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Errances partie 2
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ERRANCES
PARTIE 2
La nuit était douce, une nuit du mois de mai, quand j'ai quitté la maison pour descendre à V...Deux kilomètres à pied. Le temps de profiter du calme de la soirée et d'anticiper ce qui allait se passer. J'avais envie de revoir Alexandra. Je repensais à la soirée de la veille. Ca avait été bon. Elle était très désirable, et on sentait bien qu'elle aimait le sexe, qu'elle était prête à prendre, mais aussi à donner. Un corps chaud, doux et accueillant.
J'ai pénétré dans le village. Il était 21 heures. Fenêtres ouvertes ou closes, couvertes de voilages ou sans...Autant de vies, si distinctes les unes des autres, chacune avec son parcours unique.
Il y avait en tout cas des couples qui faisait l'amour. Le printemps ou l'approche de l'été. Terré dans l'ombre, j'ai regardé, voyeur et fasciné, une fille descendre le pantalon de survêtement et la culotte d'une autre fille, prendre son cul à pleines mains, le malaxer. J'ai deviné que sa copine lui léchait le sexe, à la manière dont elle se cambrait en arrière, sa longue chevelure blonde descendant plus loin encore, jusqu'à ses fesses. Elles ont disparu de mon champ de vision. Je pouvais tout imaginer. Un peu plus loin, une fille, entièrement nue, avec une belle poitrine, bien ferme, mais elle avait à peine vingt ans, faisait une fellation à un gars de profil, avec une ardeur troublante. Je me suis à nouveau planqué dans l'ombre. La fellation avait du commencer un moment plus tôt, et là, un tiers de la queue en bouche, elle le masturbait pour le faire jouir. Elle a ouvert la bouche en se reculant, et j'ai clairement vu les jets de semence partir dans sa cavité buccale et sa gorge. Son regard a accroché l'extérieur. M'avait-elle vu dans l'obscurité? Sans doute que oui, car elle a souri. Il est vrai qu'il y avait toujours un point de lumière quelque part qui faisait que l'invisibilité n'était qu'illusion.
Et j'ai été rejoindre Alexandra. Une petite maisonnette entre deux autres maisonnettes. Il y avait de la lumière. J'ai sonné. Elle est venue m'ouvrir. Entièrement nue sauf pour une paire de cuissardes. J'avais une semi-érection, je suis devenu très dur. Elle était très attirante, avec ses rondeurs, cette toison blonde en harmonie avec ses cheveux, et surtout cette ouverture que je sentais en elle. C'était une fille qui aimait les garçons, le sexe, les queues, et avec qui c'était agréable de faire l'amour.
Elle aimait aussi les chattes. Elle m'a guidé vers le living, et j'y ai découvert, allongée sur le divan, les jambes écartées, une brune, elle grande et fine, entièrement nue, avec des bas stay-up, et une chatte dont les poils avaient été taillés dans un triangle relativement étroit. L'état de son sexe disait clairement qu'Alexandra la léchait ou la masturbait au moment où j'étais arrivé. Ses chairs étaient luisantes de mouille et sa vulve bien ouverte. La fille a relevé la tête. Elle avait un très joli minois, avec des pommettes hautes, une bouche bien pulpeuse. Elle m'a souri.
— Je te présente Gwendo.
Je ne l'avais pas reconnue immédiatement. Je me suis souvenu de mon passage en voiture devant les ateliers, quand ma mère avait dit que c'était de petites putains. Si elle les avait effectivement vues toutes les deux, elle aurait redoublé d'injures.
— Ca fait six mois qu'on se connaît. Ca a été un coup de foudre quasi immédiat. La plupart des filles des ateliers aiment les queues, mais aussi les chattes.
La brune s'est redressée et elle a tendu les mains vers moi.
— Tu vas voir, il a une belle queue, lui a jeté Alexandra.
Et elle a défait mon pantalon pour me mettre à nu. Gwendo était tout près, mais elle n'avait pas encore posé les mains sur moi, elle laissait sa copine faire, qui avait sorti ma queue de mon pantalon et la masturbait doucement, bien que je sois déjà en pleine érection.
— Je crois que tu peux toucher aussi, a suggéré Alexandra.
Gwendo attendait une validation de sa copine, qui était sans doute en position dominante dans leur relation. Elle n'a pas touché avec la main, mais avec la langue, venant lécher mon gland pendant qu'Alexandra me masturbait d'un geste très lent. C'était la première fois qu'il y avait comme cela un coup avec deux filles. Un moment fort, intense. Autant pour la caresse que d'avoir leurs corps nus près de moi. Leur chaleur, l'épaisseur de leurs corps, leur présence...
— Tu peux nous toucher, toutes les deux, a proposé Alexandra.
Il ne fallait pas me le dire deux fois. J'ai tendu la main vers un sein de Gwendo, venant effleurer le volume arrondi, puis glissant jusqu'au téton qui semblait avoir de sérieuses capacités érectiles, l'agaçant de la pulpe de mon doigt, en même temps que je glissais mon autre main vers l'entrée du sexe d'Alexandra. Je l'ai trouvé ouvert et baveux, et j'ai caressé ses lèvres bien gonflées, et qui se sont gonflées encore sous l'effet de ma caresse.
