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Epinal

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Lue : 15665 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/06/2010

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-« Chérie, je suis retenu pour deux jours de formation à Epinal, tu pourrais peut-être m’accompagner ? »
-« Oui bonne idée »

C’est en effet la période des vacances scolaires et Louise est disponible.
Après quelques heures de route, nous nous installons au Manoir hôtel, et nous mettons en quête d’un restaurant pour dîner, nous trouvons un italien où nous pouvons manger en terrasse, presque toutes les tables sont occupées.
-« Tu as l’air un peu fatigué ? »
-« Non ça va, »
-« Je vois une lueur lubrique dans ton regard ! »
-« En effet je pense à quelque chose, »
-« Ah bon à quoi ? »
-« Une idée qui vient de me traverser l’esprit, voilà, je voudrais que tu passes toute la durée du séjour sans mettre de sous-vêtement, tu es d’accord ? »
-« Coquin, c’est pour ça que tu m’as invitée à venir ?»
-« Oui entre-autre, mais nous verrons le reste plus tard, alors d’accord quoi que je te demande ? »

C’est au tour de Louise de me faire une œillade malicieuse et une moue réprobatrice. Puis, après plusieurs minutes de réflexion :
-« OK je suis d’accord pas de culotte ni de soutien-gorge pendant la durée du stage mais pas de situations trop délicates. »
-« Pas de conditions, je ne fais aucune promesse. »
-« Alors non c’est trop délicat, je te connais. »
-« Comme tu voudras. »
Voyant mon air vexé, Louise se ravise bientôt.
-« Bon d’accord j’accepte. »
-« Tu exécutera tous les ordres sans discuter ? »
-« Oui. »
-« C’est parti, on commence immédiatement. »

Prenant une grande enveloppe kraft dans ma sacoche je lui tends en disant :
-« Mets immédiatement le soutien-gorge et la culotte dedans, nous y ajouterons ce qui reste dans la valise et je le mettrai au coffre dans la chambre, dont tu n’auras pas le code évidemment. »
-« Comment ça tout de suite ? »
-« Ben oui ici, à table. »
-« Tu te rends compte que nous ne sommes pas tous seuls et puis mon tee-shirt est très transparent, ça peut attendre qu’on soit à l’hôtel, non ? »
-« Non, non tout de suite, la transparence de ton haut m’a donné l’idée de ce petit plan. »

Louise porte en effet un tee-shirt blanc ivoire, un tantinet transparent, on voit parfaitement son soutien-gorge au travers ; et pour le bas, une jupe en jean à mi-cuisse. Elle pousse un soupir et commence le strip-tease ; après avoir jeté un coup d’œil circulaire dans la salle, elle dégrafe discrètement le soutien-gorge au travers du tissu, jusque- là pas de problème, puis sort un par un les bras de ses manches de tee-shirt et les bretelles du soutif puis réenfile chaque manche. Elle enlève enfin discrètement le sous vêtement par le bas et le place dans l’enveloppe kraft.

Pendant ce temps je n’ai pas cessé de surveiller les tables voisine, derrière Louise, elle n’a pas pu s’en apercevoir, un jeune type n’a pas perdu une miette du manège. Il glisse quelques mots discrètement à sa compagne de table, j’en imagine la teneur.
Louise croise les bras devant sa poitrine, je m’empresse de lui dire que ce n’est pas ainsi qu’on se tient à table, elle s’exécute et pose ses poignets de chaque coté de son assiette.
Elle est rouge cramoisi, on voit maintenant parfaitement sa paire de seins lourds et ses tétons au travers du tee-shirt.
Le serveur arrive opportunément pour prendre la commande, il a du repérer la manœuvre et vient se rincer l’œil.
Nous commandons deux pizzas, je ne le quitte pas des yeux, les siens sont rivés sur la poitrine de Louise.
-« Tu a vu, il n’a pas cessé de me mater ? »
-« Bien sur il faut dire que tu est particulièrement bandante, mais il reste une seconde étape. »
-« Ah oui la petite culotte. »

