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Vengeance heureuse d'un cocu 4

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Lue : 3007 fois - Commentaire(s) : 9 - Histoire postée le 08/06/2015

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Le copain était content, il bandait, on ne voyait que ça, sa femme était tout sourire, j'étais triste, car bientôt j'allais la perdre, je souriais faussement par moment et sa femme me demande si j'allais bien, je dis oui, mais j'ai des petits soucis de santé

Marie dit, oui vivement demain que tu ais les résultats, c'est grave dit-elle, je dis, non, le stress du boulot apparemment, Marie dit, oui, il bosse jusqu'à minuit, l'autre soir, j'ai voulu aller le chercher et je me suis endormi sur un siège dans son bureau

Après le café, je dis au copain, "marie voudrait une leçon de billard, moi, j'ai essayé, mais je suis mauvais pédagogue et je n'ai pas la patience", Marie a le sang qui monte à la tête, le copain a un vrai billard au soul sol, sa maison est un ancien petit atelier, sa cave, c'est très haut de plafond, (3.5 m) sans fenêtre, c'est pour ça que ce n'est pas aménagé en pièce à vivre.

Marie aide la copine a la vaisselle, le copain me dit une fois qu'on est devant son billard, "tu es gonflé, elle va me donner des chaleurs", je lui dis, écoute, je vais te dire un secret, tu sais, je te connais, je t'ai bien vu la tripoter un peu, il dit, "heu…. Oui, mais non je"

Mais je dis, elle aime ça se faire effleurer, je dis attention, effleurer, pas tripoter, alors fait toi plaisir et a elle aussi, il me dit, "tu ne serais pas un peu comme certains qui aiment voir leur femme se faire mater par d'autre"

Avec humour, il me dit, "tu ne vas pas me sauter dessus pour me mettre une branlé", à savoir que ce copain, si je devais me battre avec lui, au bout de 2 minutes de bagarre, on pourrait jouer aux osselets avec mes os, lui, il serait juste un peu dépeigné.

Il a peut-être éventuellement juste une crainte que je lui saute dessus et que ne pouvant pas répondre aux coups vis à vis du mari d'Annie, mais je le rassure et lui dis qu'il n'a rien à craindre de ma réaction.

On prend une queue et on joue, sa femme ne vient jamais jouer, elle préfère la télé et n'est pas du tout jalouse, quand marie descend, elle nous voit jouer, être pris au jeu, il lui dit, regarde et joue, après quatre tirs chacun, la soit disante partie fini, je donne ma queue (de billard) à Marie, et elle commence à jouer

Le copain entre en scène et dit, non comme ça, il lui montre les gestes, les positions, ayant mon aval, il effleure plus, il fait contact, Marie allait se pousser, mais me regarde pour voir comment je réagis, je lève le pouce en disant, voilà comme ça, bien.

Marie est délaissée depuis plus d'une semaine, le vendredi, elle n'a rien eu avec l'amant, elle devient de moins en moins réticente, je me lève de la chaise ou je les regarde faire et dit, tu devrais mettre des toilettes ici, et je monte à l'étage, l'escalier est en L, la lumière était reste allumé, je l'éteins, puis quand ils me voient partir, je l'allume et disparais, arrivé en haut, j'éteins par le bouton, je fais un petit bruit de porte et reviens doucement, je reste caché et ne mets que ma tête dépassant de l'angle

Suivant les coups de queue (de billard), ils sont soit de dos, soit sur le côté, soit de face, l'effleureur s'enhardit, fort de mon accord, la pauvre Marie peine, mais fini par succomber un peu

Quand ils sont de dos, penché sur le billard et qu'il lui fait viser, je vois ses pieds qui sont bien plus écartés qu'au début, lui, il parle technique, mais elle, non, peu à peu, elle devient moins farouche, quand ils sont sur le côté, je devine qu'il lui fait sentir son sexe, elle se pousse un peu

Mais par moment, je la vois ouvrir la bouche sans parler, en face, il est carrément couché sur elle, son bras gauche par en dessous le sien, quand il attrape la queue qui se trouve a droit frottant son avant-bras sur ses seins

Je monte et allume la lumière, ils sont revenus à des positions plus pro, je dis au copain, "ça va, elle est bonne élève", il dit "oui", je dis, "elle écoute bien", il dit, "oui aussi", je dis," bravo marie", il continue ses explications, elle a cette fois-ci les pieds beaucoup moins écartés, elle ne me regarde plus avec son regard suppliant, l'air de dire "regarde ce qu'il me fait", elle fait celle qui a pris goût au jeu, demandant "et là, il faut que je frappe ou"

Le copain se frotte et dit, la boule est là, il faut faire comme ça, comme elle réussit le coup, je la félicite, elle apprécie, le copain me regarde en douce pendant qu'elle vise, je lui fais un signe avec le pouce en l'air, je fais signe au copain qu'il aille uriner

Quand il est parti, je continue le cours et je lui dis, en me frottant," il fait comme ça, ou comme ça", elle dit "oui moins fort, sauf quand tu étais la haut, reste maintenant", je mets ma main sous sa robe et comme c'est trempée, je dis, "bien, tu aimes ça, continue, je vais te laisser seule, profite".

Il revient, je reste 1/4 d'heure et je dis, "je vais rejoindre ta femme un peu, sinon elle va dire qu'elle a du monde et est seule", j'allume, je monte et j'éteins en faisant un petit bruit de porte, et je reviens à l'angle, le copain se frotte sans équivoque, elle ne le repousse presque pas, je devine même qu'elle tend son cul, elle est devenue demandeuse des caresses

Le copain souffre aussi, mais il sait ce que j'ai dit, il souffre, mais ne se plaint pas de la douleur, il tourne autour de la table, chaque geste qu'il lui montre, il frotte, il est tendu au maximum, quand il passe derrière elle, il se touche un peu, les pieds de Marie sont au maximum de la décence, au de la, ça deviendrait de la provoc

A mesure que les minutes passent, elle lui laisse de plus en plus de liberté, elle se dit que comme c'est moi qui lui ai demandé, que c'est pour nos petits jeux érotiques, elle n'aime pas ce copain pour ses geste, mais a cet instant, ses gestes ne lui déplaisent pas, pour l'instant, elle est plus concentrée sur comment se mettre dans la meilleure position pour être tripotée.

Le copain poursuit le cours, là, il lui montre un soit disant coup nécessitant d'être presque allongé sur le billard, le copain place les boules, s'allonge sur le billard et réussi le coup, quand vient le tour de Marie, comme elle a du mal à grimper sur le billard, il l'attrape du sol et la lève pour la poser dessus

Le copain a compris maintenant qu'elle se laisse faire, et elle sait qu'elle ne doit pas déplaire au copain, de surcroît, elle en a envie, je l'entends lui dire d'écarter plus les jambes pour être plus stable, belle excuse, marie obéit, elle ne subit plus les attouchements, elle les attend

Elle frappe la boule, mais loupe, il dit "recommence" en replaçant les boules, il dit "non ne bouge pas tes jambes, attend je te les maintiens", il plaque ses mains sur ses cuisses, marie laisse faire, elle tire, elle loupe, il demande de recommencer

Il n'est pas dupe, il me fait signe de me montrer à lui seul, il ne me voit pas, mais il se doute que je suis là, il insiste et je me montre, il me fait signe (que dois-je faire), je lève mon pouce et lui fais signe de continuer, puis retourne à ma cachette

Le copain ayant la femme prête et le mari consentant, marie retire, loupe à nouveau et elle doit recommencer, il lui parle en même temps, elle l'écoute à moitié, il lui dit, "tu bouges les fesses, il ne faut pas, recommence, je te les maintiens, attend ta jupe coince, soulève-toi un peu"

Comme au bois avec les voyeurs, j'adore le spectacle, elle est de côté, je ne vois qu'à moitié, mais je vois ses lèvres bouger, l'excitation la torture, elle sait que le copain abuse, mais ne sait pas que je lui ai permis, pensant qu'il ne peut pas prendre le risque que je les surprenne

Elle se dit que si le copain m'entend revenir, il pourra se mettre devant elle, il lui attrape les fesses, elle esquisse un refus mais il lui dit qu'il faut les immobiliser, il parle pour faire croire qu'il lui apprend, personne n'est dupe et ça arrange tout le monde de le croire.

