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Emmène-moi danser ce soir

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Lue : 11995 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/04/2009

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Nous nous connaissons depuis un certains temps à présent et, au fur et à mesure de nos échanges, la gentillesse entre nous s’est muée en douce tendresse, nos confidences personnelles nous ont révélé nos merveilleuses affinités. Nos petits sentiments l’un envers l’autre ont fait chaviré nos cœurs vers une passion croissante et un désir fou d’une vraie romance sensuelle et fougueuse.

Un jour que nous discutions de nos goûts musicaux, je te posai insidieusement une petite question coquine :
« Si une musique devait te faire penser à moi, quelle serait-elle ? »
Et tu me répondis sans hésiter :
« De tendres chansons pour des slows langoureux »

Des slows ??? J’adore !!!
Aussitôt, mille souvenirs se bousculaient dans ma mémoire : des moments magiques de ma jeunesse, où les dancings permettaient aux amoureux de se blottir dans les bras l’un de l’autre, où de merveilleux échanges câlins et de petits flirts s’amorçaient dans la pénombre des lumières tamisées. Pendant quelques instants, on se laissait bercer par des musiques sentimentales à en perdre la tête … de purs instants de bonheur !

Nous en riions ensemble, laissant notre imagination vagabonder vers un tendre moment que nous pourrions ainsi partager dans l’intimité d’un salon feutré, sous les halos estompés des spots multicolores et emportés par l’harmonie de quelques notes de musique romantique et, pourquoi pas, nous laisser aller à des désirs plus fougueux.
Sans plus attendre, tu me dis : « Je connais un tel endroit … si nous nous y donnions rendez-vous très bientôt ? »
Impulsivement, j’écoutai mon cœur nostalgique et acceptai cette proposition originale et pleine de surprises.

Après quelques jours d’attente qui nous paraissaient interminables, nous nous retrouvions enfin dans ce dancing un peu désuet, attenant à un club très privé. Toujours par peur de rater cette rencontre tant espérée, j'étais bien évidemment arrivée légèrement à l’avance. Je m'étais installée dans un petit coin, dos au mur, pour avoir une vision « grand écran » de cette salle plongée dans la pénombre. Une musique lancinante des années 70/80 emportait quelques couples enlacés sur la piste de danse … Je fredonnais impatiemment quelques notes de la chanson en scrutant au passage les nouveaux visiteurs.

Je venais à peine de me faire servir mon petit cocktail qu’une ombre se profila devant moi … Je levai la tête de mon verre et t’aperçu avec un immense plaisir, me souriant comme sur les photos que tu m’avais envoyées ! Déjà mon cœur battait la chamade de bonheur. Mes yeux brillaient plus intensément d’émotions trop longtemps contenues, mes membres tremblaient de l’intensité bien réelle de notre présence mutuelle si proche à présent.

Tu t’assis doucement à mes côtés, apparemment tout aussi impressionné que moi … Nous nous prenions la main … Nous nous faisions un bisou encore sage, puis un autre déjà plus tendre … Nous attendions le « je ne sais quoi » qui déclencherait notre désir de danser ensemble quelques slows langoureux dans les bras l’un de l’autre.

Un petit temps mort dans l’ambiance générale .....

Toutes les personnes présentes retournaient à leurs sièges respectifs ou prenaient un autre verre. Nous profitions de ce silence pour échanger quelques mots tendres, pour évoquer toutes nos confidences, pour faire plus ample connaissance face à face, pour s’apprécier un peu plus si ce fut encore possible … Il était clair que le feeling passait magnifiquement entre nous et nous nous détendions lentement, pleinement heureux de nous retrouver en toute complicité.

Le disc-jockey se remit à la sono et entama une nouvelle série de slows merveilleusement suggestifs. Sans plus attendre, tu me saisis la main et m’entraîna sur la piste de danse … Enfin, nous nous trouvions blottis dans les bras l’un de l’autre, corps contre corps et les yeux dans les yeux … Serrés au milieu d’autres couples enlacés … Nous nous fondions dans cette pénombre complice !

Je me laissai tendrement guidée par tes pas glissant sur la douce mélodie. J'’enlaçai doucement ton cou de mes bras et te caressai la nuque, penchant ma tête contre ta joue. Subrepticement, tu glissa tes lèvres vers les miennes en un premier baiser langoureux … Nous nous sentions déjà tellement bien … Une douce chaleur m’envahit. Mon dos fut parcouru de frissons de plaisir quand je te sentis resserrer ton étreinte et que nos langues s’enroulaient en un ballet fougueux au point de ne plus pouvoir se lâcher.