Le plus discrètement possible, Louise remonte sa jupe et entreprend d’enlever sa culotte elle si prend assez bien et me la tend au bout de quelques minutes, j’ai beau scruter les alentours, je ne sais pas si quelqu’un a suivi le manège.
-« Voilà, monsieur est satisfait ? »
-« Oui, bravo, pas terrible cette pizza, on va finir la soirée dans un bar ? »
-« Tu te souviens que je n’ai pas pris de veste. »
-« Ben oui justement, je te laisse aller payer. »

Louise se lève en bougonnant et se dirige vers la caisse, elle ne passe pas inaperçue les seins bien en évidence, les mamelons bien visibles sous le tissu. Elle est suivie des yeux par pas mal de personnes, le patron à la caisse lui sourit largement en lui demandant si tout c’était bien passé ponctué d’un : « nous aurons plaisir à vous revoir. »
« Ouf qu’est-ce que tu me fais faire, tout le monde me regardait. »
-« J’ai vu, et ça m’excite. »

Epinal est assez calme le soir, pas de bar ouvert, nous finissons la soirée au bar de l’hôtel pour le plus grand plaisir du veilleur de nuit.
-« Bon demain je commence à neuf heures, que vas-tu faire ? »
-« je pense aller visiter les alentours et le centre ville. »
-« Essaie de trouver une petite robe sexy. »
-« Tu as une préférence ? »

La question à ne pas poser,
-« Puisque tu me laisse le choix, se sera robe, courte voir très courte et haut à bretelles avec un décolleté profond, je te laisse le choix de la couleur, mais je préférerai blanc, le plus transparent sera le mieux. »
-« Coquin, je vais essayer de trouver ça. »
-« Tu viendras me chercher avec demain soir. »

Nous remontons dans la chambre, je m’empresse de récupérer les sous-vêtements restants pour les enfermer dans le coffre.
Nous passerons une nuit de feu, tout ceci m’avait mis en forme.
Le lendemain, vers huit heures trente, j’embrasse Louise encore au lit et je quitte la chambre après avoir écrit un petit mot : « N’oublie pas les consignes, tu peux me joindre quand tu veux par texto ou à la pause, vers dix heures.
Je m’ennuie un peu en ce début de cession, je pense à autre chose, évidemment, la première pose est bienvenue. Mon portable ne tarde pas à vibrer :
« C’est moi, ça va ? »
-« Oui et toi, tu es sortie ? »
-« Non je me suis fait monter le petit déjeuner, je vais aller chercher une robe, j’ai repéré un magasin sympa. C’est toi qui as emporté ma veste en laine ce matin ? »
-« Non tu as-tu l’oublier en partant. »
-« Un comble je ne sais pas comment je vais sortir, tant pis pour toi si je me fais embarquer pour attentat à la pudeur. »
-« Tu me rappelle vers midi pour me raconter le résultat de tes emplettes. »
-« OK je t’embrasse à tout à l’heure »

Vers onze heures mon portable vivre, c’est un texto de Louise : « Essaie de te libérer vers midi, j’aimerais que tu sois là pour choisir ma robe, je passe te chercher. »
A midi je sors du local, Louise est dans la voiture, je m’assois à ses cotés, elle a résolu le problème de la veste en mettant deux tee-shirt.
Elle se dirige vers le supermarché local, une petite boutique dans la galerie marchande nous accueille. Louise me demande si j’ai une préférence, après plusieurs minutes je retiens deux robes légères en lui demandant de les essayer.
-« Tu a vu l’état du coin d’essayage ? »

Il est étriqué, sans glace ni porte manteau, le rideau très court ne ferme pas complètement.
Louise se déshabille complètement et passe la première robe blanche, assez courte, un peu serrée sur les cuisses. Le haut, à bretelles, est très échancré, un large décolleté en cœur découvre largement les seins. Le tissu est léger, on voit parfaitement qu’elle ne porte pas de soutien-gorge ni de culotte.
La seconde robe, bleu pâle est un peu plus courte, fendue devant assez haut ; Le haut est lacé derrière le cou mais les cotés laissent largement apparaître la naissance des seins, le dos est nu, j’aime beaucoup.
-« Qu’en penses-tu ? »
-« Tu devrais prendre les deux. »