Je me montre au copain pour dire, par signe en montrant mon cul que la main sur les fesses ok, mais pas la main sur le sexe, il fait oui avec la tête, j'en profite pour me caresser les pectoraux (tout petit) et lui dire ok pour ses seins, il malaxe longuement ses fesses à travers le tissu, le string est dans son sillon

Marie veut avancer ses fesses, mais il dit non, immobile qu'il faut rester, elle ne proteste pas, elle ne dit absolument rien, elle sait qu'au bois, j'étais content lorsqu'elle prenait plaisir avec les doigts d'un autre, et là, c'est moi qui lui a dit de laisser le copain faire et qui ne ferait qu'effleurer

Marie rejoue et loupe à nouveau, il dit, "bon, on va passer à autre chose, a la visée, tu vois le trou, tu vois la boule, vas-y incline toi, ne penses qu'aux boules, rien ne doit te déconcentrer", il se met sur le côté et au moment où elle frappe, il lui attrape un sein, elle loupe la boule, se trémousse une fois pour s'en détacher, mais elle ne lui retire pas la main.

Il replace les boules, et recommence, seulement là, il passe sa main dessous le tissu, elle laisse faire, savoure la caresse, elle ne pense plus à tirer, elle reste dans la position.

D'un coup, j'entends sa femme qui arrive, je monte, j'allume et ouvre avant elle, et je lui dis que je vais au WC, en bas, ils ont entendu et se sont remis bien, le cours a repris, mais il est moins collé et plus de l'autre côté de la table, quand je reviens, même un mari jaloux ne trouverait rien à redire

Sa femme reste un peu, il donne des jeux simples a marie qui les réussi en grande partie, sa femme dit, je suis nul à ce jeu, et lui, il dit, il me faudrait autant de tapis que de coup qu'elle joue, le téléphone sonne, elle va répondre, puis elle l'appelle, il monte et discute 5 bonnes minutes

Comme nous sommes seuls, je demande, " alors, ça se passe comment", elle dit "comme je me doute", je dis ", c'est-à-dire", "il touche" qu'elle dit," tu aimes" que je lui demande, elle dit ", c'est comme avec les voyeurs", je passe ma main dessous, elle a un geste de refus, j'insiste et je découvre en lui faisant remarquer, une inondation importante

Je lui retire le string, et lui demande de défaire son soutif, elle proteste, mais j'insiste autoritairement, fini le petit mari intentionné, une fois ses dessous dans ma poche, je lui dis que quand il sera revenu, qu'elle ira aux toilettes même si elle n'a pas envie et qu'elle reprendra les cours de billard, elle va pour dire non mais je hausse le ton



Quand il revient, marie tapait dans les boules, je lui fais signe de partir au WC, une fois seuls avec lui, je lui demande un compte-rendu, il me dit ce que je savais déjà, et qu'elle apprécie, je dis "pas toi", il lève les yeux en l'air, je lui dis de reprendre doucement, il demande s'il peut lui toucher le minou, je dis, toucher oui, mais pas de pénétration, mais chauffe là avant

Au retour de Marie, il lui reprend les cours, il frôle légèrement comme il avait déjà fait, j'annonce que je vais tenir compagnie a sa femme, une fois caché, il devient plus ferme dans l'attouchement, il lui fait écarter les jambes, se colle a elle, l'excitation lui revient au galop, elle démarre sur les chapeaux de roue ma marie

J'ai un pincement au cœur de savoir que je vais la quitter, il reprend comme au début, mais il n'a pas besoin de refaire aussi lentement, il se frotte le sexe, marie ne peut que le sentir et je vois même qu'elle bouge un peu, je vois ses jambes bouger aussi quand elle est de dos

Le copain a compris ce que je voulais, il œuvre aux endroits où elle est propice et a ma vue, cambrée, elle lui laisse remonter sa robe sur le dos, le spectacle est bandant, le copain doit souffrir a mort, il lui caresse les fesses nues et en même temps qu'il le découvre, il fait, humm

Il change de position, il se remet pour tripoter les seins comme la fois d'avant, il a la même surprise, il dit, hummm, tu as bien changée, en mieux, je savais que tu appréciais avant, mais tu n'osais pas me le faire remarquer, d'une main, il caresse les seins, de l'autre ses fesses, puis il approche de sa vulve, Marie sait ce qui va se passer, elle se dit que comme je lui ai enlevé ses dessous, que je suis d'accord

Sa main est enfin sur son sexe, elle a un grand et long gémissement, un "ouiiiiiiiiiii encore", la ça y est elle s'abandonne, c'est le moment que je choisis pour remonter et dire a sa femme de descendre, car on doit partir, je fais du bruit avec la porte, j'allume, ils ont le temps de se remettre, je dis bon, on va vous laissez, merci pour la journée et les cours, Marie est rouge

Pour donner le change, le copain reste derrière le billard pour ne pas que sa femme voit a quel point il bande, elle lui fait la bise et il s'échange un regard complice, pour dire qu'il ne, c'est rien passé, car si je sais qu'il y a eu tripotage, elle ne sait pas que j'ai entendu et vu son cri de plaisir, elle m'a avoué qu'il lui avait touché le sein pendant la bise

Je pense en moi-même, "ha marie, si tu m'avais dit que tu avais succombé de cette manière la première fois avec Lucien, je t'en aurais voulu pendant une journée ou deux puis j'aurais pardonné, si le copain t'avait baisé aujourd'hui, et que tu me le dises, j'aurais pardonné aussi puisque j'en suis le fautif a 100 %

Pendant le trajet, elle a la tête baissée, je lui dis, qu'est-ce qu'il y a, comme une gamine ayant du mal a avouer une bêtise, je dois lui tirer les vers du nez, elle me dit, au billard, je dis oui et, quand j'étais, sans dessous, je redis oui et, comme tu m'avais dit de laisser faire, oui et, il m'a, il m'a caressé les seins et, comme elle ne continue pas, je dis oui et, elle dit, il m'a attrapé le sexe aussi, je lui dis, non, elle dit si

Je dis, "tu as aimé ou détesté", elle me dit "tu sais bien déjà dans l'état que j'étais avant que tu m'enlèves mes dessous", "oui, mais je veux que tu me le dises", et elle me dit qu'elle a presque joui, notre arrivée a tout stoppé, elle me dit qu'elle sentait son sexe bandé, je lui dis, "est-ce que la journée t'a plu ou t'a déplu", timidement, elle me dit, "plu", comme je n'étais pas en colère ni boudeur, elle me demande si moi, j'ai aimé qu'elle fasse comme j'avais demandé, je lui dis, avec un sourire, "devine"

Ses révélations me perturbent, voilà qu'elle ne me cache rien, mais en réfléchissant, je me dis que surement, elle craint que l'effleureur me l'apprenne

Comme on passait devant une pharmacie qui devait être de garde pour être ouverte, je lui dis, va chercher des capotes, elle dit qu'elle n'a pas de dessous, je dis tant pis, j'ai envie de toi, elle me dit d'y aller, je prétexte de falloir se garer, elle finit par y aller