Les danses s’enchaînèrent, mais nous oubliions tout ce qui n’était pas l’appel de nos sens … Les yeux fermés, je savourai chacune de tes caresses. J’ondulai du bassin contre ton ventre et ton genou vint s’emprisonner entre mes cuisses. Notre émoi crût au rythme de nos baisers de plus en plus ardents. Nos cœurs et nos corps furent envoutés par le rythme lancinant des mélodies … La semi-obscurité nous enveloppe d’un doux cocon …

Quels instants magiques !

Dans un dernier duo de guitare/saxo, la musique s’arrêta à notre grand regret … Les spots s’allumèrent et les couples de danseurs se séparèrent … Nous ne pouvions qu’en faire autant et, main dans la main, ma tête posée sur ton épaule, nous retournions nous asseoir. Grisé par nos tendres préliminaires, tu t’enhardis à me reprendre dans tes bras en pleine lumière et à m’embrasser de plus belle … Je te murmurai à l’oreille à quel point j’avais envie de toi … Tu me souris et me chuchotas que toi, non plus, tu ne voulais pas en rester là …

Tu m’indiquas timidement, que le dancing était aussi attenant à un petit club bien plus privé, où nous pourrions nous retrouver en toute intimité dans un petit salon particulier, à l’abri des regards indiscrets. Spontanément, je te remerciai de cette merveilleuse initiative et te suivis sans hésiter vers l’autre partie du bâtiment !

En effet, après avoir pris un petit couloir très discret, nous nous retrouvions dans un club présentant plusieurs boudoirs très confortables et intimes, garnis de sofas moelleux, toujours sur un fond musical langoureux, une bouteille de champagne et deux verres en guise d’accueil. Je fus éblouie par ce petit décorum coquin, qui ne laissait plus de doute sur la suite de notre rendez-vous. Nous nous installâmes avec volupté dans une de ces alcôves. Prestement, tu déboucha la bouteille et, amoureusement enlacés, nous trinquions les yeux dans les yeux étincelants, nos baisers câlins agrémentés par les bulles pétillantes sur nos langues enchevêtrées.

Lentement, tu m’attiras vers toi et m’embrassa de plus en plus fougueusement, tandis que tes mains déboutonnaient ma blouse … Je vibrai en sentant tes doigts me frôler la peau et passer sous la dentelle sexy de mon soutien-gorge …
Fiévreusement, tu sortis mes seins de leur corbeille et les caressa avec savoir-faire… Toute en émoi, les pointes se dressèrent tandis que je me cambrai à l’appel de ta bouche coquine qui les léchait, les suçotait, les tétait, les mordillait … Je ne pouvais plus résister à tes assauts …

Je dégrafai nerveusement ta ceinture, ouvris ton pantalon, et y introduisis une main avide de trouver l’objet de mon désir.
Je sentis ton membre viril tressauter dans ma paume, gonfler sous mes attouchements … Mes doigts s’introduisirent malicieusement dans ton boxer pour le libérer de son carcan … Prise d'une fièvre érotique, je rabatti un pan de ma longue jupe en guise de rempart à d’éventuels regards inquisiteurs, pour me pencher vers toi et m’occuper plus consciencieusement de cette superbe verge en érection !

Avec gourmandise, je léchai un instant cet énorme bâton de chair … Puis doucement, je décalottai le gland d’où perlait déjà quelques gouttes, témoins de ton excitation …

Mmmhhh, je me délectai de ces prémices de ta jouissance. Sous les encouragements de tes premiers gémissements à peine audibles, je te regardai amoureusement et t’engloutis goulûment … Je sentis ta queue glisser le long de mon palais, lubrifiée par ma salive.
Je te suçai avec toute la tendre sensualité dont je fus capable … J’aimai que tu réagisses par petites saccades sur mes papilles … Ma langue virevolta de plus belle, t’arrachant un énorme soupir de plaisir !

