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En quête de fierté

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Lue : 1152 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/06/2013

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Nous nous promenions depuis déjà plus de quatre heures. Il est vrai que la cité Nancéenne était particulièrement jolie, et la vieille ville recélait de petits cafés et autres ruelles qui lui donnaient un charme indéniable. Il faisait chaud ce jour-là. Un temps magnifique. La cité bouillonnait de vie et que ce soit chez les étudiants qui parcouraient la ville ou chez de simples citadins tels que nous, la tendance était au déshabillé : des minijupes extra courtes aux robes légères, la gente féminine semblait chercher toutes sortes de moyens pour parvenir à combattre la chaleur. Tant pis si cela devait donner à certaines des airs de catins. Mais la balade, si agréable qu’elle était, commençait à me lasser.
« Il serait peut-être temps de rentrer à la maison, non ? »

Christophe tourna la tête vers moi, puis ouvra légèrement les yeux. Nous étions allongés dans un parc à l’ombre d’un cerisier, et je savais que rien ni personne n’aurait pu le faire bouger de là. Il était enseignant à l’Université, et en cette période d’examens, il était surchargé de copies à corriger. « Tout sauf aller travailler ! » devait-il penser.
« T’es pas bien là ? Tu fais chier. Il me semble que c’était ton idée d’aller se balader en ville.
-Je sais, je sais. Mais ça fait déjà plusieurs heures que l’on marche. Et je n’ai pas eu le temps de déjeuner avant de te rejoindre. Il faudrait vraiment qu’on s’arrête quelque part grignoter un morceau.
- Ca y est ! Y faut encore qu’on aille bouffer ! Tu ne pourrais pas arrêter de t’empiffrer cinq minutes, non ? Regarde-toi, sans déconner, t’es devenue énorme ! »

Cette dernière réplique me fit taire et un silence lourd s’installa. C’était devenu un sujet brûlant ces dernières années. Depuis notre dernier enfant, j’avais pris de l’embonpoint et cela semblait particulièrement rebuter mon mari, qui ne se privait pas de me le faire comprendre. Pourtant ces nouvelles rondeurs ne semblaient pas choquer notre entourage : nos amis pensaient pour la plupart qu’elles s’accordaient parfaitement avec ma personnalité ainsi qu’avec la beauté de mes traits. Je dois reconnaitre que par le passé, mon physique ne m’avait jamais posé de problème. Durant mes études supérieures il m’avait permis de prendre du bon temps avec pas mal de beaux garçons, et il m’arrivait encore de me faire aborder par de jeunes gens et ce malgré mes formes. Plutôt grande, j’avais de grands yeux marron, et une longue chevelure blonde et bouclée qui tombait jusqu'à la pointe de mes seins. Mes seins qui d’ailleurs avaient toujours étés volumineux, complétaient à merveille la beauté dont j’avais été dotée à la naissance. Le seul problème qui se posait était mon poids. J’avais pris un appétit d’ogre pendant ma grossesse, et bizarrement, l’avais conservé après. Absolument incapable d’arrêter de me goinfrer, je m’arrêtais souvent à la boulangerie qui se trouvait au bout de notre rue, ou encore dans un salon de thé dans lequel travaillait une de mes amies, et me lançait dans de longues orgies gastronomiques qui ne pouvaient que nuire à ma ligne. Le paradoxe, c’est que le comportement de mon mari m’encourageait dans mes vices. Rentrant du travail harassé et énervé, il arrivait qu’il ne se mette en colère rien qu’en me voyant et j’oubliais la peine que cela me causait en dégustant pâtisseries et autres mets délicieux. C’était un cercle vicieux duquel je ne savais pas comment m’extirper. Plus mon mari me rabaissait, plus je complexais, et plus je compensais cette vie de couple chaotique en tartelettes et autres croissants. Les mots de Christophe étaient si humiliants qu’ils m’avaient fait perdre toute confiance en moi. Il n’était pourtant pas si désagréable que cela de nature : depuis notre rencontre, il avait toujours été attentionné, serviable et m’avait toujours fait formidablement bien l’amour. Son changement d’attitude était un mystère pour moi.

Alors que je fixais le sol, Christophe déchira le silence :
« Bon, ca suffit. Ras-le-bol de cette ambiance. Je dois passer à la fac avant de rentrer. On se retrouve à la maison après.
-Mais, tu ne veux pas rester avec moi ?
-Tu m’emmerdes. Et si c’est pour te regarder engloutir ta ration quotidienne, je préfère encore aller bosser. A ce soir. »

Alors que je regardais l’homme de ma vie s’éloigner, quelques larmes tombèrent sur mes joues. Je me repris immédiatement, m’essuyai les yeux et tentai de contenir ma douleur tandis que je me remaquillais maladroitement. Une fois cette tâche achevée, je restai allongée dans l’herbe grasse pendant quelques minutes, un peu éberluée. Puis la douleur revint, sournoise, alors que je pensais avoir surmonté mon chagrin pour la journée au moins. Je décidai alors de marcher en direction de ce salon de thé que j’ai l’habitude de fréquenter, afin d’avaler quelque chose. Je me mis donc à marcher dans la journée torride, en tentant en vain d’éviter les rayons brûlants du Soleil ainsi que le regard des gens que je croisais sur ma route.

Arrivée au salon de thé, je vis que celui-ci était fermé. Je me résignai alors à rentrer à la maison. Kévin devait déjà être rentré du collège, et j’avais de toute façon du ménage à faire. Je me mis donc en route vers l’arrêt de bus le plus proche, résignée. Mais passant alors par une rue qui m’était inconnue, j’aperçu un salon de thé nouvellement ouvert. Je ne me posai pas plus de question et entrai dans l’établissement. Plutôt élégant, le mobilier en bois clair était disposé de manière totalement aléatoire dans la pièce et de grandes baies vitrées situées sur les flancs du bâtiment diffusaient la lumière éclatante du printemps sur les murs peints d’un blanc immaculé. L’établissement à l’apparence froide était réchauffé par une lumière qui y instaurait une atmosphère brumeuse. Je fus immédiatement séduite. Cet endroit me rassurait, me réconfortait.

Un serveur vint m’accueillir avec un grand sourire alors que je m’asseyais :
« Bonjour, madame, que désirez-vous ?
-Humm, je pense que je vais prendre un grand cappuccino frappé. Trois éclairs et deux muffins avec ça.
-Très bien, répondit-il en plongeant malgré lui son regard dans mon décolleté. »

Ce petit coup d’œil m’a d’abord fait sursauter. Puis, prise malgré d’un moi d’un petit sourire je rajustai ma robe, et tâchai de me reprendre un peu. Il n’avait dû voir en moi qu’une femme au foyer délaissée et surtout désespérée. N’empêche, ce petit voyeur m’avait flattée. C’était un jeune homme de taille moyenne, plutôt fluet. Ses cheveux bruns mi longs s’entremêlaient et tombaient sur son front, cachant une partie de son regard. Un regard aiguisé, tacheté d’un vert intense, qui semblait vous percer à jour, voir par-delà votre physique. Il revint quelques minutes plus tard, toujours aussi souriant, avec ma commande et posa son plateau sur la table, et fit demi-tour en direction du comptoir. Mais il revint soudainement sur ses pas pour me demander :
« Excusez-moi, j’espère que je ne vous ai pas manqué de respect tout à l’heure.
-Pardon ?
-J’ai eu un regard déplacé alors que je prenais votre commande. J’espère que cela ne vous a pas choqué reprit-il avec un grand sourire.
-Ah heu… non pas du tout, rétorquai-je, un peu surprise par le fait qu’il avoue aussi facilement avoir reluqué mes seins. »

Sur ce, il repartit, puis il revint me présenter l’addition. Là encore, alors qu’il se dirigeait vers son comptoir, il s’arrêta soudainement, puis revint à ma table. Cette attitude maladroite me faisait sourire, tant elle traduisait les envies qu’il avait à mon égard. Et vu les circonstances, mon ego appréciait énormément.

Il s’arrêta à ma table alors que j’entamais mon cappuccino :
« Pardonnez-moi, mais votre réponse m’a un peu troublé…
-…votre comportement aussi, lui avouais-je en le coupant. »

Nous fument alors pris d’un sourire entendu. La température avait commencé à grimper sous ma culotte, et ce depuis quelques minutes déjà, mais à ce moment précis, je n’étais plus seulement chaude, j’étais heureuse. Il savait que je m’étais aperçue de ses intentions, et il savait que son petit manège était en train de fonctionner. La situation était en train de basculer. Il scruta la salle quasiment vide d’un air las, puis s’assit à ma table en reprenant son sourire amoureux, et mordit dans un muffin :
« Vous avez l’air d’avoir un problème, dit-il en mâchant.
-Qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
-La petite trace de mascara qui se trouve sur votre joue. »

Merde. Je pensais pourtant m’être remaquillée correctement.
« Bien-vu, dis-je en baissant les yeux
-Des problèmes de cœurs ?
-Je ne suis pas sure que…
-Moi, je suis sûr que vous devriez m’en parler. Je peux surement vous aider, fit-il en gardant son sourire. »

Je baissai les yeux. Après tout, depuis que je l’avais rencontré, cet homme ne m’avait fait que du bien. Peut-être pouvait-il réellement m’aider.
« Et bien, mon mari me trouve trop grosse. »

Le garçon prit un air choqué. Il posa le croissant sur la table les yeux grand ouverts.
« Madame, puis-je me permettre un commentaire ?
-Allez-y.
-Vous êtes superbe. Je ne comprends même pas comment il peut vous faire cette réflexion. Vous pleuriez à cause de lui ? »
-Oui. Je n’arrive pas à maigrir. Je sais que devrais essayer un régime. Mais je n’y parviens pas, je n’en ai pas la force.
-Vous n’en avez peut-être simplement pas envie.
-C’est probablement le cas, dis-je en continuant de regarder mes pieds.
-Puis-je me permettre une autre réflexion ?
-Bien sûr, dis-je en souriant.
-Vous me faites très envie. »

Je fermai légèrement les yeux. Il y avait des années que l’on ne m’avait pas parlé comme ça. Ma culotte était bonne à mettre au lavage. Je repris mes esprits après quelques instants d’inattention. Le serveur fixait ouvertement mes seins. J’étais un peu mal à l’aise :
« Nous sommes en public, je vous signale ! »

Alors que les yeux du serveur revenaient se fixer dans les miens, le seul couple présent dans la salle s’en alla. Il me fit alors un petit sourire en coin, et partit en direction de l’arrière-boutique. L’endroit semblait désert. Je le vis disparaitre puis revenir quelques secondes plus tard alors que les stores se fermaient.

Mon corps s’embrasa. Alors que je me levais pour le rejoindre, le serveur d’une main ferme me fit lever d’un coup. Il me pencha sur la table et releva ma petite robe d’été. Sans trop de ménagement, il caressa mes cuisses potelées alors que j’haletais, puis remonta vers mon derrière. Il alla alors chercher la ficelle de mon string, entre mes fesses, en s’attardant furtivement sur ma rondelle, puis conclut en tirant sur le bout de tissu trempé qui se retrouva rapidement à mes pieds. Rendue muette par le plaisir, je ne pus protester lorsqu’il présenta son vit à ma nouille et me prit par derrière. Je ne voulais pas protester. En me retournant, je pouvais le voir se débattre dans ma chatte. Son visage avait pris un air bienveillant. Mes chairs vibraient sous la violence de ses coups de reins, et son corps semblait avoir changé. De fluet, il était devenu muscle, si violent et protecteur à la fois. Il continua de me besogner ainsi pendant vingt bonnes minutes, couvrant ma nuque de baisers, et mon corps de caresses.

Puis, il lui prit l’envie de changer de position, et d’un geste vif me releva, sorti mes seins de leur prison, et me maintenant au bout de sa queue me mis a quatre pattes par terre. Mes nichons pendants frottaient la moquette en laine, et j’avais le feu au bout des tétons. Les mêmes flammes qui léchaient ma fente rasée. Peu de temps après ce changement, il commença à se faire plus violent encore, plus actif. Des claques tombaient sur mon gros cul. Parfois, des doigts s’égaraient vers ma raie, parfois c’était dans ma bouche avide qu’ils se perdaient. Puis vint l’heure fatidique, quand ses doigts se firent plus pressants sur mon anus. Il en fourra un, puis deux, puis trois. Il m’en mit un quatrième et commença des va-et-vient d’abord doux, puis frénétiques. J’avais déjà été enculée, je connaissais mon corps et savais que je pouvais prendre son chibre. Celui-ci était d’une taille respectable, et aurait pu effrayer nombre de femmes au moment de la sodomie. Et ironie du sort, mon mari, sans doute peu excité à l’idée de me faire l’amour, m’avait demandé une sodomie la veille au soir. Heureusement donc, mon dernier lavement avait fait place nette pour mon amant de passage.

Celui-ci s’étendit de tout son long sur moi, puis me susurra à l’oreille :
« Prête à te faire sodomiser ?
-Prends-moi le cul tout de suite, lui ordonnais-je dans un souffle. »

Il se tendit alors, et fit rentrer son nœud dans mon derrière. La douleur comme toujours finit par se faire douceur, il finit par m’enfoncer jusqu'à la garde sa longue queue dans le fion. Le beau diable commença alors à s’agiter frénétiquement entre mes belles fesses. Parfois il claquait la graisse qui leur servait de gaine, et cela provoquait chez moi une tension qui à chaque coup me faisait m’approcher encore plus de l’extase. Lui, semblait hystérique : les yeux fermés et les mains tremblantes il me foutait, de toutes ses forces il me pénétrait avec une rapidité et une force que je n’avais jamais vues ailleurs. Toujours hystérique, il tendit sa main gauche vers la table a laquelle nous étions assis une demi-heure plutôt, pris un éclair au chocolat et se penchant au dessus de moi, me le fourra dans la gueule. D’abord lentement, presque tendrement, me laissant le temps de le sentir, de le lécher, puis, soudainement, il l’enfonça plus vite et plus profond dans ma bouche, alla jusqu'à l’entrée de la gorge. Je mordis alors sauvagement dans cette douceur, laissant la volupté s’emparer de tous mes sens. J’avais la bouche toute badigeonnée de chocolat, comme une enfant qui se serait envoyé le pot de Nutella en cachette. Cet illustre inconnu m’avait cernée en quelques minutes, et avait su ce dont j’avais besoin, ce dont mon corps et mon esprit avaient besoin afin d’aller mieux. Une fois que j’eu avalé la portion d’éclair au chocolat qu’il m’avait logé dans le gosier, le serveur m’enveloppa de ses bras et me dit lentement :
« Voilà ce qu’une telle beauté mérite. »

Sur ces mots, il étala de la paume le reste de l’éclair sur ma bouche offerte qui se délectait. Puis bourrant brutalement ma rosette dilatée, il fouilla ma chatte de sa main libre et attint mon point G avec une étonnante rapidité. Je ne pus suivre un tel régime plus longtemps, et vins à la jouissance quelques minutes plus tard.

Alors allongés sur la douce moquette grise, je léchais distraitement ses couilles encore pleines en savourant un éclair au café des plus divins tandis qu’il me regardait manger. Je pensai qu’il prenait autant de plaisir à me regarder que moi à me goinfrer. Une fois fini mon goûter, il se leva et me colla sa bite dans la bouche. Je suçai instinctivement et il ne fallut pas longtemps avant qu’il n’envoie la purée. Une éjaculation abondante. Affamée, j’avalai tout.
« Ça lui apprendra, dit-il avec un grand sourire. »

Je lui rendis son sourire, accompagné d’un regard malicieux que je n’avais pas affiché depuis près d’une décennie.

Fin.
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