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Elles me font toutes bander ! (2)

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Lue : 1920 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 08/06/2015

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Ah ça oui, elles m’ont bien fait bander l’autre soir Solange et ses deux copines ! Voilà trois jours que j’arrête pas d’y penser et de me remémorer cette sacrée nuit passée chez Solange et aussi les « préludes » au club des femmes !
Là c’est surtout la petite Jessie qui accapare mes pensées érotiques, j’ai hâte de la revoir celle-là mais Solange s’est bien gardée de me fournir son numéro de portable, aussi j’entreprends de la revoir au magasin. Comme elle travaille au poste de contrôle, elle m’a vite repéré sur la caméra de surveillance. Elle vient me retrouver dans les rayons de lingerie féminine où je l’attendais.
Rien que de la voir arriver m’affole les sens : jeans super moulant avec un délicieux caraco fin et léger d’où transparaît un soutien-gorge rempli à craquer ! Je veux l’embrasser mais elle me fait signe d’un regard montrant la caméra.
- bonjour Jessie.
- Bonjour, qu’est-ce qui t’amène ? Des emplettes de sous-vêtements coquins…
- Pourquoi pas… à vrai dire je venais te rendre une petite visite, je passe te prendre à la débauchée ?
- C’est gentil, on peut se retrouver chez Solange… demain.
- Bein c'est-à-dire que je pensais t’inviter chez moi, une soirée à deux ce serait sympa hein.
- Attends Marc, je crois que t’as pas bien compris là… si tu veux qu’on se revoit c’est chez Solange uniquement.
Je n’ai pas pu cacher ma surprise :
- Oh que si je comprends, t’as besoin de sa permission, c’est quoi ça ?
- Désolée mais c’est comme ça…, c’était super la soirée chez Solange, on peut recommencer, ça t’a plu à toi aussi… t’as de la ressource hein…
Voyant mon désarroi, elle s’est collée contre ma jambe, sa main viens frôler la tension apparente sur mon pantalon.
- tu m’excites là ! ok pour demain soir alors.
En quittant le magasin, je veux en avoir le cœur net, aussi vais-je voir Solange pour lui mettre les points sur les I, c’est quoi cette affaire d’être obligé de passer par elle pour sortir avec Jessie !

Avant d’arriver chez Solange je m’arrête dans un bar pour réfléchir à la question et comment aborder ça avec cette adorable et redoutable Solange. Bien sûr ça me tente aussi de passer une soirée à trois mais quand même, j’aimerais bien avoir Jessie pour moi tout seul.
En m’ouvrant sa porte Solange me reçoit avec un large sourire, décidemment elle ne fait pas son âge !
- quel plaisir ! me dit-elle en m’embrassant.
- … non dissimulé… tout le plaisir est pour moi…
- à partager mutuellement me répond-elle d’un air coquin.
- Entre, j’ai de la visite mais tu es le bienvenu.
- Je… je suis venu te parler de Jessie…
- Je sais, elle m’a téléphoné.
- Ah… alors je trouve bizarre qu’elle…
- On en reparle plus tard tu veux… viens.
Dans le salon, effectivement une femme assise dans le canapé me regarde arriver.
- Odile, je te présente Marc un ami… de bon goût…
En me dirigeant vers le canapé, la femme, la cinquantaine, se lève. Grande, belle dans sa robe d’été bien seyante, elle me tend la main.
- effectivement… bon goût…
- Marc, voici Odile une amie de longue date
- Enchanté.
- Assieds-toi Marc, tu prends un verre ? Rafraîchissement ou apéro ?
- Comme vous, un jus d’orange, et avec un glaçon.
Pendant que Solange prépare mon verre au bar, Odile entame la conversation tout en me dévisageant intensément :
- vous êtes de la région ?
- oui, depuis peu, je viens d’être muté… je suis de Bordeaux.
- Ah, ça doit vous changer ici, la ville n’est pas bien grande ; vous vous y plaisez ?
- Je m’y fais, d’ailleurs je préfère les petites villes, les trajets y sont moins longs et surtout beaucoup moins d’embouteillages.
- Oui on est tranquille.
- Et les gens sont plus accueillants.
- Vous avez déjà fait des connaissances ?... ah oui vous connaissez déjà Solange, charmante n’est-ce pas ?...
- Oui, très charmante… effectivement j’ai déjà fait des connaissances… (je pensais à la soirée au club où j’avais croisé dans la pénombre une trentaine de femmes sans pour autant pouvoir me rappeler leurs visages, vu les circonstances)… la ville est sympa.
- Vous verrez, vous vous y plairez de plus en plus ici.