Il y avait un bistrot plus loin, j'ai roulé pour me stationner après, quand marie est passé devant eux, les coups de sifflet étaient nombreux, quand elle me demanda pourquoi je suis venu ici, j'ai prétexté les flics qui passaient

A peine arrivé à la maison, je l'ai prise toute habillée, frustrée au billard et chauffée à blanc, elle décolle au 1/4 de tour, en lui parlant de ce que lui a fait le copain, j'ai pu la faire jouir 6 fois avec capote

Pour la première fois ces dernières années, j'ai réussi à lui donner 6 gros orgasmes, ce qui est rare, 5 étaient le maximum les bons jours, sinon, c'est 3 voire 4 en moyenne, pendant le feu de l'action, je ne pensais qu'a notre plaisir, une fois tout éteint, je repense a ma peine

Ma haine n'était plus aussi forte qu'au début, l'amant était devenu le principal cocu, un autre, moi, a baisé sa femme, dans sa maison et dans le lit conjugal en plus, il y a eu récidive et pas que pour la vengeance, pour le plaisir

Sa femme va le virer et si elle ne le fait pas, il devra filer droit et sera cocu jusqu'à la fin de ses charmes, elle aussi a vu qu'il y avait mieux que la baise pépère, la louve nourrit au lait, a planté ses crocs dans la viande, les gènes du mâle que je suis me font réfléchir, pourquoi, me remettre avec une autre femme comme Lucette ou Helene

Je les aime certes, mais dans dix ans, je serai encore opérationnel sexuellement, de plus, rien ne dit qu'un baratineur en cravate à mille balles ne va pas leur jouer du violon et les faire tomber dans leur filet, qui me dit qu'un type ayant des centimètres en plus, ne va pas me supplanter, un homme ne réfléchit plus quant il bande, une femme ne réfléchit pas plus lorsqu'elle mouille, je me retrouverais encore cornard

Tout le monde n'est pas à mettre dans le même panier, mais qui a la solution pour trier les bons fruits, encore vert hier, mure aujourd'hui et pourrie demain, l'histoire se répétera, serais-je assez fort pour subir à nouveau l'affront ultime, j'ai eu quand même, de douleur, pendant quelques secondes, pensé à mettre fin à mes jours, me reprenant aussitôt, je n'ai pas été à l'acte, mais y ai pensé

Marie aujourd'hui m'avait montré être soumise, plus que je ne l'aurais pensé, pourquoi une fois qu'elle saura que je sais sa faute, ne pas la soumettre à mes caprices de mâle, en faire ma putain à défaut d'être mon épouse, déjà que ce titre, elle l'a décisivement perdu, le divorce ça se fera, ensuite si elle reste, ca sera à mes conditions

quant à Helene, je pourrais lui conseiller de divorcer, piquer son fric, et lui permettre de rester avec elle a ses frais pour les enfants, et en faire son toutou, plus de baisodrome pour lui, et je la butinerais à chaque fois qu'il sera au boulot ou qu'elle sortira avec une, soit disante copine, la menace de la porte s'il n'est pas content le fera réfléchir

Quant à Lucette, c'est plus délicat, je vais lui faire de la peine, elle m'aime, je le sens, c'est à cet instant que je me suis dit, je n'aurais pas une femme, mais des femmes, j'aime ma femme, mais je ne pourrais plus jamais lui faire confiance, je me donne bonne conscience en me disant dans ma tête que pour être à égalité, je devrais avoir couché avec 100 femmes

Partant du principe, que celle ou celui qui cocufie avant l'autre, est ex aequo avec celui qui cocufie 100 fois après, donc c'est décidé, une femme me plaît, je n'hésiterais plus si je peux coucher avec

Le fidèle Henri a été tué par les infâmes Lucien et Marie. A l'heure où j'écris ici, je peux dire que je n'en suis pas arrivé encore à 100 et je ne pense pas y arriver un jour, changer de partenaire, à force, ça lasse

a savoir aussi que si au début le changement de partenaire est très excitant, à la longue, ça lasse assez vite, le sexe sans amour, ce n'est pas mon truc, mais ma vie n'est pas fini, de plus je ne cherche pas à atteindre ce chiffre, je fais suivant mon envie, marie est très belle, alors pour les autres, la barre est haute

J'accepte malgré tout celles qui suivant mon barème ou sur 10, marie à 9, je consens avec celles qui n'ont que 7, et comme je ne suis pas un tombeur, je n'ai que celles que je piège, même si je sais que certaines m'ont menti, je ne chasse que dans les femmes seules ou que je sais cocue

Je fantasme sur une Marie soumise, mais mon fantasme n'est pas irréalisable, dans l'immédiat, j'en saurais plus cette semaine, je vais changer mes plans, ce jeu m'amuse, j'ai l'impression d'être un général qui met en place la victoire ou la défaite, sauf que je suis obligé de gagner la guerre même si je perds une ou deux batailles

Mon rôle me plaît, je suis heureux, je vis à 200 à l'heure, je me dis, merci Lucien, tu m'as donné ma plus grande peine et aussi de très bon moment, comme vendredi en te baisant au figuré, avec ta femme ensuite en la baisant au propre et cet après-midi avec la mienne, à celui qui me traiterait de cocu, je répondrais tout cela, et il me traitera de veinard ensuite

On me dirait, veux-tu revenir 6 mois en arrière pour empêcher ce qui arrive, je refuserais, mais ne vendons pas la peau de l'ours, attendons la suite, ce sont des décisions de chacune que dépendra la bonne ou mauvaise suite, je proposerais, les femmes disposeront, je ne ferais pas de cadeau à Marie, mais les autres auront mon respect

Nous mangeons puis après le film, nous recommençons, nous avons tellement de journées à rattraper, bien sûr, je mets la capote pour continuer ma comédie, marie est de braise, est ce l'abstinence, est ce le jeûne sexuel, est-ce mon comportement plus distant, serais-je devenu moins "con" à ses yeux, après lui avoir donné quatre orgasmes quand même, mouillée comme elle était et montée sur ressort, je savais qu'elle ne mimait pas

Je n'ai pas dormi beaucoup, je pensais à la journée de demain, le matin, souriant, je lui dis, on mange ensemble demain, je suis à coté, je peux être la à midi quinze, un grand baiser pour la faire fléchir, elle dit oui, elle va à la douche

Je passe par notre chambre, je prends du matériel, menottes, liens, Plug et un gode que l'on a dans l'armoire, les moins utilisés, ceux en double ou triple, sur la quantité, elle ne le remarquera pas, je pars ensuite et rejoins Hélène avec les photos et l'enregistrement

Elle m'ouvre en tenue de ménagère, il faut dire que dès que le cocu est parti, au bout de la rue où je suis, dès qu'il démarre, je marche en direction d'Hélène, le lit est encore tiède, baiser amoureux, elle me dit, tu m'attends, je patiente et elle revient dix minutes après, dans une tenue très sexy, un déshabillée qui porte bien son nom, on voit qui se cache dessous

Je montre mon attaché-case, que j'ai les preuves, mais elle me dit qu'on verra cela après, le samedi, elle a été faire les boutiques, elle a chauffé sa carte bleue dit elle, brutalement, mais en douceur, je la culbute jusqu'a sa chambre, elle est en manque, j'ai réveillé sa libido me dit-elle, moi, je me suis donné, mais comme on dit, changement de pâturage réjouit les veaux

