Eros sous la douche

Ingénieur informatique dans une entreprise de dépannage numérique je suis souvent en déplacement en province et plus particulièrement dans la région du Sud Ouest.
C'est au cours d'un de mes déplacements dans une petite ville moyenne au charme incomparable que j'ai eu l'occasion de découvrir le lieu dont je vais vous parler.
Passant régulièrement à proximité je n'avais jamais eu le loisir d'en franchir le seuil.
Alors que je me trouvais, un après-midi, en rupture de charge de travail et de passage dans le quartier, je me décidais à franchir le pas et aller à la découverte de ce SPA dont tout le monde vantait les qualités sur les réseaux sociaux.


Je franchis donc la porte de cet institut en souhaitant y passer un agréable moment de détente.
A peine entré dans le petit hall, un jeune homme à l'accueil me demanda poliment si je venais pour la première fois. A l'annonce de ma réponse il me précisa que le SPA était réservé cet après-midi aux hommes et de surcroît naturistes. Face à mon étonnement il ajouta qu'il en informait les nouveaux venus pour leur éviter toute déconvenue choquante, et que cet après-midi naturiste était très demandé par la clientèle masculine qui fréquentait l'établissement.


Aucun maillot de bain, ni peignoir n'étaient tolérés, chacun se devant d'être totalement nu. Le jeune homme m'indiqua également en souriant que l'éclairage était tamisé et volontairement faible afin que chacun puisse se sentir alaise et détendu.
Je lui rétorqua que la nudité ne me gênait nullement car j'avais l'habitude de la pratiquer avec ma compagne l'été sur la plage.


Je réglais mon droit d'entrée, il me remis la clef d'un casier et m'introduisit dans le vestiaire. Il était vaste et sombre, une musique d'ambiance et des effluves de parfum exotique envahissaient l'espace. On ressentait la moiteur échappé des bains.
Je me déshabillais et rangeais soigneusement mes affaires dans le petit cassier qui m'était attribué.
J’ôtais mon slip en dernier ce qui provoqua un début d'érection de ma verge tout émoustillé que j'étais de me retrouver tout nu dans un lieu inconnu.


J'entrais ensuite dans un vaste salon décoré avec goût dans un style moderne où trônait un bar majestueux. Des tables et des fauteuils étaient disposés attendant les éventuels clients. Un grand écran diffusait en boucle des clips vidéos à la mode. La lumière était faible mais je pus distinguer deux hommes nus conversant assis dans un canapé.
J'étais désorienté et un peu intimidé de me trouver ainsi la queue bandante face à ces deux hommes qui m'observaient. Après un échange de bonjours, l'un d'eux me fit signe en m'indiquant de suivre le couloir pour atteindre la partie balnéo.


Je passais une porte et j'entrais dans un couloir dont le plafond était tapissé de petits leds qui formaient une voie lactée conduisant à une vaste salle de douches collectives. L’atmosphère était humide et chaude, il flottait un fort parfum de jasmin. J'essayais de deviner ce qu'il y avait autour de moi, de percevoir l'environnement. Seuls les bruissements de l'eau du jacuzzi et quelques brides de conversations et de rires donnaient à la perception du lieu un sentiment étrange.


A peine entré dans l'espace de douche collective que je me heurtais à un corps nu. Nous nous excusâmes mutuellement mais ne devina rien de mon interlocuteur. Je pris place sous une pomme de douche que je percevais sortie toute droite de la faïence sombre du mur. L'eau était agréablement chaude, le savon du distributeur sentait la vanille. Je me savonnais entièrement , m'appliquant à caresser mon sexe qui exprimait toujours un début d'érection. Le lieu m'inspirait une certaine excitation, mélange d'appréhension et de tension.


C'est à ce moment là que je sentis près de moi, tout près, une présence. Un corps nu vint se coller à moi. Je me dégageais de ce contact en faisant un pas de côté mais une main savonneuse vint glisser sur mon dos. Surpris par l'audace du geste je voulus m'enfouir, sortir de ce lieu mais quelque chose en moi me l'interdisait, la curiosité sans doute mêlée d'audace instinctive.


L'homme était si près que je sentais son souffle sur mon cou. J'étais troublé par le plaisir de sentir cette main qui me frottait le dos et les épaules avec beaucoup de volupté. Ne réagissant pas à cette aimable sollicitation car j'étais comme tétanisé par son audace, l'inconnu posa son autre main sur mon torse, me caressa la poitrine titillant et pinçant légèrement mes tétons durcis.
Enhardi par l'absence de rejet de ma part, l'inconnu glissa sa main vagabonde sur mon ventre et mon pubis poilu, ses doigts jouant avec mon épaisse toison pubienne.
Je retenais ma respiration ne sachant comment réagir, repousser les avances de cet inconnu ou laisser faire pour voir jusqu'où ce jeu pouvait nous mener ?
Dans un sursaut de témérité, je lui dis en me penchant vers lui : » qu'à force de me tripoter ainsi il allait me faire bander » . Il me répondit doucement avec un rire à peine dissimulé « que c'était le but ! ». Maintenant je savais à quoi m'en tenir.


Ses caresses se faisaient de plus en plus insistantes, la main qui caressait mon dos avait glissé vers mon sillon fessier et malaxait mes fesses rebondies. Ses doigts prisonniers de mes poils pubiens libérés glissaient maintenant sur la base de mon sexe qui sous l'effet conjugué de toutes ces sollicitations avait atteint une taille remarquable en longueur et grosseur.
Le plaisir commençait à m'envahir et me faire perdre la raison.