On avait très envie de sexe, mais aussi de composer, sans le dire, mais ça a dicté notre rythme, autant de situations que possible à nous trois. Pas forcément dans l'idée de faire un catalogue, mais peut-être plus simplement, de tenter autant d'expérimentations qui nous donneraient du plaisir et que nous expérimenterions à nouveau ensemble, peut-être, mais aussi qui nous réconforteraient dans des moments pas évidents, ou seraient une inspiration pour nous donner du plaisir quand nous serions seuls.
C'est Gwendo qui a engagé les choses, pas Alex, alors que j'aurais cru que ce serait le contraire, quand elle a récupéré une boite de préservatifs dans ce que j'ai pensé être son sac à main, et gainé ma queue d'une capote. J'étais très dur, et j'avais autant envie de l'une que de l'autre. De sentir leurs muqueuses autour de ma verge. Leurs bouches, leurs chattes, leurs anus, je voulais tout.
Et j'ai tout eu.
On a glissé sur le lit. Alex a soufflé à Gwendo:
— J'ai déjà eu sa queue dans ma chatte...Pas toi...Je te laisse commencer...De toute façon, il y aura un moment où il viendra dans mon cul.
Je me suis laissé glisser sur le lit. Gwendo est venue récupérer ma queue et elle l'a guidée vers son sexe, qui béait et bavait d'excitation. Elle m'a avalé de quelques millimètres, avant de se laisser glisser sur moi. Elle m'a avalé totalement. Je me suis retrouvé enveloppé par son sexe, gainé par celui-ci, dans la chaleur et la douceur. Alex s'est mise à quatre pattes juste devant moi, m'offrant son cul dans son intégralité, sa vulve boursouflée et dégoulinante entre ses cuisses et au cœur de sa croupe ouverte, les plissements de son anus. J'ai plongé de la bouche dessus, commençant par sa vulve, ses secrétions abondantes, autant qu'une fontaine, coulant dans ma bouche, comme si elle voulait m'abreuver, pendant que je parcourais son intimité, les mains accrochées à ses hanches. Gwendo se faisait monter et descendre sur ma queue, pour une caresse imparable. Je voyais ma queue apparaître et disparaître, je la voyais aussi se dilater sous l'effet de cette caresse on ne peut plus excitante.
Gwendo se frottait à présent le gland clitoridien. Le sien était fin et long, et il y avait eu un moment où il s'était décalotté. Prise dans ce double mouvement, montée et descente sur ma queue, et rotation autour de son gland, elle s'est mise à jouir, arrosant ma queue d'un liquide blanc crémeux. Moi je n'en étais pas encore là, et je me maîtrisais. Je voulais garder une queue bien dure pour rentrer dans l'intimité d'Alex, mais aussi pour pouvoir revenir sur Gwendo. J'aimais ces moments uniques de sexe, comme cela, au cœur de la nuit. Où tout était possible, et laissait de très bons souvenirs.
Alex n'a pas bougé. C'était déjà très bien qu'elle soit comme cela, à quatre pattes, offerte. Je suis rentré en elle, en glissant dans sa vulve que ses multiples écoulements avaient lubrifiée. Elle avait envie et moi aussi. Ca a fait un bruit visqueux quand j'ai glissé au fond d'elle, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus. Et autant de bruits tout aussi visqueux quand j'ai bougé en elle.
Gwendo n'est pas restée inactive. Elle a glissé jusqu'à nous, et tout en se masturbant, elle est venue balader sa langue sur nos sexes. Sa langue allait et venait, apparaissait et disparaissait, et ça démultipliait le plaisir de bouger dans la chatte d'Alex.
Quand elle s'est détachée de nous, Gwendo est venue se caler à quatre pattes pile à côté d'Alex. Deux culs offerts, deux configurations différentes, deux dessins différents...Dessin de leur croupe, dessin de leur vulve, de leurs lèvres, dessin des plissements de son anus.
— Baise nous toutes les deux, a dit Gwendo. Fouille bien nos chattes, celle d'Alex et la mienne. Tu peux aussi nous enculer. Ni l'une ni l'autre on ne dira non.
Ca a été un moment de transe pour tous les trois. J'ai été d'un sexe à l'autre, m'enfonçant dans des chattes de plus en plus ouvertes, de plus en plus dégoulinantes. Avant de passer sur des anus qui eux aussi avaient déjà connu des queues. Elles gémissaient et criaient leur plaisir, et elles ont joui pas mal de fois, en éjaculant, Quand je les ai sodomisées, elles se sont branlées en même temps... J'étais dur jusqu'à en être douloureux. Mais c'était bien que je reste rigide. Elles m'ont arraché le deuxième de préservatifs que j'avais gainé, et elles ont caressé ma queue de leur langue et de leur bouche, avant que je n'explose enfin, se partageant ma queue pour bouffer mon sperme.
XXXXXXXXXXXXXXX
Il y avait le rituel du lever, il y avait aussi celui de l'après-repas. Elle avait toujours eu une sainte horreur des lave-vaisselle, qui, selon elle, abîmaient la vaisselle, et elle avait fait le choix de toujours laver la vaisselle à la main. J'étais mis à contribution pour l'essuyer.
C'était toujours un moment particulier, généralement en début d'après-midi, qui débouchait généralement sur du sexe. Nos deux périodes, nos deux moments-clef.
— Tu peux te préparer à essuyer la vaisselle!
J'étais arrivé. Elle avait les mains pleines de produit vaisselle, passant tous les ustensiles sous une éponge imbibée. Le moment d'un profiter. Elle m'était pour ainsi dire livrée pieds et poings liés.
