ACCUEIL > Triolisme > Récit : Garçon d'écurie - 2
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/09/2024
Histoire précèdente <<<
Garçon d'écurie - 2
+10
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/09/2024
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
GARÇON D’ÉCURIE - 2
Quelques semaines plus tard, ma meilleure amie me téléphone. Sophie me rapproche alors de la délaisser et elle veut venir me faire une visite. À son arrivée, nous nous sommes serrées dans les bras. Nous nous étions connus au cours de nos études, moi en administration et elle en psychologie, et nous étions devenus amies immédiatement et cette amitié avait durée. La première chose qu’elle me dit était que j’avais une mine affreuse. Je savais pourquoi, mais je me gardai de lui expliquer.
Après avoir préparé un lunch, nous nous sommes assises sur la terrasse pour déguster un vin pétillant avec les bouchées. Une fois rassasiées, nous sommes entrées à l’intérieur avec la bouteille de vin presque vide puisqu’il commençait à faire chaud.
Avec la bouteille de vin, nous nous sommes installées dans la causeuse au salon. Nous avons toujours été très proche et nous nous sommes toujours tout dit, mais pas nécessairement dans les détails. C’est alors que je décidai de faire appel à sa formation pour qu’elle aide Rock à se contrôler pour éviter qu’il succombe à n’importe quelle femme et qu’il me soit exclusif.
- Sophie, est-ce que je peux te demander d’aider Rock avec un certain problème d’ordre psychologique et qui a des conséquences physiques?
- Oui, je crois. Comme je n’ai jamais réussi les examens de l’Ordre, je n’ai pas de titre. Seulement les connaissances et le code de déontologie ne s’applique donc pas.
Je commençai donc à lui raconter de long en large (dans tous les sens du terme) ce qui s’était produit la veille. Au fur et à mesure que j’avançais dans mon récit, j’éprouvais de la chaleur dans mon ventre et de l’humidité dans mon entrejambe et à en juger du trémoussement et du croisement et du décroisement des jambes de Sophie, elle aussi était excitée. J’en profitai pour donner encore plus de détails. Jamais nous n’avions eu de rapport sexuel ou échangé de baiser avant. Seul des tapes innocentes sur les fesses ou de se voir nues en de rares occasions fortuites s’étaient présentées.
Cependant, bien que je ne sois pas attirée par les femmes, j’avoue avoir pensé à Sophie dans quelques séances de masturbation. Discrètement, je vis sa main glisser sous sa robe d’été et remonter sur sa cuisse. J’avais peine à raconter et j’avais le souffle court. N’y tenant plus, je l’imitai. Elle avait renversé sa tête sur le dossier de la causeuse et avait les yeux fermés, en émettant des gémissements.
- Continue. Tu racontes tellement bien.
Elle avait les jambes complétement écartées et alors qu’une main caressait ses seins qu’elle avait dénudés, l’autre faisait des circonférences et des allers-retours dans sa culotte. J’avais terminé mon récit et je ne tenais plus en place. C’est alors que j’ai laissé aller mon instinct et je me suis jetée à genoux devant elle. J’ai alors saisi sa culotte et sans ménagement je lui ai littéralement arrachée en la déchirant. Ma tête se lança sur sa chatte complètement rasée et je me suis mis à la manger comme j’aimais l’être. Elle eut un sursaut et émis un cri de surprise.
- Oh. Mais qu’est-ce que… Oui c’est bon. Continue. Si tu savais depuis combien de temps j’espérais ce moment. Mange-moi cochonne. Tu m’as tellement excité avec ton étalon.
Je n’arrêtais pas de lécher et de sucer son clitoris, pendant que j’explorais son vagin avec mes doigts.
- Merci d’avoir attendu. Je n’étais pas prête avant, mais maintenant je le suis. Je vais reprendre le temps perdu, petite salope.
Je replongeai ma bouche sur son clitoris et deux doigts dans le vagin et un autre dans l’anus.
- Aaah, c’est bon. Continue de me sucer. Tu me doigte le cul. Mets-en deux. Tu vas voir, il y a de la place.
Mes doigts sortirent de son vagin, remplacés immédiatement par ma langue et je m’occupai de son anus.
- Je vais te lubrifier le cul, et j’envoyai un crachat de salive mêlée de sa cyprine. Voilà tu es bien mouillée. Je vais te rentrer deux doigts. Ça entre tout seule. Tu as dû te faire enculer souvent et pas par des petites queues. Et voilà trois doigts.
Elle avait enlevé sa robe et était complètement nue assise au bord de la causeuse, les jambes relevées et la vulve imberbe et le cul complètement ouverts et offerts à mes doigts et ma bouche. Quelques, je la regardais dans les yeux et lui souriait malicieusement. Le quatrième doigt, venait à peine d’entrer et de commencer les rotations profondément, qu’elle tressauta et fut prise d’un immense orgasme et d’un gémissement animal.
- Je ne te laisse pas te reposer. J’ai besoin de sexe moi aussi. Couches-toi sur le dos lui-dis-je en me mettant nue moi aussi. Écarte tes jambes et on va se manger toutes les deux.
Dans un magnifique soixante-neuf, moi dessus et elle en-dessous, on se mangeait et on se doigtait mutuellement. J’avais passé ses jambes sous mes bras, de sorte que son bassin était complètement relevé et me permettait un accès facile à sa vulve et son anus. Elle-même m’avait installée de la même façon avec ses bras derrière ses cuisses, de sorte qu’elle avait le même accès à mes zones érogènes, elles aussi glabres. Vagin, clitoris, cul, tout y passait. La cyprine coulait à flot et les cris et les mots crus fusaient de toutes part. Sans que je ne m’en rende compte, Sophie saisit la bouteille de vin que nous avions vidée et qui reposait sut la table de salon. Elle mouilla le goulot en le suçant et sans prévenir, elle me l’enfonça dans le cul. Mugissant comme une vache, je levai mes hanches pour mieux les rabattre sur elle. La sensation était fantastique. Pendant ce temps, j’avais réussi à faire pénétrer mes cinq doigts dans son cul, mais sans être capable d’y faire glisser ma main en entier. Un orgasme terrifiant simultané nous traversa toutes les deux et des cris bestiaux sortaient de nos gorges.