Je suce, mordille, pénètre avec les doigts, je sors de ma poche des menottes et lui mets, je fixe ensuite ses chevilles, elle dit des non qui signifie de continuer, je tire sur les liens qui contournent le lit, et lui écarte les jambes, je lui touche le sexe, elle est déjà trempée, je lui attache les menottes sur le bois du lit, elle a les bras un peu levé, elle ne pourra pas empêcher ce que je vais lui faire

Une fois immobilisé, j'ouvre mon attaché case, sors le Plug, et doucement lui insère à peine et ressort en la traitant de salope, non pas ça, pas ca dit elle, je lui rentre dans sa chatte puis j'étale sa mouille sur l'anus, je pousse à nouveau, je pousse à peine, c'est elle qui vient au devant du Plug, je pousse un peu plus et l'enfonce jusqu'au blocage

Je prends le gode, le mets en route, elle part aussitôt, je me dis, et bien, ça devenait urgent, elle m'apprend que Lucien n'a jamais voulu essayer, (pas besoin de gode, je suffis qu'il lui disait)

Il lui a aussi dit que cela déformait les lèvres et que ça pendait par terre, quel con ce Lucien me dis-je, il m'offre sa femme sur un plateau, beaucoup d'imbécile voit le gode comme un remplaçant, alors que pour moi, c'est un complément

Je la fouille et la vibre, lui embrasse le dos, les cuisses, les fesses, l'excitation est si forte pour cette néophyte, qu'elle hurle comme une truie qu'on égorge, je la torture, je l'amène aux portes du plaisir et je recule, elle hurle et supplie l'orgasme, je la traite, lui demande de se nommer du genre, oui, je suis ta pute, ta salope, baise-moi baise moi, je fais durer, quand elle se tourne vers moi, son visage est déformé par le plaisir

quand j'ai jugé suffisant le supplice, je me mets derrière et la pénètre, à chaque coups de bite, il y a le coup de Plug, je n'ai même pas eu le temps de la pilonner qu'elle rejouit déjà, une hystérique qui hurle à ameuter le voisinage, rien à voir avec la bourgeoise tranquille et réservée à qui j'ai demandé si j'étais à la bonne adresse la première fois

Je ne suis plus sur un contexte de vengeance, oublié le sous-individu Lucien, lui que je croyais être le mâle m'étant supérieur, maintenant, je suis sur un contexte de plaisir à donner, je veux que cette femme, quand elle aura les cheveux blancs et qu'elle discute entre copines, dise

"Moi mon premier vrai orgasme, c'est un homme, qui je ne l'oublierais jamais, il s'appelait Henri, un compagnon d'infortune comme moi qui m'a montré ce que c'était un orgasme, un vrai, celui qui nous ferait se jeter dans le vide pour que ça continu quelques secondes de plus

Détruit, il y a deux semaines, gonflé à bloc maintenant, je la retourne et la rattache aux chevilles, je lui titille le clito avec mes lèvres, le mordille avec mes dents, la pénètre avec ma langue, je la vibre ensuite, la pénètre, la vibre encore, elle se sent repartir, la honte de se comporter comme elle va le faire et comme elle l'a déjà fait avant, cette honte qu'elle redoute et qui l'emballe, elle enchaîne les non mais son corps réclame

Je me mets sur le côté, appuis sur son ventre et la vibre en la regardant, accentuant sa honte, celle de s'abandonner à un autre, à un étranger, un inconnu presque, puis pour elle, tout bascule, oublié la honte, une seule chose lui importe, l'orgasme qui va la délivrer, je la baise avec le gode, j'alterne entre son clito et son vagin, 10 secondes dans l'un, 10 secondes dans l'autre, je la fixe, je la traite, je lui malaxe les seins, je lui pince les tétons, je lui montre que je suis le maître, qu'elle m'appartient

Elle ouvre la bouche en grand et s'envole, un silence au début, elle s'immobilise puis dans un cri de soulagement qui monte en volume, elle lâche des grands haaaaaa, des ouiiiii, des encore, le gode vibre à l'intérieur, je la laisse onduler du bassin pour accompagner sa jouissance

Une fois terminé, je la laisse souffler, elle respire fort, elle a fait un marathon, elle est incapable de parler de façon compréhensible, si Lucien rentrait à l'improviste en gueulant, elle lui dirait, au lieu de rouspéter, tu ferais mieux de regarder comment il fait, une fois qu'elle est revenue a-t-elle, je la détache, et je lui fais l'amour, je retire le Plug, je la baise, je l'encule, on s'embrasse, on se mange

In extremis, j'arrive à la faire jouir à la limite de tout lâcher, on continue en 69 où elle me demande de jouir dans sa bouche, j'étais déjà bien avancé, elle ne me facilite pas la tâche, c'est à mon tour d'être à sa merci, je crie aussi mon plaisir et me l'attenu en lui bouffant la chatte, après 10 bonnes minutes de repos, je lui dis que je dois repartir à 11 heures, qu'il faut passer à l'administratif

Je sors les photos, et on écoute la bande, elle larme un peu à la vue des images, et pleure à l'écoute du dictaphone, elle le reconnaît nue et reconnaît aussi sa voix, elle attrape le téléphone et appelle maître machin chose en disant que c'est pour un divorce, on lui dit demain, mais elle demande pour aujourd'hui, elle a finalement un rendez-vous à 19 h

Une fois raccrochée, elle pleure à nouveau en disant, ce n'est pas par amour, c'est l'humiliation de comment il me traite, je la console, la couvre de baiser, elle retrouve le sourire, je lui dis soit ferme, l'un comme l'autre ne mérite pas de cadeau, je lui indique que je dois la quitter, à midi, je tisse ma toile autour d'elle, je l'embrasse et me sauve

J'appelle d'une cabine pour savoir, si elle est au boulot ou rentré, si elle est rentrée, le numéro affiché n'étant pas celui qu'elle connaît, elle répondra, bingo, elle est là, je fais des grésillements, je raccroche puis recommence, elle répond encore, je grésille encore puis raccroche, elle se dira que celui qui appelle à un téléphone en dérangement

J'arrive à la maison, à midi 15 tout juste, j'ai une enveloppe que je montre en disant, qu'il n'y avait que ça comme courrier, le facteur passe entre 11 et 11h30, elle était redescendu le chercher, elle blêmit a la vue de l'enveloppe, ce qui confirme a nouveau qu'elle a vu les photos envoyés a Olga et peut être celle des autres, qui se sont faites un plaisir de lui dire

Elle fixe le moment où je vais ouvrir, mais je lui dis, tu ne prépares pas le repas, disant une omelette suffira, de la cuisine, a fait l'omelette et met la table assiette par assiette pour justifier de venir voir si j'ouvre l'enveloppe, elle cherche le moyen de la subtiliser sans que je m'en rende compte pour dire ensuite qu'elle l'a ouverte machinalement et que c'était de la pub de porte-à-porte

Elle fixe indirectement l'enveloppe comme un fonctionnaire fixe la pendule, elle retourne en cuisine pour s'occuper de l'omelette, je plie et mets l'enveloppe dans ma poche puis pars au WC, quand je reviens, sans bruit, car je n'ai pas tiré la chasse, je la découvre fouiller dans mon attaché-case, que fais-tu lui dis-je, elle dit qu'elle l'a fait tomber et regarde si tout y est

Je lui dis que je venais de le fermer, car en ce moment, il y a des tas de documents qui me sont passés dans les mains qui ont disparu, le genre de document que je n'amène qu'ici ou à la boite et que comme je suis seul au bureau le soir, je suis suspecté