Sur ce, Solange revient et me tend un grand jus d’orange :
- bien sûr qu’il s’y plaît ici, et il ne voudra plus quitter notre petite ville de province, n’est-ce pas ?... me lance-t-elle avec un clin d’œil.
J’étais venu pour parler du problème avec Jessie et me voilà à discutailler. Bon, c’est pas désagréable, rien que de voir Solange je me remémore notre étreinte de l’autre soir. Quant à son amie, j’avoue que c’est un beau morceau de femme qui ne me laisse pas insensible, de plus elle croise et décroise ses jambes constamment !
Assis dans le fauteuil en face, elle m’offre une bien alléchante vision ; le fait-elle exprès ? En attendant je me rince l’œil car ses mouvements de jambes ont fait remonter les pans de sa robe sur ses cuisses mais alors dessous j’ai droit à une cuisse dégagée comme c’est pas possible ! Bon reste calme je me dis et je vais tacher de maintenir mon regard plus haut, c’est plus prudent, je ne veux pas mettre Solange mal à l’aise en reluquant les cuisses de son invitée que je ne connais pas. Et puis j’ai hâte qu’elle s’en aille pour parler à Solange, je sirote donc mon jus en écoutant vaguement leur discussion.

- l’autre jour, dit Odile, en me promenant j’ai eu l’occasion d’admirer un très bel arbre, c’était un pin avec ses écorces longitudinales bien saillantes. Magnifique !
- ah oui c’est beau les pins surtout avec leurs écorces saillantes.
- Et cette forme, si t’avais vu ça de près ! bien enflé à la base avec une courbure…
En disant cela, elle mime la forme d’un geste gracieux : « mais de quoi parlent-elles, pensais-je…, non c’est pas vrai, décidemment j’ai les idées mal placées…». Tout en continuant la description du pin, les deux femmes m’observent de leurs regards pétillants comme si elles attendaient un commentaire ou une question de ma part. Cette insistance commence à me gêner, d’autant plus qu’à chaque fois que nos regards se croisent je ne peux m’empêcher de poser mes yeux sur cette cuisse décidemment trop alléchante...
- …et le plus beau, continue Odile, c’était ces gros pieds de lierre accrochés à la base du fût et remontant bien haut, superbe !...
- oui je visualise bien la chose dit Solange, un tronc puissamment bandé hein…
Alors là y’a plus aucun doute ! Elles décrivent bien un phallus !... Cette Odile elle a un sacré culot de parler ainsi, c’est de la provoc ou quoi ?... D’ailleurs ça marche car je bande dur, ça doit se voir me dis-je.

Elles se sont tues, face à moi Odile me scrute, ses yeux trahissent une gourmandise non dissimulée, ils alternent entre mon regard et mon bas ventre pendant que mon hôte sourit largement.
Soudain Solange se lève, tend la main à son amie et l’amène devant moi, je reste assis :
- Odile m’a dit qu’elle te connaissait…
- Euh… (je tente de la dévisager maintenant plus proche mais mon regard porte plutôt à hauteur de son bassin et, de toutes façons, je n’ai pas l’esprit à chercher où j’aurais pu la rencontrer).
La femme s’agenouille lentement, mon excitation monte d’un cran :
- je vais te rafraîchir la mémoire… dit-elle.
Au même moment Solange passe derrière mon fauteuil, me caresse le cou, déboutonne le haut de ma chemise et plonge ses mains sur ma poitrine, je tressaille :
- laisse-toi faire mon beau…
J’écarte mes jambes, Odile s’y incruste, ouvre prestement ma braguette et sort mon sexe qui s’offre dans toute sa splendeur virile.
- déjà bien mouillé…
Dit-elle en tournant légèrement son doigt sur mon extrémité bien gluante de cyprine qu’elle lape du bout de ses lèvres chaudes. Ses deux mains en caresse toute la longueur tout en me fixant intensément.
- alors, tu te souviens…
- euh… vous étiez une dizaine à vous occuper de moi…
- un fût comme ça avec de belles veines… surtout celle du dessous…
Aïe !... elle tire fort ma queue en bas, je regarde mon sexe, effectivement la veine du dessous est beaucoup plus grosse que les autres. Elle la caresse longuement, j’ai mal, j’ai l’impression que ma tige va se casser vu la tension extrême.
Solange en a profité pour déboutonner entièrement ma chemise, elle me donne un baiser dans le cou.
- agréables retrouvailles, hein Odile ?...
- humm… délicieuses !