Ameuté, Rock entra précipitamment et nous demanda si tout allait avant de s’apercevoir la position dans laquelle nous étions. Il m’avait déjà dit que son plus grand fantasme était de faire l’amour avec deux femmes. Je savais donc qu’il n’aurait pas d’objection à me partager avec une autre femme. Je l’avais assuré qu’il en était de même pour moi pour l’amour à trois, le troisième étant une femme ou un homme, à la condition de ne rien se cacher ou de le faire alors que l’autre était présent. Mais là c’était la première que cela se présentait et il n’y avait pas eu de préparatif.
Sortant la tête d’entre les fesses de Sophie, le visage couvert de cyprine, je lui fis mon plus beau sourire et lui dit :
- Allo mon amour. Je te présente Sophie.
Gênée, elle resta entre mes fesses sans se montrer le visage et se contenta de dire un bonjour à peine audible.
- Ma chère Sophie, tu vas pouvoir te rendre compte que je ne t’ai pas menti et constater de visu ce à quoi tu dois t’attaquer comme cas.
Nullement décontenancé, Rock qui n’avait pas encore réagi physiquement, bien que j’étais certaine que cela ne tarderait pas, s’approcha de nous en se plaçant à la hauteur de la tête de Sophie.
- Maintenant que j’ai vu le côté pile, j’ai hâte de voir le côté face, dit-il.
Tranquillement, je senti que Sophie tournait la tête. À ce moment, je me suis levée et me suis collée à Rock afin qu’il puisse contempler le corps sublime de Sophie. Aussitôt elle se recouvra les seins et le pubis par pudeur, mais ne put s’empêcher de fixer la bosse de son membre au repos dans son pantalon. Puis, elle assista à la croissance lente et soutenu de cette bosse.
- Voyons Sophie. Pas besoin de te cacher, lui dit-il. Après avoir vu ton derrière en entrant, je peux bien contempler le devant au complet.
Elle n’écoutait pas ce que je lui disais, tant elle était absorbée par ce qu’elle voyait. Tranquillement, la bouche ouverte, elle s’assoit sur la causeuse. Sophie tourna alors son regard vers moi et ses yeux interrogatifs me demandait comment se comporter. Mon sourire rassurant et mon clin d’œil la conforta. Et pour la convaincre que j’étais consentante je rajoutai :
- Tu sais belle Sophie, Rock est vraiment serré dans ses pantalons lorsqu’il est dans un tel état. Tu devrais baissée son pantalon pour éviter qu’il souffre le pauvre petit.
Hésitante, elle se saisit doucement de la ceinture et la déboucla, baissa la fermeture-éclair et tira sur le pantalon pour le faire descendre. Libéré, le membre en érection remonta quelque peu. Sophie eut un mouvement de recul, écarquilla encore plus les yeux comme si c’était possible, et se mit la main devant la bouche pour étouffer un cri de surprise (ou d’émerveillement?). Elle était vraiment hypnotisée par ce qu’elle voyait. Elle leva les yeux vers moi pour savoir comment se comporter. Elle était plus entreprenante avec moi tout à l’heure. Je fermai les yeux en guise d’accord.
Doucement, elle avança sa main et commença à passer lentement son index sur le pénis. Elle le promenait son doigt le long de la verge pour en sentir sa douceur et sa fermeté. Bien qu’il ne pointait pas vers le ciel à cause de son poids, n’en demeurait pas moins que j’étais certaine qu’il était dur comme du bois. Elle faisait maintenant glisser son doigt sur les veines saillantes qui longeaient le pénis. Elle s’amusait à en monter et descendre. Elle s’amusait à se promener sur le prépuce sans oser décalotter le gland. Maintenant, elle avait glissé son autre main sous le sexe et le soupesait. Pendant ce temps, la respiration de Rock, bien que toujours silencieuse, s’accélérait. Je savais ce qui s’en venait, mais je me gardais de faire quoique ce soit. Pendant que son doigt continuait d’apprécier la douceur de la peau, la main glissait vers les testicules pour les soupeser aussi été en vérifier la texture en les pressant délicatement., pendant que l’autre main tentait de faire le tour du sexe.
Puis sans prévenir et sans un son, l’explosion se produisit. Un premier jet de sperme énorme et onctueux éclaboussa la poitrine de Sophie. Surprise, elle lâcha le pénis. Les autres jets, moins abondants que le premier, mais quand même généreux, vinrent terminer leur course sur le ventre et les cuisses de Sophie. Me sentant coquine, j’extirpai les dernières gouttes avec un mouvement de ma main sur son sexe que je recueilli avec mon index. Sophie se remettait lentement de cet arrosage plus que généreux, la regardant dans les yeux, j’approchai de sa bouche mon doigt couvert de sperme et l’introduisit dans sa bouche. Avidement, elle le suça et dégusta le jus en me regardant dans les yeux.
Je ne saurais dire si c’était la douche de sperme ou la dégustation de la semence, mais elle sortit de son état d’hypnose et commença à se comporter comme la Sophie moins timide qui m’avait procuré de tellement de sensations étourdissantes un peu plus tôt. Elle écarta les jambes, prit les fesses de Rock dans ses mains et l’attira vers elle le plus proche possible que son érection permettait. Elle prit son organe à deux mains et se mit à le masturber doucement, en découvrant le gland et le recouvrant avec le prépuce. Elle caressait maintenant et s’amusait de procurer des réactions intenses. Elle s’amusait à mettre son doigt sur le gland et recouvrait le tout doucement. Elle faisait ensuite de léger mouvement pour sentir la douceur et la chaleur qui se dégageait. De son autre main, elle continuait de le branler avec plus de vitesse. Le pauvre haletait, annonçant une autre éjaculation, mais cette fois-ci, Sophie s’y attendait. Le pénis se gonflait et des soubresauts de plus en plus rapprochés se faisaient voir.
