’est bon, Pierre ! ! ! Pierre continue, viens toi aussi, rejoins moi ; ahhhhhhh »

Quelle aventure, j’étais bien, serré dans ce cul en furie, par moment j’étais broyé entre ses fesses, son cul s’était amadoué et j’étais plus à l’aise maintenant pour aller et venir. Comme le père Travil et pour le plus grand bonheur de Laura je la branlais de toute la longueur de ma verge ; j’avais le ventre plat et musclé, rien ne m’empêchais de voir le fabuleux spectacle qui s’offrait à ma vue : une grosse queue allant et venant entre des fesses rondes, écartées de part et d’autre d’une raie secrète qui laisse voir l’orifice dilaté dans lequel ma queue s’enfonce et ressort.

Je n’en reviens pas, c’est moi, le jeune homme ignorant tout il y à peu, qui baise ce merveilleux cul, qui donne du plaisir à des femmes expérimentées qui me guident dans les chemins du stupre et des plaisirs partagés. A un moment ma verge sortit involontairement du cloaque où elle s’enlisait à plaisir, et là je vis l’anus dilaté, offert, grand ouvert, arrondi, porte d’entrée d’un conduit secret, un œil borgne sans fond qui semblait me dire viens. J’étais fasciné, subjugué, ses merveilleuses fesses sombres mises en relief par la lumière rasante, cette raie impatiente, prête à m’absorber.
« Alors Pierre tu viens ! »

Oui, je la pris à nouveau et son cul chanta, une sorte de doux sifflement, un chuintement discret d’air expulsé. Je rebranlais son cul avec ma queue mais à chaque fois que je sortais la douce musique reprenait
« C’est bon continu, je jouis, enfonce toi bien »

J’allais jouir moi aussi, ma main délaissant sa chatte je la pris à la taille pour mieux l’encastrer sur moi, je ne faisais plus rien pour me retenir, le plaisir montait fulgurant de mes entrailles vers ma hampe, j’allais jouir moi aussi, la rejoindre, quand je me sentis saisi par les couilles , une main de Laura passée entre ses cuisses, ses doigts en corolle m’agitaient les parties, j’explosais, jamais je n’avais ressenti une telle jouissance, une telle plénitude, chaque mouvement des fesses en furie me tordant la queue me tirait une giclée de sperm .

Je n’étais plus lucide, des étoiles pleins les yeux, les jambes vacillantes, pourtant l’orgasme fulgurant passé je continuais à m’agiter pour son plaisir, je le mesurais aux mouvements désordonnés de sa croupe, à ses plaintes. A un moment toujours saisi par dessous j’eus une sensation nouvelle, inconnue, qui fit renaître mon désir , je compris qu’un des doigts de la main qui me flattais allait et venait en moi, dans mon petit trou voisin, ces savantes et anodines petites enculettes dans mon cul eurent le don de me faire rejouir encore plus fort que la première fois.

Quelle amante cette Laura, elle me retint ainsi longtemps prisonnier de son cul, de sa main, et ce n’est qu’après avoir joui de nombreuses fois qu’elle libéra ma queue et s’écroula sur le côté et s’endormit en chien de fusil sur le lit. Elle n’eut que le courage de me dire
« Merci Pierre tu m’as bien fait jouir, tu en feras jouir beaucoup d’autres, si tu savais comme j’ai sommeil..... »


J’étais là un peu nigaud, debout la verge souillée en drapeau, il me vint alors l’idée de ne plus n’être qu’un jouet consentant mais docile, obéissant. Je forçais Laura à s’asseoir au bord du lit et lui dit
« aller chérie essuie ma queue ! »
« comment ? »
« Avec ta chemise d’abord ! bien, elle est propre, maintenant suce là, prend la entre tes lèvres, dans ta bouche ! »

Malgré son épuisement, Laura ne se fit pas prier, sucer manifestement elle connaissait, et avec son expérience, avec ses lèvres surtout elle n’eut aucun mal à enduire ma queue de salive, à la prendre dans sa bouche en me pompant elle me caressait les couilles en serrant ma queue à la racine. Elle sut m’amener au bonheur et ne fit rien pour se retirer quand j’éjaculais à nouveau dans sa bouche cette fois. C’est ainsi que je connus le plaisir d’une bonne pipe bien faite, une fellation comme je l’appris plus tard. Mais cette fois c’est moi qui m’écroula et c’est enlacés, dans les bras l’un de l’autre que nous nous écroulèrent ivres de plaisir.
--------------------------------------------


Aucun événement ne vînt marquer la fin du week-end et le dimanche soir nous partirent en voiture à la gare accompagner Tom et Laura. Sur le quai de la gare je pus admirer une dernière fois la croupe de madame Diallo alors qu’elle montait dans le train suivi de près par monsieur Travil. Je crus discerner une fois encore une moue de désagrément sur le visage de Simone. Le train parti, nous nous retrouvèrent seuls sur le quai et madame Travil me dit

« Petit Pierre désormais j’aimerais que tu m’appelles Sonia, j’ai toujours aimé ce prénom, Simone c’est un peu ringard, tu ne trouve pas ? »

« Simone c’était bien, Sonia c’est plus sexy, plus moderne, mais c’est Simone qui m’a fait sauter le pas, je ne l’oublierais jamais »

« Tu es mignon Pierre, je ne regrette rien, tu sais j’étais bien moi aussi »
Sur le chemin du retour en voiture Sonia me dit :

« Alors tu l’as eu ? »
« Heu--- ! »
« J’espère que tu l’as baisée cette salope, ----tu ne dis rien----tu ne l’as pas emmanchée avec ton beau membre tout neuf, je l’espérais pour toi quand je l’ai faîte coucher dans ton lit ? »

Je répondis que le n’avais pu d’abord que lui lécher la chatte.
Sonia semblait dans tous ses états
« Elle s’est fait sucer, tu lui as fait cunilingus ? »

Comme je ne comprenais rien, elle m’expliqua le nom romain de cette action d’insérer sa langue dans le vagin de son amante . Elle ajouta qu’anilingus c’était presque la même chose mais la langue devait cette fois lécher l’anus. Décidément j’en apprenais !

« Elle a joui ? »
«Je crois, surtout quand je lui suçais un petit membre rouge blotti sous un petit capuchon »
« son clitoris, tu lui as sucé le clito, mais toi ? as tu pu faire comme avec moi ? »
« Non Mad.. ; non Sonia, c’était défendu »
« Comment défendu ? tu ne l’as pas baisée ? »
« non, mais elle s’est mise à genoux en travers du lit et elle m’a permis de me planter plus haut »

Devant l’air ahurie de Sonia je lui expliquai qu’elle m’avait offert son derrière. La voiture fit une embardée et Sonia dû s’arrêter au bord de la route en bordure de la forêt. Son émotion était si grande qu’il fallut attendre un moment avant qu’elle puisse dire un mot. Elle semblait absente, excitée au plus haut point
« Tu veux dire que qu’elle s’est faite enculée ? »

En me parlant elle avait passé une main sous sa jupe et elle se caressait
« Ta bite a été assez rigide pour entrer ? »
« Oh oui car elle écartait bien ses fesses, une de ses mains me retenait par les couilles, je n’ai pu ressortir qu’après avoir juté deux fois, c’était bon !

Sonia se branlait de plus en plus fort, mon récit semblait l’émouvoir au plus haut point.
« Et elle, et cette pouffiasse ? »
« Elle s’est tendue quatre ou cinq fois en grognant surtout quand une de mes mains passée devant je branlais sa chatte »
« Et moi Pierre as tu pensé que tu usais ton sperm pour cette garce, moi qui t’ai révélé l’amour, moi qui...... »

Manifestement, la venue de Laura l’avais mise à cran, elle devait penser qu’en son absence, elle devait baiser avec Tom, son mari. Pourtant elle aussi avait été infidèle pour mon plus grand bonheur.

« J’ai pu voir que vous n’étiez pas oubliée »
« Que veux tu dire ? »
« Je veux dire que j’ai tout vu samedi après midi, j’étais caché au grenier, je vous ai vu hurler de plaisir quand Tom vous a pris fesses en l’air vous aussi avec son énorme verge. »
« Moi c’était en levrette et dans ma chatte, mais as-tu vu la fin ? »
« Oui je vous ai vu sucer sa queue et la faire jouir dans votre jolie bouche, même que cela m’a donné l’idée de me faire nettoyer la verge après l’avoir sortie du derrière de madame Diallo »
« Tu as bien fait, c’est bon de baiser une bouche, on dit une fellation, tu as jouis ? oui..... ? dans sa bouche ? Bravo, je suis contente pour toi, j’aurai aimé t’apprendre ça moi même»

Fellation, encore un mot nouveau pour moi ?
« J’aimerai qu’on puisse le faire ensemble »
« Refaire quoi ? »
« Heu..... ! »
« Sais tu qu’on peut faire les deux en même temps, cela s’appelle un soixante neuf »
« Comment les deux ? »
« On s’allonge face à face, en sens inverse, et chacun suce l’autre, si tu savais comme c’est bon, comprends tu ? »

Oui je comprenais, jamais je n’aurai imaginé de telles façons de se faire jouir cela devait être rudement bon.
« On pourrait le faire si vous voulez ? »
« Dit donc tu en a des projets! Le plus fort c’est qu’après tout cela tu bandes encore ! »

En disant cela avec le bout de ses doigts elle me tâtait la verge sur mon short.
« Elle est grosse maintenant et longue ! tu m’excites Pierre, lève toi un peu que je te déculotte, ouiii quitte aussi ton slip, c’est bien, bigre ! la belle queue ! A toi, retire ma jupe, aller presse toi, dégrafe le crochet »
« Ce n’est pas facile, je ne vois pas bien »

En effet seule la lune projetait sa faible clarté au travers des ramures de la forêt et puis nous étions excités tous les deux, fébriles, impatients, tout cela était nouveau pour moi.
« Allons à l’arrière nous serons mieux » me dit elle

Ce fut fait à l’instant et je fis glisser sa jupe découvrant des trésors. Pour le départ de Tom, Sonia s’était faite belle, désirable, elle portait des bas noirs à coutures fixés par des rubans sombres qui zébraient ses cuisses nues par devant et par derrière, sa petite culotte masquée en partie par le porte-jarretelles qui moulait sa taille.