Elle portait un petit pull, mauve, qui soulignait ses hanches et sa poitrine lourde, et elle avait un simple caleçon noir très moulant qui soulignait la pente de son pubis et le dessin de son sexe, sa bosse et la fente qui la coupait en deux, Elle avait une moule très volumineuse, et une paire de fesses qui n'avaient jamais cessé de me faire fantasmer au fil des années, très charnues, bien cambrées. Quand je posais mes mains dessus, j'en enveloppais peut-être un tiers. Tout autant que ce volume très important, j'aimais ce sillon très profond, que j'avais envie de fouiller avec mes doigts, ma langue, ma queue...Elle était tellement charnue que pour apercevoir sa muqueuse anale, il fallait vraiment appuyer, bien ouvrir les deux globes. C'était une sorte de récompense que de pouvoir apercevoir les plissements anaux et de penser qu'on pourrait, d'ici quelques secondes ou plus tard, y mettre sa langue, ses doigts, ou sa queue. Quelque chose d'enivrant.
-Ah non, tu vas pas recommencer ;!
Un avertissement de pure forme, puisque ce que j'allais faire, ce que je me suis mis à faire, c'était exactement ce qu'elle attendait, avec l'alibi qu'elle avait les mains occupées et qu'elle ne pouvait pas me repousser. Je me suis collé contre elle. Ma queue, déjà semi-durcie quand je m'étais approché d'elle, a trouvé sa pleine érection en quelques secondes seulement. Impossible qu'elle ne la sente pas, qu'elle ne soit pas troublée. Mais elle l'était, je m'en suis rendu compte quelques secondes plus tard. Je suis venu malaxer ses seins, enveloppés dans son soutien-gorge, aussi volumineux que ses fesses, très ronds et heureusement très fermes.
Elle a poussé un petit gémissement de plaisir, et, dans un même temps, elle a mis ses hanches en mouvement, pour masser ma queue, et sans doute aussi pour mieux la sentir contre elle. Une autre fois, elle avait baissé son pantalon, attrapé ma queue, l'avait collée contre ses fesses, frottée avec. Quand j'avais été énorme, elle avait attrapé la tête de ma queue et glissée dans sa raie, puis amorcé un mouvement de haut en bas, puis de bas en haut, pour me frotter jusqu'à l'orgasme, en même temps qu'elle se masturbait, sa main courant sur la surface de sa vulve. Je ne le voyais pas, mais je le sentais. Elle avait joui quand mon sperme avait commencé à jaillir, saccade après saccade, dans sa raie, dégoulinant le long de celle-ci.
J'ai cassé le contact et je me suis accroupi, passant mes deux index dans l'élastique du caleçon et tirant celui-ci vers le bas. Sa croupe a jailli à l'air libre, pleine, ferme, comme tout homme en rêve.
C'était rare, même quand elle sortait, qu'elle mette un slip, y compris sous une jupe ou une robe, même courtes. Je m'étais souvent amusé à voir l'expression d'hommes surpris puis troublés à la vue de son sexe nu, quand elle s'asseyait, et que le tissu remontait.
Mais aujourd'hui, elle avait un string. Personnellement, ça m'excitait cent fois plus quand elle portait un sous-vêtement que quand elle était cul nu. J'aimais quand elle mettait de grandes et simples culottes, j'aimais voir le tissu s'humidifier, un point, puis une tâche bien plus grande...J'aimais aussi qu'elle ait un string qui vienne envelopper sa taille et glisse ensuite entre ses fesses. En fait j'aimais la diversité des situations autour de son corps.
Et là, elle avait effectivement un string, rose, en dentelle, qui venait se fixer entre ses fesses. Le devant, je devais le découvrir par la suite, était entièrement transparent, laissant voir ses lèvres, repliées et écrasées contre, lèvres qui devaient ensuite gonfler contre le tissu et le tendre, un tissu humidifié et rendu plus transparent encore de mouille.
Le cordon affleurait en haut de sa fente. J'ai jeté un coup d' oeil plus bas. Sa grosse moule, sans surprise, débordait du tissu. Il en prenait...70 pour cent? Sur le côté gauche, il y avait une lèvre qui dépassait, longue, épaisse, c'étaient bien ses lèvres, et qui s'allongeait et s'épaississait encore, et sur le côté droit, un jet de mouille est sorti et il est venu couler le long de sa cuisse. Le transparent du tissu laissait totalement voir sa moule. Bien sûr, je connaissais son corps par cœur, mais je ne m'en lassais pas.
Je suis venu caresser son sexe à travers le tissu. Elle a gémi. Elle s'est mise à couler avec abondance, ruisselant littéralement autour du string, ses liquides intimes coulant le long de ses cuisses.
J'avais l'oeil collé à ses fesses. Le cordon du string servait à les desserrer, et j'apercevais en partie son sillon. Et quelque chose d'étrange. Rose, et métallique.
Intrigué, j'ai posé mes mains à plat sur ses fesses et j'ai appuyé pour l'ouvrir et voir mieux. Et puis j'ai compris qu'il s'agissait d'un anus plug.