Elle me dit qu'elle n'y est pour rien, je lui dis, imagine que je fouille dans ton sac, ce que je fais, je le renverse sur la table avant qu'elle puisse intervenir, je renverse mon attaché-case ensuite, je dis, va y fouille, on se fouille mutuellement si tu veux, d'ailleurs, on va le faire, tu verras le ridicule

elle dit non, mais j'insiste, je fais l'inventaire, son portefeuille avec chéquier et ses cartes et permis, portemonnaie, tampon, mouchoir, maquillage, stylo, carnet, et ensuite, je dis clef de voiture, clefs de maison, 1,2,3, ces 2 -là c'est ton bureau je crois, tient encore 2 clefs, c'est quoi ça, je les tourne et retourne, je dis, c'est les clefs de quoi ça, elle blêmit et fini par dire, "ha zut, c'est les clefs a Olga, je les ai mise sans m'en rendre compte, elle les cherche partout

Ha d'accord, je continue l'inventaire du sac et remets tout en place, sauf ces 2 clefs, elle me dit oublie pas les clefs, je dis non, je t'accompagne au boulot et je lui donnerais moi-même pour l'obliger à me dire merci, ça va lui en coûter, elle est malade aujourd'hui dit-elle, je dis, tu sais où elle habite puisque tu y as été plusieurs fois certains vendredi

Elle s'enfonce dans le mensonge, elle n'est plus malade, elle avait besoin d'une journée, je lui dis qu'on ira ce soir, elle dit qu'elle est partie en province et rentre demain matin, elle me dit donne, je dirais que c'est toi qui les a retrouvées, je dis non, je veux voir sa tête quand elle me remerciera

D'un coup, elle simule une colique, il est vrai qu'elle est tellement pale, je l'accompagne à la salle de bain pour la mettre au lavabo et la mouiller au visage, on revient ensuite dans la salle, je fais tomber exprès l'enveloppe en disant, c'est quoi ça, ah oui l'enveloppe du syndic, je vais pour l'ouvrir et je dis, "ho je regarderais ca ce soir, je n'ai pas que ça à faire

Puis comme ça je, dis, "tu te rappelles de marcel", elle dit "non", je dis "si, tu as discutée avec lui à la boite, au pot de retraite d'un collègue", elle dit "peut-être", je dis, ils ont notre âge, on a discuté, il habite à 20 km d'ici", comme elle s'en moque, elle dit "oui, je vois a peu prêt, mais qu'est-ce qu'ils ont", je dis" figure toi, qu'il l'a surprise en allant la chercher au boulot

Comme elle n'était pas avec celles qui sortaient, il va dans son bureau, et par la vitre qui n'est pas imprime partout, il voit un collègue, derrière elle assise, il l'embrasse et elle se laisse faire, il parait qu'il est ressorti, a dégonflé ses pneus, il est revenu dans le bureau

Sans frapper et lui a dit, ce soir, tu es dispensée de rentrer à la maison, puis il est reparti, elle a couru mais il a été plus rapide, et maintenant, il a engagé une procédure de divorce" (gros mensonge de ma part, j'ai tout inventé)

marie demande," ils étaient amant depuis longtemps, je dis d'après les collègues de bureau, non, c'était le premier baiser, on se doutait qu'un jour, elle tomberait, mais ils n'ont encore rien fait", l'amant dit pareil a tous, que rien n'a été encore fait, marie dit," il faut lui dire", je dis " il le sait, mais ça ne change rien, le baiser existe", marie dit, ils ne vont pas se séparer pour un baiser", je dis, "j'espère que si, il aura la honte de sa vie sinon", elle me dit," moi j'ai bien été tripote au bois et avec l'effleureur"

Je dis, "c'est différent, si tu te fais baiser devant moi avec mon accord, c'est une chose, un baiser sur la bouche même d'une seconde sans mettre de gifle au type, avec moi, c'est direct le divorce, ce n'est pas les faits qui comptent, c'est la trahison, si toi, tu retournes voir le copain en douce, dans mon dos, même s'il te touche juste les mains de façon amoureuse et que tu te laisses faire, c'est la valise, mais si c'est moi qui te dis, d'aller passer la nuit au lit avec lui pour du sexe à volonté, le matin, je t'apporte le petit dej au lit".

Marie est en décomposition, car quand je parle, j'ai mes mains qui ponctues mes dires, et je tiens l'enveloppe, le temps a passé, je lui dis, " tu vas être en retard", elle dit "oui, j'y vais", je dis "attend, je t'accompagne", tu ne travailles pas qu'elle me dit, je lui dis que j'ai le temps, je la suis, à l'entrée du parking, elle me fait un signe au revoir, je lui dis que je l'accompagne encore, à l'entrée des bureaux, elle me refait signe à ce soir, je la suis encore, pas de chance pour elle, Olga est dans le couloir

Je dis, "elle n'a pris que la matinée", elle arrive et je lui dis "alors ça va mieux", marie veux parler mais je la stoppe, je dis, "Olga, n'a-tu pas perdu des clefs", elle dit, je ne crois pas, je dis contrôle, elle le fait et dit non, je lui dis, "celle de ton bureau", je devine que certaines filles qui passent se moquent du cocu que je suis, celle des photos, je dis qu'est ce qu'elles ont

Je dis à marie, tu ne sors pas tes affaires, je dis à Olga, je la trouve bizarre depuis 6 mois, avant elle était épanouie, heureuse, et maintenant, elle se conduit bizarrement, elle stresse pour un rien, elle a des malaises, le pire, c'est le vendredi soir, on dirait qu'elle s'est fait engueuler par son chef, pourtant, elle prend des après-midi le vendredi, on croirait qu'elle sort de prison quand elle rentre le soir

Olga est gênée, je lui dis, que si elle perdait son boulot ici, ça la tuerait, de faire ce qu'il faut pour l'aider dans cette mauvaise passe, je dis a Olga, regarde, elle ne bouge pas, on croirait un pygmée qu'on a mis devant un ordinateur, a Olga je donne mon numéro à la boite, disant elle m'inquiète, je vais prendre mes après-midi le vendredi, je lui dis aussi, que quand j'appellerais, si elle ne répond pas parce qu'elle n'est pas là, je viendrais la voir, je suis sûr que votre boss lui en fait bavé

Je dis à Olga et marie, bon, j'y vais, je dois ressortir voir un client, je repasserais te voir en vitesse, j'attrape Olga par le bras et lui dis doucement, s'il y a un souci, tu n'hésites pas, ce faisant, je lui frôle la poitrine, Olga est une salope, moins belle que marie, Helene et Lucette, mais baisable pour un coup vite fait, ce frôlement, c'est un pion que je place

Quand je suis revenu dans l'après-midi, dans le couloir des bureaux, ça parlait, ça souriait, et ça se taisait, les visages de ceux présent devenaient plus sérieux, il y avait ceux qui faisaient une tête amusé et ceux avec une tête du genre à me dire le pauvre, il est peu glorieux de savoir qu'on dise de soi, le pauvre cocu, mais ce qui compte le plus, c'est l'opinion que l'on a de soit même, eux ne savait qu'une chose, mois, je savais tout, ils ne voyaient qu'a peine le dessus de l'iceberg, a ceux qui souriaient, je souriais aussi

Sans entrer, je regardais par la vitre transparente entre deux meubles, Olga qui tentait de rassurer, conforter ou je ne sais quoi d'autre, peut être me quitter aussi, sur ce dernier point, suis d'accord avec elle, je voulais rentrer dans le bureau, quand je vois son chef arriver, sans que les filles me voient, je lui demande s'il a 5 minutes à m'accorder, sans sympathiser, on avait bien discuté lors d'un pot, il me fait entrer dans son bureau et dit à sa secrétaire de prendre sa pause

Je lui dis mon inquiétude de sa santé mentale, il me dit, en effet depuis 2 semaines, elle a l'air absente, je dis oui, mais cela fait 6 mois en réalité et ça s'est accentué depuis 2 semaines et empiré depuis ce matin, il confirme en disant que ce matin, elle a démissionné, disant qu'elle ne sait pas si elle pourra faire son préavis

