En croix

Ce soir je sors, mais avec mes amies.

Mon mari, il m'attendra. Bien obligé.

Je viens de l'envoyer m'acheter des sous vêtements sexy pour ma soirée.
Comme tous les samedis sous ses vêtements il ne porte que des culottes coquines, des bas, un soutien gorge et un énorme collier de chien qu'il essaye de dissimuler avec plus ou moins de réussite.
J'imagine que la vendeuse remarque rapidement la situation. j'en souris à distance.
Mon mari c'est mon soumis, mon esclave je l'appelle bonniche.


Ca sonne, cela doit être lui.
J'ouvre effectivement c'est mon soumis. Il attend, les yeux baissés.
Ne reste pas là comme un idiot, lui dis je. Va te préparer. Mais avant, ma petite bonniche, vérifie que la maison soit bien bien propre.
J'en profite pour lui pincer les fesses, m'assurer que son pantalon est bien rempli, et lui donner un baiser.
Aussitôt je lui donne une magistrale paire de claques. "Tu piques bonniche, vas te raser, tu sais que je n'aime pas ça."
Merci Maîtresse est sa réponse. pas un aie!, pas un regard de surprise, juste une acceptation de sa faute et de la sentence immédiate. Cela me convient.
J'entends l'eau de la douche, puis ma bonniche qui va dans la chambre.
Quotidiennement il porte des bracelets avec anneaux aux bras et aux jambes. Notre lit est équipé aux 4 coins de systèmes d'attaches ou mon soumis peut, sans moi ,s'amarrer les jambes mais une seule main. Ensuite il ajuste un bandeau sur les yeux pose sa main encore libre à proximité de la dernière attache et m'attend.

Je termine une conversation téléphonique et passe le voir. Ah mes amies quel spectacle. Ma bonniche s'est acheté sans ma permission un corset mauve auquel sont attachés des bas résilles qui font vraiment super pute.
J'accepte sa surprise d'autant qu'il est maintenant bien rasé.
Je lui attache la dernière main et ma bonniche est alors entièrement en mon pouvoir. Pour lui rappeler le lui écrase les joues avec mes pieds, l'un après l'autre. Je les lui fais embrasser. Je vois qu'elle bande ma bonniche. Alors je viens m’asseoir sur sa tête et je lui explique qu'elle a intérêt à être bien sage et bien endurante. Je reste longtemps je modifie ma position pour que ma chatte vienne boucher sa bouche et son nez. Ma bonniche suffoque je m'en fous je commence un frottement de va-et-vient, je mouille mais je me relève, je me réserve pour mes amies.
Je lui demande "elle t'a plu mon odeur bonniche?" Oui Maîtresse me réponds elle, je l'ai adorée. Et bien tu vas être contente bonniche.
Je reviens avec un stock de mes slips récupérés dans le panier linge sale. Un par un je lui enfile sur la tête à la lisière du nez. Je bourre les dernier dans sa bouche que je trouve un peu triste. Une bonne couche de rouge à lèvres fait l'affaire. J'écrase mes lèvres sur celles de ma bonniche.
Je lui chuchotte à l'oreille: "J'adore le contact entre deux bouches maquillées. Si ce soir Sandra réessaye de m'embrasser je la laisserai faire."
Je prends un collant mets une jambe dans l'autre et y enfile sa tête au maximum. Je glisse l'extrémité du collant sous son collier, il sait qu'à mon retour tout devra être dans la même position. Ma bonniche a l'air ridicule et je ne prive pas pour l'humilier. le haut du collant ressemble a un réservoir d'une capote. Il faut dire que depuis ta dernière éjaculation ton sperme doit te monter au cerveau hein bonniche?
Je vérifie que ses couilles soient bien pleines et que son sexe soit durissime. Ma bonniche sait qu'il lui est interdit de se branler la semaine. Elle m'a bien obéi.

Je reviens une bonne heure après, fini le bain le maquillage. J'ai mis juste un peu trop de parfum . express.
Je m’assoie sur lui pour mettre mes chaussures. Je les fais bien briller grâce au collant qui couvre sa tète. Je force l'entrée de sa bouche avec le haut talon l'enfonce au maximum possible malgré la présence de mes slips.
Je lui explique que je sors avec Nadia et Hélène qu'il faudra qu'elle soit bien sage.
Je sais que les premières courbatures sont apparues et l'engourdissement des membres de ma bonniche va devenir intolérable. C'est la première fois que je la laisse seule ainsi. Je sais que la douleur ne la laissera pas dormir. Tant qu'on y est je vais chercher dans la cuisine un morceau de gingembre frais, j'en enlève la peau et lui enfile dans le cul.
C'est une surprise. Ma bonniche ne connaissait pas encore ce supplice là.
J'éteins la lumière ferme la porte et de l'autre pièce je lui dit à demain matin et lui souhaite une bonne nuit.
Je sais que la mienne le sera.
Si vous le voulez je vous la raconterai