Délaissant le gland, elle empoigna solidement le bâton de chair avec une main et les couilles de l’autre. Elle amena le méat près de sa bouche grande ouverte en continuant ses caresses. Dans un cri à peine retenu, rock déchargea encore une fois un important lot de semence en plusieurs jets. Cette fois-ci, tout atterri sur son visage et dans sa bouche. Elle avala avec gourmandise le premier jet qui avait aboutit dans sa bouche et laissa le reste maculer son visage. Sa langue léchait ses lèvres pour goûter plus de semence.
N’y tenant plus, je me suis lancée à l’assaut de sa bouche en me jetant sur elle. Mes lèvres se sont collées aux siennes et ma langue est entrée le plus profond qu’elle pouvait aller. Je goûtais au sperme de mon amoureux qui demeurait encore la bouche de Sophie après en avoir avalé la majeure partie. J’ai aspiré le sperme mélangé avec sa salive et le goût était divin. Me sentant salope, je lui recrachai le mélange dans sa bouche grande ouverte en y ajoutant ma propre salive. Ce manège entre nous deux se prolongea quelques fois. Nous étions toutes les deux complètement recouvertes de liquide gluant et collant, mais nous n’en avions que faire, tellement nous étions excitées.
- Est-ce que je suis de trop?
Notre furie avait nous avait fait délaisser ce pauvre Rock qui pourtant était source de ce débordement de cette orgie buccale.
- Mon pauvre chou. Que dirais-tu Karine si nous prouvions notre reconnaissance à notre bienfaiteur.
Sans attendre ma réponse et après s’être redressée, elle saisit à deux mains le pieu qui reluisait encore de sperme. Elle ouvrit la bouche le plus grand qu’elle pouvait et porta le gland sur le gland, préalablement découvert. Comme moi, elle ne pu l’engloutir en entier et encore aller plus loin. Elle se contenta de le sucer et de le téter comme un biberon. Ses joues se creusaient à chaque succion.
- Je vais t’aider ma chère Sophie puisque tu sembles avoir quelques difficultés avec la tâche.
Chacune de notre côté, nos bouches et nos langues se promenait tout le long de ce pieu qui ne débandait pas. Nos bouches descendaient en même temps et gobaient chacune une boule avec laquelle nous nous amusions en la léchant, la gobant, la suçant et la faisant rouler dans notre bouche avec la langue. Puis nous remontions jusqu’au bout pour finir avec un baiser dégoulinant avec nos langues. Les bruits de succion se succédaient et la bave recouvrait le gourdin et le rendait encore plus désirable. Nouveau cri étouffé et nouvelle salve vint arroser nos cheveux et nos visages. Nous étions dégoulinantes et nous aurions dû nous diriger vers la douche, mais Rock n’en avait pas encore fini avec son érection.
- Vous étiez tellement belles dans votre soixante-neuf que j’aimerais que vous recommenciez, nous demanda-t-il
Rapidement, nous nous sommes installées tête-bêche sur le tapis moelleux du salon, elle au-dessus et moi dessous. C’est avec un grand plaisir que je retrouvai la chatte de mon amie ainsi que son goût de cyprine. Seule différence, du sperme avait coulé de son ventre jusqu’à sa chatte et il en était probablement de même pour moi. Ma dégustation n’en fut que meilleure. Sans que je le voie, Rock se plaça debout entre mes jambes et présenta sa queue à Sophie qui s’empressa de gober le gland pour l’humecter au maximum et favoriser la pénétration. Elle prit le gourdin dans ses mains et le guida vers mon antre béante et dégoulinante. Mais elle avait mal deviné ses intentions.
Il nous contourna et s’agenouilla derrière Sophie et me demanda de procéder de la même façon que mon amie. Je pris donc son pénis, le prit en bouche le plus loin que je pouvais. Je le ressorti et le guidai vers le vagin de Sophie qui était au moins autant ouverte, béante et dégoulinante que moi. Pendant ce temps, elle m’avait pénétré le vagin d’une main et l’anus de l’autre sans que je sache combien de doigts elle avait enfilé dans chacun de mes orifices. Je frottais le gros champignon de rock sur les lèvres de Sophie. Comprenant ce qui allait arriver sous peu, elle dit d’une voix peu convaincante
- Je t’en prie. Va doucement. J’ai peur. Jamais je n’ai eu de si gros engin dans le ventre. Je suis certaine que ton gros nœud ne pénètrera au complet. Promets-moi d’arrêter quand je te le dirai. Je ne veux pas que…
Mon amour baissa la tête pour me regarder dans les yeux et me fit un clin d’œil évocateur. Je comprenais et pour adoucir ce qui s’en venait, je commençai à lécher le clitoris gonflé qui s’offrait devant ma bouche. Ma langue faisait des cercles tout autour de son bouton et faisait des pressions. N’eût été de l’espace restreint, je lui aurais certainement tété et sucé le bourgeon, mais je voulais laisser toute la place à mon étalon pour qu’elle ressente enfin ce que je vivais depuis quelques temps.
Je tenais toujours l’objet de jouissance dans mes deux mains et le posai sur ses lèvres vaginales. Lentement, je promenais le gland enflé tout le long de sa fente sans le faire pénétrer. Je me hasardai même à le faire remonter le long de la raie de ses fesses, sans insister pour ne pas lui faire peur. Je voyais dans les yeux de Rock qu’il appréciait ce moment. Accélérant mes coups de langue sur le clitoris et le frottement des grandes lèvres, Sophie émit un gémissement mêlé à un cri. Elle venait de jouir. Ne pouvant plus se retenir, Rock envoya une décharge de sperme sur la chatte ouverte. En même temps, sous les caresses de Sophie, je me suis mise à jouir en laissant sortir un jet de cyprine qu’elle s’empressa de boire.