Il me demande de façon gênée en disant que je ne suis pas obligé de répondre, qu'on est entre hommes, si notre couple va bien sexuellement, je marque un temps de silence, je dis oui, je dis même ironiquement que si je devais prendre une maîtresse, que j'aurais du mal à fournir, comme il ne répond pas, prenant l'air sérieux, je dis, vous essayez de me dire quoi là

Je lui dis, je vous vois venir, je ne pense pas, sexuellement, marie, c'est une bombe, elle m'épuise et c'est plus elle que moi qui est demandeuse, de plus, elle ne mime pas, ses cris, la déformation de son visage, la sueur, le décuplement de sa force quand on se tient les mains, l'inondation intensive si vous voyez ce que je veux dire, à part les cris, cela ne se mime pas

Je lui cite la fois ou au début, j'étais racketté, et lui dis, vous pensez que ....., je marque un silence et dit que financièrement ce n'est pas possible, je dis ou alors un amant, oui c'est ça un amant, il dit, "ha je ne crois pas, pas ici en tout cas", je lui dis, vous savez, je travaille aussi dans un bureau et autour de moi, ça gravite, et avec votre secrétaire, je vois bien qu'il se passe quelque chose

Il va pour se défendre et je lui dis, que je ne m'occupe pas des histoires des autres, il détourne le sujet en jurant qu'ici, elle ne sort avec personne, en dehors, je ne sais pas mais ici, je peux vous l'assurer, elle en a envoyé baladé plus d'un

Je dis un chantage alors, mentant à nouveau en inventant un exemple d'un couple d'ancien collègues ou la femme subissait un chantage, son visage s'interroge, vous croyez dit-il, c'est terrible ça, mais qui pourrait, je dis vous savez, un jaloux, un homme éconduit, un ancien compagnon qu'elle a eu qui se venge ou un collègue qu'elle a envoyé balader

Elle a démissionnée dites-vous, il répond, mais quel chantage, il n'y a rien à voler ici, tout est re contrôlé derrière elle, elle ne peut rien malverser, de plus on a rien a volé, a part des stylos, du papier, mais nous n'avons pas de poste déficitaire au niveau fourniture, elle travaille sur des affaires déjà réalisés et non pas sur des futurs, elle n'a rien à vendre

Je dis, je vais vous laisser, je vais réfléchir à tout ça, en quittant son bureau, il me dit, pour ma secrétaire je, je réponds, je n'ai rien vu, il dit, rien à votre femme non plus, car ici, les infos ca circulent vite, je dis, je sais, c'est partout pareil, il me dit, si j'apprenais que c'est un collègue, je porterais plainte et il serait viré sur le champs sans indemnités, mais je n'y crois pas, concernant son préavis, je ne l'embêterais pas avec, si elle ne veut pas le faire, je comprends sa situation

Je lui dis que je préférerais qu'elle continue à travailler, si bien sûr, elle reste efficace à son poste, il me dit qu'il va essayer de voir s'il découvre quelque chose et me demande le téléphone de mon travail, je le lui donne, je lui demande lors de réunions ou lorsqu'elle quitte son bureau pour régler des problèmes, si elle est participante, si elle n'est pas dans la lune

Il me dit, elle n'a jamais de réunions, ni à quitter son bureau, que non, elle arrive le matin et n'a rien à faire ailleurs, les réunions c'est avec les cadres, pas avec les employés, en moi-même je me doutais qu'Olga la couvrait, je ne dis rien et je quitte la boite sans aller la voir

J'ai à son boulot, détourné l'image du cocu qui ne se doute de rien, j'ai glissé l'image de victime, de la femme qui trompe par obligation le mari et non par amour d'un autre, chacun pensera ce qu'il veut, mais un doute subsistera, le doute est comme un cancer, il se propage sans qu'on puisse l'arrêter, on l'attenu, on le contourne, on le déplace, mais il restera à vie, prés a réapparaitre a la moindre occasion qui va dans son sens.

Ses collègues se diront que peut être, elle m'a trompé pour qu'on ne dévoile pas un secret, Olga qui sait que l'amant est un amant de cœur, pensera qu'un autre l'a découvert et que le maître chanteur est cet autre, cocu, je le suis, c'est un titre définitif, on peut l'atténuer, mais pas le faire disparaitre, une femme violée couche, mais le mari n'est pas cocu, ce qui fait mal, c'est le mensonge, je retourne travailler et rentre à 20 h

On passe à table, j'ai l'air triste, je ne mange rien de ce qu'elle a préparé, elle n'ose pas me demander ce que j'ai, puis finalement, elle me demande si j'ai eu le test, étant absent, je dis "hein quoi, ah oui le test, oui, j'ai eu" je ne dis rien de plus et elle me dit "alors", je dis" j'ai rien", elle dit "mais c'est parfait"

Je dis "non, et lui montre l'enveloppe que j'ai juste ouverte", elle sort ce qui est dedans, mais quand elle a vu l'enveloppe, elle a blêmi comme si elle allait s'évanouir, elle a le culot de me dire que c'est un montage du fait que ce sont des photocopies, je sors d'autres photos où ils s'embrassent dehors et sont au resto

Elle me dit, je voulais t'en parler, je dis oui, dans 20 ans ou quand tu serais parti avec lui, elle jure que non, je lui dis, dommage, car tu n'as plus que lui maintenant, car entre nous s'est fini, elle se jette sur moi en pleurant et je lui dis, arrête ton cinéma, tien, ce n'est pas fini, je sors le dictaphone et que j'avais préparé au passage où elle me dit "con, que je suis un mari, mais pas un amant"

Elle est abattue, je lui dis, tu fais quoi, on se sépare sans histoire par consentement mutuel où c'est un divorce à tes torts, tu vois, j'ai le son et l'image, j'ai aussi des témoignages, tu n'as pas que des amis, les putes n'ont pas d'amis, elles n'ont que des clients, je lui dis, pour ce soir, voilà ce que je te propose

Je te laisse dormir la encore la semaine, le temps de t'installer ailleurs, pour cela, j'attends de toi que tu me dises tout sans rien oublier ni me mentir, je sais déjà pas mal de chose, alors si sur l'une d'elles, tu mens, je le saurais de suite, et auquel cas, c'est sur-le-champ que je te fous dehors, tu décides quoi

En pleurant a grande larme, elle dit qu'elle m'a toujours aimé, je lui dis que son amour, elle peut le laisser là où elle l'a mis, aux chiottes, il est mort dans les bras de l'autre, aller, je veux tous savoir, qui il est, s'il est marié comment tu as pu faire pour que je te déteste autant après t'avoir autant aimé sans jamais succomber à une autre, elle me dit moi aussi, je t'ai aimé

Je me lève et l'attrape violemment par le bras et je l'emmène vers la porte ou je dis, tes mensonges, j'en ai marre, je t'ai fait une proposition, tu t'y tiens et je ne veux rien entendre d'autre, de toute façon, quoi que tu dise, le divorce est déjà commencé, j'ai pris rendez-vous demain pour ça avec un avocat, elle pleure bruyamment, je lui dis, le jour où tu as été dans son lit, tu aurais dû savoir qu'on en arriverait là

Quoi que c'est vrai que tu te disais que je suis tellement con, eh bien, tu vois, je n'y suis pas autant que tu le penses, alors je t'écoute, je te donne une petite heure, à 21 h 30 si tu n'as pas fini, c'est la porte, d'ailleurs tiens, je lui retire les quelques bagues et bracelets qu'elle portait sur elle avant que je "confisque" les autres en disant ça me remboursera une partie du divorce, aller, je t'écoute, si tu veux dormir ici et rappelle-toi, un seul mensonge et c'est la porte