Elle était friande depuis longtemps de jouets sexuels qu'elle commandait sur des catalogues. Elle se donnait du plaisir avec dans des moments essentiellement exhibitionnistes. C'est-à-dire qu'elle se caressait avec en faisant comme si elle était toute seule, tout en sachant parfaitement que je la matais. Ca me rendait fou de désir, et je ne pouvais pas tenir, au bout d'un moment, mais c'était ce qu'elle souhaitait, je faisais irruption dans son champ de vision. Elle tendait la main vers moi, pour profiter d'une queue hyper congestionnée, mais celle-là réelle, de chair et de chaleur. Souvent, elle associait les deux. Gardant le gode dans un de ces orifices pour me laisser l'autre. Fouillée par un pénis artificiel et un vrai membre, elle allait d'orgasme en orgasme.
J'aimais ce spectacle simple: la voir faire glisser dans sa bouche, dans sa vulve ou dans son anus un gode, quel qu'il soit, la voir se travailler avec, éprouver tous les symptômes du plaisir, un sexe qui s'entrouvre plus qu'il ne l'est au départ, qui se met à suinter, à couler, un gland clitoridien qui darde, qui devient énorme, de petits gémissements, des yeux qui se ferment et un plaisir évident sur un visage, dans un corps qui se tend.
Ma queue était gorgée de sang, et je n'avais plus qu'une envie: rentrer en elle. Mais elle n'en attendait pas moins de moi. Elle avait fini de frotter la vaisselle, elle allait maintenant la rincer. Elle la posait ensuite sur la bord de l'évier, où je devais la récupérer, la poser sur un torchon et l'essuyer, mais pour le moment, on avait elle comme moi d'autres objectifs.
Je n'ai pas touché au plug. J'aimais passer d'abord par sa vulve avant de glisser jusqu'à sa muqueuse anale. Avoir une sensation, puis l'autre, toutes deux différentes, mais complémentaires.
Elle s'est recalée, se penchant un peu plus et projetant ses parties intimes vers moi. J'ai attrapé le tissu du string autour de sa taille, et je l'ai tiré vers le bas, libérant sa vulve. Une odeur forte est montée à mes narines, celle de ses sécrétions vaginales qui dégoulinaient d'elle. C'était curieux, on s'accouplait très souvent, mais je n'épuisais pas, jamais l'excitation que ça me procurait. C'était toujours très fort, très intense. Unique. La tête de ma queue est venue appuyer contre ses lèvres, épaisses et dégoulinantes, je m'y suis frotté un moment, avant de glisser en elle. Un vrai bonheur à chaque fois de venir prendre ma place dans ce sexe chaud et enveloppant. J'aurais pu y passer des heures. J'ai glissé en elle jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus, ma queue totalement avalée, gainée. Je me suis mis à bouger en elle. Elle a gémi. Je me demandais toujours comment elle faisait pour continuer à faire la vaisselle quand je venais comme ça sur elle, et quoi que je fasse. La vaisselle s'accumulait sur le bord de l'évier, pendant que je continuais de la fouiller, et qu'elle arrosait ma queue de ses sécrétions. Ca coulait sur mon pubis, dans mes aines.
Je me suis dégagé. La fouiller ainsi m'avait dilaté encore plus. Je n'étais jamais aussi gros que quand j'étais dans sa vulve. Comme elle s'était cambrée, son cul était plus ouvert. Je suis venu poser mes doigts contre le socle du plug et je l'ai retiré doucement. Difficile de ne pas être troublé par la vision qui s'est offerte à moi, celle d'un anus dilaté par la présence du jouet, ouvert sur une muqueuse toute rose, dont je pouvais apercevoir le dessin interne. Je suis venu à l'entrée de son anus et j'ai glissé en elle, avec autant de facilité que si j'avais pénétré son vagin. Même sans anus plug, on pouvait rentrer facilement en elle. Les pénétrations avaient assoupli sa muqueuse anale.
Je me suis logé en elle aussi loin que je le pouvais. J'étais toujours admiratif, je me demandais toujours comment elle faisait pour continuer la vaisselle alors que ma queue la fouillait, qu'elle était en feu, et submergée par le plaisir. Mais j'aimais de tels moments.
J'ai bougé en elle. Quand je la sodomisais, c'était à peu de choses près toujours la même chose. Elle amenait sa main contre son sexe, et elle se masturbait comme une forcenée pour donner plus de puissance à sa jouissance. Je regrettais toujours de ne pas pouvoir me dédoubler et voir sa main bouger sur elle ou en elle, même si elle se caressait souvent devant moi, sans gode, sa main sur elle simplement.
J'ai commencé à jouir, crachant mon sperme, jet après jet contre ses muqueuses anales. Elle a crié, jouissant et éjaculant sur nous.
Quand je me suis retiré, son anus s'est partiellement refermé. Une coulure de sperme est sortie. Comme elle me l'avait dit un jour, il y avait toujours un moment, après le sexe, généralement le matin, où elle commentait, elle aimait que je jouisse dans son rectum, parce que le sperme restait, il sortait petit à petit, et ça faisait remonter en elle toutes les sensations.
Je me suis retiré d'elle. Elle a poussé un profond soupir.
— Tu me l'essuies cette vaisselle?
Elle a tendu la main vers l'arrière. J'étais encore parfaitement raide.
— Viens, on va sur le lit. Ca sera pour plus tard.
J'ai ramassé son string ainsi que l'anus plug et je l'ai accompagnée jusqu'au grand lit que nous partagions le matin, en reniflant les odeurs fortes qui s'étaient agrégées sur le tissu du string. Elle a glissé sur le lit, m'attirant à elle, et me prenant dans sa bouche en gorge profonde.