Mon bienaimé, profitant de son érection qui ne diminuait pas ainsi que de la lubrification supplémentaire qu’il venait d’ajouter, s’enfonça le gland d’un coup dans le vagin de Sophie. Elle émit le même son que quelqu’un qui recevait un coup dans le ventre. Satisfait de la facilité avec laquelle la pénétration avait commencé, il continua sa progression. Elle émit un hurlement semblable à celui d’un loup traduisant la douleur et le plaisir. Il commença lentement ses aller-retours dans ses fondements en entrant toujours un peu plus loin jusqu’à ce qu’il atteigne son utérus. Rassuré sur la longueur de son membre qu’il pouvait introduire en elle, il augmenta tranquillement la vitesse de ses mouvements. Après lui avoir asséné quelques claques sur les deux fesses, il se pencha afin de prendre ses seins dans chacune de ses mains.
Jamais je n’avais une telle vue sur l’engin de mon amoureux. Souvent nous avions été en position de soixante-neuf, lui dessous et moi dessus et vice-versa, mais je n’avais jamais vu son pieu pistonner un vagin et qui plus est d’aussi proche. J’avais de plus tout le loisir de promener ma langue sur sa hampe pendant ses mouvements. J’en profitais aussi pour gober ses couilles pendantes, pendant qu’il était loin dans le ventre de mon amie et amante. Souvent, il ressortait entièrement et je prenais alors le gland en bouche et je goûtais le sperme mélangé à la cyprine.
Simultanément, Sophie et Rock émirent un beuglement en jouissant. Le sperme sortant de la vulve enflée m’inondait le visage. J’essayais d’en boire le maximum. Il était maintenant déchaîné et la pénétrait de plus en plus vite. Il avait même inséré un doigt dans l’anus de Sophie qui sursauta quelque peu, mais sans le repousser. Alors qu’il prenait une pause en restant planté profondément, j’en profitai pour glisser ma langue dans sa craque de fesses et titillait san anus. Jamais je n’avais osé me rendre jusque-là malgré mes désirs secrets. Je promenais ma langue autour et sur l’œillet, osant même la faire pénétrer dans son tunnel vierge.
Ses grognements me confortaient dans mon exploration et sans autre avertissement, j’ai inséré entièrement et rapidement un doigt dans son rectum en répliquant ses mouvements dans le sexe de Sophie. Sans que je ne sache pourquoi, c’est à ce moment que Sophie m’administra le même traitement en écartant mes fesses inondées par la cyprine et sa salive et me pénétra brutalement avec deux doigts. Ma jouissance fut incroyable et aussitôt, Sophie cria suivi de près de Rock qui déversa une partie de sa semence dans le réceptacle de Sophie et le reste sur moi après qu’il se soit retiré.
Je m’empressai à l’emboucher pour nettoyer le vit du mieux que je pouvais. Mêlé aux jus de Sophie, sa semence avait un autre goût qui me ravit. Il roula sur le côté pour reprendre son souffle. Aussitôt, Sophie se retourna et vient se coucher sur moi pour elle aussi savourer la semence qui s’était répandue sur mes seins et mon abdomen. Elle ne manquait pas de s’attarder sur mes mamelons qui n’avaient pas ramollis et qui étaient sensibles à m’en faire crier de bonheur. Elle lapait du mieux qu’elle pouvait tout le liquide. Puis elle déposa sa bouche sur la mienne pour qu’on l’on partage le liquide qui débordait.
Cette étreinte se prolongea encore et encore. Je sentais un mélange de perversion physique et de sentiments d’affection. Couché sur le côté, Rock nous observait avec envie en se caressant la queue qui n’avait pas encore diminuée, signe d’une envie de sexe inassouvie. À la suggestion de Sophie, nous nous sommes ruées vers lui, Le sexe encore dilatée par la pénétration sauvage dont elle avait victime, elle préféra s’installer sur sa bouche pour bénéficier de ses bienfaits sur la vulve sensible, en me laissant le plaisir de m’empaler sur le sexe qu’il tenait droit avec sa main.
J’étais agenouillée de chaque côté de ses hanches, les jambes largement écartées attendant que la gravité me fasse descendre sur ce pieu qui m’avait apporté tant de plaisir par le passé. Lentement, le gland pénétra et se rendit rapidement à l’utérus par la suite. Le choc me fit coucher sur son ventre tellement la douleur fut surprenante mais de courte durée. J’ouvris lentement les yeux pour me rendre compte que j’étais très près de sa bouche et par le fait même des organes génitaux de la belle.
Il accentuait en force et en vitesse les mouvements dans mon ventre en me faisant émettre un son étouffé à chaque fois, mais surtout en me faisant buter contre la vulve qu’il ramonait avec sa langue experte avec les encouragements vocaux de sa future thérapeute. Elle ne cessait ses mouvements d’avant à arrière tout le long du visage de mon amant au grand plaisir de celui-ci. Il en profitait pour humecter la rondelle de son anus. Sans crier gare, il lui enfonça un doigt dans l’anus, ce qui la fit crier et s’avancer pour frapper mon menton. Je profitai de l’occasion pour saisir son clitoris enflé dans ma bouche et le sucer le plus fort que je pouvais. Elle était comme ainsi dire prise des deux côtés et lâcha un cri de jouissance ainsi qu’une quantité de liquide appréciable, indiquant une jouissance puissante.
Nous étions deux à boire à la source. Rapidement, je sentis des soubresauts dans le gourdin qui me ramonait les entrailles. Ces tremblements déclenchèrent immédiatement un orgasme gigantesque chez moi. Sans prendre le temps de reprendre, je sorti le gourdin de mon antre et la dirigeai vers Sophie qui n’avait pas encore tout retrouvé ses esprits. Le sperme abondant qui l’éclaboussait la ramena à elle et c’est dans un rire incontrôlable qu’elle s’en couvrit les seins que je suçai avidement pour les nettoyer. Le tout se termina dans un baiser où tous les trois participaient à tour de rôle ou en même temps.
- Maintenant, je vois et je comprend le problème dit-elle avec un large sourire et il me fera extrêmement plaisir de m’en occuper à titre gratuit.
- Tu es tellement généreuse, lui dis-je. Mais je voudrais participer aussi participer à ces séances de thérapie.