Je n’en pu croire mes yeux devant ce spectacle, jamais je n’aurais pensé avoir à portée de mes mains l’image que tous les adolescents recherchent dans les revues montrant des jolies femmes en petites tenues, ainsi moi je ne manquais pas de regarder en douce les revues de modes de ma mère et j’avoue m’être masturbé sans résultat jusqu’alors aux pages des dessous féminins des trois suisses.

En tremblant je l’enlaçais et elle se serra contre moi, nos visages étaient proches, elle me donna sa bouche. Nous nous embrassions pour la première fois, lèvres ouvertes, langues mêlées pour un baiser sans fin. Elle se donnait à fond, nous fermions les yeux, ivres de désir et de caresses. Elle était nue sous son pull, une main passée dessous épousait son dos, massait ses épaules avant d’empaumer ses seins déjà raidis par le plaisir.

Nous étions tous les deux, la main entre nos cuisses serrées a se faire du bien, moi sur sa petite culotte elle sur ma verge nue. Je bandais comme jamais, et elle, mouillait d’émotion.
« Prends moi Pierre, prends moi en levrette, je n’en peux plus, je te veux à moi, rien qu’à moi, tu es ma chose, je t’ai fait homme, à toi maintenant de te donner, aller oses, commande je suis à toi ! »

J’étais ému de cet abandon, oui je me sentais capable de la faire jouir, sûr maintenant de mon pouvoir
« Je vais te faire jouir ma chérie, la situation m’excite sais tu ? lève toi un peu, je fais glisser ta culotte sur tes cuisses, que tu es belle avec tes bas noirs, assis toi, ouvre toi bien, je me mets à genoux dans la travée, avance toi un peu, je vais te sucer la chatte, tu sens ma langue entre tes grosses lèvres, oui bouge ! ondule, relève toi un peu, je me centre sur ton petit cul, je sens ton clito qui pointe, je le fais bander, c’est bon ? si tu es bien montre le, parle moi, encourage moi, tu sens mon doigt qui te branle et qui s’enfonce, tu mouilles, si tu savais le plaisir que j’ai à t’en donner, jamais je n’aurai imaginé ce qui m’arrive »
« je suis bien, mais baises moi maintenant »

Sonia se releva et se mis en position, à genoux en travers sur la banquette et je me mis derrière elle. J’avais devant moi le spectacle de ses fesses bronzées mises en valeur dans le milieu sombre de ses bas, de son porte-jarretelles et les rubans tendus sur le haut de ses cuisses dénudées, je lui quittais complètement sa culotte pour qu’elle écarte bien ses cuisses, elle eut du mal à passer les pieds chaussés d’escarpins à hauts talons. Je crus défaillir et avant de la prendre je caressais ses formes qui s’offraient, j’insérais une main sur son minou entre ses cuisses. Elle était prête à me recevoir, ouverte, lubrifiée, elle ondulait en gémissant
« Maintenant Pierre, maintenant, viens, prends moi... »

Il était temps, je m’approchais et je guidais ma verge dressée sous ses fesses, mon gland entre les lèvres de sa vulve, je pris ses hanches et doucement je m’enfonçais au plus profond de son être. Sonia poussa un long cri de satisfaction et je commençais à aller et venir en elle, doucement mais avec une grande amplitude, j’étais bien moi aussi de toutes les pores de ma jeune et si sensible queue, j’étais plus à l’aise que dans l’anus de Laura et je me fiais aux réactions de Sonia pour varier mes introspections ; je devinais quand elle allait jouir par ses déhanchements et ses plaintes, j’accélérais alors en allant bien à fond tout le temps de son orgasme et quand elle se calmait je continuais de la servir en ralentissant l’allure jusqu’au moment où elle jouissait à nouveau.

J’étais heureux de lui donner du plaisir, maître de moi, je sentais que moi aussi je pourrais jouir, quand je le voudrais, en m’abandonnant simplement. Je l’attirais vers moi en lui prenant les hanches ou les seins les yeux rivés sur ma queue plantée entre ses fesses écartelées.
« Viens maintenant, viens ! jouis ! éclate toi ! jouissons ensemble !»

Je me laissais aller et le sperm trop longtemps retenu inonda sa chatte, le plaisir fut alors si intense que je poussais une longue plainte en éjaculant
« Chérie ! oui.... ouiii......ouiiiiiii.... ahhhh je suis bien je suis bien... merci... »

Le calme revînt lentement, je restais en elle tout ce temps posant ma tête sur son dos, les mains immobiles sur sa poitrine et quand tête à tête nous nous assirent sur la banquette chacun offrît sa bouche à l’autre pour un tendre baiser.

« Il faut que je te dise quelque chose Pierre, je n’ai jamais tant jouis qu’avec toi. Je ne sais pourquoi, au début c’était comme un jeu, j’étais heureuse de te faire découvrir l’amour, tu étais si mignon si ignorant de ces choses là et puis la nouveauté, ta jeunesse, ta fougue ont fait le reste. Ton pénis aussi, il est lisse et doux, il est gros et long à souhait. Tu vas baiser d’autres femmes, je te le prédis mais j’aimerais profiter de toi jusqu’à la fin des vacances, il y a tant de choses à découvrir encore, embrasse moi mon chéri, serre moi fort dans tes bras..... »

Agathe n’était pas rentré quand nous arrivèrent à la villa en pleine nuit, nous avions faim et mangèrent de bon appétit. Sonia prit alors une boîte laissée par son mari et dit en me la montrant :
« Il m’a dit que cela m’aiderait à patienter jusqu’à son retour à la fin de la semaine »
« C’est quoi ? des bonbons ? tu l’ouvres ? »
« Tiens regarde »

C’était une sorte d’écrin, à l’intérieur, bien alignés, deux ou trois objets de différentes tailles que le n’identifiais pas
« Quel culot ! » dit Sonia en sortant le plus gros
« A quoi cela sert il » dis je ingénument, cela fit sourire Sonia. Je n’eus pas besoin de longues explications pour comprendre, l’objet avait la forme et la dimension d’une grosse bite mais sans les couilles.

« Chéri cela peut servir aux femmes seules qui ne veulent pas être tributaires des mâles..... cela peut servir aussi à des couples dont le mari n’a pas ta vigueur et ton endurance, on dit même que des hommes s’en servent pour eux même, tiens prends le en main, c’est un godemichet, c’est vieux comme le monde »

Craintif, je le pris à l’autre extrémité du gland décalotté très réaliste mais je faillis le lâcher quand une vibration l’anima
« Apparemment c’est un modèle sophistiqué, à pile. Tiens regarde »
En effet en appuyant à un endroit le gland se mit à vibrer doucement ou plus vite, à un autre endroit le gland élastique gonflait et reprenait sa dimension et cela à plusieurs allures. On pouvait même avoir les deux effets en même temps.
« Tu vois cette petite fiole, Pierre, je crois que l’on peut garnir le gode de ce liquide sirupeux antiseptique et l’injecter au moment crucial, il peut servir aussi de lubrifiant, c’est bien étudié tu ne trouve pas ? »

J’avoue que je ne comprenais pas tout, décidément j’allais de découvertes en découvertes. Quel ne fut pas mon étonnement quand Sonia me dit d’un air entendu:
« Nous allons faire plaisir à Tom en l’essayant, mais pas comme il le pensait je suis curieuse de voir la différence avec les pénétrations naturelles, tu viens ? »
Et elle m’attira dans sa chambre en emportant l’écrin , insatiable et délicieuse Sonia qu’allais je encore découvrir ?. Avant de s’allonger Sonia n’enleva que sa culotte et me pria d’en faire autant, elle s’était mise sur le côté en me présentant ses fesses
« Pierre prends le plus gros modèle et trempe le gland dans le flacon »

Ce que je fis, pas trop rassuré. L’engin avait bien la forme d’un membre masculin, un gros pénis, un peu comme celui du père Travil. Rigide, il restait souple cependant. Son aspect, sa couleur, sa peau étaient très réalistes, le gland surtout, énorme et décalotté.
« Aller, laisse faire ton imagination, essaie de me faire jouir avec cette grosse bite factice, c’est une première pour moi aussi, on va voir »

J’étais à genoux derrière Sonia allongée et je commençais à faire aller et venir le long cylindre dans sa raie des fesses. Cela glissait bien et petit à petit je l’enfonçais davantage entre ses cuisses serrées. Je fus subjugué par le spectacle et j’imaginais le parcours du gland lubrifié frôlant l’anus avant de s’immiscer entre les lèvres de la chatte pour sortir par devant dans la brune toison. J’y trouvais d’autant plus de plaisir que Sonia s’offrît davantage en écartant ses cuisses et passant un bras en arrière elle me saisit la queue à pleine main.