Après s'être essuyé les yeux, mouchés le nez, elle commence son histoire, elle dit la vérité dans ce qui est le principal, Lucien nous a vus dans un restaurant un soir en semaine avant noël, il y a donc 7 mois, il était avec un client, il nous a reconnus, il a laissé son associé continuer les discussions avec le client et nous a suivis à la maison, il a laissé passer les fêtes puis a surveillé l'immeuble, mes horaires, les siens, savoir où elle travaillait,

Et puis un midi, il la rencontre chez mimi (un resto routier) elle était avec Olga, ils allaient se mettre à table, ils ont discutés de leur jeunesse, elle le présente a Olga, il demande s'il peut se joindre à elles, et puis Olga dit "j'ai refusé une invite pour ne pas te laisser seule, mais comme ce n'est plus le cas, je vais rejoindre.... mon ami"

Elle a discuté, du passé et présent, puis il lui dit qu'il recherche une comptable, ou plutôt une secrétaire avec des notions de comptabilité, naïve, elle saute sur l'occasion, et il lui fait miroiter cela en disant qu'il a un associé et qu'il faudra qu'il lui explique comment fonctionne sa société

Le vendredi après-midi, comme elle peut le prendre, elle le rejoint dans sa boite, et les 2 premières semaines, ils ont mangés ensemble et il lui apprenait vraiment leur façon de travailler, même qu'une fois, il a demandé à une employée de lui montrer le boulot, elle ne s'est pas méfiée

Je lui dis, et ça ne t'es pas venu à l'esprit de me le dire, elle dit, au début, quand il a dit cela au routier, il savait que j'étais mariée avec toi, je lui ai dit, il a fait celui content de te revoir, puis m'a dit attend, tu crois qu'il aimerait savoir que sa femme à trouver un job a deux fois le SMIG pour commencer, si tu lui faisais la surprise, et puis, il vaudrait mieux attendre voir si le boulot te plaît avant de lui faire une fausse joie

Disant aussi, attend d'abord de voir, on verra après si tu es apte ou pas, j'ai dit d'accord, le premier mois, j'étais à fond dans le boulot, je travaillais gratuitement, car ce que je faisais ne méritait pas salaire, on mangeait dans des super restos, en février, il me dit que sa femme risque de venir des fois au boulot, et que ses employés jasent, il me dit qu'il a un studio qui sert aux clients venant de loin et que c'est rare qu'il ne préfère pas l'hôtel, qu'il amènera des dossiers à faire

Jusqu'en début mars, on travaille, je partais à 16 heures, car j'avais du travail à la maison, le linge à laver, repasser, et il me dit qu'il me paie le pressing comme je ne veux pas être payé de mon apprentissage, j'avais peur que tu tombes sur une facture du pressing et me demandes pourquoi je ne m'en occupais plus, il était gentil, il me disait que grâce à moi, il avait réussi une affaire, certains midis de mars, je faisais les déjeuners d'affaires avec lui, il m'a même payé des tailleurs, un manteau hors de prix

Je ne voulais pas, mais il disait que c'était une goutte d'eau par rapport à ma présence avec les clients, de plus, jamais il ne me faisait de geste déplacé, je croyais vraiment à mes capacités, et puis après avoir achète un autre tailleur hors de prix, très sexy, il me dit, attend, et on va à la lingerie, sg, string, bas, que de la qualité comme tu me laisse m'acheter, je ne voulais pas, mais il me dit, que c'est pour mon mari, je lui prend du temps de sa femme

Alors je le laisse m'acheter cela, mais je ne l'emmène pas ici à la maison, de peur que tu t'aperçoives que je suis sur habillée, en plus de ça, une fois, il me fait ressortir d'un resto en me disant, tu vois la femme là-bas, c'est une ex clientes, je lui dis, tu l'a plus, il répond, non, je n'ai pas cédé à ses avances, comme je suis marié

la femme était super belle, j'étais surprise, et puis un midi après mangé, il me dit, tout content, à midi, champagne, le client avec qui j'avais déjeuné la semaine d'avant avait signé grâce à moi dit-il, disant que j'étais belle, intelligente, j'y ai cru, on a bu presque deux bouteilles, il me dit que Babette (une secrétaire âgée a sa boite) pars en retraite cette année, que la place va être libre, je suis contente, il dit viens, la fête continue

On va dans le studio, il y avait une bouteille au frai, on a encore bu, ma tête tournait, j'étais contente, j'allais trouver un super boulot, on a dansé un peu, ou plutôt tourné, son contact m'a troublée, c'est lui qui m'a repoussé, disant, tu veux me faire plaisir, je voudrais te voir en sous-vêtements, j'étais toute chose, un peu comme dimanche sur le fauteuil avec ton copain qui me matait, j'ai été prise au jeu, l'euphorie de l'avenir

Timidement, j'ai montré ce que j'avais sur moi, puis comme il restait éloigné, j'ai connement poussé plus l'exhibition, son attitude réservé m'a donné confiance, on a repris une coupe, du moins moi puis c'en est venu à ce qu'il me dise quoi montrer, quel dessous, au début, je me cachais, après je me tournais seulement puis il me dit, plus besoin de te cacher maintenant, je dis en effet, j'étais excitée en plus

Ensuite encore une coupe, il entretenait son état euphorique, mais sans passer à l'acte, elle avait une absolue confiance, en permutant les dessous, il s'était un peu rapproché, il était à porter de main, mais sans toucher, elle commençait à mouiller, ensuite, il mettait et retirait mon sg, après, ce fut les bas puis enfin le string, ensuite en le défaisant, il le porte à son nez, il la regarde et il met la main sur son sexe, devenant incapable de dire non, ils ont baisée ensuite, jusqu'à 18 heures, il était bon amant, fougueux comme on l'était avant

Le soir, elle arrivé en retard, je n'ai pas rouspété, mais a quand même dit que j'aurais pu rentrer quand j'étais là, chez lui, elle a pris une douche puis elle est rentrée, elle avait un peu honte, (biens sûr quand elle me raconte tout ça, elle a des moment de pleurs, de sniff, je passe sur ces inutilités) je lui dis qu'en rentant, si elle m'avait dit cela, même si j'avais été en colère et déçu, j'aurais pu pardonner

Elle continue en disant qu'elle n'est pas retournée la semaine suivante, mais que le jeudi d'après, il est venu la voir le midi, ils ont mangé ensembles, il lui a dit qu'il a fait une bêtise, qu'il s'en voulait, mais la voulait comme secrétaire et pour l'accompagner aux repas d'affaires, comme une idiote, elle a accepté

Elle a repris comme avant le cours des choses pendant 2 semaines, puis j'avais mon boulot qui me prenait, après un repas arrosé normalement, de retour au studio, elle s'est déshabillée hors de sa vue, il est approché, il l'a embrassé dans le cou, et ont recommencé, les fois d'après, elle n'y allait plus pour travailler, mais pour lui

Peu à peu, elle vu que ce boulot était un prétexte, sauf les repas d'affaires, il la remerciait en cadeau, en attention, en fleurs, elle lui a dit oui, cette journée-là a été notre perte, le reste ne m'intéresse pas, il me suffit de savoir que ma femme est retournée se faire sauter d'elle-même, aux photos, j'ai vu que ce n'était pas qu'un baiseur pour toi, mais un amant