Notre excitation monta encore d’un cran quand je sentis ta main s’introduire sous ma jupe, remonter au bord de mes bas, tes doigts se faufiler sous l’élastique de ma culotte, en arracher maladroitement la dentelle pour me caresser doucement le pubis glabre …

Que de douces sensations que cette peau lisse, sensible au moindre de tes attouchements …

Instinctivement, j’entrouvri les cuisses pour te frayer un passage vers mes lèvres intimes …

Mmmhhhh les intenses ressentis lorsque tu me fouillas l’intimité pour me cajoler le bouton d’amour … J’activai encore mes succions passionnées sur ta verge, lorsque tu me titilla le clito et que je sentis deux doigts me pénétrer et s’activer dans mon antre tout chaud et tout humide de cyprine.

Le fond musical lancinant continuait à nous émouvoir. Dans un soupir tu me murmuras que tu désirais te sentir au fond de moi et, je te répondis dans un gémissement que, moi aussi, je voulais que tu me pénétrât… que nous soyons enfin unis dans une extase profonde !

Je me relevai fiévreusement, soulevai impudiquement ma jupe. Je m’installai à califourchon sur tes genoux et tout en sensualité, je vins lentement m’empaler sur ton pieu dressé … Tu t’agrippa à mes hanches et, les yeux mi-clos, pour mieux savourer cet instant, tu me fis descendre voluptueusement sur ta verge … Je te sentis glisser le long des parois de mon vagin. Je me cambrai en arrière pour mieux ressentir cette colonne de feu au fond de ma grotte intime … Nos deux membres furent enfin soudés l’un à l’autre …

Des frissons me parcoururent le dos en entamant quelques montées et descentes sur toi … tu gémis de plus belle … Nos corps s’épousèrent en parfaite osmose … Je sentis que quelques saccades de plaisir te firent frémir … Tes doigts s’immiscèrent entre nos corps pour me titiller une dernière fois le clito gonflé d’excitation … Encore quelques pressions de ma vulve sur ton pénis pour accélérer ton éjaculation sauvage … Mmmmhhhhh oui, je viens … (n’attends plus, rejoins-moi …) et dans un éclair fulgurant tu explosa ta chaude semence en moi, dans un râle bestial !

Lentement nous reprenions notre souffle haletant … En sueur mais ivres de bonheur … Nos bouches collées en des baisers ardents et passionnés … Doucement nous nous détachions l’un de l’autre pour finir la bouteille de champagne en douce connivence et en regards amoureux ! Le temps de se remettre de nos intenses émotions, de réajuster nos vêtements un peu fripés, on entendit une voix lointaine au micro indiquer aux visiteurs du club que la soirée se terminait. Oh non, qu’allions-nous faire ? … Tu me fis un gentil clin d’œil complice et me dis : « nos voitures ne sont pas loin … je te raccompagne, OK ? » Tendrement enlacés, nous quittions ce doux abri de nos premiers intenses ébats, pour sûrement mieux nous retrouver en plus grande intimité.

Tendrement enlacés, nous quittons ce dancing/club privé - témoin de nos premiers intenses ébats - pour sûrement mieux nous retrouver en plus grande intimité. Lentement nous arpentions le parking vers nos voitures respectives, mais l’envie de ne pas nous séparer et le désir de connaître encore quelques plaisirs sensuels ensemble eurent raison de nos petits moments de réflexion respectifs, et ce fut en accord silencieux que nous nous dirigeâmes finalement vers ton auto. L’air ambiant était légèrement printanier et invitait déjà à s’ébattre en pleine nature !

Tu ouvris prestement la portière, m’invitas à m’installer à tes côtés et enclencha un CD. Tu démarra vers une petite route secondaire dont j’ignorais totalement la destination et où je ne pourrais m’orienter dans l’obscurité, mais je te fis entièrement confiance, douillettement serrée contre toi et te caressant la nuque en écoutant la musique douce qui ensorcelait cette soirée de rêve.

Nous cheminions un moment vers des sentiers de plus en plus étroits et sinueux, nous nous enfoncions dans des lieux un peu à l’écart … et tout à coup tu dirigeas ta voiture vers le bas-côté, face à une magnifique clairière à l’orée d’un bois. A la lueur d’un clair de lune étoilé, nous admirions un instant le panorama tout en nous câlinant tendrement, moi te titillant l’entrejambe, toi me frôlant les pointes des seins … ensuite nous sortions prendre l’air !

La tête posée langoureusement sur ton épaule, j’admirai les étoiles au firmament et mes pensées vagabondent parmi nos récents souvenirs de câlins complices. Ah si nous puissions encore une fois nous sentir envoûtés par nos caresses réciproques !
As-tu pu lire dans mes pensées ? As-tu encore et toujours les mêmes fantasmes que moi ce soir ? Je l’ignorais, mais à nouveau tu me pris dans tes bras … tu te tournas amoureusement vers moi et tu m’embrassa tendrement. Nos lèvres se cherchaient, nos langues se mordillaient et nos baisers devinrent de plus en plus fougueux encore et encore !

De la portière entrouverte, la musique romantique nous envoûta encore en ce lieu désert et tu m’enlaça en souriant pour esquisser encore quelques pas de danse « collés-serrés » en pleine nature … Je me laissai emporter par ton petit jeu fantaisiste et, prise dans ton étreinte, je suivis le rythme sensuel du slow, tout en ressentant les chaleurs respectives de nos peaux nous appelant à des plaisirs charnels plus ardents. Tes lèvres rejoignirent les miennes pour une nouvelle série de baisers langoureux, tandis que nos mains parcouraient fiévreusement chaque parcelle de nos corps.

Pris de frénésie par nos désirs mutuels, tu me fis reculer et me plaqua le dos contre un arbre. Tu te serra très fort contre moi et je sentis, au travers de ma jupe, ton membre tendu pointer contre mon bas-ventre … Pour ne pas trop me trémousser, je m’agrippai à l’écorce de l’arbre tout en me cambrant vers cet appât viril qui m’excitait de plus belle. D’une main je te déboutonnai nerveusement le pantalon et te libérai, en pleine nature, de tout carcan, afin d’admirer en toute quiétude tes attributs gonflés de sève, que je caressai … titillai … frottai… malaxai avec avidité … et attirai doucement vers mon intimité toute chaude. Tes premiers soupirs se faisant entendre dans le silence de la nuit m’incitèrent à plus d’ardeur dans mes avances coquines !

Mais cette fois, j’eus d’abord envie de me laisser aller à tes initiatives entreprenantes avec délectation et - moi d’habitude si timide et si pudique -, je frissonnai d’émoi pendant que tu m’ôtas mon chemisier et ma jupe, exposant ma peau nue sous le halo blanc de l’astre nocturne.

Tes lèvres gourmandes me parcoururent les épaules, s’attardèrent sur mes seins frémissants, descendirent délicieusement vers mon nombril … Je gémis d’impatience que tu n’arrivas vers ton but ultime … J’eus l’impression que cent mains me caressaient partout, me faisant vibrer de plaisir … Tu t’accroupis le long de mon corps et ta langue vint rejoindre mes cuisses entrouvertes, virevolta autour de mon pubis … J’haletai d’un plaisir encore retenu …

Tes doigts entrouvrirent mes lèvres intimes, s’introduisirent dans ma grotte trempée et y glissèrent en quelques va-et-vient délicieux … Notre excitation commune s’accéléra … Ta langue stimula rapidement mon bourgeon d’amour tout gonflé, le suça avidement, lapa quelques gouttes de cyprine … Je miaulai de tous petits cris rauques lorsque mon clito échauffé, réagit violemment sous ton merveilleux cunni et qu’un éclair de jouissance me secoua les sens … à me faire défaillir, les yeux révulsés… la tête appuyée contre cet arbre !

Je te murmurai de revenir vers moi … Oh oui, je voulais sentir ta présence virile en moi … je désirais ressentir la pénétration de ton membre au fond de moi … Mmmmhhhh, viens vite me rejoindre dans ce nirvana de frissons érotiques, sois à moi et en moi, oh oui !!!

Tu te releva et je saisis prestement ta verge prête à exploser … doucement, puis de plus en plus vigoureusement, je frottai ton gland turgescent et humide contre ma vulve … tu me pinça les tétons tout en haletant d’excitation … Tu t’arc-bouta contre mon bassin …. Tu me souleva une jambe pour mieux me rejoindre, mais une souche d’arbre providentielle me servie aisément d’appui … J’entrouvri un nouvelle fois mon antre intime et guidai doucement ton pénis à l’entrée de ma corolle … Tu glissa aisément dans mon vagin déjà bien lubrifié … Oh quelle sensation divine !!! … et d’un coup plus sec, tu t’enfonça en moi jusqu’à la garde, m’arrachant un cri de bonheur …

Puis sauvagement, pris par le désir, tu me pistonna de violents coups de boutoirs … Je m’accrochai à toi pour garder l’équilibre pendant cette cadence accélérée … Nos violents râles de plaisir secouèrent le silence de la nuit … Tu me crias que tu allais venir … J’attendis ton explosion avec ferveur et, dans un gémissement d’orgasme conjoint, ton membre éjacula de chaudes giclées de sperme au fond de mes entrailles … Ouuuuuuuuuuiiiiiiiiii !!!

Nous restions un moment emboîtés l’un dans l’autre, nos deux membres ne faisant plus qu’un … Nos peaux exhalaient une moiteur de délicieux efforts … Nos sens furent émoustillés par le plaisir amoureux et nos corps parcourus par d’intenses frissons de bonheur partagé !

Nos baisers passionnés reprirent de plus belle, comme si nous voulions arrêter le temps. Comme si nos lèvres et nos langues ne pouvaient plus se séparer. Nos deux cœurs battaient la chamade à l’unisson. Tu te retira lentement de mon fourreau brûlant … Je contractai une dernière fois ma vulve pour te retenir en moi … Ton membre fit encore un petit soubresaut de jouissance puis, je sentis le mélange des jus de nos plaisirs se répandre le long de mes cuisses. … Mes jambes flageolèrent d’émotions … Mais tu me retins tendrement dans tes bras et m’entraîne à nouveau, pieds et corps nus vers ta voiture, où les douces musiques en sourdine tournaient en boucle.

Je déposai mes fesses nues sur le bord du capot de ta voiture, les pieds relevés sur le pare-chocs pour éviter la froide humidité de l’herbe. Pendant que tu rassemblais nos vêtements éparpillés aux pieds de l’arbre pour les déposer sur ton siège, je repris lentement mon souffle et mes esprits, savourant ce délicieux bonheur que nous venions de vivre ensemble et rêvant à ce que notre romance sensuelle ne finisse jamais … Machinalement je continuai à me caresser l’entrejambe encore sensible de notre étreinte !

Tu vins me rejoindre, avec une légère couverture prise dans le coffre de ton auto. Quel instant romantique que de se retrouver ainsi – après tant de mois de rigueur hivernale dans le ciel comme dans nos cœurs – et je fermai un instant les yeux pour mieux profiter de ce délice champêtre.

Nous laissions une dernière fois pour cette nuit, libre cours à nos sensualités débridées, quand tu installas ton plaid à même l’herbe humide de la rosée de la nuit. Nous nous allongions tendrement côte à côte, toujours sur un léger fond musical qui nous remuait les sens.

Tu vins doucement m’enjamber : ton membre viril présentait à nouveau une magnifique érection et je le saisis avec gourmandise. Doucement je lui prodiguai les caresses buccales qui t’arrachèrent d’intenses gémissements de plaisir. Je suçai ton gland avec délectation et, emportée par mon élan fougueux, ma langue virevolta tout le long de ta hampe pendant que mes doigts te titillaient coquinement les bourses. Après avoir caressé avidement mes lourds seins blancs si sensibles, nous savourions intensément ce moment d’extase sensuelle.

Encore tout en transe, tu changeas cependant de position et ma corolle d’amour s’ouvrit à présent instinctivement à toi ! Je croisai mes jambes autour de ton bassin, à l’appel d’une dernière étreinte charnelle. Ta virilité avait déjà repris de plus belle et je souhaitai avidement que tu me pénétras encore une fois avec ardeur. En position de missionnaire, tu y arrivas sans peine, tant mon désir fut immense et mon intimité prête à t’accueillir encore et toujours. Je te sentis aller et venir en moi avec une fougue retrouvée et répondis merveilleusement à tes coups de reins.

Que ce fut bon de me sentir emplie de tout ton être et de répondre fiévreusement à tes gémissements de jouissance. Dans un grand cri et des soupirs, nous atteignions ensemble ce point magique de non retour, cet instant inoubliable de réciprocité et de plénitude, suspendu dans le temps et l’espace.

Ouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiii …. Ce fut unique!!!!

« Take my breath away » … « When I need you, I just close my eyes and I’m with you » … “Darling, I will always love you” … “Still loving you” … nous fredonnions ces chansons d’amour en Cœur, tendrement enlacés.

Essoufflés mais heureux, « le cœur au bord des yeux » nous nous embrassâmes de plus belle et, ensemble, nous fîmes le vœu que cette merveilleuse nuit de sexe et d’amour ne se terminât jamais … jamais … jamais !!!
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