Ah oui c’était bon, j’étais comme un voyeur, l’anus, la chatte offerte à ma vue avec ce vagin dévoué à mon imagination qui s’activait dans cette vallée du plaisir. Je replongeais plusieurs fois le gland dans le flacon pour rendre le contact du gland plus doux, plus onctueux et au fond des grosses lèvres je le centrais au bord de l’abîme sous le clitoris.

A partir de cet instant j’utilisais l’engin en le faisant vibrer doucement d’abord puis quand le gland fut bien emmanché j’ajoutais l’effet de ses gonflements . Sans chercher à m’enfoncer davantage je m’appliquais a aller et venir en restant à l’entrée de la vulve arrondie autour du phallus factice. Subjugué c’est comme si c’était moi qui la pénétrait ainsi.

Pour conforter cette illusion j’avançais mon ventre me branlant entre les doigts qui m’avaient saisi le membre. Sonia commença à geindre en s’agitant , je continuais néanmoins à rester au bord du méat. Parfois même je sortais et faisait vibrer le clitoris proche de la vulve avant de replonger dans le vagin entre ouvert
« Ahh c’est bon cet engin qui vibre au bord de mes lèvres et sur mon clito mais maintenant défonce moi , emmanche le à fond ! aller ! branle moi ! ouiiii ! »

Ce oui de plaisir au moment où après avoir hésité sur la direction à prendre j’enfonçais le gode et que j’allais et venais en elle, de plus en plus profond, de plus en plus vite, au maximum des vibrations et des gonflements de cette grosse queue rigide et infatigable. Je la fis jouir et crier de plaisir de nombreuses fois. Au premier orgasme moi aussi j’éjaculais dans la main qui me branlais en cadence.

Calmé je fus plus lucide pour suivre les fesses de Sonia qui s’était remise en position de levrette et continuer de la faire jouir, j’étais à genoux à ses côtés et pendant que je la branlais avec le gode l’autre main libre passée sous son ventre entre ses cuisses je lui caressais le clitoris
« Encore, encore continue, si tu savais comme je jouis, ahhh c’est bon cette bite bien dure dans ma chatte , mais que fais tu ? tu es un diable Pierre, comment imaginer position pareille, c’est incroyable je jouis encore plus Ahhhh ouiiiiii ouiii , c’est bon ! ! ! c’est bon ! ! n’arrête pas surtout ouiiiiiii, ouffffff. »

Je ne sais ce qui m’avait pris ? comment avais je pu penser à faire cela ?car me relevant debout sur le lit j’avais enjambée Sonia en sens inverse à hauteur du rétrécissement de sa taille et tout en continuant de lui branler la chatte avec le gros gode, prenant dans l’étui celui de grosseur moyenne je le présentais lubrifié au petit trou resté libre et là en me penchant pour ne rien perdre de ce spectacle hallucinant entre ses fesses écartelées j’enculais son petit cul et fit aller et venir le petit membre en le faisant vibrer à fond.

C’est Sonia qui par ses cris, par des plaintes me montra que j’avais eu raison de la pénétrer ainsi . Je crois l’avoir fait jouir de nombreuses fois de plus en plus fort. J’allais arrêter progressivement cette double pénétration car à un moment je crus qu’elle devenait folle par ses cris les ondulations désordonnées de ses fesses, j’eus presque peur de ses réactions et au moment de finir, en prenant la grosse queue pour la retirer, Sonia poussa un grand cri et s’écroula à plat ventre, elle semblait dans un autre monde, s’agitant en tout sens , battant les bras écartés sur le lit ; je compris que sans le vouloir j’avais provoqué une injection puissante du liquide sirupeux du flacon au fond de sa chatte.

Effrayé, impuissant je la vis ainsi en un orgasme jamais imaginé. Je retirais discrètement les deux godes qui toujours plantés battaient chamade et petit à petit je la vis revenir à elle, elle se retourna enfin en me souriant
« Crois tu que Tom serait content de l’usage que nous avons fait de son cadeau ? »
« Je ne sais pour lui mais moi j’étais heureux, mais j’ai eu peur pour toi ? »
« C’était très fort, j’ai cru mourir de plaisir petit galopin, décidément tu sais me faire jouir, mais je suis très fatiguée maintenant, vas vite te coucher et fait de beaux rêves.... embrasse moi avant de partir... aller merci à demain »
Et elle s’écroula

Sans bruit, un peu inquiet cependant je regagnais ma chambre, conscient du plaisir procuré par une bonne giclée de sperm au fin fond d’une chatte bien amadouée. En passant je vis qu’Agathe était rentrée et par la porte entrebâillée de sa chambre je crus voir deux corps nus, enlacés, en position amoureuse..... deux corps de filles, Agathe et sa copine.

Je m’éclipsais le plus discrètement possible mais à peine couché, Agathe les traits tirés fit irruption dans ma chambre sans frapper, elle avait enfilé une chemise de nuit et furibonde elle me dit d’un ton agressif :

« Ne vas pas te faire des idées sur mon compte espèce de curieux, si on fait ça c’est par ce qu’on s’emmerdent. C’est mieux que de se masturber en solitaire et puisque tu nous as vue je vais te demander de me dépuceler tu entends ! !. Je te le demande mais je peux te forcer à le faire, je ne suis pas aveugle tu sais et pas sourde. Je sais que tu baises maman, çà ne me dérange pas mais si cela se savait, fini les bains de mer, fini les petites bronzettes à poils dans les dunes, fini les parties de jambes en l’air, bonjour les emmerdements, bonjour les coups de poings dans la gueule. Tu saisis ! »

« Tu es vierge ? ce n’est pas croyable, roulée comme tu es....Si.... ?Mince je m’imaginais au contraire que tu t’éclatais ; tu es toujours partie en joyeuse compagnie... »

« Et bien c’est comme ça, mes copines, mêmes les plus moches baisent à tout va
et moi pas, je dois faire peur, pourtant j’y mets du mien, presque à poils à la plage, dans les boîtes en dansant je me vautre quasiment sur mes cavaliers ; même les plus tartes m’évitent à la sortie. Tu comprends ça toi ? »

« Ils sont sans doute comme moi il y à moins d’une semaine, godiches à en pleurer, je suis d’accord pour te rendre ce service, mais pas ce soir, je suis crevé, d’ac ? La veille prends la pilule si tu veux jouir poupée, moi j’aurai des préservatifs !»

Je m’étonnais moi même de mon assurance. Il faut vous dire qu’Agathe est un sacré morceau de fille, grande, belle, bien roulée, apparemment gentille et comme moi à la recherche du plaisir. Je la laissais donc sur ma promesse de la sauter et comme j’allais m’endormir Agathe m’embrassa tendrement en sortant
«Merci ! ne tardons pas trop longtemps !» me dit elle simplement.
Je pensais : mais quelle famille ! Je vais y laisser ma peau si cela continue !
-------------------------------------------

Le lendemain matin, Agathe et sa copine avaient disparu comme à l’habitude. Quand j’arrivais en pyjama dans le salon, Sonia s’affairait dans la cuisine. Il faisait déjà une chaleur étouffante et je m’affalais dans un fauteuil. Sonia entra portant le plateau fumant et odorant du petit déjeuner. Je crus un moment que je rêvais encore, j’eus les bras coupés car elle ne portait aucun vêtement, je dis bien, elle était complètement nue.

Eberlué je la regardais évoluer dans le plus simple appareil. Elle n’avait pas à avoir de complexes car le tableau était magnifique ; Sonia à poils mis à part ses chaussures à hauts talons qui affinaient plus encore sa silhouette. Cela peut paraître bizarre qu’après avoir fait l’amour avec cette femme j’éprouve ce serrement de cœur, cet émoi de la voir ainsi évoluer nue en pleine lumière.

Je l’observais et admirais ses fesses lisses et fermes qui ondulaient au rythme de ses pas, la cambrure de ses hanches, la souplesse de ses seins, le fuselé de ses jambes, la rondeur de ses cuisses.
« Je suis heureuse de pouvoir revenir à mes habitudes, j’adore être libre, sans entrave chez moi, j’aime être nue dans la maison et après ce que nous avons fait ensemble c’est maintenant possible. Cela ne te gêne pas trop mon petit Pierre ?»

Je ne répondis pas tant j’étais ému mais lorsqu’elle revint avec les toasts j’étais nu moi aussi. Quand elle me vit ainsi, elle sourit gentiment, elle aussi me détaillât, la glace du vestibule me renvoyait mon image et j’en fus étonné, je retrouvais mon corps athlétique de jeune sportif, mes fesses dures et serrées sur des cuisses musclées, ma jeune poitrine bombée, la différence se situait plus bas sous mes abdominaux naissants je trouvais un membre plus qu’honorable, actuellement au repos il pendait, long cylindre décalotté en appui sur une mâle paire de couilles, ma toison encore ténue ne cachait rien des secrets de ma bite. Le traitement de ce début de vacances l’avait transformé pour ma plus grande satisfaction.

Sonia passa à ma portée dans le champ de réflexion du miroir et je l’enlaçais, elle bougonna pour la forme, la glace renvoyait notre image, nous formions un assez beau couple, de grandeur égale car ses hauts talons l’élevait jusqu’à mon mètre soixante quinze.
« Allons ! allons ! on n’a pas le temps grand bêta ! décidément tu es infatigable ! arrête ! arrête ! »

Malgré ses allégations je la sentais émue, son nez pincé. Nos regards convergeaient vers le miroir, j’étais plaqué sur elle en lui serrant la taille, mes mains s’égarant sur ses fesses pulpeuses, nos deux ventres soudés, ma verge encastrée dans le creux en haut de ses cuisses sous son petit ventre adorablement bombé, je l’embrassais dans le cou et quand je mordillais la chair tendre de son épaule cela fit de l’effet car Sonia s’agitait en poussant de petits cris.