Il va sans dire que la séance d’essayage n’est pas passée inaperçue, quelques passant à l’extérieur de la boutique n’ont pas perdu une miette du spectacle.
-« Bon je retourne au stage, je t’appellerai quand j’aurais fini. Tu va faire un tour en ville comme prévu ?»
-« Oui. »
-« Avec la robe bleue. »
-« Ou la blanche je ne sais pas, la bleue si c’est un ordre. »
-«Comme tu voudras, tu me raconteras si tu a fait des admirateurs et si tu t’es fait draguer. »
-« Et si c’est le cas ? »
-« Tu peux t’amuser un peu, mais rien de plus pour l’instant. »
La formation se déroule sans problèmes particuliers, j’y mets un terme vers dix huit heures trente et j’appelle Louise.
-« Tu es rentrée ? »
-« Oui, il y a dix minutes. »
-« ça c’est bien passé ? »
-« Un peu chaud je te raconterai. »
-« Bon enfiles la robe blanche et viens me chercher. »

Vingt minutes plus tard Louise est garée devant la salle, je descends, m’assied à la place passager, Le temps de constater qu’elle porte la robe blanche :
-« Il est dix neuf heures, on fait quoi, on dîne tout de suite ? »
-« On pourrait peut-être diner maintenant et trouver une boite sympa. »
-« D’accord. »

Nous trouvons un petit resto marocain discret et sympa, à la descente de la voiture je peux apprécier la tenue de Louise, Aïe, aïe, aïe la jupe est vraiment courte, elle moule les fesses quand au bustier, le décolleté est plongeant, les seins lourds de Louise parfaitement dessinés et les aréoles bien visibles. C’est très chaud, je suis ravi de mon choix.
-« ça te plaît ? »
-« Oui beaucoup tu est vraiment très sexy. »
Notre entrée ne passe pas inaperçue, le serveur s’empresse, nous nous installons dans un angle un peu retiré, il y a peu de monde.
-« Bien, on va faire un petit jeu OK ? »
-« Je crains le pire mais vas-y. »
-« La première entorse aux règles du savoir vivre se traduit par un gage. »
-« D’accord mais gare si ça tombe sur toi. »

Nous commandons un couscous, inutile de dire que le serveur est très empressé, nous en verrons trois ou quatre, qui pour l’eau, qui pour le pain ou simplement pour nous demander si tout allait bien. Les questions me sont adressées mais tous ne quittent pas le décolleté de Louise des yeux.
Après quelques minutes après une manœuvre malheureuse, Louise envoie sa côtelette de mouton sur la table en voulant la désosser.
-« Tu aurais du la prendre avec les doigts, c’est autorisé ; le gage est pour toi. »
-« Evidemment et tu as fais très attention, salaud. Alors le gage ? »
-« Salope toi même, j’en ai un peu assez que tout le monde regarde tes nichons, tu vas mettre tes fesse directement en contact avec ta chaise. »
-« Tu n’y penses pas, le serveurs vont tout voir. »
-« Ils s’en souviendront, évidemment tu gardes les mains sur la table. »
-« Salaud évidemment. »

Après quelques contorsions Louise remonte sa robe jusqu’à la taille et se rassoit.
-« Alors racontes moi cette après-midi. »
-« Eh bien je me suis promenée dans cette tenue à Epinal, heureusement que c’est une ville de vieux, j’ai eu droit à des réflexions outrées du genre : « une vraie pétasse. » Et trois mecs se sont intéressés à moi. Le premier m’a suivie toute l’après-midi sans m’aborder, un mateur sans doute, ou un timide, le second m’a accostée dans une rue calme en me demandant combien je prenais pour une pipe. Visiblement il m’a prise pour une pute. »
-« Vu ta tenue ce n’est pas étonnant. »
-« C’est toi qui a choisi, j’ai répondu qu’il se trompait de personne, je regrette, j’aurais pu me faire un peu d’argent de poche ! »
-« Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, et le troisième ? »
-« Lui ça a été beaucoup plus direct, pendant que je visitais les thermes où il m’avait suivie, il m’a mis une main au fesses pendant que nous faisions la queue pour entrer. »
-« Ne vous gênez pas ! » fis-je en retournant.
-« C’est entendu, vous ne portez jamais de culotte ? »
-« ça ne vous regarde pas. »
-« Et pour le soutien-gorge, je peux vérifier. »

