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Elle perd sa culootte dans le metro

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 14/10/2025

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Comme toujours à 6 heures le métro était bourré et on était serré comme des sarcines, l’un contre l’autre, l’autre contre l’une. José sentait un contact sur sa cuisse, léger mais nettement perceptible.
Cela lui rappela une ancienne expérience dans ce même métro. Il était bourré, comme d’habitude, et elle était collée à un jeune garçon de 14 à 15ans. Elle avait senti sa main se coller à ses fesses, caresser sa robe, passer sur le devant de sa cuisse pout tranquillement s’approcher de son minou. Un peu choquée elle avait tardé à réagir, il est toujours difficile de déclencher un scandale dans une telle foule. Choquée mais indulgente pour ce jeune garçon découvrant, sans doute, sa puberté naissante. Elle appréciât la caresse mais la bienséance l’obligea à réagir. Elle pris la main du garçon et la retira de sa chatte pour bien lui signifier que la récréation était finie.
Ce contact sur sa cuisse lui rappela un épisode équivoque qu’elle avait connu dans ce même métro et elle sourit en y repensant.
Dans le métro bondé elle avait senti une présence qui se collait à elle. A chaque chaos de métro le contact devenait de plus en plus pressant. Elle se retournât et aperçu un homme qui lui sourit. Il était plutôt bel homme, cinquantenaire, bien mis et bien soigné. Elle détourna les yeux et se replongea dans ses méditations. Elle n’eut pas longtemps à méditer car des mains s’étaient posées sur ses hanches. Elle imagina qu’elles appartenaient à cet homme séduisant qui se collait à elle. C’était gênant, mais flatteur de se sentir ainsi désiré. Elle ne bronchât pas devant se petit moment de plaisir. Les mains glissaient maintenant sur le coté de ses fesses, puis sur ses cuisses. C’était agréable et elle sentait sa culotte devenir humide. Les mains était maintenant remontée. vers le bas de ses reins s’activant pour rechercher quelque chose. Elles le trouvèrent enfin sous la robe légère de José. Celle-ci restait interloquée car ce genre de « frotteur » se dirigent plutôt vers la chatte ou les fesses plutôt que vers la ceinture. Elle ne compris pas tout de suite ce qui se passait et se disait qu’elle avait peut-être fantasmée.
Les mains cherchaient maintenant nettement l’élastique de sa petite culotte. Cela lui remit en mémoire qu’elle avait mis ce matin sa culotte blanche en dentelles. Les mains remontaient légèrement la robe pour donner du mou, saisissaient l’élastique et le tiraient maintenant vers le bas en tendant le tissus. Quel jeu joue-t-il se disait José prise de curiosité. Centimètre par centimètre elle sentait sa culotte glisser vers le bas, un coté, puis l’autre, puis l’arrière, le déculottage continuait. José était inquiète mais se disait « Au fond rien de bien méchant ma vertu n’est pas en danger »
La culotte continuait son voyage et elle était maintenant au niveau de ses hanches, juste au-dessus du rond de ses fesses. José pensait que cet homme était vraiment très patient et qu’il devait bien prendre son temps dans le sexe. Cette pensée la fit un peu rougir. En effet elle était en train de se faire retirer la culotte et elle imaginait alors une relation sexuelle … qu’elle dévergondée ! En tout cas l’homme était habile, elle ne devait pas être la première à lui offrir ce petit plaisir … elle rougit en pensant à toutes le autres.
Et toujours, inexorablement, la culotte descendait. Soudain José réagit. Elle pensa qu’une fois le rond des fesses passé la culotte n’aurais plus d’obstacle pour filer toute seule vers le sol. Il faut arrêter ça!
Trop tard la culotte avait passée l’obstacle et glissait maintenant le long de ses cuisses pour atteindre les genoux de José.
Elle paniquât, que faire. Le tissus dépassait maintenant sous robe. On aurai pu le voit. Se baisser pour le remonter aurait attirer l’attention sur elle … impossible ! Elle pris la solution extrême. Elle agitât ses jambes pour pousser la culotte à ses pieds. Elle s’emmêla un peu dans ses talons mais José arriva discrètement à s’en défaire . Le bout de dentelle blanche était maintenant à ses pieds comme une preuve de sa disgrâce. Elle la repoussa « en douce » entre les jambes d’une voisine tout en se disant « Je suis bien une salope, après ce que je viens de faire il faut que je fasse porter le chapeau … ou plutôt la culotte) à une autre » et pris un air détaché malgré le sentiment très net d’être nue sous sa robe. Enfin le plus dur était fait, elle avait eu son moment d’excitation et rien n’avait transpiré. Le métro s’arrêtât à une station et l’homme s’excusât de la bousculer pour descendre, lui fit un grand sourire avec des yeux pétillants de malice. Elle lui décocha, malgré elle, un sourire de remerciement et restât dans la foule avec le sentiment trouble de s’être bien amusée … et le jeu valait bien de perdre une culotte ! Elle s’amusait à la pensée de ce qui arriverai quand la foule serai moins dense et que l’on trouverai un culotte de femme sur le sol du wagon. Elle ne pouvait détacher son esprit de ce qui était arrivé, elle se sentait « toute chose » e sourit encore en pensant que son mari allait bien profiter ce soir de son excitation!
Elle était prise d’un désir soudain de retrouver cette émotion qu’elle avait vécu, un envie de sexe.