Je me penchais pour butiner ses seins, cette position dessouda nos ventres et mon membre apparut transformé, redressé, vigoureux, gorgé de sang . Cela me parut impossible qu’il ait pu grossir ainsi en quelques jours. Sans me tromper je crois qu’il pouvait rivaliser avec l’énorme pine du père Travil, la différence c’est que la mienne était épinglée sur mon corps mince et lisse d’éphèbe.

Sonia senti bien cette différence car elle se replaça sur moi après m’avoir abaissé la verge de manière à l’introduire entre ses cuisses.
« Caresses moi Pierre, je deviens folle, je ne sais ce qui m’arrive, ce besoin de baiser avec toi. Regarde Pierre, regarde nous dans la glace, tu aimes nous voir ? c’est beau ! çà m’excite ! et toi ? »

Moi aussi cela m’excitait d’être acteur et voyeur de nos ébats amoureux et cela décupla nos imaginations. Je la caressais de partout, ses seins ; ses fesses par derrière, sa chatte entre ses cuisses ouvertes ; elle m’avait saisi la verge en flattant mes bourses. Nous nous arrangions d’être bien tout en nous présentant au mieux pour se voir. Quel spectacle érotique il décuplait notre plaisir affûtait notre désir. Je voyais mon gland émerger de sa main serrée sur ma tige tandis qu’avec mes doigts je parcourais la raie de ses fesses en m’attardant sur sa vulve inondée et sur le petit trou mignon de son cul.

Je pénétrais ces deux mondes l’un après l’autre avant, par une illumination de ma part, de les remplir en même temps avec deux doigts lubrifiés de sa liqueur . Manifestement cela plaisait à Sonia qui s’arrangeait pour me faciliter la tâche en s’offrant plus encore.

A un moment elle se tourna présentant la partie la plus charnue de son corps, elle me dirigea de telle sorte que je dus m’encastrer par l’arrière dans la grande faille entre les deux lobes de ses fesses ouvertes. Elle me lâcha dés qu’elle sentit mon gland entres les grosses lèvres de sa chatte.
« Prends moi Pierre ! baises moi ! enfonce toi ! »

Elle me drivait de la voix et bientôt j’arrivais à ses fins après qu’elle se soit ployée en avant pour faciliter l’introduction. Quand mon gland passa l’anneau de l’entrée de sa vulve le reste alla de soi et je me surpris à ahaner en elle de toute la longueur de ma queue. Sonia manifestement appréciait penchée en avant, sa longue chevelure ondulait, je pétrissais ses seins qui dodelinaient aussi au rythme de mes assauts.

Jamais je n’aurais imaginer pouvoir baiser debout ainsi et pourtant le miroir montrait tout le naturel de cette position pour un couple de même gabarit. Ma verge en piston disparaissait entre les fesses offertes jusqu’au moment ou Sonia leva une jambe et mis son pied sur la potiche servant à ranger les parapluies ; alors là plus rien ne vint gâcher le spectacle.

Tous les deux nous virent ma grosse queue aller et venir entre ses lèvres arrondies sur elle je crus défaillir, malgré ma volonté de durer je ne pus empêcher le plaisir de déferler de mes parties jusqu’au bout de ma queue, j’éclatais et n’eut aucun regret de jouir trop vite car au même moment Sonia s’envoya en l’air elle aussi et se mit à jouir en même temps que moi, c’est elle qui prit les commandes en s’empalant à sa cadence sur mon chibre dressé, elle lui fit subir maints outrages en tordant mon pieu dans sa chatte en furie, sans jamais l’abandonner elle astiquait ma hampe entre ses petites lèvres au milieu des grosses lèvres écartelées par l’ampleur de mon membre.

Que c’est bon de jouir ensemble avec son amante, le temps, l’espace ne comptent plus, une seule chose compte, le plaisir infini de l’orgasme partagé. Nous restèrent ainsi unis par nos membres, nous étions bien même si petit à petit le plaisir s’estompait. Je sortis ma queue toujours vigoureuse et nous virent ce qu’elle cachait l’instant d’avant quand elle obturait le vagin féminin, l’autre trou auréolé de bistre, l’anus ! l’anus mignon ! l’anus secret de Sonia ! son anus attirant comme le péché originel, je pris ma queue dans ma main et présentais mon gland devant le sombre orifice ; Sonia compris mon désir et complice m’encouragea.

« Oui Pierre, encule moi ! encule ta petite Sonia ! j’aime ça tu sais ! oui tu est en face appui fort pour faire céder mon anneau, ouiii c’est bien ! plus fort ! plus fort ! oui... ouiiiii ....ouffffff..... c’est bon ! tu es entré ! bravo ! pousse maintenant, ouiii..., doucement... doucement ! tu es gros ! je te sens bien ! Ahhh c’est bon ! aller agite toi en moi maintenant aller plus fort ! plus vite ! va bien à fond ! ahhhh je jouis ! tu vois ta queue qui va et viens dans mon petit cul ! tu sais Pierre tu es un des seul à prendre mes fesses comme ça ! ah que c’est bon ! et toi ? c’est bon ? »

« Oui ma chérie je me retiens de jouir, de te rejoindre, je veux que tu sois bien, longtemps, plusieurs fois ! »
« Oui plusieurs fois, mais je fatigue, reste en place je m’agenouille, suis moi..... je suis mieux, je te sens toujours, elle est bonne ta queue bien lisse qui va et viens dans mon cul..... »

J’étais bien moi aussi, j’avais réussi à rester en elle tout en fixant notre image de profil dans le miroir. La prenant par la taille, je continuais de la servir en l’attirant sur moi, mes assauts ponctués par le claquement de mon ventre sur ses fesses et de mes couilles sur sa chatte.

Dans cette position de levrette la croupe de Sonia prenait toute son ampleur, sa taille amincie, ses fesses ouvertes facilitaient mes pénétrations et me permettaient de voir par dessus son derrière arrondi autour de mon membre. Avant de nous écrouler de fatigue je suis sûr de l’avoir fait jouir trois ou quatre fois. Ce fût tout pour ce jour là.
---------------------------------------

Dans les jours qui suivirent nous nous en donnèrent à cœur joie : la journée, chaque situation était l’occasion d’étreintes, de baisers, de caresses, d’orgasmes et quand Agathe était là nous avions la nuit pour nous. Nos complices c’étaient les miroirs, les tables où Sonia s’allongeait cuisses ouvertes, les godes de Tom très appréciés, la baignoire... enfin tout, nous avions, complices, une folle imagination et Sonia savait toujours se faire désirer en ranimant mon ardeur par de savantes caresses ......

A ce régime la fin de la semaine arriva trop vite à notre gré et avec elle Monsieur Travil tout guilleret en pleine forme pour honorer son épouse. Laura la belle fille des îles n’était pas là et je fus un peu déçu d’être abandonné tout le Week-end . Agathe par contre s’implantait, le dimanche matin alors que ses parents étaient partis je ne sais où, je l’entendis m’appeler. L’appel était impérieux, angoissé, je me précipitais craignant un accident, j’entrais en trombe dans sa chambre et je restais médusé. Décrire la situation va être malaisé. Ce que je vis était hallucinant !

Manifestement j’étais attendu, la mise en scène méticuleusement préparée. Agathe maquillée à la perfection était allongée à plat ventre sur une moquette épaisse, un plateau complet disposé devant elle comprenait le nécessaire pour un déjeuner en tête à tête.

Mais le spectacle était ailleurs, Agathe me regardait la tête tournée vers moi avec des yeux de biche, les lèvres entre ouvertes, ses blonds cheveux regroupés en un adorable chignon, ses coudes appuyés sur le plancher, une main sous le menton, le buste légèrement relevé, une des bretelles de sa combinaison de dentelle blanche pendait dégageant le cou et le dos nu, les seins encore cachés comme deux fruits mûrs se devinaient sous l’étoffe , elle était savamment retroussée à partir du ventre et des reins et offrait le spectacle de ses fesses nues, de ses cuisses ouvertes en un vé royal, ses jambes repliées croisées en l’air, seuls de fins escarpins cachaient ses pieds mignons.

Après cette rapide inspection je refis le chemin en sens inverse et restait en extase sur le modelé de sa croupe légèrement relevée dégageant le bas ventre du tapis de haute laine, les genoux ronds points d’appui de l’ensemble, la rondeur des cuisses et des jambes repliées, le raccord divin du haut des cuisses et de la naissance des fesses, la faille marquée s’insérant à l’intérieur, je distinguais le velouté et la pâleur de cette chair nue offerte et j’imaginais le parcours possible de mes caresses, une de mes main passée par dessous à l’intérieur de l’arc de ses cuisses jusqu’à la source touffue du sexe, rejointe par sa sœur qui après avoir flatté les fesses divines descendrait le cours du canyon de la raie profonde les séparant , s’attarderait au passage sur le petit anus mignon avant de fourrer d’un doigt la grotte inexplorée de la chatte.....