Je crois en ton récit, tu as gagné ta semaine ici, tu prendras une des chambres d'ami, pour la salle de bains, quand tu y es, tu fermes à clef et tu te promènes habillée dans la maison, notre couple est mort, ta vue ne m'inspire que dégout, à partir de mardi, tes affaires devront être retiré d'ici, si tu ne le fais pas de toi-même, je les jetterais par la fenêtre

Marie ma femme est morte, marie la salope est née il y a 4 mois dis-tu, allez va te coucher, j'y vais à mon tour, soit tranquille, je n'irais plus voir à ton boulot avec qui tu es, je te rends ta liberté, le contrat ne nous lie plus, va retrouver ton amant, tu verras, s'il te garde, il ne voyait pas en toi une épouse, mais une pute

Si cela te plaît, ça te regarde, va pleurnicher ailleurs, dans son studio, tu ne pleurais pas>, tu m’as torturé, tu m’as humilié, j'aurais préfère que tu me tue plutôt que de me faire ce que tu m’as fait, même si tu m'avais dit que tu ne voulais plus de moi, j'aurais pu comprendre, allez va au lit ou faire le trottoir, je ne te retiens pas

Elle n'a pas dormi de la nuit, ne faisant que chialer, moi non plus, le lendemain, je passe chez l'avocat pour engager la procédure, je lui amène tous les papiers, j'avais déjà préparé mon coup, les soirs suivants, j'ai travaillé tard, j'avais plus d'heures de boulot que de journée prise, le jeudi, je rejoins Hélène, on raconte les événements, même si au téléphone, on en avait parlé en sous-entendu, je lui dis que Marie dégage le mardi qui vient, lui, il vire dimanche soir, il justifie le boulot pour les enfants

Elle a prévenu ses parents, ils s'occuperont plus souvent des enfants, on a baisés comme des fous, on ne sort pas encore au grand jour, inutile de prendre du tort, même si on a fait une séparation de corps, nous étions devenus amants presque officiel, se cachant juste des enfants et du voisinage, ce jour-là, je dis à Helene, faisons retrouver nos tourtereaux, disons leur qu'ils doivent se revoir pour régler leur avenir

Quand nous avons été chez l'avocat avec Marie, on prenait le même puisqu'il n'y avait pas à se battre, elle reconnaissait ses torts et ne demandait rien que ses habits et quelques cadeaux de mariage qui restaient, je disais accorder

Je gardais l'appartement, nos comptes étant séparé, chacun gardait ce qu'il y avait dessus, nous avons mieux réussi notre divorce que notre mariage lui dit-je, en sortant, elle me dit, " je t'aime", je dis, " moi aussi, mais c'est sur la façon de s'aimer que nos goûts divergent, les tiens me font gerber.


À suivre.
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Histoire de annizette

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Commentaires du récit : Vengeance heureuse d'un cocu 4

Le 27/01/2023 - 21:13 par Balista
À ton avis, quand on trompe son conjoint, il faut lui faire mal en l'avouant? ma philosophie, c'est pas d'être cocu qui est pénible, c'est de l'apprendre. Donc le dire, c'est lui faire mal. Évidement quand on le découvre, cela fait encore plus mal quand on réalise que ce cinéma dure depuis longtemps et que ce n'est pas un accident.
Le 01/07/2015 - 20:36 par annizette
réponse a marc6931: hé non marc, aucun cinéma, j'ai vécu cette période avec lui, le conseillant, plus de 10 ans après, c'est difficile de se rappeler des évènement dans leur intégralité, il y a ce que lui seul peut savoir, et ce qu'on a vécu ensemble, ou là, on s'auto remémore les moments, il n'a pas voulu raconter dans les petits détails, mais a l'époque, il m'appelait a 10 heures pour me dire qu'il allait faire une chose, l'après midi, il me rappelait pour me dire qu'il allait faire le contraire, et le soir, il avait encore changé d'avis, il était extrêmement malheureux, il ne faut pas confondre une séparation quand aucun n'aime l'autre, dans le cas present, henri était plus amoureux qu'il ne le disait, son amour voulait la garder, sa fierté voulait la virer
Le 01/07/2015 - 14:05 par marc6931
trop de cinema
Le 10/06/2015 - 00:24 par annizette
je suis d'accord bugs, j'ai la chance de n'avoir jamais subit cela, mon mari et moi sommes libertins depuis qu'on est ensemble, mais il est vrai que quand Henri avait découvert cela, il était effondré, un loque, j'ai tout fais pour le remettre debout, il m'avoua ici qu'il avait pensé au suicide, je n'ai pas été étonnée, je suis contente de l'avoir secoué pour qu'il reprenne le dessus, ensuite, comme il dit, c'est la haine et la vengeance qui ont prit le relai, vous verrez au fil de l'histoire, qu'il a bien redressé la barre, le Henri avant d'être cocu et le Henri d'après, n'ont plus rien a voir, ironiquement des fois, il me dit qu'il doit tout a Lucien, il est resté aussi respectueux, gentil avec une bonne mentalité, la seule chose qu'il n'a plus comme avant, c'est la confiance en elle, même s'il en a retrouvé pas mal, je n'en dirais pas plus, mais cela reste un cas particulier car dans notre entourage, cela bien souvent, se fini hélas très mal pour l'un ou l'autre, bien souvent, ce n'est pas l'acte en lui même qui est blessant, mais l'acte fait en cachette de l'autre
Le 09/06/2015 - 21:13 par Bugs
Annizette. Un petit complément... L'histoire est captivante parce qu'elle est bien racontée... Si on y pense à 2 fois, c'est une histoire tellement triste... Selon Scarf (1987), la découverte de l’infidélité de son conjoint est même un désastre de l’ordre d’importance d’un décès; ce qui est en quelque sorte la réalité puisque la personne trompée assiste tout à la mort de l’innocence de son mariage, à la mort de la confiance, à la mort de la naïveté entre les 2 conjoints.
Le 09/06/2015 - 18:13 par annizette
merci a vous marc6931 pour votre compliment, ça me change du cocu(e) professionnel(le) qui me met a chaque histoire une note négative en se cachant derrière un pseudo, ce qui fait que je ne sais pas si c'est l'histoire, la façon de raconter ou mes phrases qui ne lui plaisent pas, pourtant, je suis gentille, je ne mord pas. on m'a parlé aussi d'auteur frustré(e)qui note négativement les autres de façon systématiquement pour se sentir moins nul(le)
Le 09/06/2015 - 15:24 par marc6931
je suis du meme avis que Bugs
Le 09/06/2015 - 00:13 par annizette
réponse a bugs: celui qui a fait les photos n'était pas détective, c'est une armoire a glace avec qui on ne cherche pas a le foutre dehors, même des photos non recevable, vu par un juge, ca lui permet de se faire une idée de qui ment, il faut une bardé d'avocat pour les contrer, pour Henri, cela n'a pas été compliqué, le divorce c'est fait automatiquement a l'amiable, pour Hélène, il y a eu un arrangement amiable aussi, puisque la garçonnière était a la société de Lucien et de son associé, donc a elle aussi, et les photos auraient été recevable de la même manière que si cela avait été chez elle. pour l'histoire captivante, Henri vous remercie, pour le bien raconté, c'est moi qui vous remercie, je raconte avec les mots utilisés par Henri, car comme vous le devinez, il se souvient du comportement qu'il avait eu a l'époque et de ce qu'il avait du dire, mais pas a la phrase prêt
Le 08/06/2015 - 23:17 par Bugs
Vous dites une histoire vrai: Des photographies peuvent être jointes au rapport du détective. Dans la mesure où les personnes photographiées se trouvent dans des lieux publics, elles ne constituent pas une atteinte à la vie privée. Les photos dans la chambre... L'histoire est captivante et bien raconté. D'autres commentaire à la fin.

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