Je suis tombé dans un traquenard pensais-je, mais je n’irai pas m’en plaindre hein, surtout que maintenant ses lèvres s’arrondissent doucement autour de mon gland et le lissent.
Solange se campe devant nous, elle nous observe d’un air envieux, malicieux :
- alors tu voulais quoi avec Jessie ?
Silence de ma part car j’ai compris qu’elle avait organisé en vitesse cette rencontre avec son amie en vue de ma visite au sujet de Jessie. Je me ressaisis un peu :
- bein je comptais la revoir… mais apparemment c’est uniquement chez toi hein ?
- c’est ça oui, c’est moi qui organise les rendez-vous, enfin seulement pour elle, les autres tu peux les revoir lorsque tu retourneras au club, elles sont libres d’accepter ou non mais rassure-toi je ne pense pas que t’auras de refus… dit-elle en contemplant l’attention d’Odile bien occupée.
C’est pas facile de discuter avec une tierce personne quand on me bouffe la bite comme elle me fait.
- alors mon beau comme Jessie ne peux pas venir ce soir j’ai prévu cette rencontre avec Odile qui voulait ab-so-lu-ment te revoir elle aussi ; ça a l’air de te plaire hein…
Elle continue :
- et pour combler ta grosse… libido… j’ai aussi prévu une belle surprise pour toi, j’ai une amie qui serait ravie d’en profiter, d’ailleurs il faut que je la rappelle car elle devrait être là. Tu peux attendre pendant qu’Odile s’occupe de toi.

Après un rapide coup de fil, Solange revient, Odile m’a enlevé mon pantalon et s’acharne sur mon sexe. D’écouter Solange me permet de contrôler l’excitation qui m’envahit :
- bon eh bien changement de programme : Anne arrivera plus tard car elle ne veut pas participer à des ébats à 4.
Odile relève la tête, ses grands yeux remplis de désir, sa salive mousseuse dégoulinant sur mon bas ventre, mais elle tient fermement ma bite comme si on voulait lui enlever :
- ah… alors ?...
- eh bien tu vas continuer d’occuper Marc avant que Anne arrive ; je vous laisse ma chambre pour une petite heure.

Et me voilà entraîné par ces deux femmes dans la somptueuse chambre.
- une heure, répète Solange, pas plus les tourtereaux…
Comme je suis déjà à poil avec ma chemise ouverte, je prends les devants pour déshabiller Odile et découvrir son corps parfait d’une cinquantenaire en pleine force de l’âge. Tout est ferme ! Larges aréoles ornant des seins assez lourds mais bien suspendus, fesses rondes, cuisses musclées. On voit tout de suite qu’elle s’entretient bien et pratique plusieurs sports, à moi d’apprécier ses performances au lit.
Je n’ai pas été déçu ! Cette femme-là c’est une bombe au lit ! Elle m’a fait enchaîner plusieurs positions, j’avais la queue en feu ! Pas une minute de répit !
Quand la porte s’est rouverte, Odile me chevauchait de travers en me maintenant une jambe en l’air, j’étais sur le point d’éjaculer une deuxième fois… Solange nous a interrompus :
- garde tes forces pour plus tard… alors ma chère, satisfaite ?...
- devine…
Odile file se doucher. En sortant de la chambre, elle m’embrasse :
- à bientôt…

