Emile

Son établissement est vide 4 heures du mat. Normal, la nuit s’achève, le jour est encore loin. Emile voudrait fermer. Seulement il y a encore au fond de la salle un couple autour de la quarantaine qui se caresse depuis minuit. Emile les surveille de près. Au début c’est elle qui cherchait des caresses intimes avec la main de son mec sous la jupe évasée.

Il voyait les mouvements de la main qui, il lui semblait devaient masturber la femme. Elle était assise le dos à la banquette, la tête en arrière, la bouche ouverte. Sa main droite posée sur la braguette du type devait permettre de « subir » tout ce qu’il faisait. Emile voyais que des fois elle avait de drôle de mouvements d’avant en arrière fréquents. Il comprenait qu’elle prenait son plaisir.

Mais pourquoi ne pas aller se coucher pour la suite. La femme embrasse l’homme sur la bouche, passe sa main sur le torse, puis descend encore vers la braguette. Cette fois elle ouvre la fermeture, elle y entre la main. Sans se préoccuper des autres elle sort la queue. De là où est Emile, il voit une belle queue qui semble bien faite, assez grosse. La femme sans scrupule prend bien la bite dans sa main, elle commence à la branler. Elle arrête rapidement gênée par les mouvements de son amant.

Elle préfère pour l’instant le plaisir qu’elle reçoit. Elle pose une cuisse sur elle de celui qui lui donne son plaisir. Elle ne le boude pas, elle en profite. Placée comme elle est Emile voit toute sa chatte, la main qui caresse. Il bande Emile. Sa main masse sa queue. S’il pouvait il irait se joindre au couple pour qu’ensemble ils atteignent la sérénité.

La femme voudrait la suite quand elle vient sur les genoux de son type. Elle colle son dos contre la poitrine de le, il l’enculerait. Mais ce n’est pas à lui qu’on demande de faire quelque chose. L’amant. Simplement elle veut une pénétration. Emile se demande où elle veut la queue et où lui veut la lui mettre. Si c’était Emile, il la mettrait au cul serré certainement.

Il la voit relever sa jupe, descendre ce qui lui sert de culotte. Elle se relève un peu avant de s’affaisser totalement. Emile ne peux voir où elle s’est fait mettre.

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Le couple sait qu’il est vu. Il en profite, elle aime tant se montrer s’exposer, de dévoiler, s’exhiber. Pour elle s’est un coup de foudre à sa libido. Lui aime monter son amante à tous. Là il est à son affaire. Ils sont vus, sans doute enviés. Sa queue est dure depuis qu’il branle sa copine. Maintenait qu’elle est sur lui, il se lui laisse faire ce qu’elle veut : son plaisir d’abord. Il sent son pubis, ses fesses chercher où aller. Elle murmure des insanités :
- Tu vas me la mettre là où je voudrais. Pas dans le con, pas dans le cul, pas encore dans la bouche. Pas dans ta main : tu viens de me branler salaud. Je vais me branler sur toi. Quand je te le demanderais tu me la mettre au cul.
- Je te veux au con.
- Après, on n’est pas pressés.
- Je veux jouir en toi, garce.
- Je prendrais ton jet où je veux.

Tout en parlant il ouvre le corsage, sort les deux seins. Elle est presque nue. Elle mouille. Il bande. Elle passe sa main sur ce qu’elle cache normalement. Son petit rocher est à sa portée. Elle se caresse, elle se branle. Son autre main prend un sein, le porte à la bouche de son amoureux. Il le lèche, l’aspire, titille la pointe Elle commence à bien gémir :
- Baises moi, là devant tout le monde, mets moi là, j’en crève d’envie.
- Donne-moi ton cul.
- Le voilà.

Elle se lève juste ce qu’il faut, elle ajuste la pine avec une main, elle s’assoit doucement sur lui, puis totalement d’un seul coup : elle l’a dans le cul. Pour qu’elle jouisse mieux, il cherche le clitoris. Il la branle. Elle se laisse aller vers l’absolu, vers le néant d’un orgasme.

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Emile sort sa queue, il se caresse en regardant le couple. Si on pouvait faire appel à lui, il saurait comment participer. Il saurait la baiser avec l’autre. Il rêve de l’avoir sur ta table, nue, avec une pine dans le con et la sienne dans le cul.

Il reste la bite dehors, va fermer l’établissement. Il revient vers le couple, toujours la queue brandie. Il ne sait pas ce qui va se passer. Le voilà accouder à la table derrière laquelle les amants s’aiment. C’est lui qui le voit ; c’est elle qui tourne la tête. Elle sent la bite dans son cul, les doigts de son amant sur sa chatte en plus elle a en vue un nouvel homme.

Elle le veut aussi. Elle se lève, sort de là où elle était. Tant pis pour la queue qui était en elle, elle y reviendra : une autre est là aussi tendue, peut-être meilleure.

Elle se donne, nue, elle se prosterne devant la nouvelle bite. Sa bouche la prend. Elle goûte un nouvel amant.

Emile est entrainé vers la table ou le couche la fille. Elle vient sur lui. Malgré la mauvaise position elle s’embroche sur la pine. Son ventre s’est ouverte par devant : son con est rempli d’une belle queue. Elle commence des mouvements ondulatoires sur la bite. Elle appelle son amant normal. Il ne faut pas lui expliquer longtemps, ce n’est pas la première fois qu’elle le lui demande Il s’installe entre les jambes de celui qui baise son amante, vient sur les deux corps. Il cherche un peu avant de trouver l’entrée. Il encule la fille. Elle ne gémit plus, elle hurle son bonheur d’avoir deux bites en elle à la fois. Elle jouit avant les deux hommes. Elle se retire de la compétition. Excité l’amant veux un cul. Il se jette sur Emile, le branle un instant, le tourne sur le ventre. Emile étonné se laisse faire, sauf quand il sent le gland venir sur sa pastille. Il n’en veut pas. L’autre le tient tellement bien qu’il doit recevoir la queue dans le rectum. Malgré ses dénégations, Emile subit la sodomie, sauf qu’en deux secondes à peine il y trouve son plaisir. Il se laisse enculer, en plus branler cette fois par la fille.

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La nuit suivante, le même tableau. Emile ferme rapidement ; il va se mêler aux jeux particulièrement dévoyés, totalement amoureux, mais si bons.