PARTIE 2
La nuit était douce, une nuit du mois de mai, quand j'ai quitté la maison pour descendre à V...Deux kilomètres à pied. Le temps de profiter du calme de la soirée et d'anticiper ce qui allait se passer. J'avais envie de revoir Alexandra. Je repensais à la soirée de la veille. Ca avait été bon. Elle était très désirable, et on sentait bien qu'elle aimait le sexe, qu'elle était prête à prendre, mais aussi à donner. Un corps chaud, doux et accueillant.
J'ai pénétré dans le village. Il était 21 heures. Fenêtres ouvertes ou closes, couvertes de voilages ou sans...Autant de vies, si distinctes les unes des autres, chacune avec son parcours unique.
Il y avait en tout cas des couples qui faisait l'amour. Le printemps ou l'approche de l'été. Terré dans l'ombre, j'ai regardé, voyeur et fasciné, une fille descendre le pantalon de survêtement et la culotte d'une autre fille, prendre son cul à pleines mains, le malaxer. J'ai deviné que sa copine lui léchait le sexe, à la manière dont elle se cambrait en arrière, sa longue chevelure blonde descendant plus loin encore, jusqu'à ses fesses. Elles ont disparu de mon champ de vision. Je pouvais tout imaginer. Un peu plus loin, une fille, entièrement nue, avec une belle poitrine, bien ferme, mais elle avait à peine vingt ans, faisait une fellation à un gars de profil, avec une ardeur troublante. Je me suis à nouveau planqué dans l'ombre. La fellation avait du commencer un moment plus tôt, et là, un tiers de la queue en bouche, elle le masturbait pour le faire jouir. Elle a ouvert la bouche en se reculant, et j'ai clairement vu les jets de semence partir dans sa cavité buccale et sa gorge. Son regard a accroché l'extérieur. M'avait-elle vu dans l'obscurité? Sans doute que oui, car elle a souri. Il est vrai qu'il y avait toujours un point de lumière quelque part qui faisait que l'invisibilité n'était qu'illusion.
Et j'ai été rejoindre Alexandra. Une petite maisonnette entre deux autres maisonnettes. Il y avait de la lumière. J'ai sonné. Elle est venue m'ouvrir. Entièrement nue sauf pour une paire de cuissardes. J'avais une semi-érection, je suis devenu très dur. Elle était très attirante, avec ses rondeurs, cette toison blonde en harmonie avec ses cheveux, et surtout cette ouverture que je sentais en elle. C'était une fille qui aimait les garçons, le sexe, les queues, et avec qui c'était agréable de faire l'amour.
Elle aimait aussi les chattes. Elle m'a guidé vers le living, et j'y ai découvert, allongée sur le divan, les jambes écartées, une brune, elle grande et fine, entièrement nue, avec des bas stay-up, et une chatte dont les poils avaient été taillés dans un triangle relativement étroit. L'état de son sexe disait clairement qu'Alexandra la léchait ou la masturbait au moment où j'étais arrivé. Ses chairs étaient luisantes de mouille et sa vulve bien ouverte. La fille a relevé la tête. Elle avait un très joli minois, avec des pommettes hautes, une bouche bien pulpeuse. Elle m'a souri.
— Je te présente Gwendo.
Je ne l'avais pas reconnue immédiatement. Je me suis souvenu de mon passage en voiture devant les ateliers, quand ma mère avait dit que c'était de petites putains. Si elle les avait effectivement vues toutes les deux, elle aurait redoublé d'injures.
— Ca fait six mois qu'on se connaît. Ca a été un coup de foudre quasi immédiat. La plupart des filles des ateliers aiment les queues, mais aussi les chattes.
La brune s'est redressée et elle a tendu les mains vers moi.
— Tu vas voir, il a une belle queue, lui a jeté Alexandra.
Et elle a défait mon pantalon pour me mettre à nu. Gwendo était tout près, mais elle n'avait pas encore posé les mains sur moi, elle laissait sa copine faire, qui avait sorti ma queue de mon pantalon et la masturbait doucement, bien que je sois déjà en pleine érection.
— Je crois que tu peux toucher aussi, a suggéré Alexandra.
Gwendo attendait une validation de sa copine, qui était sans doute en position dominante dans leur relation. Elle n'a pas touché avec la main, mais avec la langue, venant lécher mon gland pendant qu'Alexandra me masturbait d'un geste très lent. C'était la première fois qu'il y avait comme cela un coup avec deux filles. Un moment fort, intense. Autant pour la caresse que d'avoir leurs corps nus près de moi. Leur chaleur, l'épaisseur de leurs corps, leur présence...
— Tu peux nous toucher, toutes les deux, a proposé Alexandra.
Il ne fallait pas me le dire deux fois. J'ai tendu la main vers un sein de Gwendo, venant effleurer le volume arrondi, puis glissant jusqu'au téton qui semblait avoir de sérieuses capacités érectiles, l'agaçant de la pulpe de mon doigt, en même temps que je glissais mon autre main vers l'entrée du sexe d'Alexandra. Je l'ai trouvé ouvert et baveux, et j'ai caressé ses lèvres bien gonflées, et qui se sont gonflées encore sous l'effet de ma caresse.
On avait très envie de sexe, mais aussi de composer, sans le dire, mais ça a dicté notre rythme, autant de situations que possible à nous trois. Pas forcément dans l'idée de faire un catalogue, mais peut-être plus simplement, de tenter autant d'expérimentations qui nous donneraient du plaisir et que nous expérimenterions à nouveau ensemble, peut-être, mais aussi qui nous réconforteraient dans des moments pas évidents, ou seraient une inspiration pour nous donner du plaisir quand nous serions seuls.
C'est Gwendo qui a engagé les choses, pas Alex, alors que j'aurais cru que ce serait le contraire, quand elle a récupéré une boite de préservatifs dans ce que j'ai pensé être son sac à main, et gainé ma queue d'une capote. J'étais très dur, et j'avais autant envie de l'une que de l'autre. De sentir leurs muqueuses autour de ma verge. Leurs bouches, leurs chattes, leurs anus, je voulais tout.
Et j'ai tout eu.
On a glissé sur le lit. Alex a soufflé à Gwendo:
— J'ai déjà eu sa queue dans ma chatte...Pas toi...Je te laisse commencer...De toute façon, il y aura un moment où il viendra dans mon cul.
Je me suis laissé glisser sur le lit. Gwendo est venue récupérer ma queue et elle l'a guidée vers son sexe, qui béait et bavait d'excitation. Elle m'a avalé de quelques millimètres, avant de se laisser glisser sur moi. Elle m'a avalé totalement. Je me suis retrouvé enveloppé par son sexe, gainé par celui-ci, dans la chaleur et la douceur. Alex s'est mise à quatre pattes juste devant moi, m'offrant son cul dans son intégralité, sa vulve boursouflée et dégoulinante entre ses cuisses et au cœur de sa croupe ouverte, les plissements de son anus. J'ai plongé de la bouche dessus, commençant par sa vulve, ses secrétions abondantes, autant qu'une fontaine, coulant dans ma bouche, comme si elle voulait m'abreuver, pendant que je parcourais son intimité, les mains accrochées à ses hanches. Gwendo se faisait monter et descendre sur ma queue, pour une caresse imparable. Je voyais ma queue apparaître et disparaître, je la voyais aussi se dilater sous l'effet de cette caresse on ne peut plus excitante.
Gwendo se frottait à présent le gland clitoridien. Le sien était fin et long, et il y avait eu un moment où il s'était décalotté. Prise dans ce double mouvement, montée et descente sur ma queue, et rotation autour de son gland, elle s'est mise à jouir, arrosant ma queue d'un liquide blanc crémeux. Moi je n'en étais pas encore là, et je me maîtrisais. Je voulais garder une queue bien dure pour rentrer dans l'intimité d'Alex, mais aussi pour pouvoir revenir sur Gwendo. J'aimais ces moments uniques de sexe, comme cela, au cœur de la nuit. Où tout était possible, et laissait de très bons souvenirs.
Alex n'a pas bougé. C'était déjà très bien qu'elle soit comme cela, à quatre pattes, offerte. Je suis rentré en elle, en glissant dans sa vulve que ses multiples écoulements avaient lubrifiée. Elle avait envie et moi aussi. Ca a fait un bruit visqueux quand j'ai glissé au fond d'elle, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus. Et autant de bruits tout aussi visqueux quand j'ai bougé en elle.
Gwendo n'est pas restée inactive. Elle a glissé jusqu'à nous, et tout en se masturbant, elle est venue balader sa langue sur nos sexes. Sa langue allait et venait, apparaissait et disparaissait, et ça démultipliait le plaisir de bouger dans la chatte d'Alex.
Quand elle s'est détachée de nous, Gwendo est venue se caler à quatre pattes pile à côté d'Alex. Deux culs offerts, deux configurations différentes, deux dessins différents...Dessin de leur croupe, dessin de leur vulve, de leurs lèvres, dessin des plissements de son anus.
— Baise nous toutes les deux, a dit Gwendo. Fouille bien nos chattes, celle d'Alex et la mienne. Tu peux aussi nous enculer. Ni l'une ni l'autre on ne dira non.
Ca a été un moment de transe pour tous les trois. J'ai été d'un sexe à l'autre, m'enfonçant dans des chattes de plus en plus ouvertes, de plus en plus dégoulinantes. Avant de passer sur des anus qui eux aussi avaient déjà connu des queues. Elles gémissaient et criaient leur plaisir, et elles ont joui pas mal de fois, en éjaculant, Quand je les ai sodomisées, elles se sont branlées en même temps... J'étais dur jusqu'à en être douloureux. Mais c'était bien que je reste rigide. Elles m'ont arraché le deuxième de préservatifs que j'avais gainé, et elles ont caressé ma queue de leur langue et de leur bouche, avant que je n'explose enfin, se partageant ma queue pour bouffer mon sperme.
XXXXXXXXXXXXXXX
Il y avait le rituel du lever, il y avait aussi celui de l'après-repas. Elle avait toujours eu une sainte horreur des lave-vaisselle, qui, selon elle, abîmaient la vaisselle, et elle avait fait le choix de toujours laver la vaisselle à la main. J'étais mis à contribution pour l'essuyer.
C'était toujours un moment particulier, généralement en début d'après-midi, qui débouchait généralement sur du sexe. Nos deux périodes, nos deux moments-clef.
— Tu peux te préparer à essuyer la vaisselle!
J'étais arrivé. Elle avait les mains pleines de produit vaisselle, passant tous les ustensiles sous une éponge imbibée. Le moment d'un profiter. Elle m'était pour ainsi dire livrée pieds et poings liés.
Elle portait un petit pull, mauve, qui soulignait ses hanches et sa poitrine lourde, et elle avait un simple caleçon noir très moulant qui soulignait la pente de son pubis et le dessin de son sexe, sa bosse et la fente qui la coupait en deux, Elle avait une moule très volumineuse, et une paire de fesses qui n'avaient jamais cessé de me faire fantasmer au fil des années, très charnues, bien cambrées. Quand je posais mes mains dessus, j'en enveloppais peut-être un tiers. Tout autant que ce volume très important, j'aimais ce sillon très profond, que j'avais envie de fouiller avec mes doigts, ma langue, ma queue...Elle était tellement charnue que pour apercevoir sa muqueuse anale, il fallait vraiment appuyer, bien ouvrir les deux globes. C'était une sorte de récompense que de pouvoir apercevoir les plissements anaux et de penser qu'on pourrait, d'ici quelques secondes ou plus tard, y mettre sa langue, ses doigts, ou sa queue. Quelque chose d'enivrant.
-Ah non, tu vas pas recommencer ;!
Un avertissement de pure forme, puisque ce que j'allais faire, ce que je me suis mis à faire, c'était exactement ce qu'elle attendait, avec l'alibi qu'elle avait les mains occupées et qu'elle ne pouvait pas me repousser. Je me suis collé contre elle. Ma queue, déjà semi-durcie quand je m'étais approché d'elle, a trouvé sa pleine érection en quelques secondes seulement. Impossible qu'elle ne la sente pas, qu'elle ne soit pas troublée. Mais elle l'était, je m'en suis rendu compte quelques secondes plus tard. Je suis venu malaxer ses seins, enveloppés dans son soutien-gorge, aussi volumineux que ses fesses, très ronds et heureusement très fermes.
Elle a poussé un petit gémissement de plaisir, et, dans un même temps, elle a mis ses hanches en mouvement, pour masser ma queue, et sans doute aussi pour mieux la sentir contre elle. Une autre fois, elle avait baissé son pantalon, attrapé ma queue, l'avait collée contre ses fesses, frottée avec. Quand j'avais été énorme, elle avait attrapé la tête de ma queue et glissée dans sa raie, puis amorcé un mouvement de haut en bas, puis de bas en haut, pour me frotter jusqu'à l'orgasme, en même temps qu'elle se masturbait, sa main courant sur la surface de sa vulve. Je ne le voyais pas, mais je le sentais. Elle avait joui quand mon sperme avait commencé à jaillir, saccade après saccade, dans sa raie, dégoulinant le long de celle-ci.
J'ai cassé le contact et je me suis accroupi, passant mes deux index dans l'élastique du caleçon et tirant celui-ci vers le bas. Sa croupe a jailli à l'air libre, pleine, ferme, comme tout homme en rêve.
C'était rare, même quand elle sortait, qu'elle mette un slip, y compris sous une jupe ou une robe, même courtes. Je m'étais souvent amusé à voir l'expression d'hommes surpris puis troublés à la vue de son sexe nu, quand elle s'asseyait, et que le tissu remontait.
Mais aujourd'hui, elle avait un string. Personnellement, ça m'excitait cent fois plus quand elle portait un sous-vêtement que quand elle était cul nu. J'aimais quand elle mettait de grandes et simples culottes, j'aimais voir le tissu s'humidifier, un point, puis une tâche bien plus grande...J'aimais aussi qu'elle ait un string qui vienne envelopper sa taille et glisse ensuite entre ses fesses. En fait j'aimais la diversité des situations autour de son corps.
Et là, elle avait effectivement un string, rose, en dentelle, qui venait se fixer entre ses fesses. Le devant, je devais le découvrir par la suite, était entièrement transparent, laissant voir ses lèvres, repliées et écrasées contre, lèvres qui devaient ensuite gonfler contre le tissu et le tendre, un tissu humidifié et rendu plus transparent encore de mouille.
Le cordon affleurait en haut de sa fente. J'ai jeté un coup d' oeil plus bas. Sa grosse moule, sans surprise, débordait du tissu. Il en prenait...70 pour cent? Sur le côté gauche, il y avait une lèvre qui dépassait, longue, épaisse, c'étaient bien ses lèvres, et qui s'allongeait et s'épaississait encore, et sur le côté droit, un jet de mouille est sorti et il est venu couler le long de sa cuisse. Le transparent du tissu laissait totalement voir sa moule. Bien sûr, je connaissais son corps par cœur, mais je ne m'en lassais pas.
Je suis venu caresser son sexe à travers le tissu. Elle a gémi. Elle s'est mise à couler avec abondance, ruisselant littéralement autour du string, ses liquides intimes coulant le long de ses cuisses.
J'avais l'oeil collé à ses fesses. Le cordon du string servait à les desserrer, et j'apercevais en partie son sillon. Et quelque chose d'étrange. Rose, et métallique.
Intrigué, j'ai posé mes mains à plat sur ses fesses et j'ai appuyé pour l'ouvrir et voir mieux. Et puis j'ai compris qu'il s'agissait d'un anus plug.
Elle était friande depuis longtemps de jouets sexuels qu'elle commandait sur des catalogues. Elle se donnait du plaisir avec dans des moments essentiellement exhibitionnistes. C'est-à-dire qu'elle se caressait avec en faisant comme si elle était toute seule, tout en sachant parfaitement que je la matais. Ca me rendait fou de désir, et je ne pouvais pas tenir, au bout d'un moment, mais c'était ce qu'elle souhaitait, je faisais irruption dans son champ de vision. Elle tendait la main vers moi, pour profiter d'une queue hyper congestionnée, mais celle-là réelle, de chair et de chaleur. Souvent, elle associait les deux. Gardant le gode dans un de ces orifices pour me laisser l'autre. Fouillée par un pénis artificiel et un vrai membre, elle allait d'orgasme en orgasme.
J'aimais ce spectacle simple: la voir faire glisser dans sa bouche, dans sa vulve ou dans son anus un gode, quel qu'il soit, la voir se travailler avec, éprouver tous les symptômes du plaisir, un sexe qui s'entrouvre plus qu'il ne l'est au départ, qui se met à suinter, à couler, un gland clitoridien qui darde, qui devient énorme, de petits gémissements, des yeux qui se ferment et un plaisir évident sur un visage, dans un corps qui se tend.
Ma queue était gorgée de sang, et je n'avais plus qu'une envie: rentrer en elle. Mais elle n'en attendait pas moins de moi. Elle avait fini de frotter la vaisselle, elle allait maintenant la rincer. Elle la posait ensuite sur la bord de l'évier, où je devais la récupérer, la poser sur un torchon et l'essuyer, mais pour le moment, on avait elle comme moi d'autres objectifs.
Je n'ai pas touché au plug. J'aimais passer d'abord par sa vulve avant de glisser jusqu'à sa muqueuse anale. Avoir une sensation, puis l'autre, toutes deux différentes, mais complémentaires.
Elle s'est recalée, se penchant un peu plus et projetant ses parties intimes vers moi. J'ai attrapé le tissu du string autour de sa taille, et je l'ai tiré vers le bas, libérant sa vulve. Une odeur forte est montée à mes narines, celle de ses sécrétions vaginales qui dégoulinaient d'elle. C'était curieux, on s'accouplait très souvent, mais je n'épuisais pas, jamais l'excitation que ça me procurait. C'était toujours très fort, très intense. Unique. La tête de ma queue est venue appuyer contre ses lèvres, épaisses et dégoulinantes, je m'y suis frotté un moment, avant de glisser en elle. Un vrai bonheur à chaque fois de venir prendre ma place dans ce sexe chaud et enveloppant. J'aurais pu y passer des heures. J'ai glissé en elle jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus, ma queue totalement avalée, gainée. Je me suis mis à bouger en elle. Elle a gémi. Je me demandais toujours comment elle faisait pour continuer à faire la vaisselle quand je venais comme ça sur elle, et quoi que je fasse. La vaisselle s'accumulait sur le bord de l'évier, pendant que je continuais de la fouiller, et qu'elle arrosait ma queue de ses sécrétions. Ca coulait sur mon pubis, dans mes aines.
Je me suis dégagé. La fouiller ainsi m'avait dilaté encore plus. Je n'étais jamais aussi gros que quand j'étais dans sa vulve. Comme elle s'était cambrée, son cul était plus ouvert. Je suis venu poser mes doigts contre le socle du plug et je l'ai retiré doucement. Difficile de ne pas être troublé par la vision qui s'est offerte à moi, celle d'un anus dilaté par la présence du jouet, ouvert sur une muqueuse toute rose, dont je pouvais apercevoir le dessin interne. Je suis venu à l'entrée de son anus et j'ai glissé en elle, avec autant de facilité que si j'avais pénétré son vagin. Même sans anus plug, on pouvait rentrer facilement en elle. Les pénétrations avaient assoupli sa muqueuse anale.
Je me suis logé en elle aussi loin que je le pouvais. J'étais toujours admiratif, je me demandais toujours comment elle faisait pour continuer la vaisselle alors que ma queue la fouillait, qu'elle était en feu, et submergée par le plaisir. Mais j'aimais de tels moments.
J'ai bougé en elle. Quand je la sodomisais, c'était à peu de choses près toujours la même chose. Elle amenait sa main contre son sexe, et elle se masturbait comme une forcenée pour donner plus de puissance à sa jouissance. Je regrettais toujours de ne pas pouvoir me dédoubler et voir sa main bouger sur elle ou en elle, même si elle se caressait souvent devant moi, sans gode, sa main sur elle simplement.
J'ai commencé à jouir, crachant mon sperme, jet après jet contre ses muqueuses anales. Elle a crié, jouissant et éjaculant sur nous.
Quand je me suis retiré, son anus s'est partiellement refermé. Une coulure de sperme est sortie. Comme elle me l'avait dit un jour, il y avait toujours un moment, après le sexe, généralement le matin, où elle commentait, elle aimait que je jouisse dans son rectum, parce que le sperme restait, il sortait petit à petit, et ça faisait remonter en elle toutes les sensations.
Je me suis retiré d'elle. Elle a poussé un profond soupir.
— Tu me l'essuies cette vaisselle?
Elle a tendu la main vers l'arrière. J'étais encore parfaitement raide.
— Viens, on va sur le lit. Ca sera pour plus tard.
J'ai ramassé son string ainsi que l'anus plug et je l'ai accompagnée jusqu'au grand lit que nous partagions le matin, en reniflant les odeurs fortes qui s'étaient agrégées sur le tissu du string. Elle a glissé sur le lit, m'attirant à elle, et me prenant dans sa bouche en gorge profonde.
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Commentaires du récit : Errances partie 2
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