Après avoir congédié son amie, vingt minutes plus tard, Solange vient me voir toujours alité.
Elle s’assoit sur le rebord du lit, me caresse le torse d’une main et de l’autre mon sexe qui reprend de sa vigueur. Long silence. Je ne peux retenir les miennes pour aller caresser ses cuisses, elle me stoppe :
- non… pas maintenant… garde tes forces, je veux que tu réussisses ta « mission » avec Anne. Tu sais elle m’a avoué ne plus avoir de rapports sexuels depuis la mort de son mari, c’était un couple formidable, ils allaient bien ensemble ça se voyait, elle était épanouie.
- Y’a longtemps qu’elle…
- Presque trois ans… aussi quand je lui ai dit qu’elle ne devait pas rester ça, il m’a fallu longtemps pour la convaincre. Et hier je lui ai parlé que je connaissais un charmant et agréable jeune homme, doux et attentif…
- Arrête je vais rougir…
- Tu rougis constamment… répond-elle en me titillant l’extrémité du gland.
- Alors elle a accepté ?
- Oui et j’ai cru bien faire en organisant ça à plusieurs, comme ça je me disais qu’elle oserait y participer plus facilement. Mais ça ne lui convient pas, je la comprends aussi, ne pas faire l’amour pendant si longtemps on a plus envie.
- Je vais faire de mon mieux, dis-je.
- Je compte sur toi, t’es attentif aux besoins des femmes, faudra pas la brusquer hein ?
- Je ferai de mon mieux.
- … et si elle se braque au dernier moment, je pense qu’il faudra pas insister. D’ailleurs le mieux serait que les présentations se fassent dans le salon pour la mettre en confiance. Allez, va te doucher mon beau !
En me regardant sortir de la chambre, elle soupire :
- …ah, vivement demain soir…
Je me retourne, son regard rivé sur mon sexe :
- t’auras double dose demain…
La douche me détend, je pense à cette femme qui n’a pas baisé depuis 3 ans, j’avoue que ça m’excite pas plus que ça surtout que je viens d’avoir d’assez torrides ébats avec la belle Odile ! Celle-là comme Solange elle me fait bander dès que je la vois !

Rhabillé, parfumé juste ce qu’il faut, je prends un grand verre de jus d’orange avec Solange. Nous discutions surtout de ses amies. J’abordais le « sujet » Jessie, je voyais bien au-delà du regard perçant de Solange qu’elle m’attendait sur ce point.
- alors voyons, elle te plaît beaucoup cette fille ; eh bien on peut, disons, conclure un petit marché : si ce soir t’arrives à remettre mon amie Anne dans le « droit chemin », Jessie sera ta récompense, ça te va ?...
- d’accord comme ça ! elle sera là demain ?...
- dès demain mon gros lapin.
- Wouah ça va être chaud, déjà que j’t’ai promis une double dose !

Ça sonne. Solange se précipite dans le couloir d’entrée. J’entends parler les deux femmes qui arrivent lentement au salon où j’attends en lisant une revue, enfin lire, non car je suis trop tendu. Heureusement à la vue de Anne je suis rassuré au moins sur un point, je m’attendais à voir une personne d’un certain âge comme Solange, quoique c’est difficile de faire des comparaisons avec Solange, cette « nouvelle » venue approche la soixantaine, petite certes mais belle femme bien conservée. Je me dis en souriant intérieurement que l’abstinence doit avoir du bon.
- Anne, je te présente Marc, un très agréable ami.
- Enchanté, dis-je sans plus.
- Marc, voici Anne une grande amie…
- Bonsoir, enchantée… grande c’est…
- Mais non tu es très bien comme ça, y’a pas que des grandes, regarde on a à peine une demie tête de différence, dit Solange en riant.
Comme elles se toisent côte à côte, j’ai le loisir, ou plutôt Solange m’offre l’occasion d’apprécier le profil de son amie. Encore joliment cambrée, de profil sa poitrine équilibre bien le derrière. Et pour ne rien gâcher, une jolie tête garnie de longues mèches frisottantes gris foncé mettent en valeur des yeux verts magnifiques.
En la voyant, là sur le coup, je m’étonne aussitôt qu’une telle femme soit restée seule si longtemps ou du moins n’ait pas eu de rapports sexuels comme elle le prétend.