En rentrant chez elle, elle eut la surprise de trouver son mari, Jean, à la maison
JO – « Tu es delà rentré »
JE – « Oui, un rendez-vous annulé »
Elle s’approcha de Jean, l’embrassa avec fouge se pelotonnant dans ses bras. Tout content, Jean pris l’initiative mais en fourrageant sous sa jupe il eut la surprise
JE – « Mais tu n’as pas de culotte ? »
José bredouilla
JO – « Ah oui … je t’expliquerait »
José s’activa sur la braguette de Jean, une façon de détourner la conversation
JO – « J’ai très envie »
JE – « De quoi ? »
JO – « D’être très cochonne … Des trucs qu’on a jamais fait »
Jean s’étonna
JE – « Toi cochonne … que veux-tu faire . »
JO – « Des trucs qu’on a jamais fait »
Il est vrai que leurs ébats étaient plutôt classiques, des missionnaires, quelques levrettes … rien de bien folichon. José sorti le sexe de jean de son slip et commença à le caresser
JE – « Bien continue »
José le pris en bouche et commença de le sucer
JE – « Merci chérie tu fais ça bien »
Effectivement se disait Jean, pour une débutante dans la pipe c’était plutôt pas mal. Il eut l’idée de l’encourager
JE – « Très bien chérie tu suces à merveille, on dirait que tu as fait cela toute ta vie »
JO – « Tu exagère, je fais de mon mieux »
JE – « Continue comme ça, c’est bon »
Après quelques aller et retour le sexe de Jean était bien raidi. José lui murmura à l’oreille`
JO – « Je voudrai que tu m’encule »
JE – « Tu sais ce que ça veut dire ? »
JE – « Oui, tu me prend par derrière »
JE – « Tu sais dans quel trou …le petit »
JO – « en tout cas, je veux !... est-ce que ça fait mal »
JE – « Un peu au début, mais après c’est extra »
JE – « Tu sais, un anus cela se dresse come un cheval, beaucoup de douceur et un peu de fermeté pour marquer qui est le patron »
JO – « Merci pour la comparaison »
JE – « Tu sais, à quatre pattes ! »
Jean commença à flatter le petit orifice de José, il le caressa doucement, l’embrassa, l’humecta de sa langue. Il posa un doigts dessus, joua à écarter les boursouflures et tenta de s’y insinuer. Le doigts rencontrât une résistance farouche.
Jean l’enduisit de salive et repris sa besogne. Le doigts s’enfonça un peu. Jean, fit quelques mouvements circulaires pour détendre la rondelle. Elle céda un peu et le doigts la pénétra. Jean tenta quelques aller-retour, sorti son doigts, le ré enduisit de salive et cette fois il put l’introduire entièrement
José réagit
JO – « ça y est, tu m’encules ? »
JE – « Pas encore poupée, ce ne sont que les préliminaires »
L’orifice se détendait et Jean put jouer de son doigts à sa guise. Jean tenta 2doigts qui réussirent à passer les défenses. Jean joua avec l’anus, tournant ses doigts, les écartant, les faisant aller et venir. José ne bronchait pas
La sentant prête jean se leva pour aller chercher dans la salle de bain le tube de vaseline, le « sésame ouvre-toi » de la sodomie. Il en fourra plein dans de trou, testa la résistance avec ses doigts et décida de passer aux choses sérieuses. IL posa son gland sur l’orifice, exerçât une légère pression pour tester l’adversaire. Puis il poussa un peu plus fort pour écarter la rondelle. Le travail avançait bien. José ressentait un certain stress, sentant bien que l’échéance avançait.
Jean s’enfonça un peu plis profond et José laissa filer un petit cri
JO – « Aie … tu me fais mal »
Jean se retira, mais revint à la charge peu après. Cette fois tout se passa bien. Chaque fois que Jean progressait José gémissait, Jean se retirait puis reprenait l’ouvrage. Enfin la rondelle céda et la membre s’enfonça jusqu'à la garde en José. La résistance de José était vaincue.
JO – « Cette fois je le sens tu es en moi et j’aime ça ! »
Jean commença les vat vient qui mettaient José en foie . Il était à la manœuvre et pilonnait littéralement sa compagne
JO – « Oh comme c’est bon, prend moi, … par le cul c’est bon »
Spontanément José aidait à la manœuvre et bientôt Jean n’eut plus à bouger. José avait pris les choses en main et venait elle-même s’empaler sur le membre.
JE – « Ah ! tu aimes cela on dirait »
José n’avait pas l’esprit à la galéjade ; Elle prenait avec rage possession de ce membre qui la remplissait
JO – « Oui, encore, plus profond, tu me baise, tu m’encule bien »
Finalement Jean explosa dans José qui reçut une giclé de sperme là où elle n’en avait jamais reçu.
JO – « Ca y est, je suis une salope qui s’est fait baiser le cul »
JO – « comme c’était bon, comme tu m’as bien enculé, c’est la première fois que je jouis par le cul »
JE – « Et l’espère que ça ne sera pas la dernière ! »
Calmée, José repris ses esprit et commença de câliner Jean
JE – « Au fait tu devais m’explique pour ta culotte ? »
José retomba sur terre. Que faire, un resonge comme : j’ai eu une petite fuite et j’ai dû retirer ma culotte ou carrément avouer la vérité. Elle opta pour la vérité pensant qu’après ce qui s’était passé Jean serait compréhensif. Elle avoua tout … ou enfin presque tout. Elle n’insistât pas trop sur sa participation volontaire à son déculottage se projetant plus come victime que comme complice.
Jean encaissa le coup puis repris ses esprits. José s’était découvert aimant faire les pipes et acceptant … plutôt réclamant la sodomie. Le résultat était positif, et puis il ne pouvait faire grief à sa pauvre femme d’avoir été agressée dans le métro. Il sourit en pensant qu’il devait cela à un inconnu du métro.

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Histoire de rouillip

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