Maintenant que sa main avait empoigné ma queue elle appliquait sur ma hampe un mouvement délicat du gland totalement décalotté jusqu'à mes bourses durcis par les palpassions.
A ce moment je sentais monter l'orgasme provoqué par tant d’excitation et susurra à mon inconnu,entre deux souffles à peine contenus, qu'il allait « me faire jouir ». Il me répondit avec un rire gras : «  tant mieux, c'est fait pour ». Les dés étaient joués.


J'essayais de me retenir mais cela m'était impossible tant la pression était forte. L'homme, ayant senti à quel point j'étais sur le point d'exploser, ralenti les caresses sur ma verge.
Tandis que l'autre main glissait entre mes fesses je sentis un doigt palper la rondelle de mon anus et caresser son orifice en un mouvement circulaire. L'inconnu allait enfoncer un doigt savonneux dans mon trou du cul. J’eus un mouvement de recul, surpris par l'inconvenance du projet, et repoussa la main inquisitrice.Aussitôt, il repris sa charge, nullement découragé, en passant sa main entre mes cuisses attrapant au passage mes couilles et les tordants légèrement. Une telle approche me fit écarter plus largement les cuisses. Il en profita pour enfoncer doucement son indexe dans mon anus.
Je poussais un petit cri de surprise mêlée de plaisir. J'étais maintenant totalement ouvert au plaisir que me prodiguait cet homme.

Soumis au point que j'acceptais son changement de position et que collé contre moi ; je sentais son sexe contre ma cuisse et son souffle court dans mon cou; une main dans mon sillon fessier, un doigt fouisseur profondément enfoncé dans mon fondement, l'autre main branlant mon sexe.
L'enfoncement profond de son index dans mon anus avait provoqué presque mécaniquement un durcissement et un allongement douloureux de ma verge.Elle devait bien atteindre un bon 17 cm de long, un record pour elle qui dans la configuration habituelle d'une pénétration hétéro ne dépasse pas 15 cm de long.

Après cette considération qui traversa mon esprit, je voulus lui témoigner du plaisir offert en lui caressant son sexe. A tâtons je le saisis, c'était la première fois que je touchais le sexe d'un homme, et me mis à le prendre maladroitement dans ma main. Il était gros, épais, lourd et tout mou et ne réagissait pas vraiment à mes caresses. Aussi dépité du peu d'effet produit je pris dans ma main ses bourses et les serrais doucement. Elles étaient bien peu volumineuses à côté des miennes..
Je revins à son membre dont je décalottais le gland avec vigueur en tirant sur sa hampe afin de provoquer un début d’excitation. Mais rien n'y fit, j'abandonnais le projet car ce monsieur semblait placer son plaisir à un autre niveau, le mien sans doute.


Le doigt introduis dans mon cul s'enfonçait au plus profond de mon intimité m'obligeant à me courber plus avant encore pour laisser à mon anus dilaté par son jeu de va et vient la possibilité supposé d'un deuxième doigt intrusif. Mais il n'en fut rien.

Un gigantesque tsunami me traversa de part en part , venu du plus profond de mes bourses durcies, provoquant une délicieuse douleur. Je suis secoué, submergé par le flot de jouissance qui monte en moi provoquant un cri sonore venu de ce ventre bouleversé qui retenti en éco dans l'espace de cette vaste douche.

Mon sexe au paroxysme de la surexcitation provoquée se mis à tressaillir, à vibrer comme une mécanique jusqu'au bout du gland qui explosa libérant un trait de foutre épais qui alla s'écraser sur le sol carrelé, puis un deuxième spasme, enfin un troisième. La main de mon inconnu secoua énergiquement ma verge comme pour en faire sortir de son méat la dernière goutte de sperme puis lâchement la laissa retomber dé bandante.
Le doigt toujours enfoncé qui envahissait mon fondement sorti brusquement.


Tout s'arrêta net, j'étais épuisé comme un marathonien qui vient de terminer son épreuve.
L'inconnu déposa un baiser sur mon épaule et disparu sans que j'eus le temps de le remercier pour cette magnifique branlette. Je ne sus jamais si il était beau ou laid, vieux ou jeune. Je ne retiens de lui que la douceur et la chaleur de ses caresses.
Jamais je n'avais été branlé par un homme et jamais je n'avais autant ressenti de plaisir ainsi, mise à part avec quelques unes de mes relations féminines bien qu'elles n'aient jamais consenties ni osées m'enfoncer un petit doigt dans mon intimité. Sans doute par pudeur.
Après un long moment passé sous la douche afin de récupérer un semblant de discernement mental, je finis par gagner la partie balnéo.
Puis passant d'un espace à un autre, du sauna au hammam par le jacuzzi j'eus l'occasion d'observer les jeux de séduction entre hommes jeunes et plus âgés dans les remous du bain à bulles.


Je m'étonnais même d'observer avec curiosité la nudité exposée de tous ces mâles ce qui ne m'était pas arrivé depuis l'adolescence où après le match de hand-ball du mercredi après-midi nous nous retrouvions tous les membres de l'équipe dans les douches collectives du collège, entre jeux et rires nous nous donnions à voir nos corps totalement nus et comparions la longueur de nos juvéniles sexes bandants.
Curieux, j'appréciais, au cours de mes pérégrinations dans les espaces, la variété de ces sexes offerts à ma vue, des petites aux longues verges, des bittes minces aux grosses rondes, des biens montés aux plus conventionnels, avec ou sans prépuce, couilles bien grasses ou petites prunes, pubis poilus ou imberbes, épilés, fessiers rebondis ou petites fesses plates. Enfin toute la palette d'un monde masculin tout nu.
L'après-midi se passa ainsi, puis quittant à regrets l'établissement à sa fermeture, je me promis d'y revenir dès la prochaine occasion.

DOLBACH.