Au premier abord je la sens un peu gênée par ma jeunesse, je suppose que Solange s’est bien gardée de lui dire en me proposant pour « l’affaire ». Il va me falloir y mettre du mien pour faire tomber cette gêne. Aussi nous avons discuté longuement tous les trois avant d’aborder le but de cette rencontre. Solange a été parfaite dans son rôle « d’entremetteuse ». Beaucoup de tact et de vocabulaire adéquat pour éviter de parler sexe tout en tournant autour d’une relation intime de façon à faire monter progressivement le désir chez cette femme qui me semblait être prête au jeu puisqu’elle avait fait le premier pas en venant ici.

Elles étaient toutes les deux sur le canapé et moi en face de Anne, je voyais depuis un moment qu’elle se sentait beaucoup plus à l’aise, elle ne se souciait plus de redescendre sa jupe après avoir croisé ses jambes, bon signe ça. J’avais même l’impression qu’elle redécouvrait le pouvoir de sa féminité, la position des jambes et la projection de la vue de leurs cuisses en position assises ne trompent pas.
Solange s’en est aperçue et profita sans plus attendre -nous étions à bavarder depuis presqu’une heure- de lui proposer, à l’oreille, d’aller dans sa chambre. Sans attendre sa réponse, elle l’invita à se lever tout comme moi et nous accompagna. Je les suivais, maintenant c’était à moi d’être à la hauteur.

Solange avait pris soin de laisser allumée juste une petite veilleuse, bien pratique pour permettre un premier rapprochement où je m’appliquais à ne pas effaroucher cette femme en manque de tendresse masculine. Elle ne bougeait pas d’un poil, en la déshabillant je la couvrais de légers baisers sur les parties dénudées, elle tressaillit à partir de sa poitrine -bon signe, les parties érectiles fonctionnent encore ! -restait la culotte, en soie, là je me suis contenté de la caresser sans lui enlever.
Puis c’est elle qui m’enlève ma chemise, elle me caresse longuement, hésitant à me tomber le pantalon, je la mets à l’aise en l’enlevant rapidement. Longs baisers, elle se laisse docilement coucher, j’enlève mon slip tout en continuant mes caresses le long de son corps qui trésaille maintenant au bout de mes doigts.
En me plaquant sur son côté de façon à bien appuyer mon sexe sur son flan pour l’inviter à le saisir, sa main vient le frôler mais sans plus. Il est trop gros pour elle, pensais-je, surtout qu’elle doit se sentir toute menue dans mes bras. Je l’embrasse longuement avant de reprendre de longues caresses en insistant sur sa poitrine et l’intérieur de ses cuisses qu’elle m’ouvre enfin.
Agenouillé entre ses cuisses, elle ouvre ses yeux et se décide à regarder ma belle érection. Il faut lui donner l’envie de participer et de désirer mon sexe, je m’exhibe en caressant son ventre avec ma queue jusqu’à remonter entre ses seins où je la cale un moment. C’est le déclic, elle saisit ses seins, les serre contre ma bite. J’en profite pour positionner doucement ses petites mains sur mon phallus, il faut qu’elle le désire et veuille bien jouer avec.

Je lui montre aussi que j’apprécie son corps, que j’ai envie de lui donner du plaisir. Après avoir longuement caressé ses cuisses je lui lève les jambes en l’air, lui retire lentement sa culotte et la couvre de baisers de bas en haut et de haut en bas, j’insiste sur les zones érogènes avant de laper puis lécher sa vulve. Elle s’est relevée en avant quand ma langue a commencé à s’infiltrer dans ses replis, est-ce un refus au dernier moment ou juste la surprise ?...

Je ne dois pas lâcher prise, je viens l’embrasser et retourne vers ses autres lèvres, son bassin se cambre lorsque ma langue s’y incruste de nouveau. Son corps s’étend, son ventre se creuse, le désir doit monter, elle l’attend, elle est prête ! Profitant de ce moment, je dirige ses mains sur sa poitrine, elle se caresse. Ensuite en pivotant légèrement je lui offre mon sexe à portée de son visage. Gagné ! D’abord une main s’en empare délicatement puis deux et là elle commence une délicieuse découverte de mon trois pièces.