Sans se démonter il tire sur mon décolleté et émet un petit sifflement.
-« Bravo, quel spectacle, je peux vous offrir un verre ? »
-« D’accord, ça vaut bien ça non ? »
-« Je n’ai pas vu grand-chose, mais avouez que si vous vous habillez ainsi c’est pour qu’on vous regarde. »

Je n’ai pas répondu en pensant à toi. Nous nous sommes attablés en terrasse, il m’a fait du gringue pendant une heure, comme tu m’y avais autorisé je n’ai pas cessé de l’allumer, tu as vu que ma jupe remontait beaucoup quand j’étais assise, il a posé sa main sur mes cuisses à plusieurs reprises. Il m’a demandé si j’accepterais de lui montrer mes seins, j’ai refusé. Par contre il m’a fait promettre de venir ce soir au casino, je lui ai dit que j’y serais avec mon mari s’il était d’accord. Il m’a répondu que s’il acceptait de laisser sa femme seule en ville dans cette tenue, il serait surement d’accord. »
-« Parfaite, tu as été parfaite. Nous allons au casino ? »
-« Oui, la situation m’amuse beaucoup, jusqu’où irais-je s’il devient vraiment entreprenant ? »

La grande question, je trouvais un malin plaisir à exhiber les charmes de Louise en public et à la voir aguicher les mecs, mais il y a longtemps que je fantasmais de la voir sauter le pas et s’offrir à un autre.
-« Si tu acceptes, bien sur, je suis d’accord pour que tu pratiques quelques jeux amoureux avec un autre, que je sois là ou pas. »
-« D’accord si le type en vaut la peine, on va prendre deux whiskys en arrivant ça nous désinhibera un peu. Je mets quelle tenue ? »
-« j’hésite, la blanche est plus sexy, mais s’il devient caressant la bleue est plus pratique. »
-« D’accord pour la bleue. »

Nous rentrons à l’hôtel, Louise se change et met un parfum léger. Son maquillage est sobre, je préfère comme ça à part les yeux bien soulignés de noir.
Elle se présente devant moi, elle est canon : la robe est courte et volante, le haut de face est discret mais de coté la naissance des deux seins est bien apparente, c’est très bandant.
Nous partons ainsi vers le casino, nous cherchons la boite de nuit et nous nous installons dans un coin du bar, Louise sur un tabouret haut fait un effet bœuf, elle montre largement ses jolies jambes. Nous commandons immédiatement deux doubles whiskies, nous les avalons d’un trait, j’en commande deux autres.
Nous les avalons aussi cul sec, c’est à ce moment que l’homme rencontré cet après-midi fait son apparition.
-« Tu ne m’as pas dit son nom. »
-« Gérôme. »

Le Gérôme en question aperçoit Louise et se dirige vers nous.
-« Bonsoir Gérôme, je vous présente Eddy, mon mari. »
-« Bonsoir, enchanté Eddy, Louise est très en beauté ce soir je vous offre un verre, que prenez-vous ? »
-« Deux whiskies. » en faisant un clin d’œil à Louise.
Gérôme s’assoie à coté de Louise,
-« Gérôme, je vais vous demander une faveur, Je déteste danser, voulez-vous inviter Louise ? »

Il se lève et entraine sa cavalière sur la piste. Je suis très excité, la poitrine de Louise mal contenue fait des mouvements lascifs et le bas de la robe remonte assez haut. S’ils dansent un rock, on verra ses fesses.
Ils reviennent boire après la seconde danse, Gérôme s’absente quelques minutes.
-« Alors comment est-il ? »
-« Charmant, beau gosse et bon danseur j’ai essayé de l’allumer en remettant mes seins en place, je pense qu’il n’a pas été insensible. »