- Certainement ma chère, ce sera une thérapie de couple.
Rock ne dit aucun mot.
Quelques semaines plus tard, ma meilleure amie me téléphone. Sophie me rapproche alors de la délaisser et elle veut venir me faire une visite. À son arrivée, nous nous sommes serrées dans les bras. Nous nous étions connus au cours de nos études, moi en administration et elle en psychologie, et nous étions devenus amies immédiatement et cette amitié avait durée. La première chose qu’elle me dit était que j’avais une mine affreuse. Je savais pourquoi, mais je me gardai de lui expliquer.
Après avoir préparé un lunch, nous nous sommes assises sur la terrasse pour déguster un vin pétillant avec les bouchées. Une fois rassasiées, nous sommes entrées à l’intérieur avec la bouteille de vin presque vide puisqu’il commençait à faire chaud.
Avec la bouteille de vin, nous nous sommes installées dans la causeuse au salon. Nous avons toujours été très proche et nous nous sommes toujours tout dit, mais pas nécessairement dans les détails. C’est alors que je décidai de faire appel à sa formation pour qu’elle aide Rock à se contrôler pour éviter qu’il succombe à n’importe quelle femme et qu’il me soit exclusif.
- Sophie, est-ce que je peux te demander d’aider Rock avec un certain problème d’ordre psychologique et qui a des conséquences physiques?
- Oui, je crois. Comme je n’ai jamais réussi les examens de l’Ordre, je n’ai pas de titre. Seulement les connaissances et le code de déontologie ne s’applique donc pas.
Je commençai donc à lui raconter de long en large (dans tous les sens du terme) ce qui s’était produit la veille. Au fur et à mesure que j’avançais dans mon récit, j’éprouvais de la chaleur dans mon ventre et de l’humidité dans mon entrejambe et à en juger du trémoussement et du croisement et du décroisement des jambes de Sophie, elle aussi était excitée. J’en profitai pour donner encore plus de détails. Jamais nous n’avions eu de rapport sexuel ou échangé de baiser avant. Seul des tapes innocentes sur les fesses ou de se voir nues en de rares occasions fortuites s’étaient présentées.
Cependant, bien que je ne sois pas attirée par les femmes, j’avoue avoir pensé à Sophie dans quelques séances de masturbation. Discrètement, je vis sa main glisser sous sa robe d’été et remonter sur sa cuisse. J’avais peine à raconter et j’avais le souffle court. N’y tenant plus, je l’imitai. Elle avait renversé sa tête sur le dossier de la causeuse et avait les yeux fermés, en émettant des gémissements.
- Continue. Tu racontes tellement bien.
Elle avait les jambes complétement écartées et alors qu’une main caressait ses seins qu’elle avait dénudés, l’autre faisait des circonférences et des allers-retours dans sa culotte. J’avais terminé mon récit et je ne tenais plus en place. C’est alors que j’ai laissé aller mon instinct et je me suis jetée à genoux devant elle. J’ai alors saisi sa culotte et sans ménagement je lui ai littéralement arrachée en la déchirant. Ma tête se lança sur sa chatte complètement rasée et je me suis mis à la manger comme j’aimais l’être. Elle eut un sursaut et émis un cri de surprise.
- Oh. Mais qu’est-ce que… Oui c’est bon. Continue. Si tu savais depuis combien de temps j’espérais ce moment. Mange-moi cochonne. Tu m’as tellement excité avec ton étalon.
Je n’arrêtais pas de lécher et de sucer son clitoris, pendant que j’explorais son vagin avec mes doigts.
- Merci d’avoir attendu. Je n’étais pas prête avant, mais maintenant je le suis. Je vais reprendre le temps perdu, petite salope.
Je replongeai ma bouche sur son clitoris et deux doigts dans le vagin et un autre dans l’anus.
- Aaah, c’est bon. Continue de me sucer. Tu me doigte le cul. Mets-en deux. Tu vas voir, il y a de la place.
Mes doigts sortirent de son vagin, remplacés immédiatement par ma langue et je m’occupai de son anus.
- Je vais te lubrifier le cul, et j’envoyai un crachat de salive mêlée de sa cyprine. Voilà tu es bien mouillée. Je vais te rentrer deux doigts. Ça entre tout seule. Tu as dû te faire enculer souvent et pas par des petites queues. Et voilà trois doigts.
Elle avait enlevé sa robe et était complètement nue assise au bord de la causeuse, les jambes relevées et la vulve imberbe et le cul complètement ouverts et offerts à mes doigts et ma bouche. Quelques, je la regardais dans les yeux et lui souriait malicieusement. Le quatrième doigt, venait à peine d’entrer et de commencer les rotations profondément, qu’elle tressauta et fut prise d’un immense orgasme et d’un gémissement animal.
- Je ne te laisse pas te reposer. J’ai besoin de sexe moi aussi. Couches-toi sur le dos lui-dis-je en me mettant nue moi aussi. Écarte tes jambes et on va se manger toutes les deux.
Dans un magnifique soixante-neuf, moi dessus et elle en-dessous, on se mangeait et on se doigtait mutuellement. J’avais passé ses jambes sous mes bras, de sorte que son bassin était complètement relevé et me permettait un accès facile à sa vulve et son anus. Elle-même m’avait installée de la même façon avec ses bras derrière ses cuisses, de sorte qu’elle avait le même accès à mes zones érogènes, elles aussi glabres. Vagin, clitoris, cul, tout y passait. La cyprine coulait à flot et les cris et les mots crus fusaient de toutes part. Sans que je ne m’en rende compte, Sophie saisit la bouteille de vin que nous avions vidée et qui reposait sut la table de salon. Elle mouilla le goulot en le suçant et sans prévenir, elle me l’enfonça dans le cul. Mugissant comme une vache, je levai mes hanches pour mieux les rabattre sur elle. La sensation était fantastique. Pendant ce temps, j’avais réussi à faire pénétrer mes cinq doigts dans son cul, mais sans être capable d’y faire glisser ma main en entier. Un orgasme terrifiant simultané nous traversa toutes les deux et des cris bestiaux sortaient de nos gorges.