En continuant mon travail d’ouverture de sa tendre intimité, ses sensations s’amplifient car elle se trémousse et commence à gémir discrètement, pas longtemps car elle vient juste de gober mon gland. Elle le suce assez maladroitement, certes, mais en douceur. Rien à voir avec ce qu’Odile m’a fait tout à l’heure dans le salon où j’ai failli lâcher la sauce tant elle aspirait fort et tournait sa langue dans le sillon ! Mais c’est un bon début, j’espère qu’elle va y prendre goût et y revenir plus intensément.

Géniale cette petite veilleuse dont l’éclairage diffuse une lumière identique à celle d’une bougie, la couleur orangée sur nos peaux apporte une agréable sensation de chaleur. Les ombres portées sur nos corps accentuent leurs formes surtout sur mon sexe que je n’ai plus besoin de lui offrir, elle vient me le reprendre à deux mains et à pleine bouche cette fois !
Je m’assois donc sur mes talons, me cambre en arrière et la laisse se servir et en jouer à sa guise : elle me suce longuement tout en me caressant le ventre les cuisses et mes couilles. Elle réapprend vite.
La seule parole échangée fut :
- viens…
En prenant soin de la pénétrer en douceur, mon phallus avance par paliers, je ressens mon gland ouvrir la voie dans ses tendres chaires, que du bonheur ! Je pensais ne pas pouvoir la pénétrer jusqu’à la garde, mais non, son vagin l’accueille entièrement. Elle ouvre les yeux, d’abord et aussi du fait de la faible lumière son regard me semble être dans le vide, maintenant elle me fixe comme pour me dire merci.
Les premiers longs coulissements la font gémir, elle ne se retient plus, j’avais réveillé en elle cette merveilleuse mécanique qu’est le sexe féminin.

Avant j’ai réveillé l’instinct, disons bestial, lorsqu’elle a succombé à la tentation devant un phallus, maintenant c’est la femme, la femelle qui réclame son plaisir et sa jouissance d’être pénétrée par son mâle. Pendant le coït elle n’a cessé de se malaxer les seins et se pincer les tétons, j’en étais ravi d’autant que j’y ai fait participer mes mains. Tout son corps prenait du plaisir !

Nous avons joui rapidement, elle m’a embrassée puis nous nous sommes endormis, du moins pour moi. Elle m’a réveillé par ses caresses :
- … tu m’as fait beaucoup de bien… c’était agréable…
- je n’en doute pas, à moi aussi… disais-je.
Je la laisse un moment continuer ses caresses et comme elle insiste sur ma queue en me malaxant les couilles, nous avons entamé un long soixante-neuf. Cette fois, je sens sa langue beaucoup plus exploratrice et attentive. En me lâchant elle se retourne sur moi, m’embrasse, sa bouche exhale l’odeur des sexes mélangés.
- c’est bon ?…
- oui il est bon… ton sexe me remplit bien… tu viens ?...
Cette deuxième étreinte fut plus longue au cours de laquelle je m’appliquais. Quand je sortais je l’invitais à sauter sur mon sexe comme une bête affamée et ensuite la repénétrer sauvagement, elle jouait facilement la petite veuve ! A ce jeu-là, pour terminer, elle m’a gratifié d’un bel orgasme. Complètement vidé, à genou à ses côtés, j’ai apprécié fièrement le beau spectacle d’une femme comblée se trémoussant dans ses spasmes orgasmiques.

Vers 1 heure du matin, je suis réveillé par des baisers :
- alors bien reposé ?
- Solange ?...
- Oui, Anne vient de partir
- Alors ?...
- Bravo ! tu as été superbe mon beau, je suis contente pour elle ! et toi t’as mis tout ce que t’avais hein…
- Ah ça oui… j’ai tout donné, de la tendresse… et elle m’a vidé…
- Je vois ça… dit-elle en me soupesant les testicules.
- … et ce soir n’oublie pas qu’on sera deux avec la petite Jessie…
- ah oui, ma récompense…
- grand coquin !
J’avais une furieuse envie de dormir, me reposer enfin. Solange est partie dormir dans une autre chambre.
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Histoire de olibid

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