« Du café, Pierre ? »
En plein fantasme je sursautais à la question d’Agathe, elle avait suivit mon regard et ses yeux me transperçaient
« Merci Agathe, mais je crois que je ne pourrais rien avaler pour l’instant, tu es trop belle, désirable.... »

« Je t’ai demandé quelque chose l’autre jour » murmura t’elle
« Pourquoi fais tu cela ? Pourquoi m’avoir choisi pour te déflorer ? Comment est ce possible d’être vierge quand on est comme toi, l’amour personnifié ? »
« Justement, les hommes, les copains n’osent pas, je me morfonds dans mon écrin de dignité pendant que les autres baisent à tout va. J’ai pensé à toi parce que tu es presque un gosse, gentil mais qui baise déjà, que j’avais le moyen de te forcer à me prendre, que..... »

« Me forcer Agathe mais ce n’est pas la peine, je te désire, je te veux, je veux te faire jouir, déchaîner tes sens... »

En parlant je m’étais assis à ses côtés si près d’elle que je respirais le parfum de son corps, je tremblais d’émotion quand je commençais à la caresser. Je n’étais pas aussi sûr que j’essayais de le faire paraître, Agathe me faisait confiance pour ce moment si important de sa vie, saurais je rendre cet instant inoubliable pour elle, moi qui il y a une semaine encore était comme elle vierge et ignorant du plaisir charnel. Oui je serais doux, attentionné avec elle , je ferais passer mon plaisir au second rang. Et puis elle était si belle, impressionnante par sa volonté de franchir le pas, pourquoi avec moi ?

Au premier contact nous ressentirent tous les deux l’électricité statique de nos épidermes, son blond duvet se hérissait sous la caresse de mes mains effleurant longuement les formes offertes, le dos, les cuisses, les hanches avant d’empaumer les fesses. Elle écarta légèrement ses cuisses quand j’arrivais sur sa chatte, j’avais mouillé mes doigts de salives pour qu’ils glissent bien dans sa raie, elle était déjà mouillée et je m’attardais dans ce lieu enchanteur.

Elle avait une grosse chatte, bien fendue, je la pétrissais dans ma main, d’un doigt allant et venant entre ses lèvres j’amusais ce vallon enchanteur du clitoris à l’anus, patiemment j’attendais ses réactions en la caressant longuement. Cela arriva doucement, des soupirs, une lente houle de ses fesses, des serrements de cuisses sur ma main.

Je ne brusquais rien.. Je la pris également par devant en passant une main sous son ventre j’arrivais entre ses cuisses, d’une petite poussée je l’incitais à se relever légèrement pour qu’elle présente mieux ses fesses, je pus alors l’exciter de deux côtés à la fois, de l’arrière je pouvais voir sa raie bien dégagée, son petit gouffre et sa chatte offerte. Je la pénétrais d’un doigt et cela sembla lui plaire, d’autant que par dessous je titillais son clito.

Des soupirs, des plaintes ponctuaient les aller et retour de mon doigt dans sa vulve. A plusieurs reprises elle se tendit mais Agathe restait discrète et digne dans le plaisir
« Je suis bien Pierre mais il faut me baiser maintenant ! »
Nous étions allongés sur le côté, face à face son regard brûlant me transperçait, j’y percevais de l’inquiétude plus que de l’impatience.
« Caresse moi !» lui dis je « fais moi bander ! »

Elle avança sa main sur moi et saisit mon membre. Tout à mon émotion , à cet instant, concentré sur elle, je ne bandais pas et quand j’ôtais mon pyjama c’est un membre un peu mou qu’elle flatta entre ses doigts. A son grand étonnement elle n’eut pas à faire beaucoup d’effort pour lui donner de la vigueur

« Mais il devient énorme ! si je m’attendais ! »
« C’est le premier que tu vois ? »
« Il grossit encore, ce n’est pas croyable à ton âge ! cela doit faire horriblement mal ? Il ne va jamais pouvoir entrer ! »
« Mais si rassure toi, je vais aller très doucement »

En parlant je l’avais allongé sur le dos en lui mettant un coussin sous les fesses, je savais cette position favorable. C’était le moment, j’étais à genoux entre ses jambes, je m’avançais mon membre à bonne hauteur, je le pris en main et le présentais entre ses lèvres. Sans précipitation c’est maintenant mon gland qui de haut en bas allait et venait entre les lèvres de sa chatte. Il s’attardait sur le clitoris avant de descendre devant le méat de sa vulve.

Agathe mouillait abondamment et ma queue glissait bien dans sa fente. Longtemps je fis ainsi en restant cependant de plus en plus longtemps à l’entrée de sa grotte entre ses petites lèvres. Et puis cela se fit naturellement elle s’ouvrit un peu et mon gland s’enlisa dans sa vulve, en m’agitant j’entrais et sortais la tête de mon nœud . Je l’observais guettant ses réactions, son regard.

Elle me fixait intensément, confiante semble t’il, elle semblait bien, le souffle court, alors petit à petit, tout en allant et venant en elle je m’enfonçais progressivement. Cela allait bien, elle me souriait, elle devait penser ça y est, je baise, je baise enfin, je n’ai pas mal avec sa grosse queue. J’étais à plus de la moitié en elle quand d’un coup je m’enfonçais à fond, mes couilles sur son cul.

Elle poussa un grand cri et je regrettais ma précipitation mais avant de me retirer je compris qu’elle jouissait, manifestement cela l’avait surpris, oui baiser c’était bon, jamais elle n’avait eu ce plaisir immense cette sensation et elle me le montra en se déchaînant. Je la pris sous les fesses et je la servis en me branlant dans sa chatte de toute la longueur de mon phallus, elle était dans un autre monde, des étoiles dans les yeux, tout en poursuivant mes assauts je m’allongeais sur elle, unis par toutes les pores de notre corps, elle me tendit ses lèvres et jamais baiser ne fût plus fougueux, passionné.

Quand la jouissance fut à son paroxysme Agathe sorti de sa réserve en gémissant chaque fois que ma queue la transperçait, de plus en plus fort de plus en plus vite pour devenir une plainte continue. J’étais heureux de la faire jouir si fort, avec mes mains sur ses fesses je l’attirais sur moi pour la baiser à fond et comme naturellement d’un doigt je pris son petit cul. Ce geste sembla lui plaire et elle se mit à parler en phrases incompréhensives, où l’on devinait des ouiiii ! des ahhh c’est bon des je jouis Pieeeeerrrre ! des ouiii dans mon petit cul !

Je l’encourageais en lui parlant aussi et cela la déchaîna, elle se trémoussait sur ma queue en dodelinant de la tête, manifestement elle était en plein orgasme
« Agathe ma chérie tu es bien je le vois, tu es une femme maintenant, grâce à ma grosse queue ! tu la sens dans ta chatte ? et mon petit doigt dans ton anus, c’est bon hein ! je vais jouir moi aussi, je vais te remplir de foutre tu vas voir comme c’est bon une bonne queue bien lubrifiée ! »

Agathe semblait apprécier ces incitations érotiques au plaisir, elle se tordait sous moi, elle essayait de me répondre quand la jouissance n’était pas trop intense
« Aller ! jouis toi aussi, tu m’excites ! je suis impatiente d’être inondée ! aller viens ! vite ! vite ! »
« Ahhhhhh je jouis moi aussi, j’explose, tu sens mon sperm au fond de ta chatte ? c’est chaud ! ma queue est bien dans ta vulve remplie de ma liqueur ! elle coulisse bien ! »
« Tu avais raison c’est bon, je ne la sens presque plus tellement c’est doux ! ta grosse queue bien lisse, pistonne moi bien ! va bien au fond ! n’oublie pas mon cul ! ahhhhh que c’est bon ! »

Je sentis qu’elle replongeait dans le plaisir, j’étais heureux de ma réussite et longtemps après avoir jouis moi même je continuais à aller et venir en elle, je lui pris les seins, butinais sa bouche, pelotais ses fesses, avec toujours mon doigt qui forçait son petit trou. J’étais spectateur de sa jouissance et moi j’étais bien, heureux de faire jouir une si belle poupée.

C’est blottie dans mes bras que petit à petit elle se calma, elle me regardait d’un air reconnaissant, de ses belles lèvres s’échappa un
« Merci Pierre, je n’oublierais jamais ce moment, tu m’as dépucelé et je n’ai eu que du plaisir, jamais je n’aurais imaginé que cela puisse être si fort, tu m’as envoyé dans les étoiles, le plaisir intégral dans tout le corps, de la tête, des seins, du ventre, de ma chatte... »

« Et de ton petit cul, tu étais bien aussi ? »
« Aussi, je n’y aurais jamais pensé, mais maintenant que tu en parles, je crois que c’est indispensable pour jouir à fond »
« Tu es vierge évidemment de ce côté ? »
« Que veux-tu dire ? »
« Je veux dire que l’on peut faire par derrière ce que nous avons faits devant ! »
« Est ce possible ? »
« Si c’est bien fait oui ! Toi qui veux tout connaître, ce serait le moment si tu voulais essayer ! »

« Je n’oses comprendre ! »
« Je crois que tu comprends au contraire, mais il faut oser ! »
« Maintenant ? »
« Tu veux ? »
« J’ai peur, mais je suis curieuse, çà doit faire mal »
« Non si on amadoue bien ton petit trou, si on met un préservatif pour que çà glisse bien et si en prenant ton cul on caresse la chatte et les seins ! »
« Et on jouit comme quand on baise ? »
« Plus encore, tu ressentiras une plénitude incomparable ! »
« Tu l’as ce préservatif ? »
« Oui dans ma poche, tiens regarde ! »
« Allons Pierre je te fais confiance, je suis toute fébrile, mais où vas tu m’entraîner ? »

Ainsi Agathe voulais bien se faire enculer, elle me regarda curieuse sortir le préservatif de son sachet et encapuchonner mon gland, je lui demandais de le dérouler sur ma verge, elle tendit sa main vers moi
« Non chérie, avec ta bouche ! »
« Mais tu es le diable Pierre ! »

Cela sembla l’amuser de me prendre la queue dans sa main puis se penchant vers moi d’arrondir ses lèvres sur mon gland et tant bien que mal de dérouler le fin latex sur ma hampe. A mi longueur elle eut la bouche pleine et finit avec ses doigts, inutile de dire que ma queue fut heureuse de ce traitement et qu’elle le montra en se dressant grosse, dure et raide.