Ameuté, Rock entra précipitamment et nous demanda si tout allait avant de s’apercevoir la position dans laquelle nous étions. Il m’avait déjà dit que son plus grand fantasme était de faire l’amour avec deux femmes. Je savais donc qu’il n’aurait pas d’objection à me partager avec une autre femme. Je l’avais assuré qu’il en était de même pour moi pour l’amour à trois, le troisième étant une femme ou un homme, à la condition de ne rien se cacher ou de le faire alors que l’autre était présent. Mais là c’était la première que cela se présentait et il n’y avait pas eu de préparatif.
Sortant la tête d’entre les fesses de Sophie, le visage couvert de cyprine, je lui fis mon plus beau sourire et lui dit :
- Allo mon amour. Je te présente Sophie.
Gênée, elle resta entre mes fesses sans se montrer le visage et se contenta de dire un bonjour à peine audible.
- Ma chère Sophie, tu vas pouvoir te rendre compte que je ne t’ai pas menti et constater de visu ce à quoi tu dois t’attaquer comme cas.
Nullement décontenancé, Rock qui n’avait pas encore réagi physiquement, bien que j’étais certaine que cela ne tarderait pas, s’approcha de nous en se plaçant à la hauteur de la tête de Sophie.
- Maintenant que j’ai vu le côté pile, j’ai hâte de voir le côté face, dit-il.
Tranquillement, je senti que Sophie tournait la tête. À ce moment, je me suis levée et me suis collée à Rock afin qu’il puisse contempler le corps sublime de Sophie. Aussitôt elle se recouvra les seins et le pubis par pudeur, mais ne put s’empêcher de fixer la bosse de son membre au repos dans son pantalon. Puis, elle assista à la croissance lente et soutenu de cette bosse.
- Voyons Sophie. Pas besoin de te cacher, lui dit-il. Après avoir vu ton derrière en entrant, je peux bien contempler le devant au complet.
Elle n’écoutait pas ce que je lui disais, tant elle était absorbée par ce qu’elle voyait. Tranquillement, la bouche ouverte, elle s’assoit sur la causeuse. Sophie tourna alors son regard vers moi et ses yeux interrogatifs me demandait comment se comporter. Mon sourire rassurant et mon clin d’œil la conforta. Et pour la convaincre que j’étais consentante je rajoutai :
- Tu sais belle Sophie, Rock est vraiment serré dans ses pantalons lorsqu’il est dans un tel état. Tu devrais baissée son pantalon pour éviter qu’il souffre le pauvre petit.
Hésitante, elle se saisit doucement de la ceinture et la déboucla, baissa la fermeture-éclair et tira sur le pantalon pour le faire descendre. Libéré, le membre en érection remonta quelque peu. Sophie eut un mouvement de recul, écarquilla encore plus les yeux comme si c’était possible, et se mit la main devant la bouche pour étouffer un cri de surprise (ou d’émerveillement?). Elle était vraiment hypnotisée par ce qu’elle voyait. Elle leva les yeux vers moi pour savoir comment se comporter. Elle était plus entreprenante avec moi tout à l’heure. Je fermai les yeux en guise d’accord.
Doucement, elle avança sa main et commença à passer lentement son index sur le pénis. Elle le promenait son doigt le long de la verge pour en sentir sa douceur et sa fermeté. Bien qu’il ne pointait pas vers le ciel à cause de son poids, n’en demeurait pas moins que j’étais certaine qu’il était dur comme du bois. Elle faisait maintenant glisser son doigt sur les veines saillantes qui longeaient le pénis. Elle s’amusait à en monter et descendre. Elle s’amusait à se promener sur le prépuce sans oser décalotter le gland. Maintenant, elle avait glissé son autre main sous le sexe et le soupesait. Pendant ce temps, la respiration de Rock, bien que toujours silencieuse, s’accélérait. Je savais ce qui s’en venait, mais je me gardais de faire quoique ce soit. Pendant que son doigt continuait d’apprécier la douceur de la peau, la main glissait vers les testicules pour les soupeser aussi été en vérifier la texture en les pressant délicatement., pendant que l’autre main tentait de faire le tour du sexe.
Puis sans prévenir et sans un son, l’explosion se produisit. Un premier jet de sperme énorme et onctueux éclaboussa la poitrine de Sophie. Surprise, elle lâcha le pénis. Les autres jets, moins abondants que le premier, mais quand même généreux, vinrent terminer leur course sur le ventre et les cuisses de Sophie. Me sentant coquine, j’extirpai les dernières gouttes avec un mouvement de ma main sur son sexe que je recueilli avec mon index. Sophie se remettait lentement de cet arrosage plus que généreux, la regardant dans les yeux, j’approchai de sa bouche mon doigt couvert de sperme et l’introduisit dans sa bouche. Avidement, elle le suça et dégusta le jus en me regardant dans les yeux.
Je ne saurais dire si c’était la douche de sperme ou la dégustation de la semence, mais elle sortit de son état d’hypnose et commença à se comporter comme la Sophie moins timide qui m’avait procuré de tellement de sensations étourdissantes un peu plus tôt. Elle écarta les jambes, prit les fesses de Rock dans ses mains et l’attira vers elle le plus proche possible que son érection permettait. Elle prit son organe à deux mains et se mit à le masturber doucement, en découvrant le gland et le recouvrant avec le prépuce. Elle caressait maintenant et s’amusait de procurer des réactions intenses. Elle s’amusait à mettre son doigt sur le gland et recouvrait le tout doucement. Elle faisait ensuite de léger mouvement pour sentir la douceur et la chaleur qui se dégageait. De son autre main, elle continuait de le branler avec plus de vitesse. Le pauvre haletait, annonçant une autre éjaculation, mais cette fois-ci, Sophie s’y attendait. Le pénis se gonflait et des soubresauts de plus en plus rapprochés se faisaient voir.
Délaissant le gland, elle empoigna solidement le bâton de chair avec une main et les couilles de l’autre. Elle amena le méat près de sa bouche grande ouverte en continuant ses caresses. Dans un cri à peine retenu, rock déchargea encore une fois un important lot de semence en plusieurs jets. Cette fois-ci, tout atterri sur son visage et dans sa bouche. Elle avala avec gourmandise le premier jet qui avait aboutit dans sa bouche et laissa le reste maculer son visage. Sa langue léchait ses lèvres pour goûter plus de semence.
N’y tenant plus, je me suis lancée à l’assaut de sa bouche en me jetant sur elle. Mes lèvres se sont collées aux siennes et ma langue est entrée le plus profond qu’elle pouvait aller. Je goûtais au sperme de mon amoureux qui demeurait encore la bouche de Sophie après en avoir avalé la majeure partie. J’ai aspiré le sperme mélangé avec sa salive et le goût était divin. Me sentant salope, je lui recrachai le mélange dans sa bouche grande ouverte en y ajoutant ma propre salive. Ce manège entre nous deux se prolongea quelques fois. Nous étions toutes les deux complètement recouvertes de liquide gluant et collant, mais nous n’en avions que faire, tellement nous étions excitées.
- Est-ce que je suis de trop?
Notre furie avait nous avait fait délaisser ce pauvre Rock qui pourtant était source de ce débordement de cette orgie buccale.
- Mon pauvre chou. Que dirais-tu Karine si nous prouvions notre reconnaissance à notre bienfaiteur.
Sans attendre ma réponse et après s’être redressée, elle saisit à deux mains le pieu qui reluisait encore de sperme. Elle ouvrit la bouche le plus grand qu’elle pouvait et porta le gland sur le gland, préalablement découvert. Comme moi, elle ne pu l’engloutir en entier et encore aller plus loin. Elle se contenta de le sucer et de le téter comme un biberon. Ses joues se creusaient à chaque succion.
- Je vais t’aider ma chère Sophie puisque tu sembles avoir quelques difficultés avec la tâche.
Chacune de notre côté, nos bouches et nos langues se promenait tout le long de ce pieu qui ne débandait pas. Nos bouches descendaient en même temps et gobaient chacune une boule avec laquelle nous nous amusions en la léchant, la gobant, la suçant et la faisant rouler dans notre bouche avec la langue. Puis nous remontions jusqu’au bout pour finir avec un baiser dégoulinant avec nos langues. Les bruits de succion se succédaient et la bave recouvrait le gourdin et le rendait encore plus désirable. Nouveau cri étouffé et nouvelle salve vint arroser nos cheveux et nos visages. Nous étions dégoulinantes et nous aurions dû nous diriger vers la douche, mais Rock n’en avait pas encore fini avec son érection.
- Vous étiez tellement belles dans votre soixante-neuf que j’aimerais que vous recommenciez, nous demanda-t-il
Rapidement, nous nous sommes installées tête-bêche sur le tapis moelleux du salon, elle au-dessus et moi dessous. C’est avec un grand plaisir que je retrouvai la chatte de mon amie ainsi que son goût de cyprine. Seule différence, du sperme avait coulé de son ventre jusqu’à sa chatte et il en était probablement de même pour moi. Ma dégustation n’en fut que meilleure. Sans que je le voie, Rock se plaça debout entre mes jambes et présenta sa queue à Sophie qui s’empressa de gober le gland pour l’humecter au maximum et favoriser la pénétration. Elle prit le gourdin dans ses mains et le guida vers mon antre béante et dégoulinante. Mais elle avait mal deviné ses intentions.
Il nous contourna et s’agenouilla derrière Sophie et me demanda de procéder de la même façon que mon amie. Je pris donc son pénis, le prit en bouche le plus loin que je pouvais. Je le ressorti et le guidai vers le vagin de Sophie qui était au moins autant ouverte, béante et dégoulinante que moi. Pendant ce temps, elle m’avait pénétré le vagin d’une main et l’anus de l’autre sans que je sache combien de doigts elle avait enfilé dans chacun de mes orifices. Je frottais le gros champignon de rock sur les lèvres de Sophie. Comprenant ce qui allait arriver sous peu, elle dit d’une voix peu convaincante
- Je t’en prie. Va doucement. J’ai peur. Jamais je n’ai eu de si gros engin dans le ventre. Je suis certaine que ton gros nœud ne pénètrera au complet. Promets-moi d’arrêter quand je te le dirai. Je ne veux pas que…
Mon amour baissa la tête pour me regarder dans les yeux et me fit un clin d’œil évocateur. Je comprenais et pour adoucir ce qui s’en venait, je commençai à lécher le clitoris gonflé qui s’offrait devant ma bouche. Ma langue faisait des cercles tout autour de son bouton et faisait des pressions. N’eût été de l’espace restreint, je lui aurais certainement tété et sucé le bourgeon, mais je voulais laisser toute la place à mon étalon pour qu’elle ressente enfin ce que je vivais depuis quelques temps.
Je tenais toujours l’objet de jouissance dans mes deux mains et le posai sur ses lèvres vaginales. Lentement, je promenais le gland enflé tout le long de sa fente sans le faire pénétrer. Je me hasardai même à le faire remonter le long de la raie de ses fesses, sans insister pour ne pas lui faire peur. Je voyais dans les yeux de Rock qu’il appréciait ce moment. Accélérant mes coups de langue sur le clitoris et le frottement des grandes lèvres, Sophie émit un gémissement mêlé à un cri. Elle venait de jouir. Ne pouvant plus se retenir, Rock envoya une décharge de sperme sur la chatte ouverte. En même temps, sous les caresses de Sophie, je me suis mise à jouir en laissant sortir un jet de cyprine qu’elle s’empressa de boire.
Mon bienaimé, profitant de son érection qui ne diminuait pas ainsi que de la lubrification supplémentaire qu’il venait d’ajouter, s’enfonça le gland d’un coup dans le vagin de Sophie. Elle émit le même son que quelqu’un qui recevait un coup dans le ventre. Satisfait de la facilité avec laquelle la pénétration avait commencé, il continua sa progression. Elle émit un hurlement semblable à celui d’un loup traduisant la douleur et le plaisir. Il commença lentement ses aller-retours dans ses fondements en entrant toujours un peu plus loin jusqu’à ce qu’il atteigne son utérus. Rassuré sur la longueur de son membre qu’il pouvait introduire en elle, il augmenta tranquillement la vitesse de ses mouvements. Après lui avoir asséné quelques claques sur les deux fesses, il se pencha afin de prendre ses seins dans chacune de ses mains.
Jamais je n’avais une telle vue sur l’engin de mon amoureux. Souvent nous avions été en position de soixante-neuf, lui dessous et moi dessus et vice-versa, mais je n’avais jamais vu son pieu pistonner un vagin et qui plus est d’aussi proche. J’avais de plus tout le loisir de promener ma langue sur sa hampe pendant ses mouvements. J’en profitais aussi pour gober ses couilles pendantes, pendant qu’il était loin dans le ventre de mon amie et amante. Souvent, il ressortait entièrement et je prenais alors le gland en bouche et je goûtais le sperme mélangé à la cyprine.
Simultanément, Sophie et Rock émirent un beuglement en jouissant. Le sperme sortant de la vulve enflée m’inondait le visage. J’essayais d’en boire le maximum. Il était maintenant déchaîné et la pénétrait de plus en plus vite. Il avait même inséré un doigt dans l’anus de Sophie qui sursauta quelque peu, mais sans le repousser. Alors qu’il prenait une pause en restant planté profondément, j’en profitai pour glisser ma langue dans sa craque de fesses et titillait san anus. Jamais je n’avais osé me rendre jusque-là malgré mes désirs secrets. Je promenais ma langue autour et sur l’œillet, osant même la faire pénétrer dans son tunnel vierge.
Ses grognements me confortaient dans mon exploration et sans autre avertissement, j’ai inséré entièrement et rapidement un doigt dans son rectum en répliquant ses mouvements dans le sexe de Sophie. Sans que je ne sache pourquoi, c’est à ce moment que Sophie m’administra le même traitement en écartant mes fesses inondées par la cyprine et sa salive et me pénétra brutalement avec deux doigts. Ma jouissance fut incroyable et aussitôt, Sophie cria suivi de près de Rock qui déversa une partie de sa semence dans le réceptacle de Sophie et le reste sur moi après qu’il se soit retiré.
Je m’empressai à l’emboucher pour nettoyer le vit du mieux que je pouvais. Mêlé aux jus de Sophie, sa semence avait un autre goût qui me ravit. Il roula sur le côté pour reprendre son souffle. Aussitôt, Sophie se retourna et vient se coucher sur moi pour elle aussi savourer la semence qui s’était répandue sur mes seins et mon abdomen. Elle ne manquait pas de s’attarder sur mes mamelons qui n’avaient pas ramollis et qui étaient sensibles à m’en faire crier de bonheur. Elle lapait du mieux qu’elle pouvait tout le liquide. Puis elle déposa sa bouche sur la mienne pour qu’on l’on partage le liquide qui débordait.
Cette étreinte se prolongea encore et encore. Je sentais un mélange de perversion physique et de sentiments d’affection. Couché sur le côté, Rock nous observait avec envie en se caressant la queue qui n’avait pas encore diminuée, signe d’une envie de sexe inassouvie. À la suggestion de Sophie, nous nous sommes ruées vers lui, Le sexe encore dilatée par la pénétration sauvage dont elle avait victime, elle préféra s’installer sur sa bouche pour bénéficier de ses bienfaits sur la vulve sensible, en me laissant le plaisir de m’empaler sur le sexe qu’il tenait droit avec sa main.
J’étais agenouillée de chaque côté de ses hanches, les jambes largement écartées attendant que la gravité me fasse descendre sur ce pieu qui m’avait apporté tant de plaisir par le passé. Lentement, le gland pénétra et se rendit rapidement à l’utérus par la suite. Le choc me fit coucher sur son ventre tellement la douleur fut surprenante mais de courte durée. J’ouvris lentement les yeux pour me rendre compte que j’étais très près de sa bouche et par le fait même des organes génitaux de la belle.
Il accentuait en force et en vitesse les mouvements dans mon ventre en me faisant émettre un son étouffé à chaque fois, mais surtout en me faisant buter contre la vulve qu’il ramonait avec sa langue experte avec les encouragements vocaux de sa future thérapeute. Elle ne cessait ses mouvements d’avant à arrière tout le long du visage de mon amant au grand plaisir de celui-ci. Il en profitait pour humecter la rondelle de son anus. Sans crier gare, il lui enfonça un doigt dans l’anus, ce qui la fit crier et s’avancer pour frapper mon menton. Je profitai de l’occasion pour saisir son clitoris enflé dans ma bouche et le sucer le plus fort que je pouvais. Elle était comme ainsi dire prise des deux côtés et lâcha un cri de jouissance ainsi qu’une quantité de liquide appréciable, indiquant une jouissance puissante.
Nous étions deux à boire à la source. Rapidement, je sentis des soubresauts dans le gourdin qui me ramonait les entrailles. Ces tremblements déclenchèrent immédiatement un orgasme gigantesque chez moi. Sans prendre le temps de reprendre, je sorti le gourdin de mon antre et la dirigeai vers Sophie qui n’avait pas encore tout retrouvé ses esprits. Le sperme abondant qui l’éclaboussait la ramena à elle et c’est dans un rire incontrôlable qu’elle s’en couvrit les seins que je suçai avidement pour les nettoyer. Le tout se termina dans un baiser où tous les trois participaient à tour de rôle ou en même temps.
- Maintenant, je vois et je comprend le problème dit-elle avec un large sourire et il me fera extrêmement plaisir de m’en occuper à titre gratuit.
- Tu es tellement généreuse, lui dis-je. Mais je voudrais participer aussi participer à ces séances de thérapie.
- Certainement ma chère, ce sera une thérapie de couple.
Rock ne dit aucun mot.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Garçon d'écurie - 2
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<