Gérôme revient avec trois nouveaux verres et invite à nouveau Louise. Un slow, la lumière est plus tamisée, après quelques mesures Louise et Gérôme sont bien serrés, je ne vois qu’une main du cavalier.
Au second slow la lumière est encore baissée, mais j’aperçois clairement la main de Gérôme sous la robe de Louise, il lui caresse les fesses sans vergogne, elle le laisse faire en regardant autour si on les regarde. Apparemment les autres couples sont occupés à leurs propres affaires.
A leur retour à la table j’interpelle Gérôme et les trois whiskies aidant : « J’ai vu que les fesses de Louise ne vous ont pas laissé insensible. »
Gérôme un peu interloqué avale sa salive,
-« Sincèrement son cul et le reste, je vous fais remarquer qu’on voit très bien qu’elle ne porte pas de culotte, c’est un appel au crime. »
Louise ne dit rien, elle a les yeux brillants, elle semble s’amuser de la tournure des événements.
-« Vous avez donc remarqué qu’elle ne portait pas non plus de soutien gorge. »
-« Bien sur il faudrait être aveugle. »
-« Ecoutez, au prochain slow, vous déferez le lacet du tour de cou de la robe et vous lui caresserez les seins pendant la danse. D’accord chérie ? »
-« Oui oui bien sur, » dit-elle embuée par le whisky.

Le slow démarre Gérôme et Louise se serre, il ne tarde pas à défaire le lacet de la robe, ce qui a pour effet de la mettre quasiment torse nu, Louise garde ses bras autour de son cou, il s’écarte un peu et lui pelote langoureusement les seins, un dans chaque main. Louise se laisse faire et danse lascivement au rythme des caresses. Le manège ne passe pas inaperçu et de nombreux couples regardent la scène. A la fin de la danse, Louise rattache son lacet, ils reviennent à notre table bras dessus, bras dessous.
-« Louise a une poitrine superbe, lourde et ferme comme je les aimes, je dois vous avouer que j’y pense depuis notre rencontre de ce matin. Je crois que nous aurons donné des idées à d’autres couples. »
A ce moment le serveur vient dire quelques mots à l’oreille de Louise, elle rit.
-« Qu’a-t-il dit ? »
-« Il m’a dit que j’étais très jolie mais que je devais m’efforcer de garder ne tenue descente. »
-« C’est la première fois que cela nous arrive, je pense que les whiskies ont beaucoup aidé Louise, de mon côté je suis très excité. Que voulez-vous faire maintenant ? » Louise intervient,
-« Gérôme racontez à Eddy ce que vous m’avez dit sur la piste. »
Gérôme rougit un peu, c’est Louise qui explique :
-« il m’a dit que caresser mes fesses et mes seins lui avait donné une trique terrible et qu’il faudrait que je fasse quelque chose pour lui. » Gérôme est cramoisi. Louise ajoute,

Venez avec moi Gérôme, je vous emmène dans les toilettes pour remédier à cela. Tu veux bien chéri ? »
-« OK, j’aurais mauvaise grâce à le laisser dans cet état, vous me raconterez. »
Ils disparaissent tous deux, ils seront de retour au bout de quinze minutes.
-« Alors, racontez. »

C’est Louise qui s’y colle, d’une voie un peu empâtée et ponctuée de fou rire elle raconte.
-« C’est tout simple, nous sommes rentré dans un WC, j’ai demandé à Gérôme de se tenir debout sur la cuvette, j’ai baissé son pantalon et son caleçon, il avait une furieuse érection. J’ai enlevé ma robe, tu as vu que c’était rapide et je l’ai sucé doucement puis rapidement en enfournant toute la verge. Il n’a pas tenu très longtemps, le temps de quelques caresses sur mes seins et dans mes cheveux, il a éjaculé dans ma bouche. Comme tu sais je n’aime pas avaler, j’ai craché dans le WC, remis ma robe et je suis sortie du cabinet. A ce moment un homme s’est présenté, il m’a averti que j’étais dans les toilettes hommes avant de comprendre la situation en voyant Gérôme sortir à son tour. Le temps de me rincer la bouche, voilà, tu sais tout. »
-« Votre femme est fantastique, vous devriez lui faire boire plusieurs whiskies plus souvent. »
-« Bien je dois travailler demain, je fais rentrer, que fais-tu chérie ? Tu peux rester si tu veux ? »
-« Je rentre avec toi. »

Gérôme semble un peu contrarié, il demande :
-« Voulez-vous que nous remettions ça demain ? »
-« Peut-être laissez votre numéro à Louise, nous allons y réfléchir. Bonsoir Gérôme. »
-« Bonsoir à vous deux et merci pour la soirée. »

Nous rentrons tranquillement, je caresse doucement les cuisses de Louise, cette robe est vraiment très pratique,
-« Alors tu t’es bien amusée ? »
-« Moi oui beaucoup, surtout en te sachant d’accord, Gérôme est très gentil et très délicat. »
-« Oui mais le reste de la nuit est pour moi. »
-« Tout ce que tu voudras. »
Le lendemain matin je me prépare à partir, Louise ouvre un œil, je lui demande :
-« Que vas-tu faire ce matin ? »
-« Je vais faire la grasse matinée, j’un peu la gueule de bois, j’appellerai Gérôme comme convenu tu en penses quoi ? »
-« Je pense que si tu en a envie amuses toi jusqu’au bout, tu l’a tellement allumé hier qu’il doit encore être en érection. Par contre j’aimerai bien rentrer ce soir si tu es d’accord. »
-« Je l’appelle en fin de matinée, on déjeune ensemble ? »
-« OK passes me prendre à midi. »

A midi Louise m’attend dans la voiture, je la rejoins, elle porte la robe bleue,
-« Nous allons où ? »
-« Retournons chez l’italien, tu avait pas mal allumé les serveurs. »
A nouveau la tenue de Louise fait fureur, on voit parfaitement ses deux seins de profil. Elle s’assied en posant directement ses fesses sur la chaise,
-« Tu as vu j’ai retenu la leçon, mais c’est plus facile avec cette robe. »
-« J’apprécie, tu as eu Gérôme ? »
-« Oui il a très envie de moi, il me dit être resté sur sa faim. Bien sur il m’a demandé de te transmettre intégralement notre conversation. En fait il voudrait bien me sauter, il a dit me faire l’amour, il attend notre réponse. Il m’a répété qu’il avait passé une soirée inoubliable et nous en remercie encore. Qu’en penses-tu ? »
-« Si tu en as envie, je suis d’accord, je te laisse organiser la rencontre, souviens-toi que je t’aime et que je ne veux pas te perdre. Tu comprends que ce que j’accepte là est une grande preuve d’amour. »
-« Je t’aime, je te promets de tout te raconter dans les détails. »

J’embrasse Louise longuement sur la bouche en lui tenant la main, et je la laisse pour rejoindre ma formation.
Je suis d’humeur assez curieuse, mi jaloux mi agressif envers Gérôme, mais j’ai voulu et organisé cette situation je suis bien obligé d’en assumer les conséquences. Heureusement j’ai confiance en Louise.
Vers quinze heures mon vibreur me fait sursauter, c’est un message de Louise : « Rappelle-moi s’il te plait. » Je me dépêche de décréter la pose de l’après-midi et j’appelle Louise.
-« C’est moi, il y a un problème ? »
-« Non, je suis devant Gérôme, voilà je l’ai rappelé comme convenu, je lui ai donné rendez-vous pour quatorze heures quarante cinq dans notre chambre d’hôtel en précisant que tu étais d’accord mais que tu ne pourrais pas être là. Il a accepté et frappé à la porte à l’heure convenue. Je lui ai ouvert la porte totalement nue et lui ai demandé de me laisser t’appeler, je suis face à lui, il écoute notre conversation. Je voulais te dire qu’on pouvait encore mettre fin à la rencontre, Gérôme est un gentleman. »
Je respire profondément
-« La balle est dans ton camps, vas-y. »

Je raccroche, un peu bizarre, j’avoue que ma prestation de la seconde partie de l’après-midi a été médiocre.
Je n’appelle pas Louise, je quitte la formation vers dix-huit heures quarante cinq, je la trouve dans la voiture, sérieuse, elle a changé de robe, troquant la bleue pour la blanche. C’est elle qui entame la conversation :
-« Tu fais la gueule ? »
-« Oui un peu et c’est imbécile, excuse-moi, tu veux me raconter ?»
-« Dans les moindres détails, je ne te cache rien. Après mon coup de téléphone Gérôme m’a demandé en me caressant les seins si je voulais qu’il prenne les initiatives, j’ai accepté soulagée. Comme tu le pensais il avait une érection sévère. Il s’est déshabillé lentement, et a entrepris de me caresser, debout, tout le corps, il s’est longuement attardé sur mes seins. Je me suis laissée faire sans bouger, malgré mon excitation ; puis il m’a renversé au travers du lit, sur le ventre, et gentiment a entrepris de me pénétrer. Il est parvenu rapidement à ses fins et a commencé des va et viens calmement puis au bout de quelques minutes plus rapidement. Il a fini par jouir au moment ou j’avais un orgasme. Nous sommes restés sans parler quelques minutes, c’est lui qui a rompu le silence. »
-Puis-être un peu trivial ? » J’ai fait un signe que oui,
-« Quel pied, j’ai pris un plaisir fou, vous êtes une amante extraordinaire, puis-je vous demander si d’ici quelques minutes je pourrais vous prendre par derrière ? »

J’étais un peu surprise, je n’ai pas répondu, il s’est empressé de dire :
-« Ce sera une des plus belles après-midi de ma vie. »
Je reste sans voix, gorge serrée avec un mélange d’agacement et de jouissance.
-« Gérôme a entrepris de me caresser à nouveau le corps, les fesses, les seins, il m’a longuement pincé les tétons, j’ai recommencé a avoir envie de lui. Je lui ai pris la verge et entrepris de le remettre en condition, cela fut rapide. Il m’a alors remise sur le ventre, a mouillé largement ses doigts entrepris de dilater mon anus ; il m’a ensuite sodomisée doucement ce qui m’a fait pousser un petit cri. Il a repris ces va et viens, plus longtemps que la première fois, j’y ai pris beaucoup de plaisir, j’ai joui la première. Il s’est ensuite retiré, essuyé et il s’est dirigé vers la salle de bain pour se rhabiller. Nous ne nous sommes pas embrassés, je me suis esquivée deux fois, il a compris. »
-« Vous devez me prendre pour un mufle ? »
-« Pas du tout j’ai beaucoup apprécié ces moments. »
-« Je me suis rhabillée, il m’a demandé pourquoi je ne portais pas de sous-vêtements, je lui ai expliqué ton exigence et que je n’avais pas la combinaison du coffre, il a souri. »
Gérôme s’est fait plus grave,
-« Louise, je voulais vous dire que ces deux jours resteront marqués dans ma mémoire, je vais vous dire la vérité, je suis marié à une fort jolie femme, un peu comme vous, elle n’est pas au courant de mon escapade, cela dit elle a fait deux accrocs au pacte du mariage il y a quelques années et je vais lui demander de réparer cela. Si vous êtes d’accord je lui expliquerai tout ce qui s’est passé et je vais lui demander de rendre la pareille à Eddy. Je vous inviterai donc tous les deux si vous voulez-bien me laisser votre adresse mail et j’essaierai d’offrir Juliette à Eddy. Avec votre accord bien sur.
-« J’aurais mauvaise grâce à refuser, mais je ne vous promets rien, j’en parlerai à Eddy. Sachez que ça a été un moment exceptionnel pour moi aussi. » Je l’ai raccompagné à la porte en lui notant notre adresse mail sur un papier, en lui laissant un souvenir de notre rencontre. »
-« Ah oui lequel ? »
-« Je lui ai donné la robe bleue. Voilà tu sais tout»
-« Dommage elle t’allait bien, c’est lui qui a choisi ?
-« Non c’est moi. »
-« Pourquoi l’as-tu accueilli complètement nue ? »
-« Pour deux raisons, d’abord en signe de soumission, je n’avais pas envie de commander la rencontre, la seconde pour voir son attitude si tu avais reculé au dernier moment ; aurait-il insisté, m’aurait-il prise quand même, ça m’aurait amusée de la savoir. Mais comme tu as consenti je ne le saurais jamais.
-« Tu es heureuse ? »
-« Oui curieusement »
-« Alors je suis heureux aussi, cocu et consentant mais heureux.»

Fin de la première partie
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