« On dirait que c’est parfumé, c’est bon au goût » Me dit elle
« Celui là est aux fruits exotiques, tu es prêtes ? »
« Si on veut, je vais voir, si çà ne me plaît pas tu arrêteras ? »
« Promis, quitte ta combinaison, mets toi à genoux sur ton lit, oui en travers ! mets toi bien au bord, écarte un peu tes cuisses, oui, si tu savais comme tu est belle, quel beau cul »

Ah oui quel cul, les fesses rondes bien écartées laissant bien exposés le petit anus et le fruit fendu de sa chatte. Je m’agenouillais entre ses jambes et écartant plus encore ses rotondités je plaquais ma bouche dans la commissure offerte. Avec ma bouche, avec mes lèvres, avec ma langue surtout je pris son cul et sa chatte passant de l’un à l’autre les enduisant de salive, je léchais son clitoris avant de le pincer entre mes lèvres, je lapais l’anus mignon.

Avec le pointu de ma langue je pénétrais l’entrée de sa vulve encore entre ouverte. C’est quand mes mains, mes doigts participèrent aux caresses de concert avec ma bouche qu’Agathe commença à s’agiter. Une main passée sous son ventre entre ses cuisses palpait sa moule à pleine main tandis qu’un doigt coquin tournait autour de son petit trou lubrifié de salive avant de forcer l’anneau musculeux .

Agathe commença à se plaindre quand elle se sentit pénétrer devant et derrière, délicatement d’abord puis plus franchement, dans son cul surtout ou un doigt en vrille, puis deux distendaient son puits qui peu à peu amadoué ne résista plus en se relâchant. Pour l’instant c’étaient les doigts qui s’agitaient dans sa chatte et son cul qui la faisaient onduler de plaisir.

C’était le moment, je me levais et m’avançais dans le compas de ses cuisses, la queue dressée horizontale, le gland à bonne hauteur. Je me centrais sur l’anus dilaté et je poussais. Le préservatif aidant en tenant ma queue à la main et en l’agitant devant l’entrée je pus commencer à introduire un petit bout de mon membre, très peu mais suffisamment pour m’encourager à poursuivre. Agathe avait cessé de se plaindre et je la savais attentive

« Détends toi ! » lui dis je dans un souffle « ouvre toi, tu me sens ? oui çà vient
si tu voyais comme c’est beau ce gland qui force le passage, il rentre, il s’enlise, tu as mal ? non ?... attends je prends ma verge en main, je l’agite pour l’aider oui petit à petit j’entre en toi, je ne vois plus mon gland, je suis centré, je laisse ma queue faire toute seule c’est moi qui ondule maintenant, je prends ta taille...... bouge toi aussi... çà a l’air d’aller... je te reprends la chatte et tes seins....çà glisse bien avec le préservatif, je m’enfonce Ahhh c’est bon je suis bien moi aussi bien serré dans ton cul et toi ?

« Défonce moi, encule moi bien ! à fond ! Ahhh ouiiiii ouffff je jouis comme une pute, ahhhhh.... jouis toi aussi... aller viens !»
C’était fait j’étais complètement en elle et ma queue allait et venait librement dans son cul, d’un doigt je pistonnais sa vulve et je pelotais ses seins, je caressais sa taille, son dos ,ses hanches. En me penchant sur elle je la pris aux épaules pour mieux l’encastrer en moi. Mon ventre claquait sur ses fesses, mes couilles battaient sa chatte. Je ne pus résister longtemps et me laissais aller en pensant que j’avais réussis à la faire jouir par son cul.

Le sperm jaillit de ma queue et le plaisir m’envahit à mon tour. Quand il s’estompa Agathe jouissait encore, ses fesses s’agitaient en tout sens et c’est elle qui se branlait sur ma queue, je la laissais s’épuiser de plaisir en restant raide tout en continuant à presser ses seins et sa chatte. A un moment elle m’échappa et s’écroula sur le lit. Je m’allongeais sur elle ma verge paisible entre ses fesses et la pris dans mes bras. Je crois qu’ainsi enlacés, épuisés nous nous endormirent un instant.

C’est Agathe qui refit surface la première je lui dis
« Alors ? »
« Tu avais raison, j’ai joui , je me sentais pleine avec ta grosse queue dans mon cul, merci tu as fait plus pour moi que j’en attendais jamais je n’aurais pensé être si bien, merci Pierre, je vais essayer de me faire baiser par les copains, avec ce que tu m’as appris çà ne va pas être triste »

« Agathe, il y a une semaine, je ne savais rien de tout cela »
« Qui t’a appris, si c’est ma mère, chapeau quelle pédagogue. Mais fais voir ton préservatif, dis donc il est plein, c’est çà le sperm ?
« oui » dis je en l’enlevant « si tu étais gentille tu me sucerais ! »
« te sucer la bite ! pourquoi faire ? »
« Pour me faire jouir dans ta bouche c’est très bon, seules les femmes qui aiment vraiment le font à leur amant »

Je ne sais si elle m’aimait mais elle y mit tout son coeur, je l’entraînais devant la glace et je pus admirer son imagination, la mère Diallo pouvait aller se faire rhabiller elle me fit jouir si fort que je manquais m’écrouler j’eus le temps de sortir pour ne pas décharger dans sa bouche mais j’inondais son beau visage de puissants jets de sperme. Etonnée elle me demanda pourquoi je m’étais retiré de ses lèvres

« J’aurai tout gardé sinon »
« Merci chérie, j’étais bien dans ta bouche »
« Moi aussi j’ai aimé sucer ta verge »
« Pourtant tous le plaisir était pour moi, j’ai joui seul grâce à toi à ton imagination, tu es douée tu sais ! »

« Justement, j’étais heureuse d’observer l’effet que je te faisais, si tu t’étais vu les yeux dans le vague quand ma main sous tes couilles je léchais ton gland et ta hampe par dessous, tu n’osais pas gueuler quand je te pompais le dard et que tu baisais ma bouche, tu as une sacrée bite Pierre j’ai bien pu la détailler, elle est belle, elle à la peau lisse comme celle d’un bébé j’ai aimé recouvrir ton gland avant de le dépuceler, mais ce que j’ai surtout apprécier c’est le moment où je me suis rendu compte que tu allais jouir tu grimaçais, tu soufflais, j’ai senti le sperm gonfler ta queue avant que tu exploses, mon seul regret c’est que tu ne sois pas resté dans ma bouche pour éjaculer, j’aurai aimé être inondé de ton foutre »

« Je le saurais à l’avenir ! »

« A l’avenir ? » me dit elle pensive d’un air un peu triste. Je compris qu’il n’y en aurait pas sans doute, j’avais fait ce qu’elle attendait de moi avant de s’envoler avec d’autres. Après être restés un long moment enlacés nus, serrés dans les bras l’un de l’autre, après de nombreux baisers, très émus nous nous séparèrent épuisés par tant d’amour.

La vie repris, Agathe disparut comme les jours précédents, des échos me dirent qu’elle baisait maintenant et qu’elle en avait déniaisé plus d’un.

La fin du week- end arriva et l’on reconduisit monsieur Travil à la gare, il avait l’air sombre d’un mâle éconduit et il monta dans le train sans se retourner ; Sonia me dit
« Cette semaine repos jeune homme, la semaine dernière tu m’as épuisée et mon homme n’a pas eu sa ration habituelle, tu as vu son bec en partant. Allons ne soit pas triste demain Brigitte arrive tu verras s’en est une drôle cela m’étonnerais qu’elle ne te fasse pas des avances, au besoin bien qu’il m’en coûte je l’exciterais. Mais je te préviens fais attention car si elle s’occupe de toi elle va te sécher, te ratatiner et tu ne pourras plus me faire jouir comme jusqu’à présent. »
---------------------------------------

En effet, le lendemain, Brigitte arriva à grand bruit dans sa voiture sport décapotable, les présentations furent vite expédiées
« Et bien dit donc Simone ! tu te tapes du poulet à ce que je vois, voyons voir un peu jeune homme ! pas mal ! pas mal ! »

Et comme madame Travil souriait elle éclata de rire en montrant ses belles dents. Jeune femme d’une quarantaine d’année elle débordait de santé, elle était belle, attirante, dans son sillage un parfum poivré nous prenait au nez et au ventre. Si j’avais eu à la définir j’aurais dit c’est une belle garce et ce n’était pas péjoratif, au contraire. A un moment comme on lui faisait visiter la maison elle me coinça entre deux portes et je fus surpris de sentir sa main palper mon short, serrant ma verge. Le mouvement quoique furtif avait été fait avec une précision diabolique ponctué d’un ( pouet pouet !) sonore. Sans la moindre hésitation elle dit ;

« Dis donc Simone je couche avec Pierre ce soir, c’est la seule solution, je me ferais toute petite, on ne vas pas coucher ensemble chère belle sœur on nous prendrait pour des gousses, ce serait le comble ! »
Et se tournant vers moi
« Tu veux bien Pierre, veux-tu de moi cette nuit, dans ton lit »

Elle faisait semblant de plaisanter mais nous sentions la volonté en elle, le désir inavoué de me passer à la casserole, de se farcir un petit jeune.

« Qu’en penses tu ? » me demanda Sonia d’un air interrogatif mais avec une lueur dans les yeux que je fus seul à percevoir.
« Je veux bien, le lit est grand ! » dis je d’un air benêt
« Ben alors si le lit est grand pas de problème ! c’est bon ! » répondit Brigitte avec le sourire de la panthère qui va dévorer sa proie. Du coup l’inquiétude me saisit mais quand l’observant je détaillais de plus près, ses seins, ses fesses, j’eus une sorte de frisson et je me mis à bander.

Le soir il fallut faire d’abord la tournée des grands ducs, Brigitte avait exigé que je l’accompagne. Elle laissa un souvenir inoubliable au bal des pompiers, tous les mâles du coin se la disputaient pour frotter en musique, à un moment même il y eu un esclandre quand un cavalier éconduit lui mis la main au cul au passage. Deux ou trois autres mâles en profitèrent pour taper sur l’indélicat personnage tels des cerfs au fond des bois pour attirer leurs biches.

Brigitte en profita pour s’éclipser et m’entraîna à sa suite. Il fallut faire la tournée de tous les bars de la côte où elle semblait comme chez elle et c’est à près de deux heures du matin qu’elle parla de rentrer. De retour, la maison dormait, j’étais tout excité en entrant derrière elle dans la chambre, sa croupe ondulait sous le tissu soyeux de sa jupe fendue jusqu’à la taille, cette croupe, ce ventre qui avaient subit maints outrages depuis notre départ.

Elle n’alluma que la petite lampe de chevet et commença a s’effeuiller devant moi sans la moindre pudeur, je restais pétrifié devant tant d’appâts mis à nus. C’est entièrement à poils qu’elle se mit au lit. Une fois allongée elle me regarda en me disant :
« Aller Pierre déshabille toi et rejoints moi j’ai besoin d’être réchauffée ! »
Comme je m’exécutais elle me dit.
« Garde ton slip, laisse le pour moi et viens au plum..! »

Une fois dans les draps elle m’enlaça et je me plaquais sur elle en la prenant dans mes bras, nos cuisses enlacées, j’étais bien. Elle me murmura :

« Pierre tu as vu tout ces caves qui voulaient me sauter ce soir ? Je me suis gardée pour toi, je pensais à toi en dansant, les mains cajoleuses c’étaient les tiennes, ces ventres qui me pressaient c’était le tien petit. Sauras tu, dis, me caresser à me faire jouir ? Sauras tu me prendre avec ta bite d’enfant ? Simone m’a dit que tu n’étais plus puceau, c’est bien à ton âge ! Je suis sûre que je vais aimer ton inexpérience, je vais te cajoler et prendre soins de ta petite quéquette »

Tout en me parlant elle s’excitait, se frottait à moi en serrant ses cuisses sur les miennes, elle me caressa en effleurant d’une main ma queue sur le slip, je commençais à bander quand délicatement elle entreprit de me déculotter pour être plus libre de me le gober. Elle ne put résister à l’envie de vérifier en regardant sous les draps :
« Pierre quelle bite grand dieu ! si je m’attendais ? Quelle verge ! Quel âge as tu donc pour être si bien équipé ? »
« Presque dix huit ans Brigitte » lui dis en lui pelotant les seins qui s’étaient brusquement durcis.

Je la serrais contre moi, j’étais comme fou de tenir ainsi dans mes bras cette femme d’expérience, l’amour dans sa nudité. Finalement c’était la première fois. Pour Brigitte il ne fut plus question de se cacher sous les draps qui s’envolèrent, nous étions tous les deux nus dans la pénombre seule la lumière de la lampe de chevet et sa clarté diffuse nous rendait plus beaux encore.
«Je suis toute excitée de voir ton membre Pierre, veux tu que je m’occupe de lui ? »
« Je veux bien ! »
« Merci, tu ne le regretteras pas je t’assure, fais moi confiance, allonges toi sur le dos bien au bord ! »

Dans cette position mon membre se dressait vertical, je sentis une main le saisir au milieu de ma hampe entre mes couilles et mon gland décalotté. Ce simple geste renforça sa rigidité et sa grosseur pour le plus grand plaisir de Brigitte. Sans me lâcher je la vis fouiller dans son sac et en sortir une petite fiole et quand elle la déboucha une agréable odeur se répandit tenace dans la chambre.

Elle retourna la petite bouteille et un jet liquide gicla sur mon gland. Lorsque mon capuchon fut inondé l’anneau de la main qui me tenait descendit doucement le long de ma verge et sans voir j’eus la délicieuse sensation de sentir le liquide huileux dégouliner le long de ma queue et me mouiller jusqu’aux parties.

Encore quelques giclées et je fus totalement enduit du ventre à l’extrémité de mon pénis. C’est alors que tout commença quand à deux mains on s’occupa de lui, deux mains expertes et diaboliques, jamais je n’avais encore eu cette sensation de plénitude et aujourd’hui encore aucune masturbation ne m’a laissé un tel souvenir.

Le lubrifiant rendait le massage irréel de douceur, les mains allaient à la rencontre l’une de l’autre en comprimant ma hampe puis elles se fuyaient en étirant ma verge pour finir sur mon gland recouvert et mes couilles malaxées, les doigts glissant plus loin dans la raies des fesses. J’ai bien dit diaboliques ces mains car elles me menaient jusqu’aux portes de l’éjaculation sans jamais les franchir, mais le plaisir irradiait tout mon bas ventre que je soulevais pour quêter les caresses jouissives.

Une variante consistait à avoir à tour de rôle la paume d’une main, sur mon gland décalotté avant qu’elle descende doucement en serrant bien ma verge jusqu’aux couilles qu’elle empaumait avant de poursuivre leur plongée entre mes fesses et qu’un doigt lubrifié viole mon anus amadoué. L’autre main était déjà en route pour une même descente infernale par le même chemin et ainsi de suite. Brigitte semblait trouver du plaisir, elle s’était agenouillée sur le lit à mes côtés en sens inverse et quand elle m’enjamba j’eus sous mes yeux la partie la plus charnue de son anatomie supportée par ses cuisses ouvertes.

Je voyais ses fesses relevées, écartelées. Dans l’entre cuisses je voyais nettement son cul et les grosses lèvres poilues de sa chatte. Malgré mon émoi j’eus l’idée de verser une rasade d’huile odorante à l’entrée de la commissure de ses fesses au bas de son dos et j’observais la descente du sirupeux liquide, le contournement du petit cratère de l’anus avant l’arrivée dans le marécage de sa chatte et tandis que Brigitte continuait son savant branlage j’eus le courage de m’occuper par l’avant et par l’arrière de ce lieu enchanteur.

Par l’avant je palpais les grosses lèvres lubrifiées de sa vulve l’une après l’autre de haut en bas en les écartant, puis je les serrais en les faisant glisser onctueusement l’une contre l’autre, enfin les doigts parcouraient sa raie du clitoris à sa vulve pour enfin de deux doigts seulement pénétrer sa chatte bien à fond en les agitant.

Par l’arrière de fut plus simple avec mon pouce je pressais l’anus lubrifié et je l’enfonçais dans le mystérieux cloaque tandis que les autres doigts de ma main rejoignaient ses frères passés par devant en serrant sur eux les lèvres charnues de la chatte investie. Dans une longue plainte de plaisir Brigitte s’écroula sur moi et placés comme nous étions j’eus son entrecuisse sur mon visage et au lieu de mes mains c’était ma bouche ma langue qui la firent jouir.

Je sentis une chaleur envahir ma verge qu’elle avait prise entre ses lèvres. Je vivais cette position de soixante neuf décrite par Sonia, drôle de position difficile à contrôler où il faut se concentrer sur le plaisir que l’on donne et sur celui que l’on reçoit, en quelque sorte c’est se faire jouir par personne interposée, comme si par miracle on pouvait se sucer soit même.

Nous nous concentrèrent à merveille car nous trouvèrent ensemble notre plaisir, nous nous tendirent en même temps, moi inondant sa bouche de mon sperm et elle en s’agitant autour de ma langue plantée dans sa chatte. Le plaisir de Brigitte continua après le mien, elle se frottait l’entrecuisse sur mon visage et ma langue, mes lèvres, mon nez s’enlisaient dans la boursouflure de sa chatte, quand elle soulevait ses fesses c’était pour mieux placer ma langue sur son clitoris, sur son petit cul ou à l’entrée de sa vulve elle se plaquait alors sur elle et ondulait de la croupe en s’ouvrant pour que je la pénètre profondément du pointu de ma langue.

Par moment je pouvais voir entre ses cuisses ses seins durcis qui dodelinaient et entre ses seins son visage, sa bouche qui n’avait pas lâché mon membre. Je la fis jouir plusieurs fois et à ces moments le rythme de sa croupe s’accélérait, elle écrasait sa chatte sur mon visage ma langue bien plantée en elle, elle ne jouissait pas en silence et poussait des petits cris au rythme de ma langue qui s’agitait profond en elle.

Je la vis prendre son petit baise en ville et l’instant d’après j’eus une sensation nouvelle, Brigitte continuait de s’exciter sur moi et se faire jouir mais quand je pus voir ce qu’il m’arrivait au travers de ses cuisses je vis qu’avec une longue et étroite bande de plastique souple elle avait entreprit de l’enrouler de plusieurs tours autour de mes parties et de ma verge, quand elle tirait sur les extrémités de ce ruban cela me serrait et me fit bander davantage. Je pouvais voir toute congestionnée et gorgée de sang ma verge dressée qui s’agitait telle une marionnette au bout de ses fils.

Comme une marionnette en effet je fus contraint de me lever, contraint car si je résistais la tension se faisait plus forte la douleur remplaçant le plaisir. Je ne comprenais pas la manœuvre et les conseils de prudence de Sonia me revenaient en mémoire, que faire autre chose que de me laisser guider vers une nouvelle expérience ?

Je compris mieux quand Brigitte se plaça de dos devant moi et qu’elle passa les fines lanières souples entre ses cuisses et les reprit devant elle en tirant. Je compris qu’elle m’attirait vers elle, qu’elle attirait mon membre entre ses fesses, elle y trouvait déjà du plaisir car les lanières lacéraient les lèvres de sa chatte quand elle faisait vibrer leurs extrémités dans la raie de son cul. Ligoté je ne pouvais reculer, en avais je envie d’ailleurs ?

Bientôt mon gland fut entre les lèvres de sa vulve, elle était prête à me recevoir ouverte, inondée de sa liqueur. Petit à petit j’enlisais dans son fourreau ma bite et les liens qui la serraient. Retenu je devais rester à fond les couilles entre les fesses qui commencèrent à s’agiter en tout sens. Je participais en passant mes mains par devant, une entre ses seins et l’autre entre ses cuisses, je retrouvais mes liens qui s’agitaient comprimant les grosses lèvres serrées sur ma hampe et sur un clitoris gaillard.

Avant de s’abandonner, dans un souffle, Brigitte me donna les bandes plastiques et en se courbant en avant me dit :
« Fesse moi Pierre, fouette moi les fesses, j’ai besoin de cette sensation pour jouir à nouveau ! »
Ses fesses étaient là sous mes yeux, offertes. On me demandait de leur faire du mal, ce n’était pas possible, je ne pouvais !
« Tu ne comprends pas, je te demande de fouetter mes fesses, ne cherche pas à comprendre, allez soit gentil ! fesse moi fort, sinon ! »

Le ton après être implorant devenait menaçant, en représailles la tension devint plus forte et j’eus mal aux couilles. Alors comme elle m’en priait je la fessais avec les lanières de plastique. Au premier coup Brigitte réagit en sursautant et j’y trouvais un bénéfice, chaque coup m’encastrait plus profondément en elle et paradoxalement cette situation rocambolesque m’excita moi aussi. Les fesses délicates virèrent au rose
« Plus fort ! plus fort ! »

Hurlait Brigitte en plein orgasme, je ne pouvais je ne voulais pas faire mal, je continuais à la fesser mais par petits coups qui la menèrent à jouir en gémissant. Alors d’un coup j’explosais en jouissant à mon tour , je me déliais et enfin libre je pus aller et venir en elle pour son plus grand plaisir. A un moment sans concertation et sans préparation je me retirais et relevant ma queue je l’enculais sans précaution d’un coup, bien à fond et cela la déchaîna j’eus du mal à suivre sa croupe en folie mais je ne la lâchais que lorsqu’elle s’apaisa après s’être tendue trois ou quatre fois, je ne sais plus.

Nous nous désaccouplèrent et c’est dans les bras l’un de l’autre que nous reprirent notre souffle
« Couchons nous Pierre, viens dans mes bras petit chéri ! »
C’est ainsi qu’elle s’éteignit adorablement nue , blottie dans mes bras, comme un ange qu’elle n’était pas. Mais quel souvenir encore.

Quand je m’éveillais je bandais comme un cerf, rien d’étonnant car Brigitte me caressait, une main passée par derrière entre mes cuisses palpait mes bourses tandis que l’autre par devant m’astiquait la verge raidie. J’ondulais de plaisir en offrant davantage mes fesses et mon membre, j’étais bien. Brigitte avait retrouvé la forme et je ne fus pas étonné quand elle me dit :

« Bravo pour cette nuit, il y a longtemps que je n’avais pas joui comme çà, je dirai mieux, je n’ai jamais tant joui. Si tu étais gentil Pierre, un dernier petit coup pour la route comme on dit ?. Après je pars »
« D’accord mais en levrette ! »
« En levrette ! j’adore ! aller viens chéri »

Nous firent l’amour une dernière fois en plein jour et ce fut merveilleux, je la pris par les hanches et je servis ses deux jolis petits fourreaux au milieu de ses fesses divines. Le jour perçait au travers des ouïes des persiennes zébrant nos corps de traits lumineux et c’est en pensant aux belles du Crazy horse que je la fis jouir une dernière fois. Quand je me levais elle était partie.

La suite des vacances fut merveilleusement érotique. Avec Sonia nous baisions pratiquement tous les jours, un peu moins en fin de semaine pour que Tom est sa dose quand il arrivait pour le Week end. Sonia me fit connaître toutes les facettes de l’amour, elle y trouvait son compte et me le montrait en s’abandonnant dans mes bras. A ce jeu la fin du mois arriva vite et ce fut le retour à la maison. Je retrouvais mes parents heureux de me revoir. Ma mère me trouva amaigri et me dit :

« Pierre, la mer ne semble pas te réussir, tu as beaucoup maigri, Cet hiver tu iras à la montagne, Madame Diallo à gentiment proposé de te prendre avec elle, tu vois qui c’est ? tu n’oublieras pas de la remercier, j’espère que tu profiteras de sa présence pour apprendre, tu sais qu’elle est professeur de lettres, cela te fera du bien. »

Je pensais professeur de mes fesses oui ! mais à partir de cet instant je pensais aux vacances de fin d’année, à Laura, à son beau corps sombre, à son cul accueillant, à son imagination. J’étais comblé, moi qu’il y a un mois encore ignorait tout de l’amour physique.
175 vote(s)


Histoire de Pierre le Grand

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Education sexuelle

Le 15/07/2013 - 10:25 par angelique
Excitation quant tu nous ouvres les chemins des plaisirs exquis qui éveillent en nous des instants magiques de désir intense sans tabous inutiles qui peuvent gâcher toutes nos expériences suivantes, oh yes une belle leçon d'éducation sexuelle très excitante... Ton histoire est des plus érotiques, des plus sensuelles, m'a inspiré très rapidement des caresses furtives vers mon intimité très réceptive à mes pensées libertines qui virevoltaient dans ton récit... Tu as conquérit mon âme qui très vite s'est sentie enlacés tout contre toi... On s'y croyait vraiment, c'est un pur plaisir incroyable, tu as une plume très subtile, j'adhère, j'adore ... Pierre le grand... Non... plutôt Pierre le Géant... Pierre le fantasmant... Pierre l'excitant... Pierre l'affolant... Bravo pour m' avoir fait découvrir tes approches de l'amour ...
Le 03/05/2012 - 17:07 par LEOPRINCE
tres beau recit car il a de l'enseignement ton recit mon cher pierre. merci bcp pour ton histoire.
Le 11/10/2010 - 20:10 par skill.net
Dommage que je ne puisse pas télécharger ou tirer sur papier tes histoires Pierre! J'aimerais éduquer sexuellement mon épouse avec! Car je cherche de telles histoires pour changer l'hamonie de mon ménage! Merci beaucoup à toi Pierre.
Le 10/10/2010 - 14:51 par Choutex3
Une fabuleuse histoire ! Comme toujours ! Te lire est un réel plaisir pour moi. Tes histoires sont telLement jouissives & érotiques ! J'Adore ! Savoir comment s'est passé ta toute première fois, tes premières interrogations sur le plaisir était génial ! Tu as eu beaucoup de chances pour ta première fois... J'aurai aimé en avoir autant. Bisous Bisous !
Le 21/09/2010 - 16:47 par julie94
Cher Pierre Tu m'as appris beaucoup sur la sexualité naissante d'un homme et comment il découvre tout ce que l'on peut faire à deux. J'avoue que j'aurai aimé être dépucelée comme Agathe car pour moi cela n'a pas été le pied. Baiser avec toi doit être agréable merci pour ces bons moments que j'ai eu à te lire. Je vais lire tes nombreuses histoires. Julie
Le 25/06/2010 - 17:35 par elie
j'ador la mélodie de tes mots, les sensations qu'il procure, et la fièvre que tes textes me donne !!!! continue je t'en prie !!!!
Le 22/02/2010 - 17:38 par Little_Diary
Je l'ai lu pour la deuxième fois, c'est certain je ne m'en lasse pas. J'aime particulièrement le moment avec Laura. Je te souhate bien du courage pour tes futurs écrits, que sûrement beaucoup de personnes attendent avec impatience.
Le 15/02/2010 - 10:38 par Pierre le Grand
Merci pour vos commentaires élogieux, cela m'encourage. N'hésitez pas à lire mes autres histoires écrites dans la fièvre pour vous émouvoir et de dire vos impressions. A bientôt.
Le 02/02/2010 - 00:12 par TanyaSweet
Si toute les premières fois pouvaient être comme ça... Encore une fois tu nous régale avec tes histoires si excitante!!
Le 27/01/2010 - 17:55 par nun06
Comme Cassandre, SUPER texte J'ai vraiment aimé, tout en finesse et rien de grossier. On attend la suite.
Le 27/01/2010 - 14:30 par cassandre
C'est la première histoire que je lis sur ce site... et je suis fan de toi Pierre ! Pour le moment, les autes ne t'arrivent pas à la cheville !

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :