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Epinal 2

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Lue : 10417 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/09/2010

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Le train-train a repris, boulot week-end boulot quand ce matin en ouvrant ma boite mail : « chers Louise et Eddy, c’est Gérôme, vous vous souvenez de moi n’est-ce pas ? J’ai une petite proposition à vous faire comme je l’avais laissé entendre. Si vous cela vous intéresse, je vous donne rendez-vous vendredi soir dix neuf heures dans les salons de l’hôtel Mercure. Je serais avec Juliette ma femme. Je serai ravi de vous retrouver, mais si ce n’est pas le cas pour vous, oubliez ce mail. »

J’en parle à Louise le soir et nous convenons bien sur d’honorer le rendez-vous.
Nous sommes donc réunis dans le petit salon de l’hôtel Mercure, nous sommes seuls, Louise, Juliette, Gérôme et moi.
Juliette nous est présentée pour la première fois, c’est une très belle femme, la quarantaine BCBG, brune, les cheveux attachés, apparemment très réservée. Elle porte un tailleur strict noir. Elle fait environ un mètre soixante dix, des jambes fines et déliées et une poitrine opulente.
C’est Gérôme qui prend la parole :
-« Louise et Eddy voilà, je vous redis que j’ai passé des moments merveilleux en votre compagnie à Epinal, dès mon retour j’ai tout raconté à Juliette, c’est un pacte entre nous. Comme je vous l’avais dit, elle a fait il y a quelques temps deux accrocs à notre union, elle m’a promis de les réparer. »

A ce moment Juliette prend la parole :
-« La conduite de Gérôme à Epinal compense un des deux accrocs dont il a parlé, il me reste une dette. Sur sa demande et avec son accord je vous propose la chose suivante : Nous sommes vendredi, je vais prendre une chambre dans cet hôtel pendant que Gérôme ira en province pour son boulot. Pendant 24 heures je me tiens à votre disposition, quand je dis à votre disposition, c'est-à-dire que j’exécuterai et immédiatement et scrupuleusement tout ce que vous me demanderez, je supporterai tout ce que vous pourrez me faire. Voilà ma pénitence, j’ai confiance en vous, Gérôme aussi, je ne vous pose aucune condition. Tu es bien d’accord Gérôme nous serons quittes après. »
-« Comme tu l’as dit j’ai confiance en eux et en toi, je suis d’accord et je vous laisse. Mais avant si Louise est d’accord j’aimerais que tu ailles te changer.»

Il montre la robe bleue que Louise lui avait donnée. Louise acquiesce discrètement et Juliette nous quitte quelques instants. Elle revient vite vêtue de la robe bleue, qui lui va aussi bien qu’a Louise, la robe semble plus courte et le haut plus sexy, elle a enlevé sous soutien-gorge et également dénoué ses longs cheveux. Gérôme récupère les vêtements de Juliette puis s’en va. Je regarde Juliette longuement en réfléchissant, elle est vraiment très attirante.
-« Juliette, puis-vous demander la permission de nous isoler quelques minutes ?
-« Ma pénitence est commencée, ne vous dérangez pas c’est moi qui m’éclipse jusqu’à ce que vous me fassiez signe. »
-« Quand penses-tu Louise ça me parait clean ? »
-« Je le crois aussi, ça m’émoustille beaucoup, on va passer un samedi d’enfer.
-« Alors d’accord mais nous la connaissons pas du tout, je ne voudrais pas que quelque chose puisse la mettre mal à l’aise, si nous lui accordions un joker, pour qu’elle puisse éventuellement refuser un ordre ? »
-« D’accord. »

Je fais signe à Juliette qui nous attend sagement à distance, sa robe bleue fait sensation pour les clients de passage.
-« Juliette, nous sommes d’accord pour la pénitence, mais d’un commun accord nous avons décidé de vous donner un joker qui vous permettra à n’importe quel moment de ne pas accepter ce que l’un ou l’autre pourrait vous demander. Vous dites simplement joker et nous passerons à autre chose. »

Louise prend la parole :
-« Ne soyez pas inquiète Juliette, nous ne sommes pas des salauds, Gérôme s’est conduit avec moi en vrai gentleman, nous nous en souviendrons. »
-« Louise je vous rappelle qu’il n’y a aucune espèce de restriction à ma pénitence. »
-« Bien alors vous ne porterez aucun sous-vêtement bien sur, vous portez une culotte ? »
-« Oui bien sur. »
-« Alors mettez-vous face à nous et enlevez le, vous délacerez ensuite le cordon du haut de votre robe, que nous puissions voir vos seins. »

Juliette se place immédiatement face à nous, et sans se soucier que quelqu’un puisse la voir, remonte sa robe et enlève sa petite culotte qu’elle tend à Louise. Elle délace ensuite sa robe ce qui a pour effet de la mettre torse nu. Nous la contemplons plusieurs minutes, elle ne bouge pas, elle est souriante.
-« Vous avez de très beaux seins, on vous l’a déjà dit ? »
-« Plusieurs fois avec les hommes que j’ai pu connaître avant Gérôme, et puis aussi avec les deux des fameux accrocs, et Gérôme évidemment. Vous voyez je ne vous cache rien. »
-« Bien venez vous asseoir entre nous deux. » Elle s’exécute immédiatement,
-« J’ai oublié quelque chose, j’avais trouvé très amusant à Epinal, de demander à Solange de s’asseoir directement les fesses en contact avec le siège, vous voulez bien le faire ? »

Juliette se relève, trousse sa robe et pose se fesses en contact avec le cuir de la banquette.
-« Je vous ai complimentée pour vos seins, mais vous avez également une belle paire de fesses. »
-« Merci Eddy. »
-« Avez-vous déjà eu une expérience homosexuelle ? »
-« Non jamais. »
-« Je vais aller demander que nous ne soyons pas dérangés, et puis je vous expose mon idée. »
Je reviens quelques minutes plus tard,
-« Nous allons aller dans le petit salon bleu à coté, nous n’y serons plus dérangés. J’ai commandé du champagne, vous aimez ça Juliette ? »
-« Je ne sais pas, je ne bois jamais d’alcool. Gérôme a oublié de vous dire que tous les frais de ce week-end étaient à notre charge.»

Nous nous installons dans le petit salon bleu, Nous nous asseyons de chaque coté de Juliette.
-« Louise n’a jamais eu non plus de relation avec une femme, tu veux bien commencer chérie ? »
-« Avec Juliette ? »
-« Bien sur, vous allez vous embrasser longuement pendant que je vous caresserai toutes les deux, OK ? »

Louise s’exécute immédiatement et enlace Juliette elles sont restées debout et s’embrassent fougueusement. Je délace à nouveau le cordon de la robe de Juliette et entreprend de lui pétrir les seins. Elle se laisse faire, j’en profite pour enlever totalement sa robe et de descendre un peu plus bas. Je caresse ses fesses, sa chatte et j’introduis deux doigts dans son vagin. Elles continuent de s’embrasser. J’en fais autant pour Juliette, les deux femmes continuent de s’embrasser nues au milieu du salon. Je peux ainsi les peloter toutes les deux, les seins de Louise sont plus fermes, ceux de Juliette un peu plus lourds.
-« Merci mesdames c’était bon ? »

C’est Juliette qui répond la première
-« Oui, les caresses et le baiser. »
-« C’était très bon surenchérit Louise. Tu n’a pas peur que quelqu’un rentre ? »
-« ça fait partie du jeu, c’est très excitant de voir deux jolies femmes dans cette situation. Juliette, je vais maintenant embrasser Louise, pendant ce temps vous descendrez mon pantalon, mon caleçon et vous me ferez une fellation. Vous voulez bien, »
-« Bien sur, à vos ordres. »

Avez-vous l’habitude d’avaler le sperme de votre partenaire ? »
-« Non, comme Louise m’a dit Gérôme. »
-« Eh bien vous le ferez cette fois ci. »

J’enlace Louise et commence à l’embrasse, Juliette se met aussitôt à l’œuvre, dégrafe mon pantalon et baisse mon caleçon. Elle entreprend une fellation douce, inutile de faire des préliminaires, j’ai une trique furieuse. Juliette est une experte en la matière, supérieure à Louise, je ne tarde pas à éjaculer. Comme convenu Louise ne se retire pas accepte mon sperme et se relève.
-« Ma chère Juliette à chaque fois que je vous regarde j’ai envie de vous prendre, je crois que je vais commencer dès que j’aurais repris un peu de vigueur. »

Nous avalons deux flûtes de champagne ce qui a pour effet d’enivrer immédiatement Juliette.
-« Juliette a chaque fois que je dirais : » en position, vous appuierez votre tête sur le ventre de Louise et vous écarterez les jambes, d’accord ? »
-« D’accord. »
-« Alors en position ! »
-« Elle s’exécute, je remonte sa robe, ce n’est pas très difficile, j’ouvre ma braguette et j’entreprends de la pénétrer, après quelques tentatives infructueuse, je parviens à mes fins. Quelques va et viens me redonnent pleine vigueur. Je me retire après quelques minutes sans que l’un ou l’autre ait joui et je me réajuste.
-« Ma chère Juliette, nous allons vous raccompagner dans votre chambre, demain nous passerons vous prendre vers neuf heures pour faire quelques emplettes avant de déjeuner. »
Dans la chambre nous saluons Juliette avant de nous en aller, je lui demande d’enlever sa robe, elle me la tend, nous partons avec.
-« Gérôme est parti avec mon tailleur, vous avec la robe, je n’ai plus rien à me mettre.
-« Eh oui ma chère Juliette, j’espère que vous ne serez pas obligée de quitter votre chambre. »

Le lendemain neuf heures, nous frappons à la porte de Juliette, celle-ci entrebâille la porte et nous reconnaissant nous ouvre, elle est nue bien sur. Nue mais coiffée et maquillée. Solange lui tend un de ses tailleurs noir, très décolleté, le premier bouton se ferme sous le nombril et des bas auto-fixant noirs. Juliette s’habille, elle est un petit peu à l’étroit. Ses seins ont du mal à se loger sous la veste, ils dépassent largement au travers du décolleté.
-« Quel est le programme ? » demande-t-elle.
-« Voilà, nous allons faire quelques emplettes, déjeuner dans un coin sympa et passer l’après-midi et la soirée dans une boite sympa mais un peu chaude. »

Nous prenons le métro, il y a peu de monde, Juliette a un peu de mal à s’asseoir, et à retrousser totalement sa jupe.
-« Vous voyez, je n’oublie pas les règles. »
-« Oui ça me donne des idées, en position Juliette. »

Elle jette un coup d’œil circulaire, les autres voyageurs au fond de la rame ne s’intéresse pas à nous. Elle se lève, appuie ses bras sur les épaules de Louise et écarte les jambes. Je m’empresse de la prendre en levrette, rapidement car nous entrons dans une station. Je me rassoie rapidement ainsi que Juliette. Personne ne monte, au redémarrage je lui demande à nouveau de se mettre en position et je la prends longuement jusqu’à la station suivante.

Arrivés à destination station Edgard Quinet, nous remontons la rue de la gaieté et nous entrons dans le premier sex-shop. Louise choisit une jupette, ras des fesses et un haut très court qui laisse apparaître largement le bas des seins.
-« Juliette voulez-vous essayer ça ? »

Elle se dirige vers une cabine,
-« Ce n’est pas la peine passez ça ici dans le rayon. »

Juliette s’exécute, et provoque un petit attroupement des quelques clients de la boutique.
Le tableau est saisissant, on voit ses fesses et le bas de ses seins.
-« Qu’en penses-tu Eddy ? » me demande Louise,
-« ça me plaît vraiment beaucoup, tu devrais en prendre deux jeux. »
-« Ah oui c’est une idée, je l’essaie ? »
-« Oui bien sur. Juliette se déshabille, Louise également, les clients sont ravis et matent sans se gêner les deux femmes.

Louise nous abandonne quelques minutes et revient avec une petite chaînette terminée par deux pinces.
-« C’est pour tout à l’heure. » dit-elle.

Nous ressortons du magasin et nous nous trouvons nez à nez avec une boutique de piercing. Je regarde Louise,
-« C’était ça ton idée ? » Elle me fait un clin d’œil. Juliette, vous ne portez jamais de pendentifs ? »
-« Non jamais je ne suis jamais fait percer les lobes. »
-« Eh bien c’est le moment vous voulez bien ? »
-« Alors allons-y. » Nous entrons, Louise choisit deux boucles très simples et les tend au vendeur,
-« Vous pouvez les poser tout de suite ? »
-« Oui bien sur c’est pour qui ? » En avançant un tabouret

Juliette retrousse sa jupe à la grande stupeur de son vis-à-vis et pose les fesses sur le tabouret. Elle tend une de ses oreilles. Louise s’interpose,
-« Non, non Juliette ce n’est pas pour les oreilles, mais pour les bouts de vos seins. » Juliette a un moment de stupeur, rougit un peu, ses yeux s’embuent légèrement elle se détourne, et ouvre sa veste. Le « piercing-man » fait quelques compliment sur la poitrine de Juliette et après une désinfection soigneuse très légèrement sur chaque téton et les perce l’un après l’autre. Juliette pousse deux petits cris, elle est écarlate. Il pose ensuite les deux boucles.
-« Voilà, ce n’est pas bien méchant n’est-ce-pas ? Vous devez les garder au moins dix jours, le temps que le piercing cicatrice.» Elle s’apprête à reboutonner l’unique bouton de la veste, Louise lui demande d’attendre. Elle sort de son sac la petite chaînette achetée tout à l’heure et la relie à chaque boucle de sein.
-« Voilà vous pouvez refermer la veste. » Le tableau est très suggestif, on imagine fort bien ou est attachée la chaine.

Nous ressortons, il est douze heures, nous commençons à chercher un restaurant.
-« Que pensez-vous du dôme ? C’est en bas de la rue. » Elles acquiescent.

Je me déplace avec un peu de difficulté, cette séance de piercing m’a mis en érection, vivement que nous soyons arrivés au restaurant. Suer le chemin, nous longeons le cimetière du Montparnasse, une idée me traverse l’esprit, je pousse ces dames vers l’entrée et après deux ou trois travées, je demande à Juliette de se mettre en position. Elle trousse immédiatement sa jupe, s’appuie sur Louise et écarte les jambes. Comme nous sommes seuls je baisse mon pantalon, mon caleçon et entreprend de l’introduire. Je parviens immédiatement à mes fins et je tringle longuement en y mettant toute mon énergie. Louise est hilare, elle lui pelote les seins et le cul. Après plusieurs minutes, Juliette a un orgasme. Je me retire, elle est en sueur, décoiffée, visiblement contente.
-« Juliette, je n’ai pas pu jouir, voulez-vous finir par une petite fellation ? »

Elle s’exécute, je ne tarde pas à éjaculer dans sa bouche. Elle avale mon sperme et s’essuie la bouche avec un mouchoir que lui tend Louise.
Elle se relève, un peu chancelante,
-« Vous allez m’épuiser tous les deux ! »

Nous repartons vers le restaurant, nous trouvons un coin à peu près calme, et, pour éviter tout problème nous offrons à Juliette une banquette où elle peut s’asseoir à notre goût sans trop se faire remarquer. Je pense qu’un des serveurs à du s’en apercevoir, nous l’avons vu à plusieurs reprise regarder les jambes de Juliette, mais celle-ci les avait couvertes de sa serviette. Le service a été long, nous traînons un peu au café.
-« Bien, je vous propose de prendre un taxi pour nous rendre dans une boite.
-« Quel genre de boite demande Louise ? »
-« Une boite un peu spéciale vous verrez. »

Nous trouvons un taxi rapidement, un exploit, le chauffeur ne perd pas une miette du manège de mes deux compagnes pour s’asseoir.
Arrivés devant la boite, nous sommes accueillis par un vigile qui nous demande nos identités, la maison ne fonctionne que sur rendez-vous. Dès l’entrée nous trouvons de tous petits boxes, ils servent aux clients à changer de tenue.

Je m’empresse de demander à Juliette et à Louise de passer la tenue choisie ce matin. Elles obtempèrent et ressortent de leur boxe rapidement, quel spectacle deux filles superbes, une brune et une blonde, une jupette au ras des fesses, des bas auto-fixant noirs s’arrêtant en dessous de la jupette et un haut très court découvrant le dessous des seins. Louise avait également prévu des escarpins à talons hauts. Un vrai appel au viol…Juliette porte toujours sa petite chaînette du plus bel effet. J’en fait la remarque à Louise qui me promet de s’en acheter une. Nous pénétrons dans la boite, et là curieusement la tenue de ses dames passe relativement inaperçue, ce n’est que délire de cuir, de sexe voire de mauvais goût. Nous choisissons une table éloignée de la sono et nous contemplons le spectacle. J’invite Louise à entraîner Juliette sur la piste, celle-ci la suit plutôt contre son grès visiblement. Juliette semble très empruntée sur une piste de danse. Je commande trois doubles scotchs, et j’appelle mes compagnes.
-« Juliette, je pense que vous serez plus à l’aise après ce breuvage. » Elles avalent le scotch et repartent sur la piste. L’alcool aidant et suivant les conseils de Louise, Juliette se décoince. Les deux femmes s’agitent en libérant leur poitrine sous le mince tee-shirt. A chaque mouvement elles laissent apparaître leurs fesses ce qui ne tarde pas à attirer quelques convoitises. Je recommande trois doubles scotchs et je fais signe aux danseuses. Elles s’assoient, ce n’est pas difficile de la faire dans les règles avec leur jupettes, je remarque que les deux danseurs ne les quittent pas des yeux. Elles sont essoufflées,
-« C’est génial cette boite, » dit Louise,
-« Tu ne trouve pas Juliette ? »
-« En effet, je n’avais jamais vu ça. Mais je suis un peu pompette, je n’ai pas l’habitude du whisky. »
-« Voilà de quoi l’être totalement. » Dis-je en lui tendant un second verre.
-« Vos exhibitions et celles des autres clients m’ont mis en appétit, je vous propose un petit tour dans les salons de l’étage au dessous. »

Nous descendons, trouvons un salon libre, il s’agit en fait de boxes sans porte dans lesquels chacun peut entrer et sortir, c’est la règle. Je m’empresse de dire à Juliette la formule consacrée : « en position » Elle s’appuie immédiatement sur Louise, écarte les jambes et attend. Je me déshabille, je me lubrifie largement la verge et entreprend de sodomiser Juliette, j’y parviens au premier essai ce qui lui déclenche un petit cri, je m’affaire de nombreuses minutes sous la moue réprobatrice de Louise :
-« J’en ai un peu marre de tenir la chandelle. »
-« OK je vais m’en occuper. »

Je me retire de l’anus de Juliette, je me réintroduis dans le vagin pour, après de vigoureux assauts, éjaculer longuement.
-« Bien, remontons dans la salle. » Juliette est chancelante, elle titube un peu,
-« Vous ne vous sentez pas bien ? »
-« Si si ça va, mais vous m’avez enivrée et puis je commence à être un peu fatiguée. »

De retour dans la salle, Louise l’entraîne à nouveau sur la piste, ce qui a pour effet d’attirer immédiatement les deux garçons de tout à l’heure. Je fais un signe à Louise,
-« Invites les à boire un verre avec nous. »

Ils se dirigent vers notre table, ils ont visiblement moins de trente ans, ils semblent un peu frustres.
-« J’ai remarqué que les charmes de Louise et Juliette ne vous laissaient pas indifférents. » Ils ne répondent pas un peu surpris par ma question.
-« Ben quoi elles sont canons tes meufs, et t’en as deux pour toi tout seul. »
-« Louise, Juliette, ces messieurs m’ont l’air fort charmants, puisqu’ils vous trouvent canon, voulez-vous leurs montrer vos seins ? »

Elles s’exécutent, Louise avec une petite moue, style « tu exagères un peu »
-« Voilà messieurs j’espère qu’elles sont à votre goût ? »
-« Il faudrait être difficile man. » Louise et Juliette sont reparties sur la piste, je dis au plus jeune des deux :
-« Tout à l’heure je vous ferais un signe et vous descendrez avec nous à l’étage au dessous, mais vous vous nous suivrez discrètement. » Il acquiesce.

Au retour de ces dames, je me lève en les entraînant vers l’étage inférieur, au passage, je fais le signe convenu. Arrivés dans un petit salon, je m’adresse à Louise :
-« Chérie tu m’a dit t’ennuyer tout à l’heure, nous allons inverser les rôles entre Juliette et toi et tu vas te mettre en position. Elle se penche sur Juliette ; écarte les jambes, je retrousse la jupette sur les fesses nues et je fais un signe au garçon de se servir. Il ne se fait pas prier, se dégrafe et entreprend de pénétrer Louise qui se laisse faire sans rien dire. Juliette me regarde dans les yeux, un peu absente.

Quand le garçon a terminé sa besogne, visiblement fier de lui, il se retire, se réajuste et attend les consignes. Je demande à Juliette de se mettre à son tour en position et une fois collée à Louise je fais signe au second garçon de s’approcher. Je lui désigne le cul de Juliette en mettant un doigt sur ma bouche signifiant silence. Il se déculotte soulève la jupette et pénètre Juliette plutôt maladroitement. Il ne tarde pas à prendre son pied, se retire et nous quitte.
Juliette se relève, de plus en plus fatiguée.
-« Ce n’était pas vous n’est-ce-pas ? » Je fais un signe que oui.
-« Il était beaucoup plus brutal que vous. »
Nous remontons, un coup d’œil à ma montre, vingt heures trente.
-« Mesdames nous devons partir car nous devrions être à vingt et une heure au Mercure retrouver Jérôme. »

Je commande un taxi, Louise et Juliette ne prennent pas le soin de sa rhabiller et se posent de chaque coté de moi dans la voiture. Elles ne tardent pas à s’assoupir. Arrivés au mercure, Gérôme n’est pas encore là, nous prenons un petit salon et j’en profite pour demander à Juliette de se mettre en position, elle se penche, écarte les jambes et soulève sa jupette. Ce sera la dernière fois, je lui introduis deux doigts dans l’anus, doucement et j’entreprends de le dilater. Puis je m’introduis doucement, elle pousse toujours ce petit cri.
-« Relevez- vous Juliette et embrassez Louise elle vous a suffisamment servie de coussin. Les deux femmes s’embrassent à pleine bouche, Louise caresse les seins de Juliette. Je suis un peu emprunté derrière Juliette. On frappe à la porte. Tout le monde se réajuste et je vais ouvrir. C’est Gérôme bien sur, il est souriant. En voyant sa femme dans cette tenue, il pousse un sifflement admiratif.
-« Vous n’avez pas tout vu Gérôme, je soulève le bustier de Juliette en lui montrant ses piercing. »
-« Superbe, comment avez-vous réussi à la convaincre ? »
-« Ah c’est un secret, je laisse le soin à Juliette de vous raconter ces dernières vingt quatre heures si elle le souhaite. »

Juliette est assise, un peu avachie, de grosses cernes sous les yeux indiquent quelles ont été rudes.
-« Plus tard Gérôme, je peux juste te dire que je me suis conduite aux antipodes de ce que je suis dans la vie, délurée, exhibitionniste, vulgaire et j’en passe. »
-« As-tu accepté de te faire sodomiser ? » La réponse est un peu inattendue :
-« Joker. »
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Histoire de Misterhyde17

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Commentaires du récit : Epinal 2

Le 20/12/2023 - 08:34 par Sexytoy86
J'aurai espérer une suite Superbe